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Le Web des Cheminots

CRL COOL

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Tout ce qui a été posté par CRL COOL

  1. Ah oui..... là dessus, effectivement, il y a gourance dans l'article, c'est sur..... Mais pour le reste, ce serait bien qu'un mécano ECR nous donne son avis sur la question!! Pour l'instant, personne...... pascontent
  2. C'est mieux que la carte "Mi-couple" qu'on peut avoir si on est seul et du même sexe pour voyager, dixit Chevalier et Laspalles..... http://www.youtube.com/watch?v=iSD9ftqhGAw Voir à partir de 3'15.....
  3. C'est vrai que souvent, une JS qui est faite en régulier demande 2 JS ADC sur un SDM...... lamentable !!! Euh???? qui fait peur à qui????? je n'ai pas bien saisi ta phrase....
  4. Lorsqu'un sujet dégénère ou que les messages ne sont plus du tout en rapport avec le thème initial, après quelques rappels afin de réorienter les posts, il n'y a plus d'autres options que de fermer celui-ci.
  5. Et vu la "qualité" des SDM, pas étonnant que les amplitudes de travail soient dépassées......
  6. Je n'ai aucune idée de la signification des n° 87.. !!! Pour ce qui est des noms portés par plusieurs engins, c'est du à plusieurs raisons: certaines villes ont apposés leurs blasons sur plusieurs séries, et dans d'autres cas, c'est un report de blason des séries radiées vers des séries en service (CC40100, 6500, RTG entre autre vers des 26000...)
  7. Faire LN6 + retournement + Barreau permet de maintenir des rames "bien virées" (1ère classe coté butoir dans les gares parisinennes), ce qui n'est pas possible via la GC et le Racc Nord de Villeneuve.....
  8. désespoir ====> suicide...... mais pas sous un train SVP !!!! pascontent
  9. C'est très probable.... le roulement des rames "Est" est assez léger le week end, donc en période de forte affluence, il est possible de distraire quelques rames à dispo pour assurer du trafic supplémentaire sur les alpes. Toutefois, çà ne vaut pas confirmation de ton idée...
  10. Argumenter sur les déclarations faites par ton collègue dans le journal..... Tu dis que c'est faux, mais alors, peux-tu nous parler de tes conditions de travail?? - respect des horaires (des amplitudes de travail notamment) - paiement des heures supp - justification des modifications de planning à la dernière minute....
  11. Appelles la CP à Marseille...... Ils sont joignables et te diront exactement quoi envoyer et à qui (une partie à la CP, une autre à l'agence famille).... Pour les remboursements, je crois que c'est directement à la CP que tu dois les envoyer et ils font suivre à ta mutuelle si tu en as une de déclarée. L'agence famille ne te versera que les allocs (PAJE entre autre). Voili voilà, je ne peux t'en dire plus !!
  12. poudre arrêt curé = poudre à récurer..... Si t'as besoin d'aide, n'hésites pas à contacter un modo!!! cartonrouge
  13. Salut TGC77!! Pourrais tu éviter de répondre dans le message que tu cites stp!!! Cà facilitera la lecture et les réponses à te faire éventuellement Merci
  14. réponse: 10% de la charge des roulements passe à la trappe!! Pas encore de projets de roulements, mais c'est certain, changement de service en avril. A priori, on garderait nos grilels de repos, mais il y aurait plus de GPT de fac..... Si certains ont eu echo de tout çà, merci de faire part de vos informations....
  15. A ce propos, on nous annonce pour Avril un mini "changement de service" avec 10% de dérégularisation de la charge......
  16. Vu le n° (8460), c'est un MI84..... mais extérieurement, rien ne le distingue du MI79.....
  17. Pour moi, c'est relève la nuit à LPR ou LYD.... ou alors le MVGV sens impair, assez tendu au sud de Lyon. C'est quand tu discutes avec les collègues qui descendent leurs pataches à SIB que tu te rend compte qu'en journée çà coince vraiment....
