VSG

Pour que ça déraille sur un appareil de voie, il faudrait que lorsque l’engin moteur se met en mouvement, la cale anti-dérive glisse devant l’essieu, que la cale se coince dans la pointe de cœur, je n’en ai jamais entendu parler. L’essieu devrait plutôt monter sur la cale, comme ça se passait avec les cales en bois emmanchées. En plus, il doit y avoir au moins 2 cales sous les roues, mais je pense que la cale prise à revers doit tomber. Quelqu’un a-t-il été témoin d’un déraillement à cause d’une cale oubliée ? Par contre, les déraillements sur cœurs d’appareils de voie se produisaient fréquemment avec les sabots d’enrayage oubliés dans le corps d’un train (oubli d’un enrayeur et loupé à la RAT). Ça déraillait même avant d’arriver à l’appareil de voie, parce que souvent après les garages francs, les rails n’étaient pas ébavurés par l’équipement et le champignon du rail étant écrasé, le sabot d’enrayage se coinçait dessus et la roue du wagon montait sur le sabot et retombait à côté si la voie était en courbe, comme souvent aux croisements, sinon plusieurs essieux passaient par-dessus et on l’entendait parce que ça faisait un sacré boucan. Sans compter sur les voies de service les engins de manœuvre ou de ligne qui tapaient dans un sabot d’enrayage oublié sur la voie, et ce sabot se trouvait souvent coincé entre le chasse-pierre et la roue.

Source : http://www.yabiladi....menus-sans.html Une information transmise selon la technique de la « novlangue » (définition de la novlangue : C'est une simplification lexicale et syntaxique de la langue destinée à rendre impossible l’expression des idées subversives et à éviter toute formulation de critique (et même la seule « idée » de critique) de l’État. (Voir Wiki) Je rajouterais et de la critique de la bien-pensance. Lyon instaure les menus sans viande dans les cantines A Lyon, les enfants soumis à un «régime alimentaire particulier» pourront à nouveau déjeuner dans les cantines scolaires. Un accord a été trouvé entre des représentants des parents d’élèves, des syndicats de professionnels des cantines, des associations des droits de l’homme, la mairie et des représentants des différentes religions, rapporte SaphirNews. Avec ce procédé, on agrandit la norme universelle pour prendre en compte la diversité. C’est une intégration des différences dans la norme commune et, au final, cet agrandissement profite à tous. (Dounia Bouzar) «Aujourd’hui, tous peuvent être ensemble, chacun choisit son menu et ils sont ensemble. C’est ça l’école de la République, c’est ça l’école du rassemblement», a déclaré le Maire PS de Lyon, Gérard Colomb à LCP. […]

Oui, je crois. Dans le temps jadis, ils étaient forts pour les motifs : (PR = poste de régulation)

Pascal Perri (suite) Une exception au « yield management » : la veille du départ, un train à moitié vide est considéré comme un train à moitié perdu et alors on peut trouver des prix bas au tout dernier moment. Le chemin de fer : un marché monopolistique contrôlé par une entreprise androgyne, mi-service public, mi-entreprise du secteur concurrentiel, est à terme un marché à la hausse pour le consommateur.

« C’est l’application du « yield management » qui vient des USA et auquel la SNCF s’est convertie, dont la règle est « les premiers arrivés sont servis moins cher ». Puis, plus les jours passent, plus les tarifs augmentent jusqu’à arriver aux derniers jours avant le départ à un prix maximum : la SNCF considère alors le client comme captif parce que le client qui réserve la veille du départ exprime un besoin exprès de mobilité. La SNCF tirera parti de la situation. Le « yield » est censé organiser la rencontre de l’offre et de la demande autour du prix ». J’ai tiré ça d’un livre intéressant (malgré tout), au titre outrancier « SNCF un scandale français » de Pascal Perri aux éditions Eyrolles.

