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Le Web des Cheminots

Bandaa Bono

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Tout ce qui a été posté par Bandaa Bono

  1. Je vais compléter les explications que l'on t'a déjà donné : les Organisations syndicales ont le droit de faire une heure d'information syndicale ( HIS ) tous les 2 mois dans les établissements ( voir dans le sites d'un établissement ). Théoriquement les élus DP doivent se mettre d'accord avec la direction pour les dates, pratiquement c'est différent d'un établissement à un autre, des fois tout est programmé en début d'année avec les OS comme dans les divisions régionales, parfois les directions attendent juste qu'une OS en fasse la demande. Sur un même site c'est à la même heure pour toutes les OS et elle ne sont pas obligé de faire une HIS commune et peuvent avoir une salle par OS demandeuse. Une fois la date et l'heure du HIS demandé par une OS la direction détermine les personnels qui pourront y assister et ceux qui ne pourront pas pour raison de service. Si vous pouvez assister à la réunion libre à vous de le faire ou pas mais l'heure sera considéré comme prise. Si vous ne faite pas parti des personnels pouvant y assister, cette heure tombe dans le compteur AH de votre relevé mensuel. le cumul se fait tout au long de l'année. A la fin on fait les compte en fonction du nombre d'heure dans le compteur (le max étant 6h): de 1 à 2 h cela fait rien du tout de 3 à 4 h cela fait une demi journée 5h ça fait toujours une demi journée 6h ça fait une journée les AH doivent être pris avant le 31 décembre mais il arrive que le débord en janvier soit accepté par l'établissement quand ça l'arrange. Je fait de mémoire, j'ai peut être oublié un ou deux truc.
  2. Loin de moi l'idée de penser que seul ceux qui sont syndiqués réfléchissent je n'ai pas dis cela, ce serais totalement stupide. D'ailleurs je connais des adhérents qui réfléchissent peu et des non adhérents qui se posent beaucoup de questions. L'émancipation est à prendre dans un sens large, toujours aller au delà des apparences, toujours passer au delà de nos propres préjugés, toujours chercher à discerner le vrai du faux, l'intérêt particulier de l'intérêt collectif, les avantages et les limites propres à chaque solution qu'elles soient sociales ou économiques. Maintenant pour "les gamineries" comme tu dis, il ne pas rester justement aux apparences et chercher à comprendre pourquoi il y a des opinions différentes ( éco,nomiques sociales et politiques ) et donc des luttes de pouvoir et d'influences. Une fois les choses éclaircies dans ta tête il faut savoir comment toi tu agis, en entrant dans un syndicat pour faire évoluer les choses de l'intérieur, en restant à l'extérieur soit à attendre le changement, soit à l'initier. Mais alors il te faut inventer de nouveaux "outils de pouvoir" pour faire évoluer les choses selon ton entendement, trouver des amis pour agir avec toi, s'organiser pour être plus efficace, se donner des objectifs et des règles, etc, etc... Cela ressemble fort à un syndicat ou à un parti non ? L'on revient toujours aux mêmes problèmes, comment émanciper le plus grand nombre, sortir des logiques individualistes et trouver un système collectif qui fonctionnent en respectant l'individu et la nature tout en contraignant et contenant les effets néfaste de la nature animale humaine qui poussent à tout, sauf à être raisonnable et partageur. Si tu connais la solution donne la nous ça fait un bout de temps que les humanistes se casse la tête sur la problématique.
  3. Vrai en temps normal, mais en temps de crise cela devient beaucoup plus dur. Prenons pas exemple le conflit des retraite de 2007. Les OS défendent toutes les cheminots mais ont plus ou moins toutes des visions différentes de la "bonne solution" face à un gouvernement que l'on sait dogmatique et intransigeant. Donc chacune va mettre en place une stratégie en fonction de sa "bonne solution". Les stratégies de chacune viennent contrecarrer la stratégies propres de chaque OS, donc l'idée qu'elle se font de la "bonne solution". Il est donc normal qu'à la fin il reste quelques ressentiments surtout quand leur vision du syndicalisme n'est pas trop éloigné. Là je parle pour la CGT et SUD, parce que l'une est pour la défense des principes et l'affrontement systématique et que l'autre qui défend aussi des principes, refuse depuis pas mal de temps l'affrontement avec les gouvernements. Je ne dis pas qui a tort ou raison je dis qu'il est plus facile d'en vouloir à ceux qui nous sont proches qu'à ceux qui sont nos adversaires. Non je n'ai pas lu, sauf si tu parle du tract qui a provoqué la réponse de SUD que j'ai posté sur le site. Vrai dans l'absolu, faux sur la terrain. D'abord "faire savoir" est aussi important, voir plus, que "savoir faire". Du bon travail sans bonne communication c'est pisser dans une clarinette. Ensuite, tout le travail des équipes de terrain est jugé en fonction des positions prises par leur confédération. Tu fait ce que tu estime du bon boulot, ta conf ou ta fédé prend une position de merde sur un dossier juste avant une élection professionnelle, tu mange chaud immédiatement. De plus, les salariés ont la mémoire courte. Elle se limite en général aux six derniers mois, c'est la raison du Barnum