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Le Web des Cheminots

raez

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Messages publiés par raez

  1. On savait que c'était une bande "Mickey".... !

    Des membres du clan Ben Ali réfugiés en région parisienne

    La famille Ben Ali Trabelsi se disperse aux quatre coins du monde. Selon nos informations, certains membres sont déjà arrivés en France depuis jeudi soir, malgré les démentis des autorités. Ils séjournent à l’hôtel Disneyland au sein du parc d’attractions de Marne-la-Vallée (Seine-et-Marne). Une des filles de Leila, l’épouse de Ben Ali, semble avoir été reconnue par des employés.

    Le clan occupe trois suites VIP du Castle Club, une zone luxueuse réservée aux clients les plus fortunés, située au troisième étage de cet établissement. Des chambres réservées jusqu’à dimanche. Hier soir, ils avaient pour voisins les membres de la famille d’un célèbre disc-jockey parisien. Une ambiance très particulière régnait au sein de l’hôtel. Dans le hall, quatre agents de sécurité tunisiens montaient la garde sur un sofa. D’autres, oreillettes branchées en permanence, scrutaient chaque client. Pour aller dîner, un vigile de l’hôtel accompagnait les clients jusqu’aux différents restaurants de l’établissement. Là aussi, la sécurité tunisienne était présente et n’hésitait pas à écouter les conversations.

    Le Parisien

    ils sont partis .....

    Des proches de Ben Ali, dont sa fille, ont quitté Eurodisney

    Des proches de l’ex-président tunisien Zine El Abidine Ben Ali, dont une de ses filles, ont quitté s le parc d’attraction Eurodisney, où ils avaient trouvé refuge depuis jeudi. Les proches sur le sol français n’ont « pas vocation à rester » et ils « vont le quitter », a déclaré le porte-parole du gouvernement français.

    ici

  2. encore un dogme : LES SIGNAUX SONT INFAILLIBLES, SEULS LES CONDUCTEURS SONT FAILLIBLES ! nonmais

    ce n'est pas un dogme ,la signalisation est étudiée de telle façon qu'il n'est pas possible avoir de dérangements contraire à la sécurité ,je dirai que dans 99.9999 % ,c'est le cas heureusement . ensuite il arrive que par des causes extérieures il puisse se produire ce genre de problème .je comprend la frustration d'un conducteur ayant ce cas, et ne pas pouvoir le prouver .

  3. Tout à fait exact pour la limitation à 30. Tel a été l'argument de la diection vis à vis des ADC...

    oui ,il faut se méfier de ces sentiments de securité ,je prend pour exemple mon expérience lors de travaux aux alentours d'un PN ,c'est valable pour les piétons également .

    vous etes aux abords d'un PN inconsciemment vous vous fiez aux sonneries (réglementairement il faut voir un feux s'allumer pour se servir du PN comme "annonceur)pour dégager,et lorsque le PN reste bas longtemps pour telle ou telle causes, vous perdez la notion que le PN ne vous servira plus d'annonce ,pareil lors de mise en place de tiv 40 sur une longue durée ,le passage à 100 ou 160 est trés dangereux ,on a en mémoire que les trains passent doucement à cet endroit là !

  4. tiens ! le BHL ,on ne l'a pas entendu sur ben ali ,lui qui "de s'offusquer" à fait profession.

    merci marianne 2 de nous le rappeler .

    Jack Dion interpelle les philosophes, tel Bernard-Henri Lévy, qui n'ont pas réagi aux manifestations en Tunisie. Pas un mot sur Ben Ali. Deux poids, deux mesures : ces intellectuels avaient fustigé, par exemple, la répression chinoise au Xinjiang, voilà un an et demi. Ou encore la condamnation de Sakineh.

    Il y a des gens qui font profession d’indignation permanente ; des acharnés de la pétition, prêts à se mobiliser pour la moindre cause ; des professeurs de morale sans frontières ; des esthètes intransigeants de la cause humanitaire, surtout quand l’objet de leur courroux est géographiquement éloigné de l’hexagone. Or personne ne les entend à propos de ce pays très proche qu’est la Tunisie, ce pays francophone où un dictateur sénile agonise sous nos yeux, emporté par un peuple qui refuse de se coucher.

