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Le Web des Cheminots

nicopasta

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  1. Non le métro ne va pas jusqu'à Launaguet. Mais il doit y avoir des bus je pense. Sinon la cale sèche Un des rares endroits de Toulouse à faire du rhum en fesant tremper les fruits dans les fioles. Du coup le rhum banane est très très fort La Bodéga très sympa vers Septembre Octobre, quand les nouveaux étudiants arrivent, c'est une étape obligée pour eux. Mais il ne faut pas oubliée la place St Pierre lors des soirs de match (de rugby) Sinon pour etre plus sérieux la formation est un peu technique oui, moi aussi j'y suis rentré ça fesait 3 ans que j'avais pas mis les pieds dans une salle de cours, mais quand on est motivé et surtout curieux, on réussit. Bon courage okok
  2. LE MONDE | 30.07.07 | 15h12 Les syndicats de cheminots et du secteur des transports mobilisent contre le service minimum. Mardi 31 juillet, dans plusieurs dizaines de villes, des rassemblements sont organisés devant les préfectures pour dénoncer une "remise en question du droit de grève". A Marseille, ville où les conflits dans les transports sont souvent durs, la CGT, la CFDT, la FSU, l'UNSA et Solidaires appellent à manifester contre "cette loi scélérate qui ne règle en rien les dysfonctionnements du service public et du dialogue social". A Paris, la manifestation se déroulera aux abords de l'Assemblée nationale, où les députés ont débuté, lundi, l'examen du projet de loi "sur le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs". Au niveau national, sept fédérations de cheminots (CGT, SUD-Rail, CFDT, UNSA, FO, CFTC et FGAAC), ainsi que quatre fédérations de transports (CGT, CFDT, FO et CFTC), ont appelé à cette "première" mobilisation qui tombe le dernier jour du mois de juillet. La date n'aide pas, reconnaît Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminots, d'autant qu'il n'était pas question d'appeler à la grève. "C'est un premier rendez-vous, mais la question ne sera pas réglée par le vote de la loi, explique-t-il. Celle-ci prévoit en effet des négociations dans les entreprises pour mettre au point des systèmes pour garantir la continuité du service." Les syndicats espèrent pouvoir alors peser, d'autant que les sujets d'inquiétude, notamment chez les cheminots, sur les restructurations - dont celle du fret avec plusieurs milliers de suppressions d'emplois à la clef ou encore la réforme des régimes spéciaux de retraite, à venir en 2008 - sont nombreux. Au centre des critiques syndicales, relayées par les parlementaires de l'opposition, deux points demeurent : l'obligation pour le salarié de déclarer quarante-huit heures avant le déclenchement du conflit son intention de faire grève, assortie d'une sanction possible s'il ne l'a pas fait. Pour les syndicats, il s'agit d'une remise en question du droit de grève individuel. De plus, si les salariés changent d'avis, cela risque de fausser la prévision du trafic pour laquelle ce dispositif, le "préavis de grève individuel" ainsi que l'a nommé la présidente de la SNCF, Anne-Marie Idrac, a été conçu. Les syndicats rejettent aussi le vote à bulletin secret au bout de huit jours de grève. Il ne fera qu'aggraver, pensent-ils, une situation déjà tendue dans une entreprise aux prises avec un conflit social long. Une mobilisation sans préavis de grève Cette journée de mobilisation n'occasionnera aucune perturbation dans les transports publics. En effet, aucun préavis de grève n'a été déposé. Il s'agit, pour la CGT, d'une journée de mobilisation pour"ne pas laisser sans réponse des salariés concernés" . Bernard Thibault a précisé qu'il ne s'agissait que "d'une première étape" avant d'autres "mobilisations à la rentrée". Pour Annick Coupé, porte-parole de Solidaires, "même si ces rassemblements (...) seront symboliques et militants, nous devons montrer aux salariés qu'on ne laisse pas passer cette loi sans rien dire".