syndical qui se lance dès la rentrée avant chaque élection : manif nationale, grève de 24h, rassemblement régionaux et mobilisation en établissement. Ca ne te rappelle rien tout cela ? Attention tu dérive camarade quand tu parle de "démocratie directe avec possibilité de révocation", et pourquoi pas "une délégation avec mandat impératif" pour compléter ? Tu vire libertaire voire "anarcho syndicaliste" c'est très mal vu au sein de ton organisation cela, mais je suis assez d'accord avec toi, à l'intérieur d'une organisation le pouvoir doit rester aux adhérents. Le seul moyen de contrôle ce sont les statuts qui doivent comprendrent tout les cas de figure et être absolument clair sur le rôle de chacun et la manière dont sont réparti les mandats. L'excuse est facile et justifie tout les renoncements, pourtant la charte d'amiens dit bien que le syndicaliste à une deuxième besogne celle de l'émancipation des salariés pour pouvoir faire aboutir son projet social. Il est vrai que face au rouleau compresseur de la pensée unique diffusé par les médias il n'est pas facile d'émanciper, mais refuser de le faire est une faute. Et prendre l'excuse du peu de mobilisation établi ou supposé pour refuser de mener les luttes en est une autre Certainement que cela contribue à donner une mauvaise image à ceux qui ne veulent pas réfléchir qui malheureusement sont souvent ceux qui font les avancés ou les reculs aux élections. Oui deux courants et huit organisations avec leurs particularités. La création d'un pôle réformiste sera toujours plus facile que celle d'un pôle révolutionnaire d'abord parce que le pôle réformiste ne propose pas de changer de société et d'économie mais juste d'arrondir les angles pour les salariés, ensuite parce que le pôle révolutionnaire à lui plusieurs visions de la société, différentes manière de concevoir la répartition des pouvoirs et les relations avec les parti politiques. Il conviendrait d'abord de se mettre d'accord la dessus et c'est pas gagné puisque la séparation entre le courant libertaire et le courant communiste date de la création de la CGT SR au moment ou la CGT U réintègre la CGT réformiste. Ensuite, si SUD SOLIDAIRE est relativement homogène l'on ne peut pas dire la même chose de la CGT et de FO. Si chez FO le courant révolutionnaire est majoritaire chez les cheminots il est minoritaire dans la Conf. Et à la CGT le courant réformiste semble avoir pris le pouvoir dans la Conf. Donc des clarifications interne sont indispensable avant de pouvoir penser à la fusion. L'on peu penser que l'écroulement du PCF va servir les futurs rapprochements entre les militants de ces trois OS qui se retrouveront dans un futur parti à la gauche du PS. Et puis pour finir, il y a encore un sacré boulot d'émancipation à faire avec les militants et adhérents car peu finalement cherchent à creuser les logiques sociales jusqu'au bout, à se remettre en cause en permanence, à chercher toujours à comprendre plus loin. La posture du "bon et des méchants" est majoritaire partout.
  4. faux, tu n'as pas "le droit" de prendre une fête en fin d'année tu as le droit à 10 journée fériés dans l'année. Mais rien n'oblige l'entreprise à te les donner le jour même. Ce sont les besoins de la production qui déterminent l'utilisation sur ces jours là. L'usage veux que le service essaye de donner au moins une fête à chaque agent, cela implique un effort de la part de tous. Les agents ayant leurs deux fêtes dans leur roulement doivent choisir celui qu'il veulent céder. A défaut l'entreprise peut décider unilatéralement qu'elle fête sera travaillée ou pas en application de la réglementation RH0077. Mais elle doit respecter un délai de prévenance de 10 jours. les jours fériés sont le 25 décembre et le 1er janvier. Mais comme les réveillons sont en général le 24 et le 31 à vous de vous organiser en fonction de vos besoins. Il faut des fois mieux abandonner le jours férié pour avoir son réveillon. Exemple prendre le 24 en congé et demander à travailler le 25 en soirée. Et comme certains t'on déjà répondu avoir des CDD pour remplacer les agents n'est pas chose faciles pour certains métiers et infaisables pour d'autres ( agents circulations ou ADC ). Le plus est qu'il ya souvent pas mal de posté figés lors de ces fêtes ce qui redonne de la souplesse.
  5. Je maintiens" la dérive réformiste" ! Pour moi une réforme c'est prendre l'existant et l'améliorer et si les conditions sociales et économiques ont changés, l'adaptation doit être au minimum de donner les mêmes droits et la mêmes protections pour toutes les personnes concernés auparavant. "Reformer" dans le sens actuel c'est s'adapter au condition imposées par la loi du marché. C'est pour moi tout le contraire de la civilisation et du progrès. Je suis réformiste dans le premier sens et anti réformiste dans le second. La CFDT ayant choisi la deuxième voie galvaude, avec l'aide du pouvoir économique, le terme. "Reformer" maintenant, c'est accepter des reculs sociaux pour conserver des parts de marché et l'emploi local qui va avec. Donc accepter la mise en conccurence des salariés et de leur droits. C'est refuser de voir que la porté universelle du progrès social ne passe pas par la sphère marchande. Le discrédit qu'ils ont donné au mot empêche maintenant les "vrais réformistes" de l'utiliser.
