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Le Web des Cheminots

Bandaa Bono

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Tout ce qui a été posté par Bandaa Bono

  1. Je suis sur le cul ! Non pas qu'ils soient cons, ça on le savait, mais du contre temps sidérant de leur campagne de "motivation" interne. Alors que l'on va supprimer au minimum 10% des effectifs, que la crise impacte le trafic, que l'on parle de chômage partiel, les clowns de la com sortent cette connerie sidérante. Oui tous en compétition pour gagner un caddie d'une valeur de 150€ ! AaahhhHHH l'extase ! Une seule chose à faire pour les agents : boycott !!! Pour les OS une contre campagne s'impose.
  2. Un petit complément : http://contreinfo.info/article.php3?id_article=2689
  3. J'ai hésité à te répondre hier soir : premier ou second degré ton intervention ? A la relecture je me suis dis "premier degré" mais p'tet que j"me gourre j'va attendre voère. je ne suis pas déçu les autres intervenant on aussi jugé que ton intervention est du "premier degré ras des pâquerettes" Oui, nous ne somme qu'un ramassis de fanéants qui adorent gambader dans les rues en perdant de l'argent pour le plaisir ! Ceci dit, il est évident que ce préavis ne vise qu'à couvrir tous ceux qui au boulot ce jours là souhaiteraient participer aux manifestations. D'ailleurs tu constatera qu'il est carré ce préavis et non reconductible, contrairement à nos habitudes et préférences, ce qui démontre si besoin en était qu'il n'est là que pour couvrir les manifestations et non pas comme point de départ du grand soir ( ce qu'on peut regretter, mais bon de toute façon sur ce sujet c'est la population qui décide et pas les OS ). Que tu ne partage pas le fait de faire grève et de manifester soit : mais pourquoi tant de haine sous-jacente ? Rien ne t'empêche d'aller travailler voire même de te proposer pour remplacer des grévistes au cas ou tu serait en repos. Allez va "travailler plus pour gagner plus" comme tout bon robot lobotomisé par la société de consommation.
  4. Malgré tout cela je participerai à la troisième manifestation nationale de l'année. Je ne veux donner l'occasion au grand patronat et au gouvernement, la possibilité d'une mobilisation inférieure qui leur permettrait de ne rien faire. Même si je suis convaincu qu'il faudra à un moment ou à un autre passer à la vitesse supérieure pour obtenir quelque chose. En attendant je vous joint le préavis SUD Rail pour le premier Mai, puisque nous serons à priori la seule organisation syndicale à en déposer un nationalement. La CGT ayant décliné l'offre et les autres n'ayant pas répondu à la sollicitation d'un préavis commun. Pr_avis_de_gr_ve_01_mai.pdf
  5. Texte publié dans le grand soir qui colle bien aussi à la réalité du moment ----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Ces luttes... à bout de souffle ! Soyons honnêtes avec nous-mêmes : nous ne savons plus quoi inventer comme lutte pour nous faire entendre, pour obtenir satisfaction, pour préserver nos acquis sociaux, … Toute la panoplie des actions que nous ont légués nos prédécesseurs, et que certains conservent pieusement, apparaît comme totalement obsolète, même celles qui pourraient apparaître comme les plus radicales et qui sont devenus des « lieux communs ». De la manifestation classique, jusqu’à la « retraite, de nuit, aux flambeaux », en passant par la « ronde des obstinés », les pique niques dans les supermarchés, les « cercles de silences », les grèves de la faim, les séquestrations de cadres et de PDG, sans parler des occupations d’usines et d’Universités,… nous finissons d’épuiser notre imagination en vaines trouvailles,… pour rien. UN CONSTAT DIFFICILE A ADMETTRE Quand SARKOSY DE NAGY BOCSA, avec tout le mépris, la démagogie et la morgue qui le caractérisent déclare il y a quelques semaines : « Les grèves en France, on ne les remarque même plus », malgré tout ce que l’on peut penser du personnage, il exprime d’une certaine manière la réalité des luttes actuelles. Il nous dit :« De vos grèves, de vos manifestations, de vos pétitions,… je n’en ai rien à foutre »… Et