    Les syndicats français se sont déclarés « solidaires » du peuple tunisien. Ils se sont « indignés » à juste titre de certaines déclarations de ministres du gouvernement Fillon, pour le moins gênés aux entournures. Des avocats ont lancé un appel international en soutien à la contestation populaire qui s’exprime de l’autre côté de la Méditerranée.

    Mais chez les intellectuels, médiatiques ou pas, rien. Silence dans les rangs. Motus et bouche cousue.

    Où est passé André Glucksmann, qui surveille la Russie de Poutine jumelles en mains ? Que devient donc Bernard Kouchner, qui a du temps maintenant qu’il n’est plus en charge d’un poste ministériel ? Quant à l’ineffable Bernard-Henri Lévy, sa Sainteté de Saint-Germain-des-Près, il s’est contenté de lancer un appel aux hackers à pirater et bloquer les sites internet officiels sur le site Twitter de sa revue en ligne, « La règle du jeu ». C’est tout ? C’est tout........

    la suite

  5. lu ici

    Sur les images, Nicolas Sarkozy et Zine el-Abidine Ben Ali ne cessent de sourire. Carla Bruni porte une robe printanière. La secrétaire d'Etat aux droits de l'homme, Rama Yade, se tient légèrement en retrait. Cette dernière "ne se souvient plus très bien aujourd'hui du voyage", mais elle affirme qu'elle a pu "évoquer quelques dossiers" avec son homologue du gouvernement tunisien.

    A l'époque, pourtant, lorsque M. Sarkozy se rend avec sept de ses ministres les 28, 29 et 30 avril 2008 en visite d'Etat auprès du président tunisien, les propos du président français frappent, c'est le moins que l'on puisse dire. "Certains sont bien sévères avec la Tunisie, qui développe sur bien des points l'ouverture et la tolérance", explique M. Sarkozy, avant d'affirmer que "l'espace des libertés progresse".

    M. Sarkozy n'est pas le premier président français à afficher une telle indulgence à l'égard du régime tunisien. Tous ses prédécesseurs ont fait preuve avant lui, sinon de complaisance, au moins d'une prudence extrême à l'égard de cet ancien protectorat français.

    En 1988, le président Ben Ali, fraîchement arrivé au pouvoir, est reçu en grande pompe à Paris par François Mitterrand, lors d'un dîner de gala réunissant 215 personnalités françaises. En 1991, le président socialiste, en visite à Tunis, déclare : "La Tunisie est un pays accueillant et les Français qui aiment venir en Tunisie pour leurs vacances auraient bien tort de s'écarter de ce chemin. C'est un pays où l'on peut vivre dans des conditions de confort et d'agrément très grandes." En 1995, c'est le président Chirac qui rend hommage à Ben Ali, affirmant qu'il a engagé son pays "sur la voie de la modernisation, de la démocratie et de la paix sociale", évoquant l'ouverture du Parlement aux "représentants de divers courants d'opinion" et son "audace économique et sociale".

    Ces derniers jours, encore, la classe politique française a fait preuve d'une frilosité remarquée à condamner la répression opérée par le régime contre les milliers de manifestants. Mercredi 12 janvier, en conseil des ministres, puis jeudi matin lors du petit déjeuner de la majorité, M. Sarkozy a bien porté un jugement plus sévère sur le régime tunisien. Mais, rapporte l'un de ses ministres, "il a rappelé que l'on ne sait pas forcément si un autre dirigeant serait mieux à même de préserver le pays contre les intégristes religieux".

    Si près de 600 000 Tunisiens vivent en France (40 % en Ile-de-France, 12 % dans la région lyonnaise et 8 % à Marseille), la France est également l'un des premiers investisseurs en Tunisie. 22 000 Français y sont installés. Près de 60 % sont des commerçants, des cadres supérieurs ou des chefs d'entreprise, 10 % des médecins, des avocats ou des enseignants et 30 % des employés, des exploitants agricoles ou des retraités.

    Des hommes politiques français, comme le ministre Pierre Lellouche ou Bertrand Delanoë, sont nés en Tunisie et y conservent des attaches familiales ou des maisons. Le ministre de l'industrie et de l'économie numérique, Eric Besson, lui-même né au Maroc, a épousé Yasmine Tordjman, arrière-petite-fille de l'ancienne première dame de Tunisie, Wassila Bourguiba.