  18. Les conducteurs qui n'osent plus regarder les clients, il y en a des quantités!!! Ce témoignage n'a rien de nouveau, notamment pour ceux qui font ou ont fait (comme moi) de la banlieue. Si j'en suis parti, c'est notamment pour cette raison principale: marre de trimbaler des "clients" arrogants et insultants, jamais contents parce qu'on a trois minutes de retard, marre des signaux d'alarme, et accessoirement du caractère extrèmement répétitif du boulot. De nombreux conducteurs banlieue ne regardent les caméras qu'une minute après leur arrêt, juste pour fermer les portes, sans se soucier outre mesure de ce qui peut se passer sur les quais, donc des clients.... +1
  19. Euh.... ben..... tu connais la zone de Lyon. Avoues que passer Perrache ou Part Dieu dans une plage horaire comprise entre 6h et 21h relève de la gageure pour tenir son horaire. Les riverains, quel que soit l'endroit en France sont contre tout projet ferroviaire, même la LGV sur Nice pose problème..... Par contre, propose leur une belle rocade routière qui sera congestionnée dès sa mise en service pour qu'il mettent trois minutes de moins pour aller bosser, tu verras, çà sera beaucoup plus populaire....
  20. Lu dans Challenges.... http://www.challenges.fr/magazine/strategi..._leur_voie.html le texte intégral: Les transports franciliens cherchent leur voie Grèves, pannes, incidents... En Ile-de-France, les réseaux de la RATP et de la SNCF saturent. Entreprises et politiques foisonnent de projets pour les décongestionner. Et c'est sans doute une partie du problème.</H2> Tous coupables ! Chaque jour, matin et soir, dans les métros, les rames de RER, le long des voies, dans les gares, dans les bureaux et les administrations, tout le monde peste contre tout le monde. Si les trains, bondés, traînent, s'arrêtent, tombent en panne, obligeant des dizaines de milliers de voyageurs à s'excuser auprès de leur patron excédé, c'est la faute de l'Etat, qui n'a pas acheté de nouveaux trains pendant des décennies; de Réseau ferré de France (RFF), le propriétaire des 4 000 kilomètres de voies franciliennes, qui a laissé l'infrastructure vieillir; des conducteurs qui ne sont pas à l'heure à leur poste. La faute des syndicats qui préparent les élections professionnelles du mois prochain, la faute des voyageurs qui tirent le signal d'alarme suite à un malaise, une agression, qui marchent sur les voies ou s'y jettent. La faute de la SNCF et de la RATP, qui s'étaient engagées à améliorer la régularité et la ponctualité auprès de la région, responsable de tout, puisqu'elle dirige les transports d'Ile-de-France - mais seulement depuis l'entrée en vigueur de la loi sur la décentralisation, le 1er janvier 2006. Projets à accélérer Depuis, les élus tentent, sinon de rattraper le temps perdu, du moins de combler une partie du retard pris durant trente ans. Car, à l'exception notable de la ligne 14 du métro et du RER E, dans les années 1990, l'Etat n'a rien investi dans les transports publics franciliens depuis l'achèvement des lignes A, B, C et D du RER, en 1977. Difficile de jeter la pierre à quiconque : personne n'avait prévu l'explosion du trafic et sa conséquence, la saturation du réseau. Le changement de comportement n'est perceptible que depuis dix ans. Or dix ans, à l'échelle de travaux d'infrastructure, c'est court. La preuve : pour l'instant, les voyageurs n'ont encore rien vu venir des projets lancés entre 2000 et 2006. Ainsi, dix ans après l'appel d'offres, la RATP lancera en 2012 le système Ouragan, sorte de pilotage automatique permettant de réduire l'intervalle entre deux métros de 105 à 90 secondes. Et c'est en 2008 qu'elle a commencé à recevoir les nouveaux trains des lignes 2, 5 et 9, commandés en 2002. Même constat à la SNCF : ses nouveaux trains de banlieue, plus larges et plus rapides, commandés à Bombardier en 2006, seront mis en service début 2010. Parfois, les dossiers patinent plusieurs années, tant les négociations sont difficiles entre l'autorité organisatrice des transports (le Stif) et les élus, qui n'ont pas les mêmes intérêts. Ainsi, le schéma directeur de la ligne C est en débat depuis trois ans : les élus de grande couronne veulent des trains directs qui fi lent le plus vite possible à Paris, alors que les élus de petite couronne réclament, eux, des omnibus qui s'arrêtent chez eux. Parfois aussi, de longues études sont nécessaires, alors que