  6. Oui c'est vrai et c'est ce qui se passe actuellement, après avoir noyé les salariés dans le faux bonheur consumériste on chauffe la marmite avec les droits sociaux qui s'envolent en fumé. Mais comme toutes les grenouilles ne nagent pas dans le bouillon de la croissance/consommation et qu'elle essayent de sortir celles qui le veulent de la marmite, il y a une chance pour que toutes ne soient pas cuites. Elles l'ont et elles ne l'oublient pas ! mais toi tu oublie que la défense du salarié s'entend dans un contexte et que les OS si elles portent plus ou moins la même analyse du contexte existant y voient des solutions chacune un contexte économique et social différent. D'ou les différences d'objectif et de stratégies mise en place et donc au bout d'unité. Par exemple, doit on agir pour améliorer "le pouvoir d'achat" des salariés "ad vitae eternam", pour que ceux-ci par leur consommation continue à faire perdurer un système productiviste/croissantiste qui les exploite et les oppresse, et qui détruira notre biotope planétaire à terme, ou doit on améliorer "le pouvoir de vie" des salariés que l'on défend tout en luttant pour ne pas faire perdurer le système en le transformant. je suis clairement pour la deuxième solution, je conçoit l'ontérêt des salariés bien audelà de la sphère marchande. C'est toute la différence entre un syndicalisme porteur d'un projet social et celui qui ne fait que de la défense d'intérêt à court terme dans l'existant. Bien sur, qu'en première lecture ou en lecture rapide, cela laisse le sentiment qu'il n'y a que dénigrement et batailles de pouvoir. Mais si au non de l'unité supposé qui devrait exister entre "défenseurs des salariés" aucune OS ne peut exprimer une différence d'analyse et une divergence d'objectif et de stratégie cela reviendrait à imposer la pensée unique dans le syndicalisme. Le premier qui parle aurait raison et les autres seraient contraint au silence sous peine d'être stigmatisé comme initiateur de rupture. NON : il y a des différences à tout les niveaux entre les OS et chacune doit pouvoir librement les exprimer qu'elles qu'en soient les perceptions par les salariés et les conséquences qui en découlent. A chacun de faire l'effort lire tout le monde, de comprendre, de prendre position et d'agir. Il est vrai que les périodes électorales ne sont jamais des périodes consensuelles et unitaires. Les tensions grandissent à ces moments chaque OS cherchant à valoriser ses actions passées et à se démarquer des autres pour exister différemment de manière à recevoir un plus grand nombre de suffrage. On peu penser que c'est contre productif, mais ce n'est que la conséquence du système électoral démocratique pour la désignation des représentants. Il faut faire avec ou supprimer les élections. Note aussi que les rapport de pouvoir ( dominants/dominés ) sont inhérent à la nature humaine et qu'ils existent dans tout groupe et toute société humaine. Que la disparition des processus de contrôle imparfait que nous avons créer n'éliminera jamais les luttes pour le pouvoir de quelque nature qu'il soit. C'est vrai qu'il est toujours plus facile d'accuser les autres que de reconnaitre ses erreurs, surtout en public. Mais une structure qui se tromperait souvent et admettrait publiquement ses erreurs compromettrait largement sa survie. C'est donc impossible, la nature humaine encore une fois agira dans le sens des intérêts propres à la structure. Au personnes concernés par tous ces agissements de se mettre à réfléchir à analyser sur le fond et non juger sur l'apparence pour discerner le vrai du faux. Les manoeuvres électoralistes sont les conséquences de la démocratie. Souhaitons nous sa disparition ? Non, alors ne jugeons pas en première approche, prenons du recul et projetoons nous plus loin que l'instant présent. Il y a un adage qui dit "que nous avons les représentants que nous méritons", nos OS nous déplaisent, posons nous la question de notre investissement tant intellectuel que physique. Plus l'exigence d'analyse sera haute et forte de la part des salariés et plus les OS s'adapterons. Mais continuons a ne voir que le tiercé, le loto et le championnat de foot ou de F1 et nous aurons des OS qui ne communiquerons qu'au niveau " pains et jeux " comme tout "bon gouvernant". lesquelles en plus alors ?