    "Jusqu'ici, dénonce le sénateur socialiste Jean-Pierre Sueur, qui préside le groupe d'amitié franco-tunisien au Sénat, la France s'est abritée derrière le fait que le pays est le bon élève du Maghreb en matière d'éducation, de droit des femmes et d'enseignement du français pour expliquer que la Tunisie est un rempart contre l'islamisme et justifier son silence sur sa situation politique."

    De nombreuses personnalités politiques, du monde des affaires et parfois de la presse ont été régulièrement invitées par le régime Ben Ali dans des campements de luxe du désert tunisien. Deux anciens ambassadeurs de France en Tunisie, l'amiral Lanxade (qui fut aussi le chef d'Etat-major des armées sous François Mitterrand) et Serge Degallaix (qui fut l'un des conseillers de Jean-Pierre Raffarin), sont devenus d'ardents promoteurs de la Tunisie.

    L'agence de communication française Image 7, fondée par Anne Méaux, détient le contrat de l'ATCE, l'Agence tunisienne de communication extérieure, et organise des voyages afin de faire valoir les atouts du pays. Le vice-président d'Havas, Jacques Séguéla, était en octobre 2010 en Tunisie pour lancer son agence et passe pour avoir conseillé le président Ben Ali, ce qu'il dément au Monde.

    Mais cette connivence va parfois plus loin. L'un des mémos de l'ambassade américaine en Tunisie, obtenus par le site WikiLeaks et révélés par Le Monde, a ainsi été titré "The French Connection". On y apprend que l'un des anciens ambassadeurs de France est vu "comme l'ambassadeur de Ben Ali auprès du président de la République française et non le contraire". Le mémo rapporte que cet ambassadeur aurait reçu du gouvernement tunisien une villa située dans une rue huppée de Tunis proche de la présidence, la résidence ayant été mise au nom de sa fille.

    Enfin, la France a parfois fermé les yeux sur les agissements d'une partie de la famille Ben Ali. Entre la fin 2005 et le printemps 2006, trois yachts ont ainsi été volés dans des ports français, dont l'un appartenant à Bruno Roger, dirigeant de la banque d'affaires Lazard Frères, à Paris, et proche de Jacques Chirac et de Nicolas Sarkozy. L'enquête a permis de remonter aux convoyeurs des bateaux dont l'un a avoué qu'ils avaient été remis à des neveux du président Ben Ali.

    De fait, les yachts ont été retrouvés à Sidi Bou Saïd, le Saint-Tropez tunisien. Les enquêteurs, par le biais d'écoutes, ont appris que Jean-Baptiste Andréani, l'assureur d'un des trois yachts (le Beru Ma), négociait avec Tunis pour obtenir le rapatriement du navire et que celui-ci était en contact avec le président Chirac et M. Sarkozy, à l'époque ministre de l'intérieur.

    In fine, faute de pouvoir faire éteindre les poursuites visant les neveux du chef de l'Etat, Tunis a obtenu, en liaison avec l'Elysée, de les faire juger dans leur pays. Seuls les comparses ont donc été présentés devant un tribunal français. En Tunisie, le procès n'a jamais eu lieu. p

    Raphaëlle Bacqué et Jean-Pierre Tuquoi Article paru dans l'édition du 16.01.11

  6. Vatican : Jean-Paul II béatifié le 1er mai grâce à une soeur française!

    http://www.leparisien.fr/societe/vatican-jean-paul-ii-beatifie-le-1er-mai-grace-a-une-soeur-francaise-14-01-2011-1227073.php

    c'est rapide ,vous ne trouvez pas ? pourtant il y a eu des miracles à lourdes qui n'ont pas été attribués à un pape .

    heureusement que Hara-Kiri avait enquété !

    :Smiley_39: :Smiley_39: :Smiley_39:

  7. Merci pour l'info, ça va me dépanner. Quant aux travaux eux-même, est-ce qu'un gars de l'infra pourrait nous donner tous les détails et les améliorations futures qui en découleront ?

    d'parés le lien de Kerguel ....

    http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Centre/Tridion/20101213_20110311_To_Ns_tcm-17-56245.pdf

    Sous la maîtrise d'ouvrage de RFF, SNCF Infra procède au remplacement de dix appareils de voie

    en gare de Saumur ainsi qu'à un renouvellement de voie et de ballast en gare de Saumur, entre

    Villandry et Langeais et entre Saumur et Thouars.

