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Le Web des Cheminots

raez

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Messages publiés par raez

  1. tout ne se passe pas comme sur des roulettes

    http://www.leparisien.fr/transports/metro-retour-progressif-a-la-normale-sur-la-ligne-1-a-paris-13-01-2011-1225540.php

    TRANSPORTS

    Métro : retour progressif à la normale sur la ligne 1 à Paris

    24 réactions | Réagir

    13.01.2011, 08h10 | Mise à jour : 10h33

    Un incident technique sur la ligne 1 du métro parisien a interrompu totalement la circulation des rames entre les stations La Défense et Château de Vincennes, ce jeudi matin pendant près les deux heures de pointe. Interrompu à partir de 7 heures, le trafic a repris progressivement dans la matinée, vers 8h50, selon une porte-parole de la RATP.

    Selon la régie, l'incident est survenu au Poste de commande centralisé (PCC) de la ligne 1, récemment modernisé. Tous les accès des stations avaient alors été fermés au public et la RATP invitaient les voyageurs à emprunter «le RER A, parallèle, la ligne 14 et, en surface, le réseau de bus». Selon la RATP, la ligne 14, automatisée, avait été renforcée pendant l'incident.

    725 000 voyageurs en moyenne

    La ligne 1, qui relie l'est de la capitale au quartier d'affaires de la Défense à l'ouest, est la plus vieille et la plus chargée du réseau parisien. Elle transporte environ 725 000 voyageurs par jour, avec parfois des pointes à 900 000.

    Elle est en cours de travaux pour être totalement automatisée d'ici la fin 2012, un chantier spectaculaire dont la RATP veut faire une vitrine mondiale.

  2. une réflexion (que je partage) sur la médiatisation de cette affaire .

    http://www.marianne2.fr/Meurtre-du-Blanc-Mesnil-fait-divers-ou-probleme-communautaire_a201610.html

    L’affaire avait entaché le bilan de la nuit 31 annoncée comme « sans aucun incident majeur » par Brice Hortefeux. Au Blanc-Mesnil, Claudy Elisor, 33 ans, DJ d’origine antillaise, a été battu à mort par plusieurs individus. Il avait refusé l’entrée d’une soirée à un homme qui est revenu ensuite avec ses complices pour se venger. Un suspect s’est rendu à la police et a été mis en examen et écroué pour meurtre.

    Pour l’heure, aucune réaction politique. Si prompts à récupérer des faits divers, Nicolas Sarkozy et Brice Hortefeux ont gardé le silence. Il est vrai que ce crime remettant en cause leur bilan glorieux de la nuit du 31, ils n’avaient pas intérêt à communiquer sur cette affaire. Au niveau local, silence également. Sur le site de la Préfecture de Seine-Saint-Denis, aucun communiqué à ce sujet, malgré la médiatisation de l’affaire.

    Mais cette médiatisation pose problème. Au détour d’une dépêche AFP, reprise par certains sites de presse, on apprend que le suspect principal serait « d’origine africaine ». Leparisien.fr signale lui que son prénom est Ibrahim. Naturellement, dans les commentaires des articles, on lit des remarques au ton xénophobe voire raciste. Cela dit, ces commentateurs ne représentent qu’eux-mêmes.

    On aurait pu s’attendre à ce que les médias face une lecture ethnique de ce fait divers. Il n’en est rien. A chaque crime mettant en cause un juif et un musulman, les médias cherchent pourtant une motivation raciste. Exemple, au printemps dernier, avec l’affaire Saïd Bourarach, un vigile de Bobigny, tombé dans la Seine après avoir été poursuivi par des hommes de confession juive. Une dépêche AFP a été consacrée au message de condoléances adressé à la famille de la victime par Gilles Bernheim, grand rabbin de France. La dépêche précisait en introduction que cette mort « pourrait être lié à une dispute à caractère raciste ». Pourtant, aucun motif raciste n’a été retenu dans cette affaire encore à l’instruction.

