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Le Web des Cheminots

Bandaa Bono

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Tout ce qui a été posté par Bandaa Bono

  1. Un bon exemple de gars et de filles qui ne veulent perdre leur boulot, qui n'ont pas envie de se retrouver au chômage ! Contre la stratégie mortifère, pour la lutte des places ! Défendons l'emploi : soutenons les ! Trêve de plaisanterie communiste, le gars gayssot ce ne serait y pas le même qui avait promis d'abroger RFF s'il devenait ministre des transport ? Un grand spécialiste de la langue fourchue on dirait.
  2. Le principe général est que le délégué pour l'exercice de ses missions ne doit pas perdre de rémunération et ne doit pas être pénalisé son le déroulement de sa carrière. On trouve cela dans le code du travail. La déclinaison à la SNCF est qu'un agent en roulement doit toucher les primes qu'il aurait du faire s'il avait travaillé ( pas les allocations ), s'il est en réserve ou fac il y a une prime moyenne qui est appliqué (soit du roulement soit du grade ). On doit trouver un tableau des primes moyennes par grade dans une annexe du RH131 la 6 je crois. Pour le déroulement de carrière c'est le même topo : déroulement moyen ( bien sur ya des critères à remplir pour en bénéficier ) Ya quatre ou 5 RH qui parlent de ça. Maintenant, sur le principe je ne vois pas ou est le problème ? il me parait normal qu'un agent qui se dévoue pour être représentant du personnel ou délégué n'y soit pas de sa poche ? non ?
  3. J'ai jamais fait de réserve, malgré le fait que mon grade de cabot chef dans un régiment du génie train ( cela ne s'invente pas ) et mon examen de sergent ( jamais nommé, des problèmes avec l'autorité ) m'obligeait théoriquement à être réserviste plus longtemps que le simple clampin. Mais comme Dom, une fois finis le cirque, je n'ai jamais fait suivre mes évolutions d'adresses pas plus que je n'ai reçu quoi que ce soit comme affectation de réserve. Aucun regret, l'armée rend con le soldat comme le gradé, le premier par son asservissement volontaire à une autorité illégitime et le second par l'abus d'utilisation de l'autorité que lui confère le système.
  4. ARTICLE DU NOUVEL OBSERVATEUR DU 26 NOVEMBRE 2009 Thibault, le réformiste Le leader de la CGT sera réélu, début décembre, pour un dernier mandat Paradoxalement, il a installé une relation de confiance avec l'Elysée de Nicolas Sarkozy. Il a aussi profondément changé la culture de la première centrale syndicale française Sarkozy, au moins, il a des c... Il défend l'industrie française !» Cri du coeur d'un parlementaire sarkozyste pur sucre ? Pas du tout ! Cet éloge émane d'un très proche de... Bernard Thibault, le leader de la CGT, qui, le 7 décembre à Nantes, va ouvrir le 49e Congrès de la centrale syndicale. Thibault va bien sûr être réélu pour trois ans à la tête du premier syndicat français. Mais ce devrait être son dernier mandat : il compte ensuite «faire monter» Frédéric Imbrecht, le leader de la Fédération de l'Energie. Ca tombe bien : ce serait Imbrecht qui - en 2004 - aurait donné à un Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Economie, le «goût» de la CGT, au moment de l'ouverture du capitald'EDF... Hé oui. Il semblerait que l'arrivée de Sarkozy à l'Elysée ait installé une version moderne des «gaullo-coco», le mythique attelage gaullistes- communistes d'après la Seconde Guerre mondiale. Bernard Thibault, le héros des grèves des transports de 1995, qui a 50 ans aujourd'hui, ne nie pas le réchauffement : «Pour Sarko, tous les sujets passent par des relations personnelles. Mais il y a longtemps que j'ai épuisé mes capacités d'influencer ses décisions !» Pour Raymond Soubie, le conseiller social du chef de l'Etat, «ils ont, certes, tous les deux un penchant pour l'industrie. Mais au plus le président tient tout simplement compte du principe de réalité qui fut sous-estimé dans le passé : la CGT est la première organisation syndicale française. L'équilibre est rétabli». Si François Mitterrand n'avait pas de syndicaliste préféré, de fait, le chouchou de Jacques Chirac, c'était Marc Blondel, à l'époque secrétaire général de FO. Blondel, la bonne chère, les bonnes bières. Et le préféré de son Premier ministre Jean-Pierre Raffarin ? François Chérèque, le numéro un de la CFDT, le réformiste. Longtemps après la chute du mur de Berlin, ces deux hommes politiques de droite continuaient à se méfier de la CGT, historiquement trop proche des communistes. Les signes de cette entente paradoxale abondent. Souvenez-vous de la grève des cheminots, à l'automne 2007. Le président Sarkozy décide de réformer les régimes spéciaux de retraite de la SNCF, de