  7. La réponse est simple : IL NE PEUT PAS et même un militant comme moi ne le peut. Et même si toutes les OS devait donner un topo des formations qu'elles donnent à leurs élus, un branque restera toujours un branque même avec une bonne formation. Pour pouvoir juger en toute connaissance de cause il te faudrait connaitre personnellement tout les éligibles de chaque liste, savoir s'ils ont la carrure pour le poste. Je précise aussi que les organisme de formation qui dépendent d'une OS ne donnent pas des formations qu'au membres de ces OS. Bien souvent ils sont ouverts à d'autres organisations ou à des particuliers ( il suffit de payer ), les militants SUD utilisent parfois le cabinet de formation Émergence de la CGT. Bref au final c'est toujours l'homme qui fait la différence. Sera t-il apte ou pas ? sera t-il suffisament fin pour arriver à trouver avec les autres juges la bonne solution au problème posé. Alors on vote pour l'OS dont on se sent le plus proche ou pour celle dont on connait un candidat que l'on juge apte. La communication des OS trouble effectivement le message, car le rapport entre le slogan et l'institution n'est pas évident. Exemple la CFTC : "tous unis, tous uniques", ou FO " pour la retraite", ou la CGT agis pour la santé, la retraite, etc.. Ce sont des messages ou revendications qui n'ont rien à voir avec le rôle des prud'hommes. Mais comme les OS se servent de cette seule et unique élection nationale, ou elle peuvent toutes être présente, comme test sur leur influence et pour mesurer les écarts entre elles, cela floute le message.
  8. C'est vrai on a encore beaucoup de n° de tel et d'adresses ! Mais plutôt crever que d'être obligé de retourner dans cette OS. Pas un des militants qui l'on quitté pour les raisons de dérives réformistes que l'on sait ne retournera travailler avec les rampants qui y restent et avec cette bureaucratie syndicale centriste qui y a pris le pouvoir.
  9. Non tout simplement grâce à une couverture plus étendue sur les listes présentées. Je crois qu'en 2002 il ne couvraient que 30% des listes, là ils ont couvert 75%. Donc l'effet mécanique est important.
  10. Je crois que tu as tout à fait raison la différence entre les OS pour les prud'hommes c'est la formation qu'ils vont donner à leurs élus. A ce titre je sais que les formations juridiques CFDT et CGT sont au point. Différentes dans l'approche mais efficace pour ceux qui veulent se donner la peine d'apprendre. Pour les autres OS je ne sais pas. Par contre Marc, je ne crois pas que la CGT soit si sélective dans le choix des candidats. Il existe des exceptions, du cooptage par des permanents de militants n'ayant pas du tout la carrure pour assurer la tâche. On va dire que j'espère que ce ne soit pas une pratique majoritaire.
  11. Pas du tout, je présente simplement deux point de vue totalement opposé. Dans le cas de l'OS de transformation sociale cela veux simplement dire qu'elle pense que la démocratie représentative avec la délégation de pouvoir qu'elle représente n'est pas une garantie totale de justice et d'équité pour les salariés et qu'elle se réserve le choix d'agir dans le champ politique pour faire avancer son projet de société à chaque fois que nécessaire. c'est un peu comme Winston Churchill qui disait un truc comme ça " la démocratie est le pire des systèmes politique..... à l'exclusion de tous les autres". Oui et non, il s'agit là non pas d'un fait, mais de stratégie. L'on vient de gagner une élection l'on cherche à rassembler le plus grand nombre sur ses bases. Tactique habituelle de l'OS dominante. Ensuite en cas de conflit, l'unité se fait bien souvent sur la base d'un intérêt commun à agir mais très rarement sur la base d'un objectif commun. Ou du moins si un objectif commun est affiché l'on sait qu'une partie des OS lâchera probablement en fonction des offres intermédiaires qui seront faites. Et c'est tout l'objectif du patronat ciblé de trouver les failles et le degré de refus de chaque OS ( donc son degré d'acceptation d'un compromis qui sauvegarde ses intérêts à lui ).