    Deux poids, deux mesures

    Le mieux vient de Libération. Le quotidien avait publié à l'époque un article titré « Mort du vigile : la piste tenace du racisme ». Avec un chapô alléchant : « Retour à Bobigny après le décès de Saïd Bourarach. Connu pour sa violence, le principal suspect affiche aussi un sionisme virulent ». Mais le quotidien n’apporte aucun élément sérieux à sa thèse. Les témoins dans l’entourage du suspect principal notent que l’intéressé n’est pas spécialement engagé politiquement. Mais Libé note quand même qu’il est membre du groupe Facebook «Israël n’a volé la terre de personne, c’est notre terre ». Une investigation poussée au minimum.

    A l'inverse, dans l'affaire Elisor, la question ethnique ou religieuse disparaît. Certes, des médias ont interrogé des personnalités évoquant la question mais aucune ne titre sur cela. Le traitement est plus subtil, tout est dans la hiérarchisation. Exemple avec cette dépêche du groupe Hersant Médias qui détient de nombreux titres Outre-mer. Dans l'article, Patrick Karam, délégué interministériel à l’égalité des chances pour les Français d’Outre-mer, dit avoir demandé au ministre de l’Intérieur de faire preuve de « détermination pour accélérer l'enquête et éviter des affrontements communautaires ».

    Il a tenu les mêmes propos à l'AFP, dans la dépêche qui signalait l'origine africaine du suspect : « Je demande à toute la communauté ultra-marine de garder son calme et de ne pas tomber dans une opposition communautariste, les agresseurs sont des voyous, cela n'est en aucun cas lié à leurs origines ». Dans les deux cas, les dépêches titrent sur le fait-divers en lui-même et les arrestations de suspects.On pourrait croire à une salutaire prudence des journalistes. Ils auraient pu alors commencer bien plutôt et retenir les leçons de l'affaire du RER D.

    Fracture avec les métropolitains

    Les tensions communautaires sont-elles pour autant une invention médiatique ? Joint par Marianne2, Patrick Karam a réitéré ses craintes d’une « confrontation inter-communautaire ». « Il suffisait de lire ce qu’il y a sur Internet, la situation est explosive », a-t-il ajouté. Mais il a également affirmé avoir « appelé au calme » et a martelé qu’il s’agissait d’un « crime commis par des voyous » et non d’un crime raciste. Mais Claudy Siar, président de Tropiques FM, se montre plus mesuré. « On ne peut pas accorder d’importance parce qu’il y a un ou deux auditeurs qui pensent comme ça », a-t-il déclaré à Marianne2.

    Mais une autre dépêche AFP tente d'élargir le problème. Interrogé, Claudy Siar a déploré que la police soit intervenue 20 minutes après l’appel. Le dirigeant de radio a ajouté : « Nous ne nous laisserons plus faire, nous ne voulons plus être traités comme des citoyens de seconde zone, comme des nègres. » Patrice Karam a pointé les mêmes problèmes et a obtenu l’ouverture d’une enquête de l’IGS (police des polices) sur le dossier.

    Claudy Siar, ajoute, pour Marianne 2, que sur Tropiques FM, un sentiment d’inégalité de traitement ressort : « Toutes les affaires sont rappelées par nos auditeurs comme l’affaire Fofana, de la cavalière ou du RER D. » Des affaires où les auditeurs antillais ont l’impression que les autorités sont intervenues avec plus de motivations. « Ce qui n’est pas normal, c’est qu’une affaire avec des ultra-marins, c’est qu’on s’en occupe moins (…) Il y a un ressentiment qui existe », note Claudy Siar. Pourtant, il dément toute revendication communautariste : « Vous allez trouvez ça paradoxal, mais ce n’est pas faire de la racialisation que de dire que ça a marché moins vite pour nous. » Derrière ce fait divers, la fracture entre ultra-marins et métropolitains semble donc refaire son apparition. A supposer qu’elle ait un jour disparu.

  3. Pour revenir au théme, il est un fait que ces rencontres permettent aux actifs de poser les questions, de faire part de leurs inquiétudes. Je pense tout de même que c'est assez rare pour être signalé. J'aime ces moments où tout le monde peut s'exprimer...

    c'est le principe des reunions des militants dans les partis politiques ,ils peuvent tout dire ,sauf que quand ça arrive au sommet ,les idées sont lessivées au fur et à mesure des synthèses . tu vas me dire que c'est un mécanisme inévitable ,je le pense , mais alors ,que l'on ne nous prenne pas pour des gogos ,et que ,de poser des questions ,va changer quelque chose dans le choix des dirigeants d'une entreprise .