  3. LE MONDE | 28.07.07 | 13h15 Les régions vont-elles freiner la mise en place du service minimum ? Contraintes par la future loi sur le dialogue social et la continuité du service public dans les transports terrestres réguliers de voyageurs de négocier avec les transporteurs un service minimum, elles devront définir, ainsi que le précise l'actuel projet, "les dessertes à assurer (...) en cas de perturbation prévisible du trafic". Mais les régions, dont 21 sur 22 en métropole sont tenues par la gauche, n'apprécient guère. Le président de l'Association des régions de France (ARF), Alain Rousset, président du conseil régional d'Aquitaine (PS), accompagné de Martin Malvy, son homologue de Midi-Pyrénées, chargé des transports à l'ARF, devraient l'expliquer au ministre du travail, Xavier Bertrand, lundi 30 juillet. "Les conflits sociaux ne sont pas responsables des plus graves dysfonctionnements, dit M. Malvy, et ce n'est pas cette loi qui va régler le problème." Mais, ajoute-t-il, "on est coincés. Si la loi est votée, nous l'appliquerons d'autant que, précise le projet, si on ne le fait pas, ce sont les préfets qui le feront". Autre président socialiste, Jacques Auxiette (Pays-de-la-Loire) s'insurge. "Le gouvernement fait preuve d'hypocrisie et manque de courage, assène-t-il. S'il veut limiter le droit de grève, il ne doit pas se décharger sur les autorités organisatrices de transport", soit les régions, les départements et les communes. De plus, dit-il, toutes les conventions actuellement négociées avec la SNCF prévoient des clauses sur un service garanti, assorties de pénalités en cas de non-respect. Michel Destot, président du Groupement des autorités responsables de transports publics, prévient aussi : "Nous aurions préféré une démarche contractuelle et pas législative et nous savons qu'il ne sera pas possible de tenir les délais prévus par la loi, soit le 1er janvier 2008." Le député (PS) de l'Isère ajoute que, "dans les petites agglomérations, les départements, cela va être dur de négocier avec toutes les sociétés de cars par exemple, cela sèmera le trouble alors qu'il n'y a jamais de problème ; on sera hors délai". Selon lui, "pour le gouvernement, cela ne compte pas, l'important c'est l'affichage politique et que la loi soit votée". Autre point possible de blocage, dans les actuels exécutifs régionaux, la responsabilité des transports est très fréquemment confiée à des communistes : c'est le cas dans 13 régions sur 22. Premier d'entre eux, l'ex-ministre des transports de Lionel Jospin, Jean-Claude Gayssot, chargé de ce dossier en Languedoc-Roussillon, rappelle les liens entre son parti et l'entreprise nationale SNCF, relation étroite aussi avec la CGT, premier syndicat chez les cheminots. "François Mitterrand, en 1981, a confié ce ministère à Charles Fiterman, communiste, et ces liens ont toujours existé", explique l'ex-cheminot M. Gayssot. Dit autrement par le socialiste chargé des transports en Rhône-Alpes, Bernard Soulages : "La plupart des régions choisissent des gens en phase avec la SNCF, ses agents... et la CGT." M. Gayssot affirme son opposition à la loi examinée par les députés à partir de lundi et qui a été votée par les sénateurs le 19 juillet : "Comme vice-président de la région Languedoc-Roussillon, je ne participerai pas, ni de près ni de loin, à la remise en cause du droit de grève." Et ses collègues communistes lui emboîtent le pas. "C'est M. Sarkozy qui veut cette loi, dit Daniel Beurdeley, vice-président PCF de Picardie, il n'a qu'à se débrouiller." Pour lui, la plupart des régions ont déjà négocié avec la SNCF, et il n'est pas question de recommencer. "Je voudrais que l'on fasse de la résistance, souhaite M. Beurdeley, par rapport à ce gouvernement de combat." "Je ne serai pas zélé dans la mise en oeuvre de la loi, renchérit Gérard Lahellec, vice-président pour la Bretagne, communiste lui aussi. "Je considère que les dispositions allant au-delà de la convention que l'on vient de renouveler avec la SNCF, précise-t-il, remettent en cause le droit de grève et je ne mangerai pas de ce pain-là."