« A Villeneuve-Saint-Georges, dans le Val-de-Marne, la mairie va dépenser 560.000 Euros pour construire une passerelle accessible aux personnes handicapées, mais elle ne leur permettra toujours pas de traverser les voies pour se rendre à la gare. En effet une seconde passerelle au-dessus des voies SNCF n’est, elle, toujours pas accessible. Il sera donc possible de traverser la Nationale 6, mais les personnes en fauteuil roulant ne pourront pas poursuivre leur chemin vers la gare de Villeneuve-Triage par le second ouvrage, non pourvu d’ascenseurs. Côté Nationale, la passerelle de la Mairie, flambant neuve sera totalement aux normes. Du côté de la gare, on refuse de modifier la passerelle existante. Alors que Réseau Ferré de France (RFR) ne souhaite pas s’exprimer sur le sujet, la SNCF indique à nos confrères du Parisien que « Villeneuve-Triage ne fait pas partie du schéma directeur d’accessibilité adopté par le STIF (Syndicat des transports d’Ile-de-France) en juillet 2009…Un énorme chantier qui prévoit des travaux dans plus de 250 stations sur le réseau francilien. » Pour les dirigeants de la SNCF, c’est à RFF, propriétaire de la passerelle de réaliser les travaux. De simples aménagements qui pourraient bien aujourd’hui remettre en cause l’utilité d’un chantier de plus d’un demi-million d’euros. » Un conseiller municipal d'opposition Modem m'a dit que le coût final irait vers le million d'euros. Manifestement, la municipalité a engagé des travaux sans aucune concertation avec la SNCF, on voit qu'il y a de l'argent en France. image 1 : arrivé avec l'ascenseur à ce niveau, l'handicapé en fauteuil roulant se retrouvera devant ces escaliers à monter (objet du litige), et à les descendre côté Villeneuve Triage.

Merci pour les explications. Une question : le compresseur/RP/CP de la 5300 menée n’alimente donc que les servitudes ? Lorsque nous avions à faire des relais de machine voyageurs en 6 minutes (si ce n’est pas 5, je ne m’en souviens plus), nous fermions simultanément les 2 robinets d’arrêt de la CG entre la loc et la rame arrivante, ce qui fait la pression de la CG était à 5 bars moins la dépression du coup de frein pour l’arrêt, et lorsque la machine de reprise se mettait en tête, l’équilibre de la CG était obtenu rapidement. On gagnait peut-être une minute, mais c’était toujours ça de pris. C’était à Reims à la fin des années 70 et il n’y avait pas moyen de tricher si ça pinaillait, car le régulateur voyait le train partir depuis un couloir du bâtiment de la direction régionale (qui se trouve presque au niveau de la tête des quais côté Paris). De plus, l’essai de raccordement n’existait pas encore, c’était un continuité obligatoire. 1 minute de retard et il fallait s’expliquer en long et en large. Heureusement, à cette époque on avait des motifs de retard de secours comme : chargement de X sacs postaux par la Poste, manutention de X chariots de bagages dans le Dq par la manutention, affluence voyageurs… ça n’était pas contrôlé.

Souvenirs : la porte de la section équipement de Villeneuve-Saint-Georges (je n'étais pas gréviste). En 2011, ce grand bâtiment est quasiment vide.

J’ai revu mon opinion là dessus lorsque j’ai entendu sur Europe 1, je crois, une auditrice musulmane donner son point de vue sur le port du voile. Elle a dit qu’elle était une musulmane croyante et pieuse, qu’elle souhaitait porter le voile, car c’était sa foi et son intimité, mais que son mari musulman progressiste le lui interdisait. Alors en bonne épouse, elle obéissait à son mari. J’ai noté le mot intimité, je crois que c’est très important pour les femmes musulmanes.

Il y a quand même le rapport des RG qui a été balancé sur internet par les mêmes fonctionnaires de police qui sentaient que cette affaire allait être enterrée au vu des puissants soutiens de la famille Coupat. On pourrait dire que le rapport des RG sur les Coupat, que l’on pouvait télécharger sur internet, était un faux, un « fake » dans le langage internet, mais la première avocate de Julien Coupat a dénoncé publiquement la divulgation du rapport sur internet et a demandé une enquête. Ce sont des faits indéniables. Çe n’est pas la première fois que des fonctionnaires (TRACFIN, par exemple) balancent des dossiers à la presse ou carrément sur internet : les parties de poker et « l’oseille « de Juju Dray. rapport anti terroriste tarnac tgv.pdf

Je reconnais que j’ai voulu imiter la manière des journalistes qui forcent le trait. J’avoue aussi que je n’ai pas une bonne opinion de Julien Coupat : il n’a jamais travaillé, mais il est déjà propriétaire d’une maison, aime bien voyager, roule en Mercedes… d’après ce qui est rapporté par la presse.