c’est vrai qu’il n’en a rien à foutre… La preuve, c’est que toutes ces manifestations de mécontentements se succèdent,… et rien ne change, le Gouvernement continue comme si de rien n’était. Ces manifestations n’ont plus aucun impact sur le pouvoir. Le doute commence à s’insinuer dans les esprits : et si la méthode que nous employons depuis des décennies, n’était plus efficace, un peu comme un vieux couteau, qui en son temps était tranchant, mais qui aujourd’hui ne coupe plus rien ! Si le capital a su s’adapter remarquablement bien pour se valoriser, d’abord au sein de l’état-nation, puis ensuite dans sa phase de mondialisation, les salariés, eux, ont bien peu innové dans leur manière de lutter contre lui pour défendre leurs acquis. Face à notre faiblesse, à notre impuissance, le gouvernement ne se contente pas de passer outre à notre agitation stérile, au contraire, il passe à l’offensive. Contre les manifestations de jeunes, les occupations de locaux, d’usine il n’hésite pas à envoyer ses escouades de brutes mercenaires, en uniforme et en civils, ses provocateurs et ses mouchards qui vont jusqu’à mutiler, bien sûr en toute impunité, des jeunes, des manifestants. En effet, il fut une époque pas aussi éloignée ou l’évacuation d’une usine, d’une université était presque impensable, ou tout au moins créait l’évènement… aujourd’hui c’est quasiment tout les jours que cela se produit… sans qu’il y ai une riposte collective à ces agressions. Les organisations syndicales et politiques font comme si de rien n’était et continuent leurs pratiques dérisoires,… qui organisent des manifestations « traîne savates »,… qui préparent des élections, qui parlent de la « prochaine manif » comme une sortie de week end. On n’ose pas aujourd’hui s’avouer un tel fiasco, une telle capitulation. On se donne l’apparence du contestataire dans des manifestations carnavalesques où le jeu consiste à comparer le nombre de manifestants que l’on estime à ceux de la police…. Puis à se précipiter devant le poste de télé pour voir la « gueule que l’on avait ».... Et l’on attend la prochaine « manif »…. Dérisoire ! UNE PENSEE FIGEE An nom d’une fidélité qui tient plus de l’obstination et de la sclérose que de l’analyse politique, les organisations représentatives des salariés n’ont pas changé d’un iota leur mode d’action et se retrouvent aujourd’hui en décalage mortel avec leur adversaire. Non seulement elles ne permettent pas de satisfaire les revendications, mais plus grave, elles sont incapables de préserver les acquis. A toute manifestation inutile, succède une autre manifestation toujours aussi inutile,… ceci nous conduisant lentement aux vacances, durant lesquelles on prévoit une « rentrée sociale chaude »( ?), c’est-à-dire de nouvelles manifestations,… et le cycle reprend, toujours aussi stérile et inefficace. Et l’on s’étonne que les autorités puissent ironiser sur nos formes de luttes ? Mais ce sont elles qui ont raison,… nous sommes ridicules ! Mais quel bureaucrate politique et/ou syndical osera le reconnaître, l’avouer en public ? Aucun évidemment… Chacun gère sa petite chapelle et ses privilèges dans le « pré carré contestataire » que lui octroi le système en place. Quand on leur pose la question, ces mêmes organisations se contentent de répondre : « Et alors, que faut-il faire d’autre ? »,… comme si ce n’était pas à elles de faire le constat de leur propre impuissance et de trouver des solutions… d’autant plus que les permanents de ces mêmes organisations sont rémunérés, et souvent grassement, pour cela. Et quand on évoque d’autres types d’action, d’autres stratégies,… elles les déclarent de facto ridicules, irresponsables et utopiques ( ?). Une telle attitude en dit long sur ce qu’elles sont et le rôle qu’elles entendent jouer. En fait elles n’ont aucune intention de changer, la situation leur convient parfaitement : gérer ce système en encadrant le mécontentement Les grands « moralistes » de la « lutte des classes » et autres « gardien de la foi prolétarienne » nous expliquent doctement qu’« il faut faire confiance aux organisations syndicales et partis politiques, « instruments