  4. LEMONDE.FR Avec AFP et Reuters | 28.07.07 | 10h24 Un homme est mort après avoir été grièvement blessé vendredi soir 27 juillet lors d'un contrôle d'identité à la gare du Nord, à Paris. Selon la préfecture, des policiers ont tiré sur lui après qu'il eut sorti une arme pour les viser. Deux enquêtes ont été ouvertes pour déterminer les circonstances du drame. "C'est l'hypothèse de la légitime défense qui est retenue en l'état des investigations", a déclaré à l'AFP un procureur adjoint, en précisant que l'enquête allait se poursuivre avec l'autopsie de la victime et une expertise technique des armes des policiers. RÉCITS CONCORDANTS Parallèlement, une enquête a été confiée à la brigade criminelle qui a procédé aux premières investigations sur place. Selon les premières constatations, six balles ont été tirées par les policiers en direction de la victime, un Algérien de 34 ans, inconnu des services de police, qui a été atteint au thorax et au genou. Les récits concordants, selon le parquet, des policiers et de témoins de la scène, ont permis aux enquêteurs de reconstituer les faits. Vendredi vers 19 h 20, quatre fonctionnaires du Service régional de la police des transports (SRPT) contrôlent l'identité d'un homme seul. L'homme les suit sans problème mais arrivé face à un magasin de sport, il accélère subitement son pas, plonge sa main droite dans sa veste et se retourne en braquant un policier avec un pistolet d'alarme. Trois des fonctionnaires s'écartent de sa ligne de tir en lui demandant de lâcher son arme. Mais l'homme ne répond pas et fait feu en direction de l'abdomen du quatrième fonctionnaire resté face à lui. Une flamme est sortie du canon de l'arme de l'agresseur mais aucun projectile n'est parti. Une policière qui se trouvait de côté a alors fait usage de son arme de service blessant vraisemblablement l'homme à la jambe. Mais ce dernier a continué à manipuler son arme. SIX BALLES TIRÉES PAR LES POLICIERS A-t-il ou non tiré un second coup de feu ? L'enquête n'a pour l'instant pas permis de le déterminer, a expliqué le parquet selon lequel plusieurs témoins ont cependant assuré que l'homme s'apprêtait à tirer une seconde fois sur le policier qui lui faisait face. Deux ou trois de ses collègues ont alors ouvert le feu et l'ont mortellement atteint au thorax. Transporté dans un état grave à l'hôpital Bichat, il est mort dans la soirée. Parallèlement, une enquête a été confiée à la brigade criminelle qui a procédé aux premières investigations sur place. Selon les premières constatations, six balles ont été tirées par les policiers en direction de la victime.
  5. LE MONDE | 27.07.07 | 16h13 La région Midi-Pyrénées a signé, mercredi 25 juillet, un plan de rénovation de son réseau ferroviaire, avec Réseau ferré de France (RFF) et la SNCF, pour un montant total de plus de 820 millions d'euros. C'est le premier programme de cette ampleur lancé par une région. La collectivité s'engage pour un montant de 500 millions d'euros. Les opérations de renouvellement s'achèveront en 2013. Le président (PS) de la région Midi-Pyrénées, Martin Malvy, constate qu'une partie du réseau ferroviaire est actuellement "en fin de vie". La seule solution mise en oeuvre jusqu'à présent consiste à ralentir les trains. "Sur certaines lignes, les TER doivent rouler à 50-60 km/h à l'heure, voire à certains endroits à 20 km/h." Au total, 500 kilomètres de voies vont être renouvelés. Pour Martin Malvy, "cette politique en faveur du transport ferroviaire contribue au développement durable. Entre 1998 et aujourd'hui, le nombre des voyageurs dans ma région a été multiplié par deux". Au moment où l'Assemblée nationale doit débattre du projet de loi sur le service minimum, M. Malvy voit dans ce "plan rail" la preuve que "les dysfonctionnements dont souffrent aujourd'hui les usagers sont principalement liés à des