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Le Web des Cheminots

nicopasta

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  1. nicopasta

    Cc 6570

    Très jolies photos Sylvain Surtout celle dans la courbe de Cap Peyrefite PS : un seul "t" à Peyrefite :Smiley_63:
  2. LE MONDE | 17.05.08 | 14h33 La police peut-elle saisir du matériel de manifestants tels que badges, tee-shirts ou casquettes, lors d'une visite présidentielle ? Confrontés à cette question, les syndicats policiers réagissent en ordre dispersé. "On l'a toujours fait lors de déplacements sensibles, sous la droite comme sous la gauche, en fonction des instructions", affirme Patrice Ribeiro, secrétaire général adjoint de Synergie officiers. "Tous ceux qui ont l'expérience du maintien de l'ordre vous le diront. Parfois même, on embarque les manifestants pour des contrôles d'identité", ajoute-t-il. Le Syndicat national des officiers de police (SNOP) est plus mesuré. "D'habitude, assure son secrétaire général, Dominique Achispon, les collègues des RG (renseignements généraux) contrôlent de loin, sauf s'il y a des excités. A mon avis, ce sont des directives nationales..." Avant Melun, où des tee-shirts de la CGT ont été confisqués par la police, il y a eu un précédent lors d'un autre déplacement de Nicolas Sarkozy, à Vienne, le 13 mai. Depuis, un forum de discussion s'est ouvert sur le site Internet du SNOP. "Ce n'est pas mieux que lors du passage de la flamme olympique, où des gorilles des services chinois dirigeaient le service d'ordre et où les collègues avaient pour instructions d'arracher les drapeaux, pancartes en faveur du Tibet", s'insurge un policier, sous pseudo, après lecture d'un article de Libération.fr qui racontait que les forces de l'ordre avaient saisi des tracts, des autocollants et même des journaux. "Le fait est que nos préfets et concepteurs sont tellement terrorisés à l'idée qu'on puisse leur reprocher une bourde anti-présidentielle et de subir ainsi un coup d'arrêt certain à une carrière qui s'annonçait des plus prometteuses, qu'ils prennent des initiatives malheureuses", écrit un autre. Henri Martini, secrétaire général de l'UNSA-police, majoritaire chez les gardiens de la paix, croit savoir que "tout s'est bien passé à Melun, rien n'a été retiré aux manifestants". Il ajoute : "Nous n'avons pas eu connaissance de consignes particulières, mais ce genre de pratiques serait anormal. La police ne saisit pas du matériel de manifestation, hormis des piquets de banderoles ou des hampes de drapeaux qui peuvent constituer des armes par destination, ou bien des tracts ou des tee-shirts lorsqu'ils présentent un caractère discriminatoire, raciste ou injurieux." Toutes les organisations syndicales s'accordent cependant sur un point : rien n'a pu se faire sans instructions précises. "Ce n'est pas une initiative des collègues eux-mêmes, tout seuls, sur le terrain, cela relève de consignes, souligne Jean-Claude Delage, secrétaire général d'Alliance. Le déplacement d'un président n'étant pas celui de n'importe quel quidam, on dit alors : "Faites en sorte que tout se passe bien."" Les ordres, donc, viendraient d'en haut. "Lors d'un déplacement présidentiel en province, c'est le préfet du département concerné qui est responsable du dispositif de sécurité, et c'est lui qui apprécie les instructions à donner aux forces de l'ordre", indique-t-on au ministère de l'intérieur. Aucune consigne ne serait partie de la Place Beauvau. Le préfet de Seine-et-Marne n'a malheureusement pas pu être joint vendredi, mais ses services enjoignaient de... "contacter l'Elysée".