  4. je parle de ce que je connais ,entre Lunel et Montpellier (exclus) il y a 6 gares desservies par plus ou moins de TER ,aucune n'est équipée de TVP ,une possède une passerelle ,bien située au milieu du quai ,aucun soucis ,une autre où les gens doivent emprunter un pont routier situé à 150 m du bout des quai (il faut longer la route ,puis prendre le pont ,un conseil ne vous trompez pas de quai ,ne traversez pas non plus les voies la visibilité des 2 cotés doit etre de 200m )une autre en pleine ligne droite, là ,3 kms de visibilité de chaque coté . les trois autres avec un PN au milieu ou au bout des quai ,sauf que le piège du PN ,un train dessus = pas d'annonce pour les voyageurs pour un second train croiseur ,alors ,retour à la case départ !

    je pense qu'il y a du boulot sur la france pour sécuriser ce genre d'arrêt !

  5. écoutez ça ,ça n'a pas fait de bruit ,c'est un scandale !!!!

    mam propose à la tunisie l'aide de policiers français pour" encadrer" les manifs !!! revoltages revoltages revoltages revoltages ,on est dans quel pays ???

    esperons que dans quelque temps ,elle ne demande pas l'aide des barbouses tunisiennes pour venir nous flinguer cartonrouge

    http://www.dailymotion.com/video/xgix06_alliot-marie-propose-d-aider-la-tunisie-dans-la-repression_news#from=embed

    http://www.rue89.com/2011/01/12/lindecence-au-pouvoir-mam-offre-une-aide-securitaire-a-tunis-185251

  6. quelques infos sur les travaux à Nimes dus au contournement ...

    http://www.midilibre.com/articles/2011/01/13/A-LA-UNE-Rail-Les-consequences-de-la-LGV-sur-le-reseau-actuel-1507178.php5

    Publié à 11 h 34 - 2016 : la Ligne à grande vitesse doit contourner Nîmes et Montpellier. Le Département et Nîmes Métropole se sont engagés à financer ce projet (35 M€ chacune). En contrepartie, en 2008, ils ont obtenu de l’État qu’il finance le développement du réseau ferré actuel autour de Nîmes. Contreparties que l’État a tenté de remettre en cause en décembre avant de se raviser ces derniers jours. Voici ce que cachent, pour les usagers du rail, ces contreparties obtenues.

    Aujourd’hui, la ligne classique entre Sète et Nîmes est saturée : elle ne peut supporter ni plus de fret ni plus de voyageurs. Pour retrouver des possibilités d’augmentation du trafic voyageurs sur la ligne classique, il a été décidé que la nouvelle Ligne à grande vitesse

    Nîmes - Montpellier, équivalent d’une déviation, soit mixte. Ainsi, pour la première fois en France, une Ligne à grande vitesse acceptera aussi bien les trains de fret que de voyageurs.

    Ceci étant acquis, quand les collectivités gardoises, conseil général et Nîmes Métropole, ont été appelées à participer au financement du projet de contournement, elles ont conditionné leur participation à la réalisation par l’État et Réseau ferré de France d’un certain nombre d’investissements, soit sur les lignes (Alès, Le Grau-du-Roi) convergeant vers Nîmes (lire ci-contre), soit pour que la quasi-totalité du fret évite Nîmes centre. Voici les changements attendus.

    1 Nîmes - Alès - Saint-Césaire. L’automatisation de la ligne Nîmes - Alès et la modernisation du raccordement de la ligne Le Grau-du-Roi - Nîmes à Saint-Césaire vont permettre de faire arriver, dès la réalisation du contournement, plus de trains en provenance de ces lignes sur la voie classique. Quant à la réalisation du viaduc de Courbessac, elle va faire gagner 8 minutes sur le trajet Nîmes - Alès. La réalisation de ces trois projets est en cours. Nouveauté : l’État propose d’inscrire au contrat de plan État-Région 2011-2014 en négociation la modernisation de la ligne Alès - Bessèges.