    ...

    il s'agit d'un gros chantier de rénovation dont les amélioration pour les usagers seront le confort. pour la sncf ,le gain ,sera la fiabilité de nouvelles installations ,donc moins de risques de dérangements entre autres (je fait simple) . je ne connais pas le site je me fie donc au simple terme de remplacement d'appareils , il se peut que la signalisation soit améliorée ou modifiée à l'occasion ,mais seul quelqu'un du coin pourrait le dire

  8. Tu as tout à fait raison, mais on pourrait en revenir aux fondamentaux, c'est-à-dire au titre même du sujet :" le retour de courant sur les tramways à un rail",

    tu as raison ,mais j'ai commencé à répondre à ça ...

    Posté 10 janvier 2011 - 17:01

    Bonjour,

    A la lecture de vos articles très interessants, j'en reviens, moi profane, à la question toute simple que je me pose depuis longtemps:

    Pourquoi ne risque t on rien à être en contact avec le matériel roulant ou les rails, puisque tout cela fait partie du "retour de courant" après passage dans le panto et le transfo, sauf erreur de ma part. ?

    Je suppose phase à la ficelle et neutre au rail? Comment fait-on des cantons isolés électriquement, puisque le rail sert de retour partout et tout le temps?

    Et c'est comment pour le continu? + à la ficelle, - au rail?

    Merci de m'éclairer sur ces zones d'ombre!

    Cordialt, patrick

  9. Pour simplifier les collègues concernés auraient absorbé l'arc électrique provoqué par l'ouverture d'un interrupteur, l'humidité ayant favorisé le passage de jus entre les contacts et le corps du levier, levier rendu conducteur par l'usure de sa peinture...

    Faudrait que tous les autorisés 5300 demandent une prime de soufflage d'arc. lotrela

    je trouve grave que la manoeuvre d'un interrupteur provoque ce genre de choc électrique de nos jours . on peut mettre une poignée de commande isolante et protéger les risques de propagation de l'arc ....,je ne savais pas qu'au "materiel ", c'était la peinture ,l'isolant !!! lapleunicheuse

  10. après le rassemblement de soutien à la lutte par delà la méditéranée, il y a demain samedi à 14 heures place de la république à paris un rasseblement pour exprimer son soutien, sa solidarité.

    dénoncer la dictature là bas, l'exploitation et ceux qui soutiennent ici les ben ali et compagnies...

    soyons le plus nombreux possible

    http://www.lepoint.fr/monde/emeutes-le-president-ben-ali-cede-a-la-rue-et-quitte-la-tunisie-14-01-2011-129754_24.php

    ÉMEUTES - Le président Ben Ali cède à la rue et quitte la Tunisie

    Le chef de l'État a quitté son pays, vendredi, au terme d'un mois d'émeutes sanglantes. Le Premier ministre assure l'intérim.

    les rats quittent le navire ,maintenant il va falloir savoir si ce "brave homme" revoltages

    a des avoirs en france ,s'il va passer des jours heureux dans le midi comme "bébé doc" ...comme les dictateurs africains ....

    ps je ne croyais pas si bien dire

    Le président tunisien serait en route pour la France, selon Al-Jazira, mais l'Elysée dit n'avoir «aucune information» à ce sujet. Le premier ministre assure l'intérim pendant une période indéterminée.

    http://www.lefigaro.fr/international/2011/01/14/01003-20110114ARTFIG00533-ben-ali-annonce-des-elections-legislatives-anticipees.php

    .

  11. Un tract FGAAC / CFDT sur le rapport d'enquête:

    11_01_11_Info_rapide_HSCT_2011-03_SUITE_droit_d\'alerte_Z5300.pdf

    je ne connais rien "au matériel" et je n'ai rien compris à l'explication donnée .

    en cours de lecture j'ai pensé à une décharge electrostatique comme on en connait en touchant une portière de voiture , sauf que ,en relisant les posts précédent il s'agit d'un vrai contact électrique et non d'une "bourre" classique ,pour preuve les sensations d'électrisations qui durent !

    je ne sais pas ce que vous en pensez Mrs les conducteurs et gens du matériel ???

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