de la démocratie »,… et que l’on n’a pas autre chose pour lutter ». Le problème c’est qu’en fait, on ne lutte plus, on subit, on ne fait que proteste dans un désert. La pensée politique critique est aujourd’hui sclérosée, elle ne fonde sa légitimité que sur des organisations complètement bureaucratisées et des stratégies d’un autre temps. Quand on en est réduit, comme c’est le cas aujourd’hui, à faire de la figuration sous prétexte que l’on n’a pas autre chose à faire, que l’on ne sait pas quoi faire d’autre, on a du souci à se faire, non seulement pour nos acquis, mais aussi pour l’avenir. Le discours radical, dont certains raffolent, dont les éclats se perdent finalement dans les urnes, après avoir fait écho dans les rues et les médias, nous conduisent tout droit à la démission politique. POUR UN SIECLE DES LUMIERES POLITIQUE Le renouveau de la pensée politique ne passera pas par les vieilles structures politiquement vermoulues, même si elles sont de création récente (des noms ?). Ce renouveau politique ne passera pas non plus par le ressassement des vieilles litanies pseudo révolutionnaires qui ont toutes fait faillite au siècle dernier, même si elles sont portées par des icônes vénérées et médiatiquement « porteuses » (des noms ?). Cette renaissance idéologique ne germera pas dans les vieux grimoires jaunis d’une pensée politique qui, même si elle nous a fait rêver, nous conduit au désastre et à l’impuissance politique. Ce n’est pas non plus en affrontant les bandes armées du pouvoir, véritable dispositif de guerre civile, bien mieux équipées que nous, que nous sortirons de l’impasse dans laquelle nous sommes. Le vieux monde ne s’effondrera pas tout seul, et même s’il s’effondrait que mettrions nous à la place ? Le renouveau de la pensée politique ne peut que se fonder sur des pratiques nouvelles et alternatives qui créditent le fait qu’un « autre monde est possible », qui n’est pour l’instant qu’un mot d’ordre vide de sens. Réinvestir l’économique et le social doit constituer l’axe essentiel de notre engagement. Jusqu’à quand allons nous être des marionnettes entre les mains des politiciens et bonzes syndicaux ? Jusqu’à quand allons nous croire naïvement que le moindre soubresaut social est le début du « grand changement » ? Jusqu’à quand allons nous nous laisser ballotter d’élections « bidons » en manifestations « traîne savate » ? Jusqu’à quand allons nous accepter d’être passifs et de ne pas prendre notre avenir en main ? La réponse, que je n’ai évidemment pas, à ces questions marquera à n’en pas douter le début du changement auquel le plus grand nombre aspire. Patrick MIGNARD
  6. c'est un bon gros 8 pages cartonrouge Europe8p_.pdf
  7. putain arrête de faire de l'ironie sur une chose dont tous le monde c'est qu'elle est totalement dépassé ! N'oublie les grand préceptes de nos grand économistes : "les bénéfices d'aujourd'hui font les investissements de demain pour assurer l'emploi d'après demain".... ... comment ça on s'est foutu de notre gueule ? mais non ait "confiiaaaance" petit prolétaire ait "conffffiiaaaanssssse".
  8. Tu te gourre dans ceux là justement ça ne posera pas de problème non si j'en crois le tableau que tu as mis là : http://www.cheminots.net/forum/index.php?a...st&id=12841 Ca pose un problème pour FO à : Amiens Transverse Limoges Marseille Montpellier Paris Est Paris Rive Gauche et pour la CFTC à : Clientèles Transverse Lyon Metz Nancy Dans ces CE ils ont des élus mais pas 20% donc pas de place en bureau de CE et en commission si j'ai bien lu l'accord.
  9. Non le problème semble surtout être sur le seuil des 20% et d'un élu pour être au bureau et avoir droit à des représentants dans les commissions. Je ne comprend pas la raison du seuil des 20%, car dès qu'une OS à des élus même sans atteindre les 20% elle devrait pouvoir être représenté au bureau du CE concerné ! Bon maintenant cela toucherait quel CE ou FO ou la CFTC auraient un élu et moins de 20% des voix faut regarder cela. Pour le reste je ne voit rien qui change par rapport à l'ancien accord, principalement pour le mode d'attribution des sièges CHSCT.
