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Le Web des Cheminots

Fan MSTS

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Messages publiés par Fan MSTS

  1. Le nom était sur la photo en plus ?

    En fait, je connaissais, je suis assez souvent passé par là, c'est la route de Nancy, et je me souviens de la plateforme encore visible qui longe la voie dans ce coin.

    La ligne en question était une ligne de la société des chemins de fer économiques, à voie de 1 mètre. Elle reliait Jouy-Le-Chatel à Sablonières sur une longueur de 37 km.

    La ligne fut ouverte en 1903, la section Sablonières- Beton fut fermée en 1938 (avec réouverture marchandises de 1940 à 48), celle de Beton à Jouy survécut jusqu'en 1950...

    http://ns3850.ovh.net/cpa77/Moyen/C032N33.jpg la gare, à l'origine...

    Une loco portant le nom de Beton-Bazoches est toujours visible sur le réseau touristique de la Baie de Somme...

    Je passe la main !

  2. 3 :P

    Qui dit mieux ?

    Sète ça fait 1...

    Où sont les autres ?

    Peut être un dans la zone de Fos sur Mer, il me semble avoir lu un truc la dessus il y a très longtemps, dans la vie duraille...

    Mais le 3ème ?

    Il semble que les points de jonction entre 1500 RATP et 1500 SNCF se fassent panto baissé, serait ce là , à Chatelet les Halles ?

  3. Bien qu'il y ait un sujet sur l'accident du Glacier Express, les résultats de l'enquète nous concernent au quotidien quelques soit l'EF.

    On se dit 1 km/H de plus, on rattrape le rattrape le retard mais les lois de la physique sont implacables.

    ATS | 30.07.2010 | 15:17

    Le conducteur de la locomotive aurait dû attendre que le dernier wagon franchisse le panneau indiquant 55 km/h avant d'accélérer. Or il l'a fait alors que la locomotive se trouvait à une trentaine de mètres du panneau, a déclaré ce vendredi lors d'une conférence de presse à Brigue l'expert fédéral Walter Kobelt.

    Le convoi filait à une vitesse de 56 km/h avant que le dernier wagon n'atteigne le panneau indicateur. La force centrifuge était tellement importante que le dernier wagon est sorti des rails deux pylônes avant le panneau, entraînant dans son mouvement les deux wagons le précédant.

    Le conducteur n'a pas expliqué le pourquoi de sa manoeuvre. Ni l'expert ni les dirigeants de la compagnie Matterhorn Gotthard Bahn (MGB) ne s'expliquent ce qui s'est passé. Le MGB continue à apporter à son employé, qui travaille depuis plus de huit ans pour le MGB, tout son soutien, malgré la gravité de sa faute, a déclaré son directeur Hans-Rudolf Mooser.

    La compagnie emploie 98 mécaniciens de locomotives. Leur formation correspond aux exigences élevées appliquées en Suisse, a précisé M. Mooser. Et il est clair pour chacun que la vitesse maximale autorisée ne peut être dépassée sous aucun prétexte. «Nous appliquons la tolérance zéro pour critère.»

    Tout a été examiné

    L'expert et son équipe ont aussi ausculté les wagons impliqués dans leurs moindres détails. Aucune défectuosité n'a été constatée, a dit M. Kobelt, ni dans la carrosserie ni dans la partie roulante, essieux ou suspensions.

    La géométrie des rails a été mesurée et contrôlée aussi par un organe externe. Aucune anomalie n'a pu être constatée. La météo et la géologie de l'endroit le jour de l'accident et les jours précédents n'ont montré aucune particularité susceptible d'expliquer le déraillement.

    La vitesse enregistrée par la boîte noire a été comparée à la vitesse indiquée par la locomotive et à la vitesse réelle lors de différents tests avec la motrice impliquée. La différence est de 1 km/h, a précisé l'expert.

    Les données de la boîte noire confirment que le train est entré dans le virage à 35 km/h comme l'imposent les limitations de vitesse. Au moment du freinage d'urgence dû au déraillement il circulait à 56 km/h.

    Le rapport de l'expert sera transmis au juge instructeur chargé de l'enquête pénale. Celle-ci durera encore plusieurs semaines, a précisé la police cantonale.

    Condoléances du gouvernement

    Le vice-président du gouvernement valaisan Jacques Melly a présenté la sollicitude et la compassion de l'exécutif cantonal aux victimes de l'accident et à leurs familles. Le vice-consul du Japon à Genève était présent à la conférence de presse, donnée en français, allemand et anglais devant de nombreux journalistes japonais.

    L'accident a fait un mort, une ressortissante japonaise de 64 ans, et 40 blessés dont 38 ont été hospitalisés, neuf dans un état grave. Parmi tous les blessés il y avait 28 Japonais, cinq Suisses, quatre Espagnols, deux Autrichien et un Indien.

    Actuellement huit personnes, toutes de nationalité japonaise, sont encore dans les hôpitaux de Viège, Sion, Lausanne, Genève et Berne. Trois pourront rentrer au Japon dans les prochains jours. L'état de santé des blessés les plus gravement touchés est stable. Leur vie n'est plus en danger.

    Le MGB fête cette année ses 80 ans. Cet accident est le plus grave de son histoire

    Ce n'est pas la différence de 1 km/h qui a provoqué l'accident, ce 1 km/h, si on lit bien l'article, est la différence entre la vitesse affichée par la loc et celle relevée par le mouchard. Ce n'est pas 1 km/h qui va faire augmenter la force centrifuge au point de faire coucher un train.

    La cause de l'accident, c'est le fait que le conducteur aurait donc repris sa vitesse AVANT d'avoir franchi le point de reprise ! A cet endroit il aurait du être à 35 km/h, pas à 55 ou 56, donc en excès de 20 km/h ! Et là, oui, ça fait une grosse différence en force centrifuge... Il aurait été à 36 ou même 40, le train serait passé...