3 ans parce que la famille Coupat bénéficie d’un réseau international de soutien, dont Dany Cohn-Bendit. Les avocats jouent sur la procédure, pas sur le fond. Pas de problèmes puisque la famille Coupat (qui travaillent dans l’industrie pharmaceutique à haute plus value capitalistique) a du répondant. L’affaire DSK ou celle de Bettencourt est instructive sur les relations entre la justice et l’argent

Sur le sujet de la Shoah, des "bienveillantes", je recommande le travail sérieux (tout est « sourcé ») d’Alain Lipietz sur le procès engagé par son père contre la SNCF pour les mauvais traitements qu’il aurait subis lors de sa déportation dans les trains de la SNCF. Je trouve qu’il y a vraiment matière à réflexion, car en tant que cheminot, même si on n’a pas vécu l’époque, on se sent impliqué, pris a partie, parce qu’on peut s’imaginer en situation. De plus, on apprend beaucoup de choses sur les arcanes du droit pénal, civil, administratif… tout le contraire d’un roman. Comme Dam 74 (post du 30 mai), je voudrais aussi citer Alain Finkielkraut au sujet de la repentance, du mémoriel (Lipietz ne veut pas de repentance, il veut 100 000 euros de dédommagement !) : « Oui, un patriotisme temporel se substitue au patriotisme géographique, un ethnocentrisme, un chauvinisme du présent. Puisque précisément, regarder l'histoire, c'est regarder les crimes, et ces crimes nous ne les commettons plus, nous les condamnons ! Nous, au moins, nous sommes supérieurs à ces ancêtres qui ont pratiqué l'esclavage, puis la colonisation, qui ensuite ont collaboré… Nous au moins, nous défendons les droits de l'homme et donc, nous sommes renvoyés à nous-mêmes, et en quelque sorte incarcérés dans notre propre supériorité, et c'est ça aussi le destin, le lot d'une France post-nationale et d'une France post-culturelle, c'est une France enfermée dans le chauvinisme du présent. »

J’ai gardé quelques schémas de signalisation des endroits où j’ai été en poste (Reims, Troyes, Noisy…), mais ils font 2 mètres de long.

Je l'ignorais. En fait je n'ai jamais su comment elle s'appelait officiellement, il y a un accès côté Villeneuve-saint-Georges et l'autre à Villeneuve-Triage.

Une photo connue qui a un tout petit rapport avec celles de 5121 (merci pour ces photos inédites), qui a été prise par Robert Doisneau vers 1947, donc à l'époque de la reconstruction du triage de Villeneuve (il a fait plusieurs clichés). Cette photo est extrêmement évocatrice d’une ambiance ferroviaire (révolue). Il s’agit de la fameuse passerelle piétons de Villeneuve Saint-Georges qui passe au-dessus du faisceau de réception J’aimerais bien avoir un tirage d’après négatif de cette photo (une reproduction, c’est zéro). Une galerie photo de Paris m’a dit que ça me coûterait un max parce qu’en plus c’est une galerie londonienne qui en a les droits.

Un petit bout du triangle de Gagny

J’avais appris que les voies lentes de l’Est sont l’équivalent des voies M sur Paris/Villeneuve. Comme l’a dit Necroshine, ce sont des voies de liaison entre chantiers d’un ensemble ferroviaire, qui sont aussi régulièrement utilisées pour les circulations normales. Elles étaient dédiées aux remontes et descentes entre le remisage voyageurs Villeneuve - gare de Lyon ou Paris Ourcq et Paris Est, par exemple. Ci-joint un plan comme on ne les fait plus. Attention, il date de 1975. La CG passe à Noisy-le-Sec entre le triage et le faisceau nord. Elle se dédouble pour contourner Noisy, on appelait le dédoublement CG complémentaire. On disait aux mécanos : « tu passes par la complémentaire ». Est-ce que c’est encore le cas ?