  10. Oui je viens de voir cela. Si je comprend bien de toute façon ne peuvent signer ce type d'accord que les OS représentatives au niveau national. Mais rien n'empêchait d'inviter les non représentatives pour connaitre leurs revendications. A priori ce n'a pas été la position des OS autre que SUD je vous joint la partie du compte rendu de la réunion SUD consacré à ce problème : "En préambule, la CGT explique que la semaine passée les trois fédérations CGT, UNSA, CFDT se sont mises d’accord sur le fait que l’accord national serait réservé aux organisations syndicales représentatives nationalement à la SNCF ; la partie sur les CHSCT étant ouverte à CFTC et FO en régions, la partie CE leur étant ouverte là où elles recueillent au moins 20% des voix. La délégation SUD-Rail a fait part du mandat de notre Conseil Fédéral : rechercher un accord national CHSCT/CE/CCE au plus près de la proportionnelle, ouvert à toutes les organisations ayant des élu-e-s, sachant que nous signerions un texte reprenant les bases des accords précédents. Nous avons précisé qu’indépendamment des avis qu’on pouvait avoir sur la loi, il n’était pas juste de dire qu’elle « obligeait » à exclure des organisations d’un accord intersyndical, et que par ailleurs il eut été plus correct de commencer par une interfédérale ouverte à toutes les fédérations signataires des accords précédents, avant d’appliquer de nouvelles règles." Voila pour SUD, ne reste plus qu'à avoir les positions individuelles des trois autres OS.
  11. Voilà de quoi satisfaire tous les curieux que le mode de répartition des responsabilités Protocole_d__accord_CE.CCE.CHSCT_2009_1.pdf
  12. La motivation on s'en fout un peu, puisque c'est le patron qui juge si le gars est acceptable ou pas en notation complémentaire. j'ai rarement vu les motivations des agents prises en compte par la direction, et dans certains cas pas non plus par les OS, faut voir le nombre de blaireaux qui se valorisent au détriment des autres ou en se couchent comme des larbins. réclamer pour réclamer j'avais tendance à le conseiller et en plus de dire d'écrire à toute les OS pour être sur d'âtre défendu, car on ne sait jamais avant comment va se passer une commission. Des fois tu te retrouve avec tout un paquet de tricards et de veto qui plombe les propositions à l'ancienneté que tu aurait pu faire, du coup faut se rabattre sur les autres réclamations et si tu n'en n'a pas assez bien t'es obligé de reprendre dans ceux qui ont moins d'ancienneté. En supposant que tu ne présente que 10 réclamation jugés légitimes ( toutes OS présentes) pour 10 arrondi à donner et que le patron juge qu'il n'y a que 8 gars de notable et bien tu perd les 2 positions restantes ! C'est pour cela que l'on incite plutôt à réclamer large pour avoir de quoi faire et pas se retrouver avec des choix obligés incohérents avec les principes des OS. Exemple en maitrise c'est une commission régionale et l'attribution des arrondis se fait par niveau ( on ne peut pas globaliser ). j'ai vu un gars ayant eu une position l'année précédente en commission de rattrapage en avoir encore une l'année suivante alors qu'il était le dernier de la liste, car dans son niveau il n' y avait pas eu d'autres réclamation !!! plein de gars avaient jugés qu'étant placé après ceux qui légitimement pouvait prétendre à un position il n'avaient pas besoin de réclamer. Grave erreur parce que ceux qui étaient bien placé n'ont pas tous réclamés et ceux qui ont réclamés ont été jugé "non rattrapable" par la direction. Résultat tu prend ce qui reste et peu importe ou il se trouve et quand il a eu une position.
  13. Oui le statut dit approximativement : " au plus tard 5 jours avant la réunion de le commission, les délégués font parvenir au directeur les réclamations des cas qu'ils souhaitent examiner." ce qui exclu de fait pour l'attribution des arrondis ou positions autres ( HC, etc..) tous ceux qui n'ont pas réclamés et dans ceux qui auraient réclamés tous ceux dont les délégués n'auraient pas jugé utile d'examiner leur cas en ne transmettant pas leur réclamation. Il n'est pas explicitement interdit d'essayer de positionner un arrondi sur un gars qui n'a pas réclamé, mais dans ce cas c'est le directeur qui refuse car il n'a pas la fiche d'évaluation du gus, et celle-ci n'est établie que s'il y a réclamation, il ne validera jamais la position sans connaitre tout du gars concerné, pour ne pas faire de connerie et pour ne pas prendre à contre pied la hiérarchie intermédiaire.
  14. J'ai du mal à croire que les 4 OS soient d'accord sur ce que tu décrit. Tu as l'accord ? tu peux le mettre en ligne ?
