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Le Web des Cheminots

moved2east

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  1. [mode provoc on] Vu le savoir faire des entreprises ferroviaires (surtout les nouvelles), je ne sais pas si on peut vraiment parler de concurrence ?!... [mode provoc off] Et puis, 1250 euros par mois en transport routier, c'est un contrat-pro ou de la messagerie locale... et la nuit se fait à la maison. Après, si on tape de le régional/national avec découchés, c'est mini 1500 sans expérience, le tout pour tracter un ensemble de 40 tonnes principalement en journée, et en ne travaillant jamais le dimanche (sauf frigos et rapatriements à vide). Depuis cinq ans, le transport routier se réglemente de plus en plus (RSE) alors que le ferroviaire n'est toujours pas doté d'une convention collective nationale décente (alors une réglementation européenne, on en est loin) ! Le patronat et le gouvernement trainent tellement la patte qu'on se demande bien à qui profite le crime ?... L'ennemi du ferroviaire, c'est pas la route, c'est ceux qui en ont le pouvoir décisionnaire. Pendant que vous vous foutez sur la gueule à essayer de savoir qui a légitimement sa place sur les rails, le patronat se frotte les mains en continuant le jeu de massacre social. Quant le ferroviaire n'aura plus à offrir que des salaires et de conditions de travail merdiques, les derniers qui accepteront encore de se lancer dans cette aventure le feront par dépit, et c'est alors la qualité du service qui finira de tuer le recours à ce mode de transport. Il n'y a pas assez de passionnés du chemin de fer prêt à faire du bénévolat pour satisfaire un rêve d'enfant au détriment d'une vie de famille pour faire tourner la (les) boutique(s) !!! Perso, voir qu'un jeune fraichement sorti de l'école se pose des questions, ça me rassure. Il n'est pas dans un discours du genre "tout, tout de suite", il trouve juste que 1250 euros pour avoir une telle responsabilité, avec des découchés et des horaires décalés ça fait franchement light... et je trouve qu'il a raison pascontent
  2. Hé ! Hé ! Hé ! Je suis plié de rire !!! Et je pense que ce n'est que le début de l'effet boomrang... D'abord on libéralise, ensuite on utilise la pression créée par l'existence des boites privées dites "low cost" pour forcer la réforme d'un statut, et une fois que c'est fait (ou, du moins, bien avancé), on se rend compte que la grande majorité des professionnels ont choisi leur camps : "c'est ça que vous proposez ?!!! Euh... ben non alors, je reste où je suis !". Le fric ne fait pas tout ! Au début, certains se sont dit qu'ils pouvaient bien aller faire un peu de rab dans le privé, certains pour finir de payer leur cuisine dernier cri achetée à crédit, d'autres pour payer les études de leurs enfants et leur offrir une chance de sortir un peu de la "lignée sociale" dont ils sont issus (ce qui, à mon avis, est largement plus noble que la cuisine...). Le soucis, c'est qu'en embauchant aussi des jeunes, on a fait cohabiter deux populations qui n'ont pas les mêmes besoins de se projeter dans l'avenir. Ceux qui sont venus faire du rab ont accepté beaucoup de choses en ayant toujours à l'esprit qu'ils pouvaient, de toute façon, stopper l'aventure quand bon leur semblerait. On leur a donné une grosse paye pour valoriser leur "savoir faire", et, au début, on n'a utilisé QUE leur savoir faire. A côté, on a mis des jeunes de peu d'expérience du monde professionnel. En leur payant une formation et en leur insufflant l'idée