  12. Il faut quand même reconnaitre qu'il y a eu des évolutions de la conscience social et politique dans les nouvelles génération. Elles sont moins politisés et plus consuméristes. Quand la vie se fait plus facile que les familles ne tirent plus le diable par la queue pour simplement manger se loger et se vétir et qu'il y a beaucoup plus pour les loisirs, les enfants de ces familles perdent la conscience de classe nécessaire à toute implication forte dans les luttes sociales. L'on appelle cela individualisme, je dirais aussi hédonisme non réfléchi. Mais comme les conditions de vie vont se durcir et le superflu va disparaitre, l'apprentissage de l'utilité du collectif va se faire à la dure. c'est le principe de l'action réaction, il suffit d'attendre le dépassement du point d'acceptation par les salariés ensuite la réaction viendra d'elle même. En attendant c'est sur que l'on risque de morfler. Tu as et tu n'est malheureusement pas le seul une vision de l'unité assez naïve. Elle part du présupposé que les OS défendent les salariés et donc qu'elle devraient s'unir pour le faire, et donc si elle n'y arrivent pas c'est pour des histoires de lutte de pouvoir et d'intérêt particuliers de chaque structures. C'est un peu simple d'un côté nous avons tous les syndicalistes de terrain et tous les gentils salariés qui veulent l'unité, de l'autre toutes les méchantes directions d'OS qui refusent, aveugles qu'elles sont, pour défendre leur petit pré carré. la réalité est un peu plus complexe non ? Il y a bien sur les intérêts particulier aux structures et les intérêts particulier des permanents mais pas uniquement cela. Prenons par exemple un syndicat dit réformiste qui accepte systématiquement le cadre politique et social qui lui est imposé par la démocratie et qui n'oeuvre que dans ce cadre. Qu'a t-il à partager avec une OS dite de transformation sociale qui refuse d'oeuvrer le cadre politique et économique imposé par la démocratie et dont l'objectif final est la suppression du capitalisme ? Certainement des luttes de terrain dans les établissements à chaque fois que c'est utile car là l'analyse politique propre à chaque OS joue beaucoup moins, mais plus on élargit le champ d'action et plus le sujet du conflit concerne un grand nombre de salarié et plus les positionnement politiques propres à chaque OS sont prédominants. Ensuite tout est affaire de stratégie comment amener les autres sur son terrain et dans ses moyens d'actions tout en essayant de convaincre un maximum de salariés. L'unité absolu avancé par une bonne partie des salariés est aussi une excuse facile pour ne pas avoir à s'impliquer, à réfléchir et à prendre parti, et pour certains consuméristes forcenés à ne pas "perdre d'argent". L'on pourrait aussi analyser de tout un chacun, militants et salariés, sur leurs motivations quand ils agissent. Quel est la part de l'intérêt collectif bien compris et la part de l'intérêt particulier attendu ? La solution c'est la prise de conscience avancée de chacun par l'approfondissement des connaissances sur toutes les problématiques politiques et sociales. Puis mieux approfondir par l'échange et le débat. Mais cela implique un effort intellectuel que tous ne semblent pas prêt à faire. Le prêt à penser diffusé par les médias dominants et les préjugés sont tellement moins fatiguant et laissent tellement plus de temps pour se distraire et s'amuser.
  13. participation très faible, les salariés n'ont pas l'air de comprendre l'enjeu démocratique qu'il y a au bout revoltages
  14. l'accord cadre ne doit plus exister, il doit s'agir maintenant de l'accord mobilité qui est je crois de mémoire le RH 910. tu dois pouvoir le télécharger en pdf à partir de l'intranet en passant par syspre ( système de prescription ) t'as du bol je viens de le retrouver sur mon ord koiquesse RH0910.pdf
  15. Ca fait du bien de lire une position qui ne soit pas agressive Sur la problématique des Conf et du suivisme des permanents à la "ligne" je suis d'accord avec toi. C'est pourquoi j'ai été fortement étonné de votre adossement à la CFDT, je les connais un peu les gus de la CFDT et arnaud Morvan entre autres, j'ai fait quelques réunions avec lui. C'est pas un gars du tout catégoriel mais c'est un permanent depuis longtemps déjà et ils suivra les consignes de la Conf jamais on vous laissera menez des luttes catégorielles si elle doivent nuire à l'image CFDT. Il aurait été plus logique d'intégrer l'UNSA, mais je comprend qu'il y aurait eu là un problème avec l'encadrement ADC qui doit s'y trouver pour une bonne part et qui applique la politique de l'entreprise sans sourciller. Donc tu pense que les équipes ADC de la CGT, de FO ou de SUD elles s'écrasent si les "directions syndicales" commandent de la faire ? Je crois que tu te trompe partiellement. Il me parait difficile de croire qu'une section ADC stoppera tout si on lui en donne l'ordre, peut être à la CGT et encore pas partout, mais pas à FO ou l'UNAC est réputé très autonome par rapport à la fédé. Pas à SUD ou le pouvoir central n'existe pas et ou il ne viendrait pas à l'idée des autres sections ou des syndicats d'empêcher les ADC de se battre s'ils en ont envie. Alors c'est vrai les ADC de ses trois OS en mènent pas les mêmes combat que ceux de la FGAAC. Ce n'est pas par refus d'aller au charbon mais simplement parce que les analyses sur les évolutions de la société et les intérêts des ADC ne sont pas vu de la même manière. Et bien sur que la valeur d'une section de terrain dépent uniquement de la valeur de ses militants et du boulot de base qu'ils font. C'est pour cela que les ADC non encarté peuvent voter pour une équipe sans tenir compte de l'OS ou ils se trouvent et continuer à voter pour cette même équipe si elle change d'OS. mais pour revenir au sujet si l'on essaye de faire des propositions : tout le monde est bien évidement d'accord pour dire qu'il faut des ADC dans les IRP maintenant dans lesquelles et comment ? Je dirais des IRP spécifique en CSR, CPC, CRT, CFHSCT, Commission de discipline, commission de réforme, commission de roulement. des IRP mixte mais avec un siège réservé en CHSCT, comme pour les maitrises des IRP générales sans siège réservé en DP et CE mais des tableaux séparés en notations ( charge aux OS représentatives de mettre des ADC en éligible si elles le souhaitent ). Si l'on doit mettre un siège réservé ADC en DP, il faudra en mettre un pour chaque métier présent dans chaque activité. Donc a terme un siège pour un ASCT, un siège pour .... etc etc Difficile de croire que l'avenir va être aux sièges réservés avec tout les problèmes pour les tenir sur la durée d'un mandat. Plus de remplaçant ou remplacement par des plantes vertes pour ne pas refiler le siège à une autre OS.