  15. En fait en étudiant mieux l'affaire, je m'aperçoit que tu essaye de faire mousser le bazard pour faire croire à une injustice flagrante mais ce n'est pas nécessaire pour poser le problème : au début tu parle des 9,36 du tableaux puis tu dis qu'il n'y a que 4 prioritaire et aucun choix de fait c'est faux. les 9,36 se déclinent en 5 prioritaires 4 choix et à,36 d'arrondi c'est ce que l'on constate sur le tableau que tu fournis, il y a bien 5 prioritaires et 4 choix. ensuite tu parle de 12 arrondi or dans le tableau il y en a 19, le petit écart de 7 c'est une erreur dans le tableau exel ? un mélange avec les Hors Compte Fret qui ne sont eux que 2 ? ou autre chose ? ceci dis cela parait normal de n'avoir que 2 HC Fret dans le tableau des vieux c'est certainement pas eux qu'on va coller d'office au fret. Après les 6 listes d'attente c'est du plus que tu n'as que parce que justement on place les arrondis sur les retraitables. Mets les sur des jeunes et ils disparaissent. De toute façon ces positions sont obligatoirement positionnés dans le tableau des retraitables concernés. les 5 prioritaires et les 4 choix sont inamovibles, les 2 HC fret aussi sont inamovibles puisque attribuable uniquement à des gars qui auraient du être placé en prioritaire sans les restructuration. Donc ce que tu peut éventuellement contester l'attribution des 19 arrondi sur la position 19 mais rien de plus. et là évidement que l'information comme quoi les OS allaient essayer de privilégier les partants en retraite aurait du être diffusé, mais il aurait fallu pour cela que la stratégie soit défini et concerté auparavant. Or il est rare que les délégués s'entendent avant la réunion, c'est plus au court de la réunion qu'une stratégie de choix s'élabore entre les délégués au fur et à mesure du déroulement de celle-ci et en fonction de leur cahier revendicatif. Ce qui n'empêche pas des individus de se couvrir systématiquement par une réclamation au cas ou, tout comme rien n'empêche des délégués d'avoir des arrières pensée tactiques (clientélistes) et d'inviter des potes à se couvrir.
  16. Pas suffisant le PV de commission ne reprend pas : les noms de tous les cas évoqués les propositions des différentes OS il reprend juste le choix final du directeur et les annotations des délégués sur les raison pour lesquels ils signent ou ne signent pas les tableaux.
  17. Si ta réclamation à été transmise à la direction ton N+1 à du faire une fiche d'évaluation, mais comme tu l'avait aussi donné au directeur la fiche d'éval à du être faite par anticipation, même si finalement elle n'a pas servie. Demande lui tu saura ce qu'il a mis dedans. Maintenant étudie en détail l'ensemble des tableaux ( oui il faut avoir les listes entières, groupe 219 si je ne m'abuse) regarde ou tu est placé, ton ancienneté et compare aux autres pour voir si en se basant sur l'ancienneté ta réclamation est fondée ( tous tableaux confondus) Ensuite, demande au délégué à qui tu as réclamé s'il a transmis ta réclamation et ce qu'ils ont dis sur toi et compare. puis demande lui si tu as fait parti de ses propositions sur le total des arrondis, quel est la liste de noms qu'il a proposé et sur quelle base de choix. les réponses risquent d'être plus ou moins précises, car si comme je le pense tu as fait ta réclamation à l'UNSA, ton délégué doit gérer plein de contradictions : s'il fait du syndicalisme catégoriel clientéliste, il aura bien souvent plus de réclamation de la part de ses adhérents que de position à distribuer. Il lui faudra trouver donc le bon choix permettant à la fois de garder ses adhérents tout en préservant son électorat sans paraître totalement illogique, faute que quoi il perdra toute crédibilité. S'il fait du syndicalisme honnête et se sent avant tout représentant de tout les salariés, il doit choisir des critères de sélection acceptables par tous pour justifier ses choix. Moi je ne connais que l'ancienneté dans ce cas là. Pour finir, je déplore mais alors totalement que tu ne maitrise pas du tout (comme une majorité de cadre malheureusement) le statut et surtout tout ce qui à trait aux notations. Car en tant que notateur du premier degré, la méconnaissance du système entraine bien souvent des choix injustes à terme dans le déroulement de carrière des agents sous tes ordres. Exemple classique : promouvoir à la qualif C un agent placé à B2-10 au prétexte qu'il travaille bien ! résultat c'est un enterrement de première classe pour l'agent qui mettra entre 6 et 8 ans pour arriver en tête de liste pour l'accession au deuxième niveau. car nommé à C1-11 il est au taquet des positions, n'a aucune ancienneté sur la qualif et est donc classé en fin de tableau, il n'aura donc aucune promos pendant plusieurs longues années. La solution intelligente est de le choisir pour B2-11 pour l'amener au taquet de B2, ensuite comme il sera le plus souvent le plus ancien pour la qualif C le laisser passer un ou deux ans après dès que la GPE le permet. Il sera ainsi nommé à C2-12 et évitera la goulot d'étranglement du niveau. Voilà un exemple des effets pervers de la grille qu'il faut maitriser, tout comme les effets de vagues d'embauches sur les tableaux. Je m'arrête là car ce n'est pas le sujet.
