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Le Web des Cheminots

nicopasta

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Tout ce qui a été posté par nicopasta

  1. Dans ce malheur, ça fait les affaires d'Alstom pour l'appel d'offre des futurs TGV, face à Bombardier et Siemens. Comme il est dit plus haut, il y aurait peut etre eu des morts avec un ICE, car les passagers sont juste derrière, et contrairement au conducteur ils ne voient pas le choc arriver, donc ne s'y attendent pas, donc sont plus vulnérable. D'autant plus que ça peut etre des enfants, des personnes agées... etc... Sur ce point on ne peut que vanter les avantages de notre TGV. On y perd peut etre en capacité (et encore pas sur avec un Duplex), mais on y gagne en sécurité.
  2. AFP - il y a 40 minutes LYON (AFP) - Un TGV Paris-Genève a percuté mercredi vers 09H30 un camion sur un passage à niveau à Tossiat (Ain), faisant un mort, le conducteur du poids lourd, et 25 blessés dont un grave, le conducteur du train. "Le camion était un convoi exceptionnel", a indiqué le responsable de la communication de la préfecture. Le plan rouge a été déclenché, a-t-on ajouté de même source sans donner plus de détails. Aucune précision n'a été apportée sur les circonstances de l'accident, notamment sur la vitesse du train ou sur le bon fonctionnement du passage à niveau. L'accident s'est produit sur la route départementale 64 qui a été coupée dans les deux sens à la circulation au lieu dit "la Vavrette" sur la commune de Tossiat, a précisé un communiqué du Centre régional d'information routière Rhône-Alpes et Auvergne.
  3. Reuters - il y a 15 minutes PARIS (Reuters) - Un TGV reliant Paris à Genève a heurté mercredi matin un convoi exceptionnel dans l'Ain, faisant un mort et neuf blessés, apprend-on auprès de la sécurité civile. (Publicité) Le conducteur du poids-lourd est décédé dans l'accident, a-t-on précisé de même source. L'accident s'est produit sur un passage à niveau à hauteur de La Vavrette-Tossiat, à une dizaine de kilomètres au sud de Bourg-en-Bresse, selon la SNCF. "Pour l'instant, le bilan est réservé. Il n'y aurait que le conducteur (du véhicule) qui aurait été légèrement blessé. Les pompiers sont sur place", a déclaré un porte-parole de la SNCF.
  4. AP - il y a 18 minutes BOURG-EN-BRESSE - Le chauffeur d'un poids lourd a été tué et une dizaine de passagers d'un TGV Paris-Genève blessés, mercredi vers 9h20, dans la collision de la rame avec un convoi exceptionnel au niveau des communes de La Vavrette et Tossiat, non loin de Bourg-en-Bresse, a-t-on appris auprès de la préfecture de l'Ain. (Publicité) Le plan "rouge" (secours à un grand nombre de victimes) a été déclenché par la préfecture. Les premiers secours sont arrivés sur place. Un agent de conduite a été blessé et six à dix passagers choqués, mais aucun n'a été hospitalisé, a-t-on précisé au siège de la SNCF. Le TGV n'était pas à sa vitesse maximale et n'a pas quitté les rails. Le trafic était interrompu sur la ligne.
  5. Non ce système est encore utilisé, je l'ai vu pour les travaux à Bordeaux, pour la construction du nouveau pont sur la Garonne. Et c'est vrai qu'on se croierait à la fete foraine quand on passe mdrmdr
  6. Sujet déplacé Edit : erreur de ma part, je le remet dans la bonne section, désolé
  7. UP : mon 1000ème message l'occasion de remercier Kata pour ce forum UP : hier j'ai relevé une mécanote à PSL que je ne connaissais pas... et... UP : il fait super beau, mais DOWN : il fait super froid UP : des retrouvailles qui font plaisir, des réconciliations, bref tout va bien okok
  8. Bonjour Yann. Je conduis très souvent sur cette ligne donc je vais pouvoir t'éclairer un peu. Pour le train corail qui passait par le groupe 6, il a surement du etre déplacé sur le groupe 5. Peut etre que dans la journée il en passe un autre. Mais sinon en effet quand c'est le bazar sur le groupe 5 tu en verras passer. La RIB que tu as vu passer n'est pas un W, mais c'est le 137140 (qui circule du lundi au vendredi), Gisors-Paris, qui passe à Cormeilles à 19H55, mais sans marquer d'arret. il est direct de Conflans à Paris St Lazare. Voilà si tu as d'autres questions n'hésite pas A bientot Nico
  9. Sujet combinés, nettoyés, et déplacés.
  10. Euhhh moi je vois 528 téléchargements... okok
  11. Disons que ça ne parlait plus du tout des régimes de retraites, donc j'ai mis ça ici vu que ça part dans tous les sens. Tu penses à une autre catégorie ?