  16. Bien évidement qu'un membre de chaque filière est mieux à même de parler d'un métiers qu'il pratique au quotidien, je ne dit pas le contraire. Mais ce n'est pas la bonne foi ou la conviction qui fait qu'une réclamation est satisfaite, mais l'argumentaire réglementaire mis en appui et la capacité à aller au delà et de construire un rapport de force aidant la direction à prendre conscience qu'elle à plus intérêt à négocier qu'à laisser filer. A contrario, si elle pense que le délégué (malgré toute sa conviction) et l'OS qu'il représente ne risque pas de lui nuire elle sera tenté de jouer la montre et de ne rien faire. Tout cela pour dire que ce ne sont pas des IRP spécifique qui résolvent les problèmes, mais les capacités de nuisance ou de mobilisations des OS du site concernés qui aident plus généralement à trouver des solutions. Maintenant, je comprend que tu défende un point de vue catégoriel étant membre d'une OS catégorielle. La logique voudrait que tu pousse le raisonnement jusqu'au bout et de proposer des IRP spécifiques par filière. Reste à définir comment tu entend la notion d'établissement dans la nouvelle architecture fret, les IRP spécifiques devrait-elle couvrir l'ensemble d el'établissement ou être réduite sur des périmètre moins vaste ( par exemple sur la DFA ce serait une DP ADC pour la moitié de la france ). Et puis nulle part dans le processus d'avoir des IRP mélangés il n'est inscrit que l'on doit exclure les militants ADC. Ils seront bien évidement présents en DP, CHSCT, CSR ADC, CRT roulant, etc.. Mais plus, par des sièges spécifiques réservés, mais par les OS qui les présenterons et désignerons.Je crois que vous pouvez compter sur la CGT et SUD pour mettre des ADC dans les IRP chaque fois que ce sera nécéssaire. Votre crainte ne serait-elle pas uniquement que la FGAAC/CFDT ne parviennent pas à avoir d'élus ou que les arbitrages interne, avec les militants anticatégoriels CFDT, pour les désignations ne soient trop difficiles ?
  17. Et sa continue ! les ADC patati, les ASCT patata et moi et moi et moi ..... Pour faire dans le HS comme tous le monde, je vais faire comme assouan et revendiquer pour mon métier ! Est ce que vous pensez aux pauvres AMVK et CSRMV, voire TTMV enfermés dans des postes pendant 8heures d'affilés, travaillant en horaires décalés parfois avec des collègues qu'ils n'aprécient pas, et quelquefois avec des installations de sécurité du 19ème siècle, des chiottes insalubres, des chauffages déficients, une charge mentale stressantes aux heures de pointes et des DPX qui guettent la moindre faute pour nous infliger remontrances et sanctions. Personne ne pouvant comprendre la particularité du métier d'AC je réclame en notre nom à tous des IRP et des notations spécifiques pour tous les AC afins qu'ils ne soient pas noyés aux milieu des "barons du rail", des "clampins des quais", des " serfs de la manoeuvre" et des "culs de plombs des bureaux" ! C'est un peu ridicule non ? Surtout que vous continuer allègrement à mélanger tout : Les DP c'est uniquement les réclamations sur l'application de la réglementation. La seule différenciation entre les cheminots c'est le titre I, II et III du RH0077 et ce n'est franchement pas la mer à boire de connaitre le tout pour un bon délégué. Les conditions de travail, les roulements, les lieux de travail, les hébergements c'est du CHSCT et là ce sont les OS qui ont obtenus des sièges qui désignent les membres. Il y a des fortes chances pour que des roulants y soient systématiquement présents, et quand bien même il n'y en aurait pas, qui y a t-il de si spécifique qu'un délégué sédentaire ne serait pas en capacité de comprendre ? pas besoin de faire des RHR pour comprendre qu'un ADC ou un ASCT à besoin de bien dormir dans un endroit adéquat sur un RJ réduit. Pour ce qui est des roulements, je vois mal la direction supprimer les commissions roulement des roulants. Si elle le faisait, rien n'interdirait au CHSCT de les récréer en créant une mission spécifique et en mandatant des experts. Bien sur que pour les notations chacun aura son tableau. Un tableau pour les ADC, un tableau pour les sédentaires ( voir plusieurs en fonction des métiers et du choix des activités ), un tableau pour les maitrise et un pour les cadres. Les notateurs du premier degré étant les DPX, RETou équivalent roulant il ya fort peu de chance qu'il mélangent tout le monde dans un même tableau car ce serait déjà la foire d'empoigne entre chaque métiers pour comparer ce qui est incomparable et attribuer l'avancement. Il est évident qu'il faut que les ADC gardent l'avancement basé sur date et rang d'examen et là aucune OS ne consteste ce fait. Pour toutes les autres autres problèmes, elles sont bien souvent du registre des "revendications". or les revendications c'est le boulot des délégués syndicaux pas des élus et donc là toutes OS pourra continuer à faire le travail spécifique qu'elles souhaitent sur les métiers qui le nécéssite en audience, voir en DCI si le processus est trop lent. Alors arrêter de voir le mal partout, la question n'est pas de savoir si chacun doit avoir ses IRP spécifique mais comment traiter en qualité les problèmes spécifiques à chaque métier. Le problème clairement identifié par Teje et moi même est la proximité des élus avec leurs mandants, de la difficulté de couvrir les surfaces géographiques conséquentes qui incombreont aux élus DP et aux représentants CHSCT. C'est là qu'il faut se battre, par exemple dans le fret, faire reconnaitre les Etablissement sur le périmètre de l'UE (unite d'exploitation) de manière à avoir des DP moins étendues et contrer la direction sur la réduction du nombre d'élus qui entraine une professionalisation nuisible à la proximité avec le terrain. Soyez constructif ! un débat n'a pas uniquement pour but d'opposer des visions différente d'un sujet mais de dégager des pistes de solutions aux problématiques soulevées. Alors proposez, au lieu de dénoncer en permanence ( pour certains, pas pour tous ) les positions des autres OS.