  18. Personne ne parle d'excuse, ce sont des faits ; l'homme est imparfait et les dérapages existent pour autant je pense qu'ils sont mineurs et que si l'on accuse on doit aussi présenter des faits là a priori ce que l'on reproche c'est le manque de communication pour que tout le monde puisse réclamer. Je suppose qu'à PRG il y a chez les ADC les 3 principales OS en commission et que tu as bien lu tout ce qu'elles ont produit comme information sur le sujet ? et aucune des trois n'auraient signalé les quotas supplémentaires fret ? de même qu'aucune n'aurait fait des rappels sur les prescriptions réglementaires ? donc c'est normal il ne peuvent pas être repris en commission des preuves, donne des preuves. c'est tellement plus facile de quitter une OS plutôt que de lutter en interne contre les dérives existantes, cela permet de garder sa virginité sans avoir à mettre les mains dans le cambouis n'est ce pas ? Et pour quoi ne t'es tu pas proposé pour remplacer aux élections les candidats de ton OS plutôt que d'abandonner le navire, chevalier blanc ? Je ne crois pas au dérives de l'ensemble des délégués de commission provenant de plusieurs OS, pas plus qu'à un complot visant à écarter ceux qui ne sont pas syndiqués ou dans les petits papiers des délégués. Tout cela n'est que pur phantasme ! Non tu ne peux rien faire contre des délégués élus qui respectent le statut dans un premier temps mais dans un deuxième tu peux : faire une dénonciation publique avec preuves, car attention à la diffamation ne pas voter pour eux avec tes copains mécontent te présenter contre eux aux élections suivantes
  19. je ne sais pas pour les mécano, mais le tri est différent par notation pour les sédentaires : position : tri fait par ancienneté de la position puis ancienneté de la qualif puis par date de naissance niveau : tri fait par ancienneté de la qualif puis ancienneté de la position et date de naissance qualif : ancienneté de la qualif puis date de naissance de mémoire cela doit être quelque chose comme ça
  20. Bon, si tu part bourré de préjugés et si tu ne cherche pas à comprendre, le dialogue ne va pas être facile il n'y a pas à être d'accord ou pas d'accord c'est le statut et il s'applique ! on peut le juger imparfait et ouvrant la porte à des abus mais pour autant si les délégués et la direction le respectent aucune réclamation devant la justice ne pourra aboutir. Là nous sommes d'accord Je n'ai jamais dis cela, tu interprète ! 0 mon avis le seul cas ou le syndiqué peu avoir un avantage par rapport à un non syndiqués est en cas d'égalité d'ancienneté sur la position après l'application des critères "date et rang d'examen" là c'est sur qu'ils peuvent avoir une appréciation différente sur les critères de choix de la commission. Je ne sais pas si c'est une magouille, mais il évident que les délégués étant des hommes, donc imparfait, il peut y avoir parfois des dérapages Possible, mais ne pas oublier que les délégués ont aussi le droit à un déroulement donc à un moment ou à un autre on les voit nominé aux notations. Mais là encore je ne conteste pas la possibilité d'un dérapage, je ne juge pas je ne connais pas suffisamment la situation en détail pour me le permettre. Sur le tableau il n'est pas marqué ceux qui ont fait une réclamation de ceux qui n'en n'ont pas fait, comme il n'est pas marqué qui est délégué ou qui ne l'est pas. Personne ne parle de cela, ton tableau et ta présentation ne parlent pas de cela. Si tu as des preuves de tes allégations met en ligne les tracts des OS qui revendiquent la position 19 pour tout mécano quel que soit l'âge à laquelle il a commencé. Ensuite arrête de faire de l'anti-syndicalisme primaire en introduisant des éléments qui n'on rien à voir avec la problématique avancée. Ton argumentation gagnera en force quand elle perdra en haine. Quant à ton intégrité morale, je suis sur qu'elle aurait pu se marier tout à fait avec l'OS de ton choix si tu avait été prêt à faire les efforts que cela implique aussi en tant que temps personnel consacré au syndicalisme et à la défense des salariés. je ne peux pas te laisser dire que les délégués sont tous des profiteurs ! Tu montre là l'étendu de ton ignorance et de ton ressentiment pour ne pas dire de ta bêtise. Vrai, application du statut jugement purement personnel et j'espère totalement anecdotique si l'on prend en compte l'ensemble des notations de france et de navarre.