    2 Jonquières -Saint-Gervasy - Marguerites. Pour permettre au fret d’emprunter la nouvelle Ligne à grande vitesse à Manduel, trois raccordements sont prévus : l’un à Jonquières avec la ligne de la rive gauche du Rhône (Tarascon - Marseille), l’autre à Saint-Gervasy - Marguerittes avec la rive droite du Rhône et un dernier, la “virgulette” qui permettra aux quelques trains de fret venant de la rive droite mais reconditionnés à Courbessac, de repartir ensuite vers la LGV. En 2017, on estime que 71 trains de fret empruntant l’actuelle rive droite et 31 venant de la rive gauche, éviteront la voie classique actuelle par Nîmes. C’est la raison pour laquelle les élus, notamment ceux de Nîmes Métropole, ont demandé que sur 2 km entre Manduel et Redessan, le raccordement soit enterré.

    3 Rive droite du Rhône. Cette ligne aujourd’hui n’est ouverte qu’aux trains de fret. Le conseil général milite pour une réouverture au trafic voyageurs, la Région est favorable et des études préalables menées par RFF vont être accélérées.

    4 Nîmes - Le Grau-du-Roi. Le raccordement de la ligne Nîmes -Le Grau-du-Roi avec la ligne nouvelle n’est pas prévu dans le cadre de la réalisation du contournement Nîmes - Montpellier. Toutefois, RFF et la Région veulent étudier la possibilité de dynamiser les liaisons directes entre Paris et Le Grau-du-Roi via la LGV. L’arrivée du TGV dans la station balnéaire induit l’électrification de la ligne Nîmes - Le Grau-du-Roi. Pour l’heure, RFF achète à Générac les terrains qui, ultérieurement, permettraient de réaliser les raccordements Nîmes - LGV et Le Grau-du-Roi - LGV.

    5 Gares nouvelles. La réalisation d’une gare nouvelle TGV à Manduel, chère au président de Nîmes Métropole Jean-Paul Fournier, est confirmée « quelques années plus tard que celle de Montpellier-Odysseum », qui doit entrer en service dès l’achèvement du contournement.

    juste un bémol sur le §4 ...je pense que le journaliste s'est laissé emporter par son lyrisme(il aurait ecrit ça un 1er avril !!!) quand on sait qu'il y a 25ans que le projet du contournement est engagé et que faute de moyen rien n'a été fait ,le jour ou on verra "le grau /nimes " électrifié ,je meurs lotrela

  7. Le nouveau Mastrou sur les rails en 2012 ?

    Si toutes les échéances sont respectées, des locomotives pourraient redémarrer en 2012

    et oui la bataille n'est pas gagnée..

    http://www.hebdo-ardeche.fr/2011/01/07/une-annee-decisive-pour-le-mastrou/

    Une année décisive pour le Mastrou

    C’était le 10 avril 2008, le Conseil général de l’Ardèche, actionnaire majoritaire de la société d’économie mixte Chemin de fer du Vivarais, annonçait de marquer une pause dans l’exploitation du Mastrou, ce petit train touristique à vapeur qui accueillait 60 000 passagers chaque année entre Tournon-sur-Rhône et Lamastre. Une décision qui se justifiait par l’état des rails qui n’assurait plus la sécurité des touristes et celui des locomotives à vapeur qui ne leur permettait plus de circuler. Il manquait environ dix millions d’euros pour sauver le Mastrou.

    Commençait alors un feuilleton politico-jurdico-touristique riche en rebondissements. L’annonce du Département a sucité une forte mobilisation de la part des élus, responsables associatifs et commerçants des communes concernées, pour qui le train était, outre un monument de par son histoire et son attractivité, une vraie manne économique puisque sa fréquentation ne cessait d’augmenter (+ 8 % entre 2006 et 2007 ces deux dernières années d’exploitation). Désireux de les rassurer, Pascal Terrasse, président du Conseil général, affirmait en juillet 2008 lors d’une visite sur le canton de Lamastre que « le Mastrou repartira » mais quand et comment, le flou reste entier d’autant qu’au même moment le tribunal de commerce d’Aubenas, prononce la liquidation judiciaire de la SEM Chemin de fer du Vivarais, il faut donc tout remettre à plat et repartir de zéro.