  4. merci pour les conseils

    par contre mon disque dur était partitionné en 2 comme ceci:

    - une partition système de 10gb

    - une partition données du reste

    mais en formatant que la partie système après réinstallation de Windows la partie donnée n'était plus accessible.

    donc finalement j'ai formaté la totalité du disque.

    Fort possible que ce genre de problème provienne de droits restreints sur la partition de données...

    Lorsqu'on crée cette partition (surtout si on fait ça automatiquement ), les droits sont attribués à l'administrateur et aux utilisateurs désignés par le système installé. Si une autre personne veut si connecter, il faut lui donner des droits (comme pour le partage fichier réseau). Hors, en cas de reformatage du système, les droits de la partition ne sont pas modifiés (ils sont inscrits dans la partition, dans le dossier Systeme volume information), il est donc parfois nécessaire de recréer des droits d'accès complets à cette partition avec le nouveau système, cela se fait via l'onglet sécurité dans les propriétés de la partition. Seul l'administrateur peut le faire !

    Le mieux est de coller un nouvel utilisateur nommé tout le monde et de lui donner tous les droits sur la partition...

    Enfin, dernière chose, lors du partitionnement du disque à l'installation (sur un disque vierge, ou un disque qu'on va réinstaller complêtement), on supprime tout ce qui existe, on crée une partition système et uniquement celle là, on formate, on installe merdoz, et une fois que c'est terminé on utilise l'outil disques des outils d'administrateur pour créer là ou les partitions supplémentaires désirées, le mieux étant de ne créer que des partitions principales (pas de partition étendue avec lecteur logique) sachant qu'il peut y en avoir 4 par disque. Cela sera beaucoup plus stable.

    @Jackv : effectivement, on peut mettre ce qu'on veut comme système sur le 2ème disque dur, en fait ma machine de boulot a 3 disques durs système indépendant, 2XP et un W2000pro, sur lesquels je boote au démarrage via la touche F11 lors du Bios. J'ai un Linux en LiveCD, pour le cas où, mais rien ne vaut quand même un système windows pour en débloquer un autre...

    Et pour finir un autre truc intéressant, ophcrack-livecd, pour les administrateurs, il s'agit d'un CD Live de Linux, très limité, donc le seul but est de retrouver les mots de passe du système... Cela peut être utile aussi dans la trousse d'urgence...

  5. Bonjour

    Ce genre de problème est généralement difficilement récupérable, c'est un plantage complet de la base de registre (le NTuser)... donc RIP pour le système...

    Il existe toutefois certains utilitaires à posséder absolument !!!

    Parmi eux, citons Norton Ghost, Hiren's CD Boot, ou encore une distribution LiveCD d'un Linux qui permettra de booter et d'accéder au disque dur pour en récupérer les données (pour ma part j'utilise une Knoppix LiveCD). Il existe aussi des LiveCd XP. Voyez ici http://www.livecdlist.com/

    Et surtout, sur un disque dur, créer plusieurs partitions ! La partition système, quelque soit le système, n'a pas à dépasser 60 Go, le reste du disque sera partitionné pour recevoir les données, après l'installation de windows, via les outils d'administration.

    Enfin, précaution élémentaire, lorsque l'ordi est fonctionnel, créer un point de restauration (et un ghost, si on a norton), et déplacer le fichier "Mes documents" ailleurs que sur la partition C: ! Suffit de faire un clic droit dessus, propriétés, et d'indiquer le chemin choisi... En plus cette solution a pour avantage de supprimer certains problèmes de droits avec les controleursncf de vista et seven (la protection en écriture ne concerne que le disque C:)...

    Enfin, pour ceux qui peuvent, un petit disque dur de 10Go peut toujours être utile pour installer un système SOS (avec un petit XP dessus). Il faudra installer le système dessus après avoir déconnecter les autres disques dur de l'ordi, pour éviter les multiboots, mais ensuite en cas de plantage, il suffit de brancher ce disque et de booter dessus pour pouvoir accéder au disque récalcitrant...

    Je fais ça sur mon ordi principal depuis 10 ans et malgré un tas de reformatage je n'ai jamais perdu une seule donnée personnelle (y compris mes profils), et depuis je fais ça sur tous les ordi de mes clients.

    Pour le reste, quand un disque dur est mort, il n'y a pas grand chose à faire, à part l'envoyer à un labo spécialisé qui tentera la récupération de donnée en remplaçant la carte contrôleur, voire même en démontant les plateaux... Ça coûte cher, c'est pas garanti...

    Denis

  6. Kikou,

    Lors d'un passage à Luxembourg l'hiver dernier, j'ai lu sur une plaquette publicitaire que les CFL se servaient de ces voitures corail pour faire des trains de neige Luxo <-> Suisse. Je suis retourné au Luxembourg la semaine dernière, les voitures corail étaient sagement garées, je ne pense pas que les CFL s'en servent pour du trafic régulier.

    Sinon à Metz une bonne dizaine de voitures corail (rénovées TER lorraine) hibernent paisiblement, ça fait un peu gâchis...

    Merci pour vos réponses.

    Les corails CFL circulent régulièrement dans les compos des EC entre Luxembourg et Bâle en renforcement fin de semaine je crois, j'en ai vu une fin juin sur le Vauban...

    Quand aux Corails TER Lorraine, les 2 coupons que la région avaient acquis ne sont plus utilisés du tout. D'après l'état du matériel roulant du premier semestre, ces voitures ne sont même plus à l'inventaire de Metz... Dommage, c'était quand même plus confortable de faire Nancy-Longwy en Corail que dans un segment RIO Modernisé, ou en Z2 surchargée...

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