la RATP et des électriciens-gaziers. Il veut, en 2012, faire passer de 40 à 41 le nombre d'années de cotisation. La grève éclate à la mi-octobre. Prévue pour 24 heures, elle dure. Le secrétaire général de la CGT ne sait comment arrêter ses troupes. Didier Le Reste, un «dur», responsable de la Fédération CGT des Cheminots, est embêté : il a peur de la concurrence de SUD-Rail. Thibault se rend à l'Elysée, où Sarkozy lui répète qu'il ne cédera pas. Thibault lui dit en substance : «Donnez- moi quatre jours, je vous promets la reprise du travail.» Son entourage doute, mais Sarkozy croit à cet engagement. Thibault propose alors un deal à Xavier Bertrand, ministre du Travail : si les négociations ont lieu entreprise par entreprise, en présence d'un représentant de l'Etat, le mouvement cessera. Marché conclu. Et, après quelques hoquets... le travail reprend effectivement. Le numéro un de la CGT vient d'entrer définitivement dans le clan des réformistes ! Recherche de compromis Autre épisode : à la rentrée 2008, Nicolas Sarkozy reçoit à l'Elysée l'ensemble des syndicats. Il serre longuement la main de Bernard Thibault, lui demande s'il a passé de bonnes vacances. Mais il passe devant François Chérèque comme s'il ne l'avait pas vu. Sarkozy n'a pas du tout apprécié le livre que le leader de la CFDT vient de publier (1). Dans cet ouvrage, Chérèque révèle que le président de la République lui a proposé une amnistie, quelques semaines après le scandale de l'UIMM, Il faudra toute l'habileté de Raymonde Soubie pour ramener son patron à de meilleures intentions. Plus récemment, le choix d'Henri Proglio, le président de Veolia, pour remplacer Pierre Gadonneix à la tête d'EDF s'est fait avec l'appui de Bernard Thibault. La CGT émettait des critiques sur les acquisitions internationales de l'électricien. · Cette propension à réformer la centrale, à chercher des compromis sur les grands sujets, faisait bien partie du mandat de Bernard Thibault quand son prédécesseur Louis Viannet lui passe le relais, en 1999. Mais la stratégie n'allait pas de soi pour cet homme au parcours étonnant. Enfant, le jeune Bernard ne lit pas les journaux. Son père est bûcheron à la Ville de Paris, sa mère élève ses trois enfants. Le week-end, il bricole son Solex. A 16 ans, il entre dans un centre d'apprentissage de la SNCF. Pas rebelle pour un sou. Ce n'est qu'en 1977 qu'il s'encarte à la CGT : un vieux syndicaliste est harcelé par un petit chef, ce qu'il ne supporte pas. Moins de vingt ans plus tard, il portera pendant trois semaines la grève lancée par les cheminots (sauf les cédétistes) contre la... réforme des régimes spéciaux de retraite voulue par Alain Juppé. C'est la grève historique de décembre 1995 qui finit par faire reculer le Premier ministre. · Ce pragmatisme est davantage dans les gènes de l'autre grande centrale. «Thibault fait ce que la CFDT a décidé avant lui, et il s'y tient. Et je pense qu'il s'y tiendra, estime Marcel Grignard, secrétaire national de la CFDT. Le problème, c'est l'évolution nécessaire des structures de la CGT. Et ça, je ne sais pas comment il s'y prendra.» Bernard Thibault, lui, est serein. «Aujourd'hui, affirme-t-il, nous sommes dans le vrai. Nous n'avons plus de crise identitaire.» Pourtant, la contestation interne a été bruyante ces derniers temps. Il y a eu Xavier Mathieu, responsable cégétiste de Continental, qui - déçu du faible soutien de la centrale - a traité son secrétaire général de «racaille»... Et aussi Jean-Pierre Delannoy responsable de la CGT Métallurgie du Nord-Pas-de-Calais, opposant de toujours à la ligne réformistes, qui, pour la première fois, se présente à Nantes contre Thibault. · Pas de quoi affoler le numéro un. «Le syndicalisme à la «Conti» n'est pas le nôtre, explique le secrétaire général. Dans une négociation, notre premier objectif n'est pas d'obtenir la prime de départ la plus importante.» Il reste cependant beaucoup à faire, concède Thibault : «Nous n'avons toujours pas atteint le million d'adhérents E nous faut conquérir les jeunes, leur parler vrai» Autre objectif majeur : favoriser l'unité d'action pour parvenir au «syndicalisme rassemblé». Depuis quelque temps, on voit souvent Thibault et Chérèque bras dessus, bras dessous. Finies les fâcheries de 2003, quand le numéro un de la CFDT signait seul l'accord sur les retraites de François Fillon, alors ministre du Travail. Les retrouvailles ont été scellées en août 2008, avec l'accord sur la représentativité des organisations syndicales. Le congrès de Nantes doit, enfin, s'attaquer à la question des structures de la CGT. Le nombre des dirigeants va être considérablement réduit. Ce qui signera le départ de piliers historiques comme Jean-Christophe Le Duigou, le monsieur «retraites», et Maryse Dumas, la madame «emploi». Thibault installe la relève avant de passer la main. Longtemps Force ouvrière et son secrétaire général André Bergeron ont été les interlocuteurs privilégiés des présidents de la République comme de Gaulle, Pompidou ou Giscard d'Estaing. Le chouchou de Jacques Chirac, c'était Marc Blondel, le patron de FO, avant qu'il ne lui préfère Nicole Notât à la suite des grèves de 1995. Martine Gilson Le Nouvel Observateur