    De nouveaux partenaires

    Jean-Pierre Frachisse, ancien maire de Tournon nommé médiateur par Pascal Terrasse sur ce dossier, accompagné des élus, se lance à la recherche de partenaires privés afin de permettre le redémarrage du train et de le pérenniser financièrement. Le repreneur ayant la charge de l’exploitation des lignes. Plusieurs noms sont évoqués : La Saur, les Courriers rhodaniens, la Citev, qui exploite déjà un chemin de fer touristique dans les Cévennes et le cabinet d’études grenoblois Saulnier.

    Le dossier se décante fin 2009. Le Conseil général s’engage au rachat des rails pour un montant de 140 000 € et devrait investir autour de 5 millions d’euros pour la modernisation des voies et ouvrages d’art. Les communauté de communes du pays de Lamastre et du Tournonnais, quant à elles rachètent les gares : 223 000 € pour celle de Lamastre et 237 000 € pour celles de Saint-Jean-de-Muzols, Saint-Barthélémy-le-Plain et Boucieu-le-Roi.

    L’Etat met un bémol

    Mais en mars 2010, le tribunal de commerce d’Aubenas refuse au Département la possibilité de réinvestir dans le train car la collectivité était actionnaire de la SEM maintenant liquidée ; une décision sur laquelle la juridiction est revenue en août dernier. Ne reste alors plus qu’à désigner le repreneur : celui-ci devrait être Les Courriers rhodaniens associé à Kleber Roussillon.

    Le projet de reprise validé, la date de 2011 pour un redémarrage de l’autorail et du vélorail, en attendant les machines à vapeur pour 2012, est avancée. Mais, fin décembre dernier, le sous-préfet de Tournon, Jean-Yves le Merrer a émis un bémol : les collectivités locales concernées réclament une aide de 4,2 millions d’euros à l’Etat, une somme qu’il ne serait pas prêt à verser dans la totalité. Voilà un nouvel épisode du feuilleton Mastrou dont les différents acteurs se seraient bien passés et qui pourrait marquer un nouveau contretemps dans le redémarrage du train préféré des Ardéchois.

    Alexandre Pauze

  8. Justement. Passons à autre chose...

    oui quoi ? la privatisation pure et simple ? ou alors comme je l'écrivais post 3 ,un pôle ingeniérie ,c'est à dire quelques pékins (c'est à la mode justement),décideurs de projets ,puis "la chair à canon" chère à Bolkestein ,payée au tarif de leurs pays d'origine !!

    un exemple concret ,le chantier de l'EPR de flamanville ,emploi de nombreux immigrés ,et surtout (j'ai entendu ça sur les GG de RMC) les inspecteurs du travail n'ont pas accés au chantier pour raison de sécurité , si c'est ça "passer à autre chose " que ça soit dit et vite !!! revoltages

  9. Bonjour,

    Du nouveau sur le train du Puy de Dôme. Franchement, Stadler n'a fait que répondre à un choix esthétique du concessionnaire mais cette "boite à chaussure" me semble peu heureuse visuellement. En tout cas pas en adéquation avec les formes rondes agréables des volcans d'Auvergne. Je trouvait que nos Z 850 étaient un peu trop anguleuses et plates de face mais alors là c'est franchement trop "parallélépipédique".

    http://www.lamontagne.fr/editions_locales/clermont_ferrand/le_train_du_puy_de_dime_gris_sobre_et_aubergine_video_@CARGNjFdJSsBFRsGABw-.html

    c'est sur que ce n'est pas le tram (ligne2) de montpellier lotrela

  10. décision de sarko remise en cause !!! il en faudrait d'autres nonmais

    http://www.midilibre.com/articles/2011/01/12/A-LA-UNE-Radie-par-Sarkozy-le-gendarme-Matelly-a-reintegre-ses-fonctions-1506354.php5

    Radié par Nicolas Sarkozy, le gendarme Matelly a réintégré ses fonctions

    Originaire de Montpellier, le gendarme Jean-Hugues Matelly, 44 ans, radié en mars 2010 par décret présidentiel, a réintégré ses fonctions mercredi suite à une décision du Conseil d'Etat.