  18. faux, l'employeur à deux obligations : laisser les salariés voter sur le temps de travail sans mettre de limite, ce n'est pas à lui d'apprécier le temps utile pour voter. Et la deuxième ne pas diminuer sa rémunération en conséquence faute de quoi il commettra un acte répréhensible au niveau de la loi. Acte qui peut être punis d'un an d'emprisonnement et de 3750 € d'amende. De plus il ne peut imposer le vote par correspondance qui est une facilité offerte, rien de plus. Un salarié ayant le droit de voter par correspondance pour assurer le coup, puis de voter ensuite physiquement. Faites le savoir à vos amis.
  19. à la place de "SUD" ce serait bien de mettre "Solidaire" personne ne trouvera de bulletin SUD dans les bureaux de vote. en 2002 j'avais voté CFDT Et là je rentre de 4h de collage ou j'ai joué les Attila, pas de pitié pour la concurrence ! Et affichage sauvage massif. C'est marrant le collage mdrmdr
  20. Moi ce qui me fatigue c'est que quasiment personne ne répond à l'interrogation initiale, vous êtes quasiment tous hors sujet ! le sujet est je le rappelle : Faut-il garder des DP et des notations spécifiques aux ADC ? Quel sont les vantages et inconvénients d'avoir plusieurs métiers dans la même DP et en notation et comment les choses seront traité à l'avenir. les ADC sont-ils différents des autres cheminots pour avoir un traitement différent ? J'ai essayé de répondre complètement au sujet, j'aurais bien aimé lire des argumentaires détaillés prenant en compte toutes les problématiques sans mauvaise foi et aveuglement. mais non rien à faire ça vire toute suite chamaillage de cours d'école. Je désespère mdrmdr
  21. C'est tout à fait vrai, pour moi toute organisation glisse de la gauche vers la droite dans son positionnement, glissement qui s'accélère quand la bureaucratie syndicale prend le pas sur l'investissement personnel désintéressé des militants et quand la sauvegarde de la structure prend le pas sur les objectifs à atteindre. Ce n'est pas tout à fait vrai, si à l'origine la tendance révolutionnaire est dominante à la création de la CGT elle recule en influence jusqu'à son exclusion ( création de la CGT-U ). A ce moment la CGT devient réformiste et elle le reste jusqu'en 1945 ou là les communiste reprennent la majorité. Mais je crois qu'actuellement dans les actes la CGT à glisser dans le camp réformiste même si dans les textes et les postures ce n'est pas encore fait. Il n'y a plus de volonté d'aller à l'affrontement avec le capitalisme pour changer réellement la société et la condition des salariés, la critique est bien là, mais d'année en années la volonté de mener des luttes dures disparait, sans doute que cela va de pair avec le déclin du PCF ce qui du coup fait perdre les objectifs intermédiaire de la contestation sociales et les perspectives de changements initiés par des politiques duquel on se sent proche.