  3. LE MONDE | 17.05.08 | 14h33 Oubliés les marins du Guilvinec (Finistère), les visiteurs hostiles du Salon de l'agriculture : Nicolas Sarkozy ne veut plus laisser au hasard la mise en scène de ses apparitions publiques ni le choix de ses interlocuteurs. Vendredi 16 mai, à Melun (Seine-et-Marne), c'était au tour des militants CGT d'affronter les méthodes musclées et expéditives des forces de police, trois jours après ceux de Vienne (Isère). Objectif des forces de l'ordre ? Débarrasser les syndicalistes de leurs accessoires les plus voyants, avant de les laisser s'approcher. Cette fois-ci, pour les policiers, l'arme du crime de lèse-présidence prend la forme d'une série de produits dérivés de la CGT : casquettes, autocollants et tee-shirts... rouges. Quelques minutes avant l'arrivée du président, une vingtaine de salariés de l'ANPE qui veulent dire au chef de l'Etat leur opposition à la fusion avec l'Unedic sont fouillés. L'une des fonctionnaires de police, en civil, sort d'un sac en plastique qui leur appartient quelques produits estampillés du syndicat et s'en empare. "Vous nous avez arraché des mains du matériel syndical", proteste Margot Unbriener, responsable régionale de la CGT-ANPE. "C'est une atteinte à la liberté d'expression", poursuit-elle, polie mais la voix émue par le procédé. "On nous traite comme une organisation clandestine, comme des malfrats", proteste un autre militant CGT. La policière demande aux militants de passer derrière les barrières de sécurité avant l'arrivée du cortège présidentiel, mais refuse de rendre son butin, sous l'oeil d'une demi-douzaine de journalistes. "INSULTE À LA DÉMOCRATIE" Aucune banderole n'est visible dans ce magot. Profitant du repli des syndicalistes derrière les barrières, elle confie à l'un de ses collègues masculins les objets qu'elle a confisqués : "Va mettre ça à l'intérieur." Une militante explique : "On nous a dit qu'il y avait une alerte de niveau 4... mais nous ne sommes pas des terroristes !" "Je n'ai jamais dit cela, nous avons saisi des banderoles et des objets qui pouvaient servir de projectiles", affirme la fonctionnaire de police à des journalistes qui l'interrogent sur "la base légale" de sa saisie. De l'autre côté du trottoir, une autre fonctionnaire, probablement des renseignements généraux, en tailleur sombre et lunettes noires, mais identifiable grâce à son brassard rouge "police", mitraille la scène avec son appareil photo, figeant les portraits des militants et des journalistes. Trois jours plus tôt, quelque 150 personnes venues manifester à l'occasion de la visite du président à Vienne (Isère) avaient, elles, été carrément repoussées par les forces de l'ordre, qui avaient en outre saisi des tracts de la CGT. "La police m'a interdit d'accéder à la place publique où doit arriver Nicolas Sarkozy sans que j'aie rien fait, on m'a mis à l'écart sans me donner de motif", avait expliqué à l'AFP Jean-Michel Rabut, l'un des responsables CGT à Vienne, venu participer à une manifestation à l'appel de son syndicat, de la LCR, du PCF et du PS. "On ne nous permet pas d'être sur place et de manifester", avait déploré pour sa part la première adjointe au maire PCF de Roussillon, Maryse Dihl, dénonçant une "insulte à la démocratie". "Il n'y a pas eu de maintien de l'ordre organisé, mais seulement des interventions sur de petits groupes et la saisie de banderoles injurieuses", avait-on répliqué côté police. A Melun, vendredi, le petit groupe de militants CGT a été autorisé à approcher le président. Mais pas avant qu'ait été dressé le décor d'un dialogue pacifié. Car Nicolas Sarkozy veut changer de registre. Plus question de rejouer la scène des marins-pêcheurs du Guilvinec où, insultés par des individus du haut d'un pont, le président s'était énervé : "Qui est-ce qu'a dit ça ? C'est toi qui as dit ça ? Ben descends un peu le dire. Si tu crois que c'est en insultant que tu vas régler le problème des pêcheurs. Ben, permets-moi de te dire... Viens, viens, viens !" Ni de perdre ses nerfs en répondant à un visiteur qui refusait de lui serrer la main, au Salon de l'agriculture : "Casse-toi, pauvre con !" A Melun, il sort de sa voiture pour aller aussitôt à la rencontre de la vingtaine de militants de la CGT. Margot Unbriener, qui prend la parole au nom du groupe, se plaint que sa casquette ait été saisie par les forces de l'ordre. "Je ne l'ai pas volée pour moi !", rétorque le président. Il enchaîne aussitôt, à l'adresse du petit groupe qui n'était pourtant pas inscrit au programme : "D'abord, je voulais vous dire merci de vous être déplacés pour me rencontrer." Les militants trouvent la ficelle un peu grosse... "Si, si", insiste le président. Margot ne baisse pas les armes. Elle interpelle le président, elle l'interrompt, elle discute. Nicolas Sarkozy campe sur ses positions, défend ses réformes, mais joue avec elle. "Vous êtes un beau parleur !", lui lance Margot, un peu à court d'arguments. "Oh, parleur tout court ! Pourquoi beau ?", répond-il. Au bout de cinq minutes, le président est sûr d'avoir conquis Margot. Il lui touche le bras, comme on ferait à une amie. Elle en rit : "Mon amoureux est jaloux, il ne veut pas que vous me touchiez." L'amoureux, derrière elle, se défend : "C'est parce que je sais que vous avez bon goût !" Le président répond du tac au tac : "Je vous présenterai Carla !" Sous le soleil, Margot commence à avoir chaud. "Si vous enleviez votre truc, vous auriez moins chaud !", lui fait alors remarquer le président, agrippant le brassard de plastique marqué du logo CGT porté par Margot, le seul qui ait échappé à la prise policière... Encore un brassard de trop ?