problèmes de maintenance, de personnels ou de vétusté du matériel, très peu à des grèves. En Midi-Pyrénées, au cours des cinq premiers mois de l'année, seulement 2,4 % des trains ne sont pas partis. Soit environ un millier. Sur ce nombre, la plupart des incidents étaient liés à des problèmes de matériel, de personnel ou de maintenance. Seulement 11 % à des grèves. Ce serait induire en erreur l'usager que de lui faire croire que le principal problème, c'est la grève." "DÉGRADATION" Cette position rejoint celle de l'Association des régions de France (ARF), exprimée dans un communiqué du 10 juillet. L'ARF déplore une "dégradation" du service dans les transports. Cependant, précise-t-elle, "l'essentiel de ces perturbations est dû à différentes causes : des problèmes de maintenance du matériel et des infrastructures, un manque de moyens et rarement des grèves". Pour les régions, "ce que souhaitent les usagers, c'est une qualité de service au quotidien et en temps normal. L'Etat doit donc d'abord, en priorité, donner aux acteurs du système ferroviaire des moyens de l'entretenir, de le moderniser et de le développer." L'ARF se déclare aussi convaincue de "l'absolue nécessité de miser d'abord sur le dialogue social". Depuis janvier 2002, les régions de métropole, à l'exception de l'Ile-de-France et de la Corse, sont devenues les autorités organisatrices des services régionaux de voyageurs. Elles sont liées à la SNCF par des conventions pluriannuelles, dont beaucoup sont actuellement en cours de renouvellement. Le président de l'ARF, le socialiste Alain Rousset, doit rencontrer le ministre du travail Xavier Bertrand, le 30 juillet, en compagnie de Martin Malvy.
  6. Je pense que les journées à fournir doivent etre le vendredi et/ou dimanche, journées de pointe GL, et que si on les mettait en grille, certes cela ferait des lignes en plus, mais ça mettrait des RP en semaine, et que du coup le quota minimum de RP en week-end ne serait pas respecté... Francoué confirmera okok
  7. Non ça c'est de la bétise humaine Et c'est pas propre au 63500 et 72000 mdrmdr
  8. N'attend pas de recevoir ta lettre, prend les devants, anticipe ça et va voir le DET directement, montre lui ta motivation, ton envie de rester à la SNCF. Ne te laisses pas abattre, si ils voient que tu en veux vraiment ils te garderont. Peut etre qu'ils te mettront ailleurs, dans un poste moins interressant pour toi, mais ça te permettra de garder les 2 pieds dans la boite. Et puis dans quelques années tu pourras repartir pour une formation ASCT. Tu sais peut etre que le RH a quelque chose contre toi, mais dis toi que ce genre de personne c'est des cariéristes, ils occupent un poste 3-4 ans avant d'etre propulsé ailleurs. Donc tu attendras patiemment de refaire une formation. Mais en attendant BOUGE TOI les fesses, demain tu vas voir ton DET, tu prends pas RDV, tu dis que c'est urgent, que c'est de ta vie qu'il s'agit. Emploi des mots forts, fais les changer d'avis, mais ne traine pas. Et reviens ici quand tu as besoin de moral Bon courage Nico
  9. LEMONDE.FR avec AFP et AP | 17.07.07 | 15h15 Un train transportant du phosphore jaune, une substance inflammable et très toxique, a déraillé, lundi 16 juillet, dans la région de Lvov, en Ukraine, créant un nuage toxique qui peut contaminer quatorze villages aux alentours, selon les autorités locales. Au moins vingt personnes ont été empoisonnées et plus de 800 autres évacuées à leur demande. Plus de 11 000 personnes habitent dans la zone sinistrée. L'incident s'est produit lorsqu'une quinzaine de wagons-citernes, en provenance du Kazakhstan et à destination de la Pologne, se sont renversés et ont pris feu. Les pompiers ont réussi à éteindre l'incendie plusieurs heures plus tard. Les autorités n'ont pas encore établi les raisons de cet incident, mais excluent la thèse d'un attentat terroriste.