qu'on leur offrait une opportunité rapide de rentrer dans la "cours des grands", cette entreprise privée s'est dotée d'un personnel docile et peu disposé à revendiquer. En utilisant leur naïveté et leur peu de connaissances du monde ferroviaire, on leur a fait avaler des couleuvres en tentant de leur mettre en tête que tout ce qu'on leur imposait était lié à l'activité... et certainement pas à l'entreprise. Sauf que le temps est passé. Ces "jeunes ingénus" ont grandi et ont commencé à poser des questions : - et pourquoi que tu m'as embauché dans le nord pour me faire bosser dans l'Est ? - et pourquoi que l'autre, là, il fait deux fois ma paye ? - et pourquoi que c'est toujours moi, le polyvalent, qui me pèle les coucougnettes sur le triage, à taper les semelles, à porter les lanternes de queue, à refaire les attelages... alors que l'autre, là, celui qui fait deux fois ma paye, il fait QUE conduire des trains ? - et pourquoi que tu m'as proposé un emploi de conducteur de train si ce que tu avais à me proposer c'était "manoeuvre, desserte, formation..." ??? Ces même jeunes qui ont grandi ont eu besoin de se projeter un peu plus dans les années à venir. Alors sont aussi arrivées les questions qui ont trait à la possibilité de glisser une vie privée à côté de son boulot : - eh, c'est quand qu'on aura des plannings corrects ? - eh, chef, tu m'as dit que pour les plannings ça allait s'arranger. Mais en réalité, pour ce client, on a vendu un service modifiable à S-1... tu me prendrais pas un peu pour un buse là ? La crise est passée par là. Rhâââ, saleté de crise ! Il a fallu prendre des mesures draconiennes pour optimiser au maximum l'utilisation du personnel. Du coup, les anciens de l'entreprise historique ont du faire un choix : on leur a proposé un CDI à la condition qu'ils acceptent l'idée de la polyvalence sur le contrat de travail. En gros, on leur a dit "si tu veux un contrat comme les copains, faudra faire le boulot comme les copains". Au passage, y'avait aussi un manque à gagner financier de taille... pour le taux horaire je ne sais pas s'il a vraiment baissé, mais de toute façon y'avait déjà les congé payés qui sautaient (en devenant de vrais congés... posés et obtenus dans les mêmes conditions que les copains, et sur ce sujet le seul gagnant était l'entreprise...) et tout ce qui pouvait être lié à la précarité (soit un pourcentage, soit inclus au taux horaire...). Certains ont refusé, d'autres ont accepté. Mais dans les faits, quand on a des conducteurs qui possèdent autant de connaissances "ligne" et qu'on fait tourner la boutique avec le minimum d'effectif, mettre en place des formations à la polyvalence relève de l'exploit ! Pour les remplacer, faut déjà avoir des gars formés sur ces lignes, mais pour former ces gars sur les ligne, pour d'abord pouvoir les libérer de leurs autres fonctions... etc... etc... on appelle ça "un serpent qui se mord la queue". Et c'est long... trèèèèès long.... et pendant tout ce temps, on a des "polyvalents" qui font un train par mois, des fois moins ! Bref, aujourd'hui, dans cette boite en particulier, il y a une population de jeunes qui sont "sur les dents". Ils ont eu affaire au "rouleau compresseur social Veolia". Ils ont fait plein d'efforts, ont travaillé avec des plannings "free style" en espérant des jours meilleurs, y ont laissé santé et famille... et, une fois que le citron était bien pressé, on leur a dit "qu'ils n'étaient pas stratégiques" et qu'on allait les vendre. Au passage, il a fallu qu'ils acceptent l'idée qu'ils ne