  21. Oui cela peut se faire c'est à l'appréciation des délégués, j'ai aussi repris des lettre dans ces cas là, très souvent des jeunes de trois ou quatre ans de boite qui ne connaissait pas encore bien les règles du jeu. Mais j'ai aussi refusé des lettre d'adhérents qui n'avaient écrits qu'au patrons les imbéciles !
  22. Dommage qu'il y ait eut dans certaines région un déficit d'information sur le sujet, mais il ne faut pas généraliser. je pense que dans la plupart des établissement les délégués font correctement et honnêtement leur travail. Les copains de l'ET font une liste de classement communiqué à chaque ADC avant l'établissement de celle du patron, puis ils donnent aussi à chacun la liste du patron avec tout ce qu'il y a récupérer. Et avec l'info sur l'obligation de réclamer aux délégués et après la commission il redonnent en plus à chacun les listes complète avec les repris en commission. Si tout le monde faisait comme cela, il n'y aurait pas de problème.
  23. FAUX ! les délégués peuvent refuser toute réclamations parvenues uniquement à la direction car ce sont eux "qui déposent les réclamations qu'ils souhaitent examiner lors de ladite réunion" Personnellement, quand j'étais délégués de commission j'avais tendance à refuser ces réclamations, puisque nous faisions une information conséquente et très explicative sur le sujet. Je considérait qu'un agent qui ne pensait que réclamer à la direction, n'avait pas besoin du soutien des délégués de commission pour son avancement, puisqu'il préférait le choix patronal aux choix des délégués.
  24. l'article 17 dis un truc comme cela: "5 jours avant la réunion les délégués de commission font parvenir au président les réclamations qu'ils souhaitent examiner". Le statut laisse donc le choix au délégués de faire un tri parmi les réclamations qu'ils reçoivent. Moi j'ai jamais vu cela dans les commissions ou j'ai siégé, mais même si cette disposition peux permettre et accentuer le clientélisme elle est aussi une protection contre l'arbitraire du patron. Un : on parle de réclamation, donc ceux qui n'en font pas... ben on ne peux pas en parler deux : la possibilité de tri, j'ai connu un cas sur un établissement ou le DET qui était incompétent en statut avait décidé d'attribuer lui même les arrondi et pour ça il vait déjà choisi les gars et leur avait envoyés un courrier leur disant qu'ils étaient choisis. Une fois que les délégués lui ont appris à lire le chapitre 6, il a voulu corriger son erreur en invitant les gars choisi à lui faire une lettre de réclamation, mais comme il avait pas lu le statut correctement les réclamations qui n'étaient arrivées qu'au seul DET ont été refusés par les délégués de commission. Seul un des gars choisi avait écrit aux OS. Sentant le coup foireux venir, les délégués se mettent par avance d'accord sur la méthode de choix et sur les noms des agents qu'ils désirent rattraper, et comme il n'y a pas eu de véto sur leur pré choix proposent unanimement la même liste de noms. l'enfoiré de patron prend la liste retire un nom et met en remplacement le seul de ceux qu'il avait choisi qui avait réclamé à une OS ( pas repris sur la liste commune, car pas d'ancienneté sur la position ). résultat une commission bafoué ! la seul arme que les délégués ont contre de tel pratiques est donc, s'ils sont quasiment sur que cela va se produire, est de faire une pré selection dans les réclamations qu'ils déposeront à la direction. C'est con mais c'est comme ça. bien évidement il faut que cela reste exceptionnel comme pratique.
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