  10. LE MONDE | 24.07.07 | 14h27 Après la poste, les télécommunications et l'énergie, l'Allemagne s'apprête à ouvrir un autre secteur stratégique aux capitaux privés, les chemins de fer. La grande coalition d'Angela Merkel (CDU) devait ouvrir la voie mardi 24 juillet à la privatisation partielle de la Deutsche Bahn à l'horizon du second semestre 2008. Le ministre social-démocrate des transports, Wolfgang Tiefensee, devait en effet présenter le projet de loi en conseil des ministres : il compte vendre dans un premier temps environ 25 % du capital, soit à la Bourse, soit directement auprès de gros investisseurs. A terme, l'Etat restera majoritaire avec 51 % des chemins de fer allemands, qui valent quelque 20 milliards d'euros. "Nous avons besoin de partenaires privés pour rendre la Bahn encore plus forte, car (elle) doit pouvoir s'imposer sur le marché allemand, très ouvert, face à des concurrents étrangers", a déclaré le ministre au magazine Focus, lundi. Dans certaines régions outre-Rhin, opèrent déjà depuis plusieurs années des compagnies ferroviaires privées. DIVISION DE LA GRANDE COALITION Le réseau ferré doit rester propriété de l'Etat. "Aucun investisseur n'aura accès à un seul mètre de rail", a assuré le ministre, garantissant que le gouvernement continuerait dans les quinze prochaines années à investir jusqu'à 2,5 milliards d'euros par an dans l'entretien du réseau. Les parlementaires doivent commencer à examiner le texte à l'automne. D'ores et déjà, plusieurs Etats régionaux expriment leurs craintes de voir des liaisons ferroviaires locales sacrifiées au bénéfice de grandes lignes plus rentables. Au sein de la grande coalition, le projet divise également les conservateurs, hostiles à une aide publique au réseau ferré trop généreuse, et les sociaux-démocrates, parfois opposés à l'idée même d'une ouverture du capital. Si Alois Rhiel, ministre conservateur des transports de la riche région de Hesse (ouest de l'Allemagne), estime que le projet de loi ne va pas assez loin pour stimuler la concurrence et "favorise" trop la Deutsche Bahn, Thomas Jurk, son homologue social-démocrate de Saxe (ex-RDA), insiste pour que les pouvoirs publics conservent une "influence directe en matière d'investissements". Le patron de la Deutsche Bahn, Hartmut Mehdorn - depuis 1999 à la tête de la lucrative entreprise qui emploie 230 000 personnes - aura la tâche de mener à bien l'ouverture du capital. Son mandat, qui devait expirer en mai 2008, a été prolongé jusqu'à 2011 pour ce faire. M. Mehdorn, qui était partisan d'une ouverture du capital dès le premier semestre 2008, peut déjà se targuer d'avoir fait exploser les bénéfices du groupe, à 1,7 milliard d'euros en 2006, grâce notamment à de juteux investissements dans le fret à l'étranger. En attendant, le patron, un proche des sociaux-démocrates, devra clore un dossier qui pourrait gâcher le plaisir des aoûtiens en Allemagne : un syndicat appelle une nouvelle fois à la grève pour revaloriser les salaires des conducteurs de locomotive.
  11. Réouvrir la petite ceinture (PC), c'est une très bonne idée et un bon complément de la GC ça mais vu son état, cela couterait une fortune je pense, elle est totalement desafectée à certains endoit. Voir ce site pour plus d'infos http://www.petiteceinture.org/
  12. Il me semble que toutes les voies, appartiennent à RFF. Pour les gares si je ne me trompe pas, elle sont encore à la SNCF, jusqu'au moment où l'ouverture à la concurrence voyageur sera là, et là les gares ne seront plus à nous. Probablement à RFF, mais j'ai bien peur qu'ils prennent exemple sur les aéroports et donnent la gestion aux CCI, voire à du privé. Quoiqu'il en soit chaque compagnie aura son propre guichet en gare, et paiera une taxe pour y etre...