  5. Comme le dis Dom il faut regarder le rlt dans la globalité, la suite logique après les nuits dans un rlt 3X8 c'est les soirées et c'est justement sur le RP après les nuits que tu récupère les heures manquantes des 2 RP réduits précédents ( entre les soirées et les matinées et entre les matinées et la prise de nuit ). Donc si le mardi tu fait une soirée il faut calculer la valeur du RP après les nuits (60h+manquant 1er Rp+manquant 2eme Rp), pour savoir à partir de quelle heure tu ne peux plus travailler le samedi (on prend comme point de départ l'heure d'embauche du mardi et on va à rebours). Ensuite dans le temps de la journée qu'il reste savoir si on peux caser une journée de service. De toute façon le repos journalier après la nuit sera de toute façon compté sur le jeudi et supérieur à 12h ce qui additionné des 24h du férié fait que le férié est bon. De fait tu peux théoriquement débuter ta journée du samedi à 0h00. Je dois avouer que j'ai un trou au sujet des "repos fériés" je ne sais plus s'il sont comme les repos supplémentaires ( RU ou RQ ) et les Congés assimilé à des journées de travail et donc entrant en tant que tel dans le calcul de la GPT ( grande période de travail). Si oui pas de problème ta GPT est de trois, ce qui constitue la GPT minimum ( hormis le fait qu'elle peut descendre à 2 pour accorder un RP le dimanche sur demande de l'agent, mais là pas besoin et s'ils ajoutent un RP le samedi alors là ce ne sera pas possible sans le délai de prévenance de 10 j puisque ce sera une modification du tableau de rlt ). Par contre si le RF ne compte pas comme journée de travail ce n'est pas bon puisqu'il casse ta GPT de 3 en deux GPT de 1 ce qui est totalement interdit. Bref faut vérifier cela quand même ou il y a un gentil membre qui va nous donner la réponse sur ce point précis. A priori : matinée sur, journée possible, soirée difficile sans ton accord puisque ce n'est qu'une modification du tableau de service et non pas du tableau de rlt ( suite des périodes travaillées et des périodes de travail ) qui oblige lui à un délai de prévenance de 10 jours. Cependant l'on peux considérer que le rlt est là pour permettre aux agents de disposer librement de leur temps libre ( décision de la CNM) et que donc la programation de ces modifications doit s'effectuer dans le même cadre que la commande prévisionnelle des agents de réserve soit à partir du 20 du mois courant pour le le mois suivant. Oui oui si la valeur du temps utilisable sur la journée du samedi est inférieure à la valeur d'une journée de service existante que tu puisse assurer ou que la limite de fin de service ne puisse permettre de programmer cette journée. Dans le cas d'une mise à disposition, la valeur de la journée ne devra pas être inférieure à la valeur de la journée du régime d'un agent de réserve soit 7h45. Si cela ne rentre pas dans ce cadre là aussi on peut mettre un NU. voir ma réponse à la question 1. Les modifications du tableau de service sont encadrées, elle ne peuvent dépasser 5 jours consécutivement et une suite de modification inférieures mais revenant constamment est assimilé à un détournement de l'esprit de la règle et est donc interdit cela à été précisé par une décision de la CNM. Après le cas général pour les modification de rlt supérieur à 5 j c'est l'obligation de présenter ces modification à un CHSCT avant la mise en application. Je pense n'avoir rien oublié revoltages
  6. Bandaa Bono

    Procès AZF:

    Faudra avoir l'avis de jean pierre levaray, militant CGT libertaire, dans le prochain CQFD. C'est un salarié de la grande paroisse de rouen qui écrit dans ce mensuel ou il y fait un billet chaque mois " en direct de l'usine". C'est aussi l'auteur d'un très bon petit bouquin : putain d'usine allez voir là : http://cequilfautdetruire.org/ vous devriez y trouver ses billets d'humeur dont un au moins à parlé de la perception qu'avait les salariés de toulouse de cette affaire. Mon avis perso : les entreprises les plus puissantes ont les moyens de se payer de bons défenseurs et d'entretenir un réseau d'influence. Et la justice la dedans ? C'est un truc pour les dominés ça pas pour ceux qui dominent.