    Jean-Hugues Matelly a été radié le 25 mars 2010 par "mesure disciplinaire" pour "manquement grave" à son obligation de réserve. Il lui était reproché de s'être exprimé dans les médias en tant que chercheur du Centre national de la recherche scientifique (CNRS), fin 2008, en critiquant le rapprochement police-gendarmerie au sein du ministère de l'Intérieur, intervenu début 2009.

    Le Conseil d'Etat a annulé ce décret du président de la République estimant « la sanction manifestement

    disproportionné » par rapport au manquement à son obligation de réserve. « En faisant le choix de la mesure la plus lourde, équivalente à un licenciement alors qu'elle disposait d'un éventail de sanctions larges (notamment la possibilité de prendre une mesure de retrait temporaire d'emploi), l'administration a prononcé à l'encontre de cet officier de gendarmerie une sanction manifestement excessive », estime la plus haute juridiction administrative.

    Auprès de l'AFP, Jean-Hugues Matelly a exprimé son « soulagement à titre personnel ». « C'est une décision importante pour la liberté d'expression des militaires », a-t-il ajouté. Il a également dit son attachement à la gendarmerie où il est entré par « goût de l'action » après avoir hésité entre plusieurs carrières dans l'armée.

    ne croyez pas que c'est parce que mon gendre est gendarme que je me réjoui lapleunicheuse mdrmdr

  11. je ne fais pas une analyse politique ,j' n'ai pas suivi la chose d'assez prés !

    je constate juste que ,sans gouvernement , ça fonctionne sans guerre civile ,étonnant ,non ?

    une idée pour la france ? lotrela

    http://www.ledauphine.com/actualite/2011/01/12/benoit-boelvoorde

    L'appel de Benoît Poelvoorde : pas de gouvernement, pas de rasoir !

  12. décidemment , le mélange des genres est monnaie courante en france ,comme avec l'affaire woerth bettencourt .....

    http://fr.news.yahoo.com/4/20110111/tts-france-mediator-bertrand-ca02f96.html

    Deux médecins travaillant pour le laboratoire Servier, le fabricant du Mediator, étaient aussi conseillers au cabinet du ministre de la Santé Xavier Bertrand quand il a prorogé le remboursement du médicament en 2006, écrit Le Canard enchaîné qui paraît mercredi.

    En mars 2006, la Haute autorité de santé, instance d'expertise sollicitée pour se prononcer sur l'efficacité du Mediator, avait conclu qu'il ne présentait "aucun intérêt de santé publique" mais le ministre, écrit Le Canard, avait décidé de maintenir son remboursement par la Sécurité sociale.

    A cette époque, travaillaient dans son équipe ministérielle deux médecins ayant des liens financiers avec Servier, le professeur Gérard Bréart et le professeur Françoise Forette, par ailleurs élue UMP, ajoute le journal.

  13. une chose m'interpelle ,dans les affaires récentes ,la seule personne libérée rapidement est clotilde reiss qui fait partie des services secret ,comme par hasard (vous me direz que ce n'etait pas une otage de terroriste ), mais Florence Cassez ,elle,est dans le même cas ,et peut crever tranquille au mexique .souvenons nous de la réaction du nain lors de la prise d'otage des journalistes en afghanistan ,que du mépris ,le même sans doute qu'il a eu pour ces jeunes et leur famille ainsi que pour Michel Germaneau . revoltages

  14. Les passagers du vol Birmingham-Genève sur Easyjet ont vécu une étonnante aventure le 26 décembre dernier, rapporte Le Matin. Un peu trop prévoyante, la compagnie avait trop chargé le réservoir de son A319: 10 tonnes en plus tout de même! Le responsable a alors demandé à des volontaires de débarquer afin de pouvoir décoller.