bénéficieraient jamais des conditions de travail liées aux trains de voyageur (horaires, lieux de PS et FS...) puisque Europorte n'a pas vocation à se glisser dans cette brèche (alors que Veolia, si). Cette idée de parrainage m'inspire deux réflexions : - pour les retraités de la SNCF, si vous voulez continuer de tout casser, allez-y... avec un peu de chance, d'ici quelques années, c'est à 70 ans que vos anciens collègues auront une chance de partir à la retraite ! Voyez aussi que la place que vous prenez, c'est la génération de vos propres enfants (ou même petits-enfants) qui ne l'aura pas ! - pour ceux d'Europorte, il y a une évidence : votre entreprise a besoin d'eux, et, ne vous leurrez pas, ils mettront leurs conditions... et tout ce qu'ils auront, c'est autant que vous n'aurez pas. Putain, mettez donc la pression pour de vraies embauches avec la formation qui va bien, c'est plus sûr à long terme ! S'il est vérifié que cette idée de parrainage a bien pour objet d'utiliser votre présence sur le terrain pour jouer les apprenti-recruteurs (après tout, on n'a pas encore vu cette note ici), jouer ce jeu serait comme inviter son propre bourreau à sa table... ou, comme disait Coluche, comme un crocodile qui va faire ses courses dans une maroquinerie !!! Vendre son propre avenir pour 150 euro ?!... Là, on vous prend vraiment pour des cons !... Comme je sais que mes messages sont lus autant par mes anciens "chefs" que par ceux qui, finalement, prennent la décision de ne pas m'embaucher, j'en profite pour vous glisser un petit mot : ma santé se porte mieux !!! - pour les mots de tête, il semblerait qu'une dent mal soignée soit à l'origine de ces problèmes... mes rendez-vous manqués (jusqu'à ce que je pète un cable à ce propos, souvenez-vous) ont peut-être eu raison de la patience du dentiste en question... - pour les problèmes intestinaux, je n'en ai presque plus et on n'a toujours pas trouvé l'origine, à tel point que j'adhère avec l'idée que ça ait pu être somatique... et à vrai dire, ça a commencé à diminuer après ma démission (à croire que même l'angoisse du non-emploi était inférieure à celle provoquée par le sentiment de n'être plus propriétaire de ma vie privée) jusqu'à avoir pratiquement disparu maintenant.
  3. Rhàààà, s'il avait pu tenir ce genre de discours en 95 !..... :D
  4. Si l'idée est de régler des comptes en utilisant un exemple de vice de forme pour les obliger à mettre la main à la poche et annoncer l'annulation de tous les dédits de formation... ... réglez ça entre vous (enfin, ceux qui sont concernés), et bon courage ! Ce sont des procédures longues et éprouvantes mais qui, lorsqu'elles aboutissent, permettent d'assainir la situation. Ce sont aussi des procédures pour lesquelles il vaut certainement mieux prendre conseil auprès de pros du droit plutôt que sur un forum... enfin je pense Ben ça dépend du gars et de ce qu'il veut !... Je croyais que tu pensais à un gars en particulier, du coup j'échafaudais des hypothèses pour un gars qui en a plein le c..., qui veut passer à autre chose vite et qui ne veut surtout plus entendre parler de cette boite au plus vite, et dans ce cas très particulier (auquel j'ai été confronté auprès de certains anciens collègues), la démarche prud'hommes est loin d'être satisfaisante (trop lent). Et souvent, une simple confirmation du "non fondé" du dédit de formation représente une une bouffée d'oxygène qui permet de prendre les bonnes décisions. Bon, j'arrête aussi le HS, le sujet initial concernait un licenciement...désolé.