  7. la mesure d'audience de "la mise à mort du travail" l'intelligence n'est pas au pouvoir dans la tête des téléspectateurs http://teleobs.nouvelobs.com/rubriques/les...il-sur-france-3
  8. Je savais que le sujet avait déjà été traité, puisque j'avais fait une explication sur le sujet c'est ici : http://www.cheminots.net/forum/index.php?s...7info+syndicale Ce serait bien de ne pas oublier la fonction "rechercher" pour des sujets classiques qui reviennent cycliquement :)
  9. quitte à compiler tous ce qui se fait fait sur la souffrance au travail : http://www.agoravox.fr/actualites/actu-en-...e-telecom-63284 C'est peut être son reportage qui est rediffusé demain ?
  10. l'article du chercheur dont l'article est tiré http://www.journaldumauss.net/spip.php?article553 L'article est excellent on y retrouve des techniques déjà appliquées à la SNCF, il ne manque que les actionnaires pour exercer la pression. tous le monde doit s'approprier ces éléments pour résister collectivement
  11. Ca en parle aussi ici : http://bellaciao.org/fr/spip.php?article93778 http://bellaciao.org/fr/spip.php?article93777
  12. Je met l'article du monde pour la lecture parallèle :
  13. L'opposition interne s'exprime sur le site Le Grand Soir :
  14. 100% d'accord et sur les analyses globales nous n'avons pas de différences fondamentales, oui il faut du nouveau et ce n'est pas du PS qu'il viendra ni des vieux du PG, du PCF ou NPA. Il faut lancer des nouvelles conceptions du monde, voire de la démocratie et des nouvelles générations de militants pour les porter. Mais actuellement ce qui nous occupe ce sont les élections régionales, dans le système économique et électoral existant. Or quand on se présente à des élections, c'est à priori pour prendre le pouvoir ou au minimum exercer les responsabilités consécutives au vote. On peut considérer que la "farce électorale" n'est pas le moyen de transformer la société mais dans ce cas là on ne se présente pas, comme les anars. A partir du moment ou l'on sollicite les suffrages des citoyens l'on accepte de fait les règles du jeu de la politique politicienne, on ne peux pas à la fois être dedans et dehors ( surtout que l'on en refusera pas les financements découlant des votes exprimés ). Alors oui le vote des régionales ne changera pas la face du monde, mais il y a une occasion unique de diminuer la domination du PS sur la gauche, de rééquilibrer en fonction des intérêts du petit peuple, de le pousser à revoir ses manières de voir et de faire et de renforcer son aile gauche ( courant filoche D&S, encore un ex LCR héhé yen a partout ). Europe écologie va de toute façon faire son trou ( même si Dany nous fait gerber, il cartonne ). La question est devons nous par la division du bloc de la gauche radicale finalement moins peser dans la recomposition de la gauche et ainsi favoriser le maintien du leadership de la gauche qui glisse au centre et à droite ? C'est pas difficile à comprendre quand même ! Et présenter un bloc unis au premier tour n'implique pas l'obligation de mettre des candidats éligibles dans les liste d'unions du second tour. Si le NPA ne veux pas des places, il y aura bien des candidats du PCF ou autre pour les remplacer. Ce qui compte c'est de mettre le plus possible le PS en minorité ! Redonner l'espoir sur de nouvelles bases est possible, et sans se compromettre dans les exécutifs régionaux pour ceux que cela gène, de toute façon la transformation sociale ne se fera pas du jour au lendemain. Mais il est impératif de relancer l'espoir pour qu'elle puisse exister.