    En échange, il proposait de verser 100 livres (150 francs) et payer une nuit d’hôtel, mais sans assurer un vol dès le lendemain. Il a trouvé preneur auprès de 7 passagers seulement. Dans l'obligation d'agir rapidement, le personnel de bord a alors menacé les clients de faire venir la police si 30 personnes encore n'acceptaient pas l'offre, révèle la BBC. Des policiers attendaient d'ailleurs sur le tarmac.

    Une fois les malheureux passagers débarqués sous la contrainte, l'avion est finalement parti avec trois heures de retard. Pour se faire pardonner, la compagnie a offert boissons et collations durant le vol aux autres voyageurs. C'était avant qu'ils n'apprennent que leurs bagages avaient été laissés à Birmingham pour alléger l'avion! Ils ont pu récupérer leurs affaires cinq jours plus tard...

    Easyjet a lancé une enquête.

    http://www.tdg.ch/geneve/actu-geneve/kerosene-easyjet-fait-descendre-passagers-2011-01-11

    Ah vivement la concurrence ferroviaire en France que nos con-patriotes regrettent les cheminots du service public qui faisaient le maximum avec le peu de moyens disponibles.

    Tiens les médias français n'ont pas informé sur ce couac....

    :Smiley_32::Smiley_36::Smiley_29::Smiley_25:

    :Smiley_24::Smiley_15::Smiley_23::Smiley_10:

    :Smiley_42:

    je reste sans voix !

  15. à lire ......

    http://www.courrierinternational.com/article/2011/01/11/le-faux-debat-sur-les-35-heures

    Le faux débat sur les 35 heures

    La réduction du temps de travail arrange tout le monde. Les responsables politiques seraient mal avisés de la supprimer à seize mois de la présidentielle, estime le quotidien économique britannique.

    Il y a deux grands totems dans la vie des salariés français : la pause-déjeuner et la semaine de 35 heures. La première est sacrée. Essayez d’appeler une entreprise, un organisme public ou une administration de province sur le coup de 12 h 31, et vous verrez. Suggérer que quelqu’un devrait être disponible pour traiter une urgence éventuelle est souvent accueilli par des rires. Le deuxième totem est tout aussi sacré, sans être pour autant respecté dans les faits. Dans le secteur privé tout au moins, les 35 heures ont été tellement vidées de leur substance au fil des réformes promulguées depuis huit ans que la semaine de travail en France est aujourd’hui de 39,4 heures en moyenne. Certes, cela reste au-dessous de la moyenne européenne de 40,4 heures, mais, pour ce qui est du nombre total d’heures travaillées annuellement, la France devance encore largement l’Allemagne, par exemple. Ce qui rend d’autant plus étrange la violence du débat actuel sur la suppression éventuelle de la semaine de 35 heures, mise en place par un gouvernement socialiste il y a dix ans.

    Etonnamment, le seul secteur que l’on n’a pas beaucoup entendu sur le sujet est celui des entreprises, hormis la direction du petit lobby des PME-PMI, qui a mis en garde contre leur suppression. Le problème est que, depuis l’introduction de cette mesure, en 2000, les entreprises ont bénéficié d’un si grand nombre d’exonérations de cotisations sociales et patronales que la supprimer signerait la fin de ces avantages. Pour les salariés, la semaine de 35 heures marque simplement le seuil à partir duquel ils peuvent demander à être payés en heures supplémentaires. En sortir signifierait qu’ils ne toucheraient plus la majoration de 25 % accordée pour les quatre premières heures supplémentaires, financée par l’Etat. De plus, malgré le statut de paria des 35 heures, les statistiques officielles montrent qu’elles n’ont peut-être pas été l’échec total que certains les accusent d’être : selon les estimations de l’INSEE, elles auraient en effet permis de créer entre 300 000 et 350 000 emplois dans les premières années de leur entrée en vigueur, et fait augmenter la productivité de 4 à 5 %. Leurs détracteurs assurent néanmoins que le coût horaire de la main-d’œuvre dans l’industrie française a considérablement augmenté depuis leur introduction : alors qu’il était autrefois 10 % plus bas qu’en Allemagne, il est aujourd’hui pratiquement identique. Dans la même période, la part des exportations de la France dans la zone euro est passée de 17 % en 1988 à 13,1 % en 2010.

    c'est les anglais qui le disent ............. nonmais

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