  12. BIG DOWN : 2 collègues décédés cette semaine : un mécano d'Achères victime d'un cancer (il est parti en moins de 15 jours...), et un aiguilleur d'Achères Ville, qui a eu une attaque cardiaque il y a 2 semaines, et tombé dans le coma, et n'en est pas ressorti... lapleunicheuse
  13. Oui Audrey, le but n'était pas de faire pleurer, mais pour ma part j'y ai appris des détails du crime, car à ce moment là, il était difficile d'en avoir car quasiment tous les médias parlaient de Villiers le Bel. Il est certain que je me fout que ce soit une fille de colonel, de boulanger, ou autre chose. Ce qui me choque c'est que les médias ont tout axé sur Villiers le Bel, tout simplement parce que ça fait plus d'audience, une jeune fille qui se fait tuer par un récidiviste tout le monde (ou presque) s'en fout... bigbisous
  14. Un récit d'une journaliste du Monde, un peu long mais assez interressant à lire. Mortelle rencontre dans le RER LE MONDE | 07.12.07 | 14h29 C'est une longue cicatrice qui traverse l'Ile-de-France, de la Picardie, au nord, jusqu'au Loiret, au sud. Quelque 160 km de rails, 520 000 voyageurs par jour, un train toutes les sept minutes aux heures de pointe, soixante stations et presque autant de mondes différents. Des souvenirs de campagne, à Chantilly, des cités HLM en Seine-Saint-Denis, des zones pavillonnaires en Seine-et-Marne, et, au coeur du parcours, les trois plus gros centres névralgiques de la capitale : la gare du Nord, Châtelet-Les Halles et la gare de Lyon. Matin et soir, se presse sur la ligne D du RER la foule lasse des employés, des serveurs de bistrots, des ouvriers d'entrepôts de la banlieue parisienne. Les conducteurs se plaignent souvent d'être totalement seuls à la tête de rames longues d'une vingtaine de voitures. La SNCF a placé la ligne en tête de liste de ses parcours à fort taux de délinquance. Le samedi, on y monte pourtant en famille ou en bande de copains pour rallier le coeur de la capitale. Mais le dimanche, lorsqu'on a passé les pavillons de Goussainville, à quelques kilomètres de Paris, le train presque vide prend des allures d'express de campagne. Anne-Lorraine Schmitt, 23 ans, allure sage et chevelure claire, ne prend le RER D que le week-end, pour aller rejoindre ses parents et la maison de son enfance, à Orry-la-Ville, près de Senlis, dans l'Oise. Vingt-cinq minutes de trajet depuis Saint-Denis, et voilà la clôture blanche, à quelques mètres d'un petit bois. Ce dimanche 25 novembre, cela fait trois semaines qu'elle n'y est pas revenue. Les cérémonies du 11-Novembre ont tenu son père, le colonel Philippe Schmitt, occupé, et les grèves des transports l'ont dissuadée de faire le parcours le week-end suivant. La jeune fille a quitté vers 10 heures la Maison d'éducation de la Légion d'honneur, au coeur de Saint-Denis. C'est une école aux allures de collège anglais, avec ses jeunes filles en uniforme. Une enclave somptueuse au pied de la basilique qui sert depuis des siècles de nécropole royale, à l'écart des cités. En 2002, Anne-Lorraine y a étudié en hypokhâgne, avant de rejoindre Sciences Po, à Lille. Maintenant qu'elle poursuit ses études de journalisme au Celsa, à Neuilly, elle est revenue vers la Légion d'honneur. Elle y dispose d'une chambre en échange d'une quinzaine d'heures de surveillance auprès d'une classe de terminale. Suivi des études du soir, du dîner au réfectoire et du coucher. Mais Anne-Lorraine préfère l'atmosphère intime de l'internat aux chambres des cités universitaires. A la gare de Saint-Denis, elle est donc montée dans la deuxième voiture, au premier étage. De là, la lumière est plus claire et le regard peut s'étendre par-dessus les pavillons et les HLM. Sur les remblais de béton, les tags colorés défilent le long de la voie jusqu'à Sarcelles. A ses amies, Clotilde, Marie et Claire, Anne-Lorraine Schmitt a parfois confié qu'elle n'aime pas beaucoup cette ligne que les voyageurs appellent entre eux "le RER poubelle". Mais c'est une fille de militaire, ancienne cheftaine des Scouts d'Europe. Elle n'a pas peur de grand-chose, si ce n'est du matérialisme des sociétés modernes, qu'elle rejette farouchement. Ce matin, elle doit rejoindre son père pour suivre la messe avant le déjeuner. C'est une fille solide, chaleureuse et très croyante. Pour tout dire, assez différente des jeunes gens de sa génération. "Un peu tradi et très catho", souriait-elle parfois. L'été précédent, elle