  15. OUAIS... moi ce que je vois c'est que c'est une position politique, c'est respectable mais cela ne fait pas avancer le schmilblick ! Perso je pense que toutes les distinctions subtiles idéologiques, politicienne et programatiques qui entretiennent la division vont à contrario du besoin des gens qui soufrent. Ils ont besoin que l'on reconstruise l'espoir, avoir une perspective d'avenir pour pouvoir résister au quotidien et se lancer dans les luttes sociales. On ne lutte pas pour changer le monde si l'on ne perçoit pas la possibilité d'un monde différent. Le rôle des philosophes est de défricher l'avenir et celui des politiques de le mettre en musique. Si à la gauche de la gauche chacun joue sa partition, la cacophonie qui en résultera ne fera qu'alimenter la résignation et l'abstention. Aux prochaines élections, il y a une réelle chance de modifier le rapport de force à gauche, de mettre fin à la domination d'un PS qui n'a plus de ligne directrice. Europe écologie va prendre une partie de l'électorat du PS. Un front de gauche comprenant le PCF, le PG, le NPA, la FASE, les alternatifs, les CU, etc.. ( j'oublie LO qui continuera comme d'hab son chemin solitaire sans espoir ) peux atteindre les 15%. La démarche unitaire et l'envie d'avoir une alternative à un PS en pleine déliquescence rassemblera bien au delà de l'électorat traditionnel de l'extrême gauche. C'est une occasion qu'il ne faut pas rater que beaucoup attendent, ce serait une honte pour les couches populaires qu'elle veulent représenter et défendre. Après le premier tour, si des différences idéologiques font que certains ne veulent pas être élu, on leur en voudra pas, il n'auront qu'à laisser la place à ceux qui voudront prendre en charge l'exécutif, mais qu'il ne nous privent pas d'un premier tour rassemblé générateur d'espoir ! Nous en avons tous tant besoin !
  16. Hé oui la rancune rend un tantinet aveugle, surtout que si les 4 n'obtiennent pas de résultat on se demande bien comment les 3 autres pourraient faire mieux avec moins d'audience, moins d'adhérents, moins de militants et un projet qui reste encore à définir. Projet qui devra faire la fusion de la carpe et du lapin.
  17. sur le jugement rendu l'avis de Bernard Aubin, qui confond toujours pour la SNCF ( voir l'histoire des 20% au début de ce fil ) http://aubin.blogs.nouvelobs.com/archive/2...l.html#comments Et la CFDT réagit :
  18. La dernière question est intéressante, car si la présentation de listes communes FO/CFTC/CGC arrivait a se finaliser et si ces listes permettaient de passer la barre fatidique des 10% et que ce soit FO qui soit représentative. Quel serait les choix fait et par qui lorsqu'il y aurait des accords d'entreprise à signer ou dénoncer ? Car pour connaitre les militants et adhérents de quelques secteurs FO ceux ci sont quand même plus proche des positions CGT et SUD que de celles de la CFDT, CFTC et CGC. Si cette option arrivait finalement à s'imposer ce serait un double renoncement pour les adhérents réformistes CFTC, le premier parce qu'ils renonceraient en échanges de moyens pour fonctionner à leur représentativité syndicale et le second idéologique ensuite car il y aurait fort peu de chance pour que leur options syndicales soient retenues. FO ne pouvant se permettre d'aller en permanence contre une grosse partie de ses adhérents pour satisfaire les adhérents CFTC. Cette problématique c'est la quadrature du cercle ! l'impossibilité de la résoudre va sans doute conduire dès maintenant FO à connaitre quelques soubresaut, a fortiori si une opposition interne à la main mise du POI sur FO Cheminot pointe.
  19. Bonjour Mr Rémi Aufrère bienvenu parmi nous dommage que vous avez posté dans ce fil, le plus complet qui traite des effets pervers de la loi sur la représentativité est celui là : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=19346 votre avis y a toute sa place à la suite de vos autres article publié dans miroir social ou sur votre blog, tous comme ceux de Mr Aubin d'ailleurs qui ont été rerouté sur ce site. J'essaye d'y compiler toutes les informations trouvées sur le net et par l'intermédiaire de mon réseau syndical pour faire le point en permanence de l'évolution du monde syndical cheminot. Je vais donc copier coller votre post dans cet autre fil pour garder la continuité du sujet.
  20. Tant que vous serez attaché vous aurez XP XP, la position de rémunération évoluera tous les ans : 06, puis 07 et ensuite régularisé à B 2-08. C'est bien le parcours protégé qui fait cela.
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