  13. Bonjour Sylvain, quelle erreur que ce RH a fait en te retirant de la formation, non seulement il te pourrit ta carrière promise, mais en plus il fait perdre de l'argent à la boite. Je te conseille comme les autres de contacter les syndicats (plusieurs si tu peux) et de te faire recevoir le plus rapidement par le DET, voir le directeur de région. Il ne faut pas te laisser abattre, c'est justement ce qu'ils attendent, soit plus fort qu'eux, montre leur que tu en veux, que tu veux une autre chance. Bon courage Nico
  14. Ola mais si tu savais le nombre d'erreurs qu'ils font dans le genre sur ce site... Des fois ils font des fautes d'orthographes, des fautes de frappe, d'autre fois ils mettent des gares sur la mauvaise ligne, mais le pire c'est quand ils disent autre chose que les vrais raisons d'un retard On a l'impression que les gens qui travaillent sur Infolignes sont des intérimaires :)
  15. Bonsoir, Il me semble qu'elles représentait le grade de la personne. Si je me souviens bien c'est Tram qui a expliqué ça une fois de façon assez détaillée mais je ne retrouve plus le sujet. Si jamais il passe par là il pourrait nous réexpliquer lotrela
  16. Magnifiques photos Sylvain Ah qu'elles sont belles nos Pyrénées, que ça me manque de pas y etre tous les jours zzz
  17. Pour ma part j'ai commencé ma formation en avril 2004, j'ai eu le pont de l'ascension, ensuite 3 semaines en juillet aout, quelques jours à la toussaint, les 2 semaines à Noel, et une semaine en février-mars. Je trouve que c'était plutot bien étalé Mais sinon comme disent certains ici, prépare toi à ne plus trop avoir de vie de famille, à toi les horaires décalés, le travail la nuit, le dimanche, les jours feriés, les RHR ...etc... Bon courage !
  18. Ca a été pensé pour Ibrahima ça, comme ça il ne se plaindra plus de la hauteur des plafonds bigbisous
  19. Bonsoir, Il me semble que cette voiture controle l'état de la caténaire, la pression, la hauteur par rapport au rail, et plein d'autres choses je pense mais que des personnes spécialistes pourraient nous dire .
  20. J'ai essayé et ... on va dire que 5376087 personnes avant moi ont essayé lapleunicheuse
  21. Peut etre, mais il faut savoir que certaines gares n'affichent que 5 chiffres et d'autres les 6 chiffres. Exemple avec le TER 876426 Narbonne - Avignon. voici ce que marque le tableau de la gare de Narbonne : 4660 15h42 : MARSEILLE D 76426 15h55 : AVIGNON CENT A 5314 16h08 : LYON PARTDIE D Et voici ce que met le tableau de la gare de Montpellier : 6211 16h57 : PERPIGNAN 876426 16h58 : AVIGNON 71 17h03 : BARCELONE
  22. Pas forcément, par exemple avant à Bordeaux il y avait un roulement 161P et un 161N, les lettres correspondaient à la connaissance de ligne P pour Paris et N pour Nimes, et le 161P était pour les plus anciens que le 161N. Mais bon la problème ne se pose plus car maintenant ils ont été rebaptisé, en 120 (vers Paris) et 160 (vers Marseille)
  23. Le 1er chiffre correspond à la nature du roulement, le 2ème au mode de traction, et le 3ème à la nature du service. Voici un document qui reprend tout okok
  24. Euh dans l'article il est écrit que le mécano a été descendu ? Est-ce vrai et est-ce définitif ? Parce que pour moi il est clair que c'est un problème technique et non une erreur humaine. Sinon pourquoi dès le lendemain une note était affichée à la feuille sur des précautions à prendre en plus pour l'utilisation des freins linéaires ? C'est quand meme assez honteux que la direction ne sache pas prendre ses responsabilités okok
  25. Salut Yaya, ne le démoralise pas trop le pauvre, je prends mon exemple ou c'est mon engin de base, avec la MI 84 et la 22200, je n'aimais pas non plus la MI, et bien au bout de 2 ans j'ai réussi à avoir un roulement qui n'en fait pas . Maintenant sur Paris Est je ne sais pas si il existe des roulements banlieues sans MI...
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