est allée avec ses amies à Lourdes. Régulièrement, on la voit aux retraites de la communauté de Saint-Martin, à Candé, dans le Loir-et-Cher, dont elle a connu les prêtres lors des Journées mondiales de la jeunesse. A l'école de journalisme, elle a d'abord fait figure de rareté avec ses convictions chrétiennes assumées. Devant ses camarades, Anne-Lorraine a pris l'habitude de défendre sa foi, "combative comme le sont les minoritaires", sourit le Père Pascal-André Dumont, qui encadre les séances de prière lorsqu'elle se rend à Candé. Quand les étudiants se disputent les stages dans les grands journaux, elle a choisi de s'exercer sur les ondes de la très catholique Radio Notre-Dame, puis d'écrire dans Valeurs actuelles, un hebdomadaire très marqué à droite. Le RER glisse vers Villiers-le-Bel, là où les barres HLM cèdent doucement la place aux premières petites maisons d'ouvriers. Dans quelques heures, deux jeunes garçons en minimoto seront tués par une voiture de police, déclenchant une nuit d'émeute. Mais, pour l'heure, rien ne vient déranger l'atmosphère un peu morne des zones pavillonnaires. A la gare de Goussainville, Thierry Dève-Oglou, 44 ans, est monté dans la rame qui s'arrêtait devant lui, comme il le racontera plus tard aux gendarmes et à son avocat, Me Bendaoud. Manutentionnaire dans une PME, il rentre à Louvres, deux stations plus loin sur la ligne. Né à Montreuil, où il a passé son enfance, il est revenu habiter, dans le Val-d'Oise, le pavillon ouvrier de ses parents, retraités de la RATP. De là, on aperçoit le RER et l'on entend passer les avions de Roissy, tout proche. C'est un homme un peu massif, discret et renfermé. Un habitué de la ligne. Il la prend chaque jour parce qu'il n'a pas son permis de conduire. Peu d'amis, des revenus modestes, un frère, et une soeur commerçante. Une histoire en apparence banale, mais une "tache" dans son parcours. En 1995, dans le même RER, il a violé une jeune femme. Arrêté, condamné par la cour d'assises de l'Oise à cinq ans de prison, dont deux avec sursis, il est ressorti en 1998 après avoir purgé deux ans de détention, selon la règle normale des remises de peine. L'homme n'a jamais été suivi par la justice, mais il a retrouvé du travail et repris une vie sans histoires. Dans sa poche, il garde un couteau, un laguiole, qui lui sert le plus souvent à ouvrir les caisses qu'il déplace dans son travail. Sur cette ligne, la plupart des voyageurs descendent avant les premières zones pavillonnaires. Anne-Lorraine Schmitt et Thierry Dève-Oglou sont seuls dans leur wagon. A Louvres, il devrait sortir. Il se ravise, pourtant. La rame est repartie pour les six minutes de parcours qui séparent Louvres de Survilliers, et le voici qui vient vers la jeune fille. Aux gendarmes, qui l'interrogeront plus tard, il avouera qu'il a eu "un flash". Il réclame brutalement une fellation. Anne-Lorraine tente de se lever. Il lui assène plusieurs coups de couteau, dont au moins un, au coeur, est mortel. L'agression n'a duré que le temps qui sépare les deux stations. Dans la bagarre qui l'a opposé à la jeune fille, l'homme s'est blessé profondément à la cuisse. Il descend, titubant. Dans la rue, à quelques centaines de mètres de la gare, il sera retrouvé, évanoui, par des passants. A la gare de La Borne-Blanche, le colonel Philippe Schmitt attend sa fille. C'est une petite station presque toujours vide. Pour sa part, le colonel préfère habituellement rejoindre les Invalides, où il est affecté au service de presse du gouverneur militaire, par le train qui relie Senlis à la gare du Nord. Mais les Schmitt, originaires de Nancy, ont choisi ce coin de l'Oise, il y a quelques années, justement pour la ligne traversant ces petites villes aux faux airs de campagne. Leurs cinq enfants y ont été élevés dans le goût de la chose militaire et dans la fréquentation des réseaux associatifs. Anne-Lorraine est l'aînée. Les deux garçons sont à Saint-Cyr et dans une école de sous-officiers, les jumelles dans un collège privé. Une éducation traditionnelle dans un univers protégé. Sur le quai, Anne-Lorraine ne se trouve pas parmi les trois passagers qui descendent. Le colonel va être en retard pour la messe, il part en pensant qu'elle finira bien par arriver. Mme Schmitt, soucieuse, a tout de même téléphoné à la maison de la Légion d'honneur. La directrice, Huguette Pierce, monte jusqu'à la chambre de la jeune fille. Il y a sur les murs