  4. C'est vrai que sur le groupe 6 ça doit etre efficace Précision : il n'a pas le truc sur la tete, mais le reste (barbe et habits), oui.
  5. enceinte >> Fraises bigbisous
  6. Non non, il y a un mécano à Achères qui ressemble à celui qui est sur la photo. Et il y en avait 2 autres en stage dans le meme style, mais j'ai l'impression qu'ils se sont fait virer car je ne les vois plus.
  7. Au risque de me répéter, pourquoi 24H ? Pourquoi pas reconductible Ouhhhhlalala, le gouvernement va trembler de peur avec une grève de 24 heures !!! Traditionnelle petite grévette de nos OS avant l'été ? Histoire de maintenir la grogne et un bon nombre de "pas content" ? Et de refaire un jour à la rentrée manière de montrer qu'on (les OS) fait semblant de s'occuper de la base, quand la loi sera passée ? Ca va nous faire + 3 ans et demi de cotisations en moins de 12 mois... controleursncf
  8. Ma pauvre Johanna, ne viens surtout pas à Paris alors... Tu verras ce que c'est des trains vraiment bondés Si tu veux te plaindre qu'il n'y a pas assez de trains, faut le faire auprès de tes élus régionaux, ce sont eux les décideurs...
  9. Voilà m'dame La suite ici : http://www.cheminots.net/forum/index.php?showtopic=13250
  10. J'ouvre un nouveau sujet à la demande d'assouan pour réagir et commenter ce tract mis en ligne par ouragan : http://www.cheminots.net/forum/index.php?a...ost&id=9451 Merci de laisser vos commentaires ici.
  11. Euhhh ben oui, pas que les nouveaux ... :blush:
  12. Tant mieux, car c'est soulant à force d'entendre toujours ces réflexions débiles. L'herbe est toujours plus verte chez les voisins... :blush:
  13. Hum, merci de pas s'emporter et de recommencer l'éternelle guéguerre ADC <--> AC, et de revenir au sujet initial... Nico
  14. J'ai compris la meme chose que toi Assouan, et j'avoue chercher la justification d'une telle revendication...
  15. Petite précision : uniquement les échanges avec les régulateurs.
  16. Salut, Les retards des TER ne sont pas repris sur Infolignes. Ils n'indiquent que les retards VFE (et des CIC). Nico Edit : en théorie l'info trafic pour le TER est repris là : http://www.ter-sncf.com/lorraine/infostrafic/index.asp Mais quand on voit que la dernière mise à jour date de 2 mois (12 et 13 mars)... Le seul endroit où ils en parlent est là (dans le cadre jaune en bas) : http://www.gares-en-mouvement.com/infostem...-1-frade-0.html
  17. Bonjour, Une autre question pour ce soir : J'ai pu remarquer que les quais des gares ont des hauteurs différentes. A certains endroits (Val d'Argenteuil Voie 2 en ce moment) les quais sont en train d'etre relevé. Donc j'aimerais savoir si il existe une hauteur "normale" par rapport au rail. Car il y a quand meme une grosse différence entre certains endroits ou c'est proche de 0, et sur la RATP où c'est à hauteur des portes. Et aussi si les nouveaux trains sont tous fabriqués avec la meme hauteur ? Parce que c'est loin d'etre homogène quand meme... Merci d'avance Nico
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