la solution est rapide. «Pour augmenter la capacité des RER B et D, nous voulions doubler le tunnel Châtelet-Gare du Nord. Une dépense de 1 milliard. Mais nous avons montré que supprimer le changement de conducteurs à la Gare du Nord - le conducteur RATP laissait auparavant la place au conducteur SNCF, ce qui prenait plusieurs minutes - était plus efficace !» reconnaît Olivier Nalin, le directeur du développement du Stif. Gouvernance à clarifier Les choses sont parfois inextricables, et Nicolas Sarkozy a eu beau jeu de s'en mêler en mai dernier, débloquant une commande de 30 nouveaux trains à double niveau pour soulager le RER A. Les élus ont mal vécu cette intervention. «La lenteur est choquante, mais c'est le prix de la démocratie participative. Toutefois, il faut pouvoir accélérer les procédures. Pour cela, une loi permettant de déroger à certaines étapes du processus est nécessaire. Nous l'avons demandée à Borloo», souligne Jean-Paul Huchon, président (PS) de la région. Les transports sont devenus un sujet si sensible que les politiques en ont fait une priorité... et un champ de bataille. Trois hommes s'affrontent. Le premier, c'est Jean-Paul Huchon, le président de la région et du Stif. Il a le pouvoir, il a l'argent. Et a préparé un «plan de mobilisation» de près de 18 milliards qui regroupe les grands projets à l'étude : changement de matériel, rocades ferrées (lire encadré page 44), prolongement des lignes de métro et de RER... La région en financerait les deux tiers par l'emprunt, charge à l'Etat de fournir le reste. Le deuxième homme n'est autre que Nicolas Sarkozy lui-même, qui voudrait reprendre la main en Ile-de-France via Christian Blanc, son secrétaire d'Etat chargé du Développement de la région capitale. Celui-ci prépare un plan d'aménagement du territoire à très long terme (2050). Encore tenu secret, il devrait préconiser la construction de deux axes de transport vers le plateau de Saclay et la Plaine de France (Roissy), ainsi qu'un tunnel sous Paris. Les deux plans n'ont rien en commun. Or l'Etat n'a pas les moyens de payer les deux. Et la région n'a pas l'intention de faire de cadeau au premier : «Si le plan Blanc est choisi, nous n'y investirons pas un centime. Nous réaliserons notre plan, mais ce sera beaucoup, beaucoup plus long, puisqu'il faudra le financer entièrement nous-mêmes», prévient Jean-Paul Huchon. Le troisième homme, enfin, c'est Bertrand Delanoë : le maire de la capitale rêve d'un «Grand Paris», sorte de communauté urbaine avec les villes de la petite couronne. Face à Sarkozy, Huchon et Delanoë font pour l'instant front commun. Blanc, lui, ne tarit pas d'éloges sur Delanoë tout en dénigrant Huchon. Diviser pour mieux régner... Financement à trouver Pour la SNCF et la RATP, cette excitation politique autour des transports est une opportunité qu'il ne s'agit pas de laisser passer. Mais, là encore, la multiplicité des projets ralentit tout le processus de décision, déjà long : «Entre l'idée de faire et l'idée de mettre en service, c'est-à-dire après les études préliminaires, le débat public, le plan de financement, le choix du tracé, l'enquête d'utilité publique, il faut jusqu'à dix ans. Ensuite, on peut lancer l'appel d'offres et les travaux», explique Bernard Chaineaux, directeur régional de RFF. Les entreprises présentent, en fait, des projets complémentaires, tous nécessaires à cause de l'extrême tension actuelle du réseau : «En 2020, toutes les lignes du métro bénéficieront du système Ouragan, je ne pourrai donc plus augmenter le nombre de métros en circulation. Or le trafic, lui, continuera à augmenter. Il faut prendre des décisions. Tout de suite», plaide Pierre Mongin. Le président de la RATP voudrait un «métrophérique», qui encerclerait Paris en reliant les terminus des stations de métro, et le prolongement de la ligne 14 vers Saint-Ouen pour soulager l'infernale ligne 13. La SNCF, soutenue par RFF, ne jure que par une rocade ferrée en grande couronne et le prolongement du RER E (Eole) pour venir au secours du RER A. Mais pour réaliser ces quatre projets, tous soutenus par la région et inscrits au schéma directeur voté le 25 septembre dernier, il faut trouver 14,5 milliards d'euros... et patienter entre 2014 (pour le prolongement du RER E) et 2030 (pour achever la rocade ferrée). Dialogue à renouer Attendre ? Impossible. «Nous réclamons un plan d'urgence à six mois, avec une