des dizaines de photos et une tasse de thé encore à moitié pleine. Par acquis de conscience, elle visionne la vidéo de surveillance au-dessus de la porte d'entrée de l'école. On y distingue la silhouette de l'étudiante, dans son manteau sombre. Philippe Schmitt, inquiet maintenant, est reparti avant la fin de l'office à la gare d'Orry-la-Ville. On l'y accueille gentiment. Le chef de gare n'a rien à signaler, hormis un "problème" deux stations plus loin, au terminus, à Creil. Il ne connaît pas encore la nature du "problème" : deux voyageurs ont découvert une jeune fille agonisante. La nouvelle du meurtre tombe en fin d'après-midi, presque en même temps que l'annonce des émeutes de Villiers-le-Bel. Alors qu'une partie de la jeunesse se déchaîne dans ces quartiers, la politique s'empare de l'affaire du RER. Nicolas Sarkozy, quatre jours plus tard, évoque à la télévision "un prédateur", rappelant son projet de loi visant à imposer une peine de sûreté aux récidivistes. Sur Internet, le visage de la jeune fille catholique résistant à son violeur devient un symbole. Des sites d'extrême droite font d'Anne-Lorraine la victime d'un "délinquant immigré". Dans son bureau des Invalides, le colonel Schmitt en est accablé : "Ma fille aurait détesté ce genre d'amalgame. Cet homme est d'abord un détraqué." Le 1er décembre, à la cathédrale de Senlis, près de 1 500 personnes participent à une messe en mémoire de l'étudiante. Dans l'assistance, deux ministres, des officiers, des scouts, des étudiants en journalisme et les jeunes filles en uniforme de la Légion d'honneur. A quelques centaines de mètres de là, sur la ligne D, le RER poursuit son va-et-vient ouaté.
  15. Pas de soucis, ce sera pour le prochain concours koiquesse
  16. Bonjour Erika Je pense que tu parles des Z5300 et Z6100, surnomé les "petits gris". Tu trouveras des réponses sur ce site : http://pagesperso-orange.fr/trains_du_sud-ouest/page9.htm tu cliques sur Z5300 et Z6100 et tu auras des fichiers PDF avec les dates de mises en service, les dépots titulaires ...etc... A plus Nioc
  17. TOUTES MES FELICITATIONS bigbisous mdrmdr
  18. Un mort et une blessée lors de l'attaque d'un fourgon blindé à Paris AFP - 29/11/2007 12h42 PARIS (AFP) - Le convoyeur de fonds, blessé par balle jeudi matin lors de l'attaque d'un fourgon blindé de la Brink's près de la Porte de Bagnolet à Paris (XXe), est décédé peu après 13h00 à l'hôpital de la Salpetrière, a annoncé la direction de la Brink's à l'AFP. Le convoyeur de fonds et une passante avaient été blessés par balles jeudi matin lors de l'attaque d'un fourgon blindé de la Brink's près de la Porte de Bagnolet à Paris. Selon les premiers éléments de l'enquête, une fusillade a éclaté vers 7h30 entre trois malfaiteurs armés et deux convoyeurs près d'une agence bancaire de la Société générale, 116 boulevard Davout (XXe), à une centaine de mètres de la Porte de Bagnolet. Un des convoyeurs avait été blessé à l'aine et une passante, qui attendait l'autobus, a été atteinte par un éclat de balle, selon la Brink's. Elle a été hospitalisée à l'hôpital Saint-Antoine, selon la police. Selon la Brink's, les malfaiteurs ont pris la fuite sans emporter d'argent. La brigade de répression du banditisme (BRB) a été chargée de l'enquête. Le président de l'entreprise de transports de fonds Roger Dutoit s'est rendu sur place ainsi que Christian Lambert, directeur de cabinet du préfet de police de Paris. Un fourgon blindé compte trois personnes : le chauffeur, qui reste toujours dans le véhicule, un convoyeur qui porte les sacs entre le véhicule blindé et l'agence bancaire et un autre convoyeur qui assure sa protection. La Brink's a précisé à l'AFP que le convoyeur attaqué portait une valise intelligente (dont l'effraction provoque un jet d'encre sur les billets, les rendant inutilisables) et non un sac de billets. Depuis cinq ans, les attaques contre les transports de fonds ont fortement diminué alors que quatre convoyeurs de fonds avaient été tués en 2000 par des malfaiteurs. Les deux dernières morts de convoyeurs ont été enregistrées en octobre 2002 près de Lyon et en janvier 2007 à Metz. Selon un spécialiste, les attaques à main armée visent essentiellement les fourgons blindés. Les camionnettes banalisées transportant des billets contenus dans des valises intelligentes sont rarement visées par des attaques à main armée.
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