  22. Je ne vais donner que mon avis de non tractionnaire et d'ex délégué DP d'EEX. Premièrement je crois qu'il existait des DP et notation par métiers uniquement parce que les établissement étaient organisés justement par métiers ( à l'exception des EEX mais j'y reviens après ). Il est aussi fort probable que la conscience métier et la capacité de lutte très forte chez les ADC soit à l'origine de notations particulières ( date et rang d'examen si je ne m'abuse ). Donc la perte des établissement par métiers pour glisser vers ceux par activité modifie la donne et fait perdre à tous les particularités qui proviennent d'organisations anciennes, de pratiques quotidiennes et de négociations au fil du temps. Les nouvelles organisations vont à mon sens être moins efficace que les anciennes, non parce qu'elles seront faites par activités, mais parce que les périmètres couverts deviennent de plus en plus grand. Il y aura pour les délégués un éloignement du terrain qui ne sera pas facile à compenser. Quasiment tous les établissement sauf les EEX sont de niveau régional ou vont l'être bientôt et je ne parle pas du Fret ou l'établissement fret atlantique couvre la moitié de la france. Les DP ne sont pas des CE et normalement l'on y traite que "les réclamations individuelles ou collectives relatives à l'application de la réglementation". Donc si les délégués sont bien formés et pointu en réglementation il ne devrait pas y avoir de problèmes. Mais chacun sait qu'en DP on traite tout un tas de petites revendications et que l'on cherche tout un tas d'informations annexes que le CER ne peut pas traiter. Si à l'avenir l'on continue ainsi sur de grand établissement alors oui il y a grand risque de foutoir. A mon sens, il faudra se recentrer sur le rôle spécifique de chaque IRP et ne bien poser les questions que dans les bonnes instances. Pour les revendications, il ne faudra les traiter qu'en audience ou DCI pour alléger les ordres du jour de chaque instance. Il est vrai que l'envers du décord c'est la professionalisation à terme des délégués avec la multiplication des réunions et des tournées de terrain. Je ne pense pas que ce soit un problème majeur d'avoir à traiter en DP des questions, de toutes natures, relatives à différents métiers. C'est une pratique courante dans les EEX ou les métiers commerciaux et circulations se cotoient depuis toujours. Non le problème ce sera bien l'étendu géographique et le nombre de délégué en réunion. Car au delà d'un certains nombre l'écoute et la discipline est moins bonne et les dérapages ( qui font trainer les réunions et expédier à la va vite certaines questions en fin de journée ) plus nombreux. pour la spécificité des notations, non il n'y aura pas de risque de prendre une position pour un ADC pour la donner à un sédentaire car il ne seront pas dans les mêmes tableaux. Pas la peine d'essayer d'attiser la conflictualité entre les différentes catégories de cheminots. la tendance semble aller dans ce sens là puisque les grades Fret (ACM fret par exemple) vont certainement être sorti des tableaux ou il cotoyaient les ACM voy les CSRMV et les CBOR pour être regroupé dans un tableau national (?) ou multi régional Fret (?). D'ailleurs en 2009 il me semble que les CBOR vont avoir leur propre tableau, et je suis sur que dès que les EEX seront éclatés les ACM et CSRMV seront séparés. Donc je ne crois pas que les ADC vont avoir à craindre d'être mélangé parmis les autres cheminots de leurs établissements. Maintenant, si des sièges ne sont pas réservés au collège ADC en DP et bien il suffira juste d'initier les délégués sédentaires élus aux subtilités du titre I et aux particularité des notations ADC. Personnelement si cela devait m'arriver d'avoir à défendre des ADC tout en étant sédentaire je ne ferais aucune différence de traitement, c'est une question de déontologie de l'élu. Ce que je vois à travers la revendication FGAAC / CFDT c'est la peur que malgré l'adossement si l'on ne réserve pas des postes aux collège ADC ils n'atteignent pas la masse critique pour avoir des élus dans des établissements ou les ADC ne représenteront plus qu'une fraction du personnel. Et donc pour les mécanos FGAAC être obligé de faire confiance à leur délégué sédentaire CFDT ( quand il existera ) ou pire aux délégués ADC CGT ou SUD, syndicats qui eux auront dans la plupart des cas suffisament d'élus pour partager leurs sièges entre ADC et sédentaires. Pour finir, une petite note sur ce tract FGAAC "ultra catégoriel" qui passe mal, pour ne pas dire très mal, auprès des militants CFDT ayant encore quelques convictions ( anti catégorielles bien sûr ), pour eux il va faloir clarifier les choses en congrès. Ils ont beaucoup de mal à avaler la couleuvre même en considérant que l'alliance est utile pour sauver les meubles aux élections.
  23. Franchement ils font bien ce qu'ils veulent et en plus c'est leur droit d'être candidat si cela leur chante et s'ils trouvent une OS pour les héberger. Si on peut émettre une réserve c'est que bien souvent ils sont plus dans un rôle de patrons que de salariés et qu'à ce titre il seraient mieux à candidater dans le collège employeur que dans le collège salarié. Ce serait dommage que des journalistes, pigistes ou techniciens qu'ils virent se retrouvent avec eux comme juges en cas de conflit porté devant les prud'hommes !
  24. Parce que malheureusement il est plus facile de faire la guerre à ceux qui veulent lutter qu'à la direction SNCF qui fait régresser notre réglementation. r_action_tract_fallacieux.pdf
  25. hé bien oui, nulle part il n'y a engagement écrit de ne pas utiliser le décret à l'avenir. Donc il n'y a aucune raison que Pépy et Nadal ne l'utilisent pas dès janvier. On ne doit jamais faire confiance à la direction sans engagement écrit.
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