mobilisation exceptionnelle de tous les cheminots !» Louis Gomez, président du Comité des Usagers des gares, l'une des innombrables associations qui se sont constituées ces dernières années, ne décolère pas. Pour lui, une partie du problème de la saturation vient des cheminots eux-mêmes. Pas motivés, désorientés par la réforme des régimes spéciaux de l'an dernier et par l'arrivée progressive de la concurrence, ils ne savent plus où ils vont, ni pourquoi ils sont là. «La situation est catastrophique. Sur ma ligne Paris-Mantes-Normandie, il y a eu 260 retards en 2008, 52 trains supprimés. Le matériel est vieux, sale, le niveau de stress des voyageurs très élevé : on ne sait pas à quelle heure le train va passer, ni à quelle heure il arrivera à destination.» Depuis le 13 janvier et la grève totale des conducteurs, conduisant à la fermeture de la gare Saint-Lazare pendant une journée, la rupture cheminots-voyageurs est totale. «La situation est extrêmement tendue. Les cheminots se font menacer, insulter. Nous demandons une réunion tripartite avec les représentants du personnel, la direction et les associations d'usagers pour réinstaurer le dialogue», poursuit Louis Gomez. A défaut, Usagers des gares lancera une grève de présentation des titres de transport en février, en signe de protestation. La SNCF cherche des solutions. L'interview d'un cheminot SUD-Rail dans Le Nouvel Observateur affirmant «qu'il ne voulait plus regarder les usagers» a glacé la direction. «Qu'un cheminot affiche ce qui peut sembler être du mépris pour l'usager pose problème. Nous réfléchissons à lancer des formations supplémentaires sur le service client, et à modifier nos méthodes de recrutement en insistant sur la sensibilité à la notion de service et de client», soupire Jean-Pierre Farandou, le directeur général de SNCF Proximités, qui gère tous les trains de banlieue en France. Réconcilier les cheminots avec l'amour du service public, ce serait déjà un bon début. Des chantiers très longs... et très menacés Parmi les grands projets à l'étude pour renforcer le maillage d'Ile-de-France, deux sont des rocades : Arc Express, en petite couronne, et la Tangentielle, éloignée de Paris d'une vingtaine de kilomètres. Tous deux sont inscrits dans le schéma directeur régional, voté fin septembre. Mais le voyageur francilien devra être très patient : si les travaux de la Tangentielle Nord devraient commencer d'ici un an pour une mise en service prévue entre 2014 (pour un premier tronçon) et 2016, la partie ouest ne sera ouverte aux voyageurs qu'en 2015, la partie sud en 2020, et la boucle entière ne devrait pas être achevée avant 2030. Pour Arc Express, en discussion depuis trente ans, les premières études ont commencé il y a six mois. Il s'agira de relier les villes de proche banlieue entre elles en recoupant les lignes de métro, de tram et de RER. Le prolongement d'Eole vers la Défense puis Mantes-la-Jolie, lui, fait l'unanimité : il soulagera la ligne 1 du métro et le RER A, tous deux asphyxiés. Les travaux débuteront, au mieux, en 2011, pour une mise en service en 2015. Mais le plan de Christian Blanc va changer la donne. Encore tenu secret, le temps d'être approuvé par Nicolas Sarkozy, il devrait préconiser la construction de nouvelles lignes de métro ou de RER vers le plateau de Saclay - pôle scientifique - et de la Plaine de France - pôle logistique. Mais il pourrait aussi bloquer Arc Express et les Tangentielle, jugés insuffisants pour le très long terme. Anna Rousseau
  21. Ce qui est frappant, c'est qu'une fois de plus c'est du tout TGV..... rien pour les TER ni pour le Fret. Les LGV vont dégager des sillons sur les lignes classiques, mais au delà? Le contournement Fret de Lyon, par exemple, n'est-il pas lui aussi ultra nécessaire?
  22. Promotion pour Françoise!!!! Francoise Laborde vient d'etre nommée au csa par Nicolas et elle touchera pour ce travail d'une pénibilité sans nom un salaire mensuel bien modeste de 8000 euros par mois pour un mandat de 6 ans. Toutefois, elle touchera ce salaire pendant 7 ans car aprés le mandat de 6 ans la pauvre chomeuse ne peut pas tavailler pour les medias pendant l'année qui suit. Y a une de ces précarité dans le monde des médias!!!
  23. Il te faudra avoir une autorisation: tu ne pourras accéder en cabine de conduite sans celle-ci, c'est réglemantaire.....
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