  5. Ben non, les prud'hommes c'est seulement si on te cherche des noises. Moi, je dirais : se payer UN rendez-vous avec un avocat spécialisé dans le droit du travail (ou avoir recours à un service gratuit genre syndicat, municipalité, on y trouve de bons juristes) juste pour faire relire tous les documents du contrats, et dès lors qu'on a la confirmation qu'il y a un vice de forme, continuer son chemin... comme on l'entend, ce qui suppose qu'on puisse même se sentir tellement libéré qu'on retrouve le sourire en venant gratter et qu'on ait plus vraiment envie de partir (va savoir ...). Je me sens concernés par ce fil (peut être parce que je le suis...concerné) mais mon intention n'est pas de faire briser tous les dédits de formation qui ont été mal formulés. Au contraire, je ferais plutôt parti des défenseurs de cette mesure (dans une certaine limite !). En revanche, ce qui me révolte, c'est cette espèce de terreur qui est volontairement entretenue dans les boites, par le biais de la pire des désinformations, et qui fait que des gars vivent dans l'angoisse de devoir faire un emprunt si, un jours, ils souhaitent aller faire autre chose. En générale, à l'embauche, on dit "vous avez une obligation de rester au service de l'entreprise durant ... années/mois", ce qui est faux ! C'est fini l'esclavage ! Personne n'est OBLIGE, c'est quoi c'délire ?!... Ensuite on nous fait comprendre que pour retrouver notre liberté, il faut payer, et que notre liberté coûte de moins en moins cher jusqu'à être complètement gratuite au bout de tant de mois (rhôôô, ah ça, c'est bien, on est content !). Je crois qu'il n'y a pas pire façon de parler du dédit de formation ! Ce qui est dit, c'est pas faux... mais c'est pas vrai non plus :blush:
  6. Est-ce que le qualification de CRML en tant que telle trouve une équivalence en matière de diplôme (genre niveau V) ? Dans la négative, cela expliquerait le recours à un organisme extérieur qui, lui, délivre cette équivalence qui est une obligation pour pouvoir mettre en place un contrat de professionnalisation. [humour on] presque... "what do you want ?" [humour off]
  7. Oui, il semblerait bien. Je trouve toujours rien dans mon ordi (vraiment chuis un peu bordélique...), mais j'ai, vite fait, trouvé deux trucs sur le net : « La clause de dédit-formation ne doit pas être associée à une clause de non concurrence ayant pour effet d’empêcher le salarié d’exercer librement son métier ». http://www.tripalium.com/gazette/gazette20.../deditform1.htm La Cour de Cassation a rappelé dans une décision rendue le 21 mai 2002 (Pourvoi N°00-42909) , les conditions nécessaires à la licéité d'une clause de dédit-formation. La clause de dédit formation est celle par laquelle, le salarié s'interdit pendant la période d'amortissement du coût d'une qualification déterminée à l'avance dans le contrat, d'exploiter cette qualification, payée par son employeur, auprès d'une société concurrente. A défaut d'être respectée, le salarié doit rembourser à son employeur les frais déboursés par lui pour l'accomplissement de sa formation. http://prudhommesisere.free.fr/formation/f...3.htm#deditform En résumé, coupler les deux, ça dirait : - si tu vas gratter chez le concurrent, on ouvre les hostilités. - de toute façon, t'as pas le droit d'aller gratter chez le concurrent. Ca colle pas, le second empêche le premier d'être une option possible :Smiley_17:
  8. Salut, J'ai changé d'ordi et je ne retrouve plus mes docs (j'ai transféré un peu vite), mais, pour résumer, l'un (clause de non concurrence) induit l'idée que l'employeur indemnise le fait de t'imposer de ne pas aller voir la concurrence alors que l'autre induit que ce soit le salarié qui soit redevable financièrement. Je ne sais plus si c'est dans le code du travail ou dans une jurisprudence, mais le recours au deux (outre le fait que ce soit plutôt stupide) est abusif. Enfin, par extrapolation, un dédit de formation n'est valable que s'il ne te prive pas de la liberté de démissionner (moyennant remboursement d'une partie de la dette). Or, si on te prive aussi de la liberté d'aller exercer ton métier ailleurs ne serait-ce que pour t'acquitter de cette dette, on est clairement dans un exemple de privation de possibilité de démissionner, non ?