Un extrait d'une vieille instruction de service MT 25 de 1970 qui peut donner une idée sur les consommations théoriques

Attention, je ne justifie pas du tout les exigences des musulmans en France. Moi-même au boulot, j’en ai subi les désagréments. C’est contre le principe « fort avec les faibles, faible avec les forts ». Les mêmes élus la rabaissent devant les caïds de banlieue. Je travaillais en 3X 8, et en plus de mon roulement, j’avais le calendrier du ramadan. Parce le ramadan est une fête mobile et chaque année elle se décale d’un mois. Lorsque le ramadan tombait au mois de juin et que j'étais de nuit, voilà ce qui se passait (vécu) : 20 h 20, prise de service : un quart des agents sont musulmans. Il faut démarrer pile à l’heure parce que de nuit il y a (avait) du taf. 20 h 30, c’est le coucher du soleil officiel d’après le calendrier lunaire. Tous les marocains annoncent qu’ils arrêtent le boulot pour casser la croûte. Et c’est pas des sandwichs, mais c’est la couscoussière, donc minimum 30 minutes d’arrêt de travail. Alors, il faut « déboutiquer » comme on disait : untel va remplacer untel en attendant, et lui-même remplacé par untel. Alors, ça gueule. On ferme les yeux sur certaines choses : le conducteur marocain de l’Y8000 est remplacé par son accompagnateur qui sait conduire, mais n’a pas l’autorisation, etc. Je me souviens d’en avoir parlé au directeur d’établissement qui avait levé les bras au ciel en me disant « pas d’histoires avec l’ambassade, faites pour le mieux, on compte sur vous ». Donc, ces histoires de voile me font bien marrer. Souvenirs des années 90 : calendrier affiché dans certains postes de travail par le "Hadj". Là, ça tombe de soirée à 18h00, pas de problème parce qu'a cette heure, on attendait les trains !

S’en prendre à Guillon (ou a une personnalité de ce milieu), ça craint. On risque de se retrouver à la une du Canard Enchaîné ou chez Ruquier. Alors il ne risque pas d'y avoir de plainte. Ça me penser à Gérard Depardieu qui a pissé sur la moquette dans un avion ; on l'a presque félicité. S’en prendre à une femme (de préférence) voilée, c’est au contraire très gratifiant. C’est ça qui me fous en l’air.

Citation prise de l'article du début. "Si l'ovale du visage est reconnaissable, on n'avait pas besoin d'aller plus loin", reconnaît l'édile. Une constatation qui est laissée à l'appréciation de l'officier d'état civil. D'ailleurs, les deux maires d'arrondissement que nous avons contactés et qui célèbrent souvent des mariages n'ont pas la même position face à ce cas". Dans le cas de Guillon, on nous dit qu'aucun texte n'impose une place privilégiée au portrait du président, alors quel est le texte qui oblige le maire a faire enlever le voile de la mariée ?

Stéphane Guillon a fait enlever le portrait officiel de Nicolas Sarkosy lors de son mariage à la mairie de la Ville-d’Avray. Et le maire adjoint qui officiait a obtempéré. Et il y a d’autres couples qui ont suivi son exemple. C’est beaucoup plus grave que cette énième affaire de voile. C'est un mauvais exemple pour, justement, ces gens qui considèrent que leur religion passe avant la loi civile. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2011/04/05/97001-20110405FILWWW00630-sarkozy-maries-font-retirer-son-portrait.php

Et maintenant je prends conscience, comme l'a dit TRAM21, que n'importe qui aurait pu fermer ce robinet de CG. Si la CG est bien étanche, et ça sur n'importe quel train, le conducteur n'y voit que du feu

En relisant, il est écrit qu’il a été constaté après l’accident que tous les CF du train étaient au vert (ils ne parlent pas des réservoirs auxiliaires). Alors, de toute façon, même que la CG soit bien alimentée par le compresseur de la Z5370 de queue, le mécanicien ne pouvait plus provoquer de dépression puisque le robinet de la CG était fermé derrière lui. La dépression n’a agi que sur sa motrice.