Aller au contenu
Le Web des Cheminots

raez

Membre
  • Compteur de contenus

    2 158
  • Inscription

  • Dernière visite

Messages publiés par raez

  1. Inutile, je n'en suis pas certain. De jour, avec le soleil de dos, une luminosité très forte est importante pour que le signal soit visible. Cette même luminosité appliquée de nuit serait aveuglante...

    Gom

    je reconnais que je ne fais pas dans la nuance ,on m'a expliqué que ce système existait pour économiser du courant grace à l'éclairage réduit la nuit. je ne suis pas sur que ce serait si aveuglant que ça ,(si on compare aux oeilletons à led par exemple)si ça restait en mode "jour" . je veux dire que le système revient trés cher en matériel ,et à mon avis "jeumont" a du se faire beaucoup d'argent dessus .

  2. sans commentaires

    Le CRIF se vante d'avoir obtenu que le Recteur de l'Académie de Paris et la Ministre Pécresse fassent suffisamment pression pour que la Directrice de l'Ecole Normale Supérieure annule le prêt d'une salle pour un meeting en soutien à tous ceux qui avec Stéphane Hessel défendent le droit d'exprimer leur indignation devant la politique menée par Israël.

    Pathétique!

    à lire

  3. Strauss-Kahn et Aubry balaieraient Sarkozy en 2012, selon BVA

    :Smiley_20:

    oui mais au 2eme tour :Smiley_13:

    déjà que les sondages ne veulent rien dire longtemps avant les élections ,ils choisissent les scénarios qui les arrangent !!

    Les socialistes Dominique Strauss-Kahn et Martine Aubry battraient tous deux largement Nicolas Sarkozy au second tour de la présidentielle de 2012, selon un sondage BVA-Orange-L'Express-France Inter publié mardi. Lire la suite l'article

    Articles liés

    Discussion: Parti socialiste

    Le directeur général du Fonds monétaire international (FMI) obtiendrait 64% des voix contre 36% au président sortant. Le premier secrétaire du Parti socialiste s'imposerait elle aussi nettement (57% contre 43%).

    Selon ce même sondage, la nouvelle présidente du Front national, Marine Le Pen, peut rêver d'imiter la performance de son père en 2002 en atteignant le second tour. Elle est en effet créditée de 17% d'intentions de vote au premier tour. Jean-Marie Le Pen avait réalisé un score de 16,86% en 2002.

    La popularité de Nicolas Sarkozy stagne dans ce baromètre avec 34% de bonnes opinions contre 61% de mauvaises alors que son Premier ministre, François Fillon, creuse l'écart avec 16 points de plus que le président de la République (50% de bonnes opinions contre 42% de mauvaises).

    Sondage réalisé par téléphone auprès d'un échantillon national représentatif de 971 personnes âgées de 18 ans et plus, les 14 et 15 janvier. Les intentions de vote ont été établies auprès de 804 personnes inscrites sur les listes électorales.

    Patrick Vignal, édité par Yves Clarisse

    http://fr.news.yahoo.com/4/20110118/tts-france-politique-sondage-ca02f96.html

  4. Ca arrive souvent ça?

    Etant au SE ça m'intéresse...

    De plus pour nous la maintenance de cette cellule jour/nuit est loin d'être simple car elle est située à l'avant du signal et il faut se pencher très loin en avant pour titiller la cellule, le tout en tenant le voltmètre de l'autre main. Il manque une troisième main pour pouvoir se tenir!

    salut !!

    sans compter sur ce revoltages de commutateur jour / nuit à remplacer ,surtout quand le caisson est à 5m de haut et que tu as le vertige cestachier !!

  5. Sur ce problème, il n'y a vraiment pas d'explication à ce type de choix, si ce n'est un mélange en proportions variables d'ignorance technique et économique, et d'acceptation de pressions de lobbies techniques regroupant industriels et ingénieurs des grands corps.

    je pense que les politiques sont séduits par le moindre coût et la minimilisation des travaux par rapport à un tram classique (on sait ce que c'est à montpellier lapleunicheuse )mais aprés ça roule !!!

  6. on met ça

    sur le compte de la religion ou pas ?

    Normale Sup annule un colloque avec Hessel décrié par des associations juives

    Un colloque prévu mardi 18 janvier et qui devait être animé à l'Ecole normale supérieure (ENS) de Paris par l'auteur du best-seller "Indignez-vous!", Stéphane Hessel, a été annulé, lundi 17 janvier, au grand dam de ses organisateurs pro-palestiniens.

    Sur le même sujet

    Dans un communiqué, l'ENS de la rue d'Ulm défend cette décision en arguant que "la réservation (de la salle) n’avait pas été faite en mentionnant la nature exacte de la réunion (réunion publique)" et qu'il était par ailleurs "impossible à l’ENS d’assurer la sécurité des personnes présentes et la protection de ses locaux pour ce type de réunion".

    Ces explications n'ont pas empêché une polémique autour du sujet de cette conférence: présentée comme un débat sur la liberté d'expression, elle a été dénoncée par des associations juives, dont le Crif, comme un acte de soutien à la campagne de boycott de produits israéliens BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions), qui a reçu l'appui de Stéphane Hessel, ancien résistant et ex-ambassadeur âgé de 93 ans.