  9. Salut, Au passage, tu viens d'apporter une réponse à une question posée plus haut : c'est SOIT le dédit de formation SOIT la clause de non concurrence, pas les deux, c'est incompatible (heureusement). Pour la question de la formation, cette période doit apparaître sur le certificat de travail (genre conducteur stagiaire). La certification appartient bien à l'entreprise, mais comme pour l'instant il y a encore peu d'entreprises ferroviaires et que tout le monde connait tout le monde, libre à une entreprise qui souhaite t'embaucher de te proposer une évaluation de tes compétences avant de prendre la responsabilité de te certifier en engageant sa propre licence. Pour ce qui est des compétences annexes (genre MD citées plus haut), elles font habituellement l'objet de formations complémentaires. Après tout, ce n'est pas plus compliqué de former un gars à la VAMD qu'à tel ou tel type de wagon particulier pour la RAT... à condition de disposer d'une structure qui sait faire autre chose que la formation initiale. Le problème, à mon (humble) avis viendra plus du motif de la rupture du contrat Encore une fois, pour l'instant c'est un tout petit milieu et les dirigeants ont souvent le loisir de communiquer. Et là, le motif de la rupture du contrat prend une place importante. Quelle que soit la qualification, on est pas reçu de la même façon selon qu'on a démissionné, qu'on ait fait l'objet d'un licenciement économique ou d'un licenciement pour faute ! Pour répondre au début du fil concernant ce collègue du privé, je pense qu'il faut déjà qu'il réfléchisse à ce qu'il souhaite faire maintenant avant de décider de démarches. Il ne fera certainement pas les choses de la même manière selon qu'il envisage de postuler ailleurs ou de mettre un terme à son aventure ferroviaire [motif de l'édition : correction de fautes...]
  10. Crois-tu vraiment qu'on puisse faire pire que ce que c'était déjà avant ?!... Moi, je trouve que ça se maintient, pour preuve j'ai reçu, la semaine dernière, la note de service qui stipule l'application de l'accord de branche à partir du 1er janvier 2010, avec le beau logo Europorte... Mon départ, relégué par le DG en personne à l'ensemble du personnel, ne m'avait déjà pas fait disparaître de la liste de diffusion des flash (il aura fallu que je le demande moi même au PC), maintenant on m'envoie les règles d'utilisation du personnel que je ne suis plus... pitète que demain on m'enverra un paie ?!... Promis, si on m'envoie un planning, je les appellerai pour les prévenir quand même, chuis pô chien Rhââââlala, à quand l'entité "Veolia Communication" ??? koiquesse
  11. Salut, Je n'ai pas ta réponse mais j'ai déjà une info : il n'y a jamais eu 200 conducteurs chez Veolia Cargo. Au mieux, on comptait avant la cession à Europorte une bonne centaine de conducteurs dont une partie de retraités SNCF (non formés par l'entreprise). Déjà, avec ça, à défaut de démonter une rumeur, on lui met un début de frein...
  12. Salut, Tu attends l'avis RH pour quel poste ? Si c'est pour le marchandise, il a déjà été dit que les dernières formations faites au campus veolia le sont pour le compte de Europorte (nouveau propriétaire de l'activité fret). Du coup, l'ouverture du "voyageur" à la concurrence ne te concernera pas... puisque Europorte n'a pas vocation à se lancer dans le voyageur (c'est en tout cas la version du Président Eurotunnel lors de la réunion extraordinaire CE en vue d'obtenir un avis sur la cession). Par contre, si tu attends un avis RH pour entrer en formation "conducteur de trains de voyageurs", ce serait sympa de donner plus d'infos parce que là, ce serait un scoop ! bigbisous
  13. ... en pratiquant le "low cost" salarial ? C'est ce que semble croire "le figaro" dans l'article, qui sous-entend que ce serait forcément moins cher qu'à la SNCF à cause du "très coûteux" statut des cheminots. Au moins c'est clair : sous couvert de directive européenne d'ouverture à la concurrence, ce genre de petite phrase glissée discrètement dans un article montre à quel point c'est en réalité les "statuts" qui sont visés en France... par une droite qui s'exprime maintenant de façon totalement décomplexée dans ses médias. époque de m... tout le monde y perd sauf les nantis ! :Smiley_19:
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