    "Le colloque s'inscrivait dans le prolongement de l'appel de M. Hessel en octobre dernier, qui visait non pas à défendre le boycott, mais à demander qu'il ne soit pas criminalisé" et que les militants ne soient pas condamnés, a déclaré à l'AFP un membre du comité d'organisation, Florian Alix.

    A la suite de plaintes du Bureau national de vigilance contre l'antisémitisme (BNVCA), quelque 80 personnes sont poursuivies en France pour avoir appelé à boycotter des produits israéliens. Deux militants ont été récemment condamnés à des amendes de 1.000 euros, à Bordeaux puis à Créteil.

    je commence à en avoir plein le baigneur de ces asso.. crif / cran/ sos ..mes ...lles / indigènes de la république ..etc..etc.. qui arrivent à interdire des conférences où justement on peut débattre ,si c'est ça leur vision de la démocratie !!!! et on s'est outré des fatwa contre les caricatures de mahomet et de salman rushdie !!

    je ne sais pas où on va ,mais on y va ..

  7. lu sur marianne2

    Tunisie : la nullité de la diplomatie française

    Après nous avoir chauffé les oreilles sur les merveilles de l'Union Pour la Méditerranée, le pouvoir sarkozyste a raté le premier soulèvement démocratique du monde arabe.

    A Washington, le Département d'Etat a évidemment été surpris par la révolution tunisienne. Cela n'a pas empêché, au contraire, son chef, Hillary Clinton, de se réjouir de la chute d'un régime dictatorial. De la bonne politique en se référant aussi à quelques principes politiques. Ce n'est jamais inutile.

    Pendant ce temps, à Tunis, les diplomates américains ont travaillé en étroite collaboration avec les... militaires tunisiens : comment rétablir l'ordre sans en passer par une répression excessive ? Comment éliminer définitivement le clan Ben Ali, ses affidés et, surtout, son service de sécurité ? Deux problèmes capitaux si l'on entend mettre en œuvre le plus rapidement possible le processus de démocratisation de la société tunisienne.

    Et la France ? Et le président Sarkozy ? Et notre diplomatie ? Et le nouveau ministre des Affaires Etrangères, Michèle Alliot-Marie ? Un seul constat accablant, établi sans aucun plaisir : la nullité crasse. Que l'Elysée et le Quai d'Orsay n'aient rien anticipé, personne ne s'en étonnera: aucune autre chancellerie occidentale ou africaine n'a fait mieux. Que la France sarkozyste, pétrifiée dans ses a priori politiques et idéologiques, ait estimé juste, pertinent, efficient de soutenir jusqu'à l'extrême limite le régime honni de Ben Ali, voilà qui est stupéfiant. Stupéfiant d'autisme. Stupéfiant de bêtise. Stupéfiant - et navrant - d'incapacité à s'adapter au changement et à l'Histoire en marche. La France aura été le dernier suppôt de Ben Ali. La France de la colonisation et des Droits de l'Homme avec, à sa tête, un président arrivant en droite ligne du parti dit ... gaulliste. Un gâchis. Une horreur.

    Dans les premiers mois de son mandat, le président nous a tympanisé avec l'un de ses mirobolants projets : l'Union Pour la Méditerranée, la morte-née UPM. Mal fichue, mal pensée, mal mise en route, l'UPM provoqua une crise franco... -allemande, tant la chancelière Merkel fut excédée de la suffisance et du j'm'en foutisme de son partenaire français. Au moins pouvions-nous éprouver le sentiment que Nicolas Sarkozy s'intéressait - vraiment - au Maghreb, qu'il n'était pas indifférent au sort de ces peuples intimement liés à notre destin. Or que constate-t-on aux moments cruciaux de la révolution tunisienne ? Que Nicolas Sarkozy est resté enfermé dans les schémas les plus éculés de la soi-disante real-politik la plus ringarde et la moins efficace qui soit : soutien au dictateur, même après qu'il ait perdu la partie ; ou plutôt incapacité chronique à comprendre, à admettre, à entendre que le pouvoir de Ben Ali s'était dissout, qu'il n'en restait rien et, qu'en accord avec les Américains, il fallait se mettre à la disposition des démocrates tunisiens pour les aider à organiser une transition par définition complexe et dangereuse. Rien, nous n'avons rien fait, nous contentant d'ânonner quelques stupides mots de soutien à un tyran sur le point d'être déchu. Sacrée capacité à prendre en compte le réel, n'est-ce pas Mme Alliot-Marie, n'est-ce pas Messieurs Chatel et Mitterrand ? Zéro pointé, honte sur vous et, par conséquent, sur nous. Cela n'ira pas sans conséquence. Car les peuples eux aussi ont la mémoire longue. Les Tunisiens n'oublieront pas que la France n'était pas à leurs côtés au moment crucial du combat pour la liberté, la justice et la démocratie. La France les a lâchés, trahissant sa vocation universaliste. Pourquoi Bernard Kouchner reste-t-il silencieux?

×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.