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Le Web des Cheminots

raez

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Messages publiés par raez

  1. on s'américanise ,à la différence qu'on (les usagers ,consommateurs ) a pas de contre pouvoir ,c'est à dire les "class actions".

    j'ai été un anti américain primaire (version Reagan / bush) comme on dit. je me suis toujours offusqué des sommes attribuées à des plaignants,pour ce que nous appelons des pécadilles,contre des grosses sociétés . puis ,à la réflexion je me dit que c'est leur système qui veux ça . c'est comme l'oeuf ou la poule ? qui le premier? nous,nous y allons en (pas tout à fait) plein sans le contre pouvoir des consommateurs hélas .

  2. "On ne s’improvise pas diplomate"

    Un groupe de diplomates français de générations différentes, certains actifs, d'autres à la retraite, et d'obédiences politiques variées, a décidé de livrer son analyse critique de la politique extérieure de la France sous Nicolas Sarkozy. En choisissant l'anonymat, ils ont imité le groupe Surcouf émanant des milieux militaires, dénonçant lui aussi certains choix du chef de l'Etat. Le pseudonyme collectif qu'ils ont choisi est "Marly" – du nom du café où ils se sont réunis la première fois. Ceci est leur premier texte public.

    La manœuvre ne trompe plus personne : quand les événements sont contrariants pour les mises en scène présidentielles, les corps d'Etat sont alors désignés comme responsables.

    Or, en matière diplomatique, que de contrariétés pour les autorités politiques ! A l'encontre des annonces claironnées depuis trois ans, l'Europe est impuissante, l'Afrique nous échappe, la Méditerranée nous boude, la Chine nous a domptés et Washington nous ignore ! Dans le même temps, nos avions Rafale et notre industrie nucléaire, loin des triomphes annoncés, restent sur l'étagère. Plus grave, la voix de la France a disparu dans le monde. Notre suivisme à l'égard des Etats-Unis déroute beaucoup de nos partenaires.

    Pendant la guerre froide, nous étions dans le camp occidental, mais nous pesions sur la position des deux camps par une attitude originale. Aujourd'hui, ralliés aux Etats-Unis comme l'a manifesté notre retour dans l'OTAN, nous n'intéressons plus grand monde car nous avons perdu notre visibilité et notre capacité de manœuvre diplomatique. Cette perte d'influence n'est pas imputable aux diplomates mais aux options choisies par les politiques.

    Il est clair que le président n'apprécie guère les administrations de l'Etat qu'il accable d'un mépris ostensible et qu'il cherche à rendre responsables des déboires de sa politique. C'est ainsi que les diplomates sont désignés comme responsables des déconvenues de notre politique extérieure. Ils récusent le procès qui leur est fait. La politique suivie à l'égard de la Tunisie ou de l'Egypte a été définie à la présidence de la République sans tenir compte des analyses de nos ambassades. C'est elle qui a choisi MM. Ben Ali et Moubarak comme "piliers sud" de la Méditerranée.

    Un WikiLeaks à la française permettrait de vérifier que les diplomates français ont rédigé, comme leurs collègues américains, des textes aussi critiques que sans concessions. Or, à l'écoute des diplomates, bien des erreurs auraient pu être évitées, imputables à l'amateurisme, à l'impulsivité et aux préoccupations médiatiques à court terme.

    Impulsivité ? L'Union pour la Méditerranée, lancée sans préparation malgré les mises en garde du Quai d'Orsay qui souhaitait modifier l'objectif et la méthode, est sinistrée.

    Amateurisme ? En confiant au ministère de l'écologie la préparation de la conférence de Copenhague sur le changement climatique, nous avons abouti à l'impuissance de la France et de l'Europe et à un échec cuisant.

    Préoccupations médiatiques ? La tension actuelle avec le Mexique résulte de l'exposition publique d'un dossier qui, par sa nature, devait être traité dans la discrétion.

    Manque de cohérence ? Notre politique au Moyen-Orient est devenue illisible, s'enferre dans des impasses et renforce les cartes de la Syrie. Dans le même temps, nos priorités évidentes sont délaissées. Il en est ainsi de l'Afrique francophone, négligée politiquement et désormais sevrée de toute aide bilatérale.

    Notre politique étrangère est placée sous le signe de l'improvisation et d'impulsions successives, qui s'expliquent souvent par des considérations de politique intérieure. Qu'on ne s'étonne pas de nos échecs. Nous sommes à l'heure où des préfets se piquent de diplomatie, où les "plumes" conçoivent de grands desseins, où les réseaux représentant des intérêts privés et les visiteurs du soir sont omniprésents et écoutés.

    Il n'est que temps de réagir. Nous devons retrouver une politique étrangère fondée sur la cohérence, l'efficacité et la discrétion.

    Les diplomates français n'ont qu'un souhait : être au service d'une politique réfléchie et stable. Au-delà des grandes enceintes du G8 et du G20 où se brouillent les messages, il y a lieu de préciser nos objectifs sur des questions essentielles telles que le contenu et les frontières de l'Europe de demain, la politique à l'égard d'un monde arabe en révolte, nos objectifs en Afghanistan, notre politique africaine, notre type de partenariat avec la Russie.

    Les diplomates appellent de leurs vœux une telle réflexion de fond à laquelle ils sauront apporter en toute loyauté leur expertise. Ils souhaitent aussi que notre diplomatie puisse à nouveau s'appuyer sur certaines valeurs (solidarité, démocratie, respect des cultures) bien souvent délaissées au profit d'un coup par coup sans vision.

    Enfin, pour reprendre l'avertissement d'Alain Juppé et d'Hubert Védrine publié le 7 juillet 2010 dans Le Monde "l'instrument [diplomatique] est sur le point d'être cassé". Il est clair que sa sauvegarde est essentielle à l'efficacité de notre politique étrangère.

    Lire la contre-enquête sur "la diplomatie française bousculée par la révolte arabe", dans l'édition Abonnés du site et dans Le Monde daté du 23 février 2011 et disponible dans les kiosques mardi 22 février à partir de 14 heures.

    le groupe "Marly", un collectif qui réunit des diplomates français critiques Article paru dans l'édition du 23.02.11

  3. je ne pense pas que des RVB aient été réalisé uniquement par des cheminots depuis je dirais ,30 ans !

    les gros chantiers sont réalisés de plus en plus par des entreprises.

    sur Montpellier ,il y a eu un remplacement d'une dizaine d'appareils de voie ,il y à 4/5 ans ,les seuls agents de VB présents étaient annonceurs ,le SE s'est occupé de la partie électrique ,tout le reste a été fait par l'entreprise .

    à ma connaissance RFF ne soustraite pas (encore) l'entretien courant pour la signalisation ,pour VB je dirai ,non,aussi ,mais sans garantie .

  4. bonjour

    le probléme avec le titre " dsk est il socialiste" c'est que met on dans le socialisme ?? par exemple la sociale démocratie fait elle partie du socialisme ??

    quand j'ai ouvert ce sujet ,je me demandais si DSK promouvait les idées que je me fais de ce que doit représenter le PS !

    la réponse est plus que subjective .

    d'autres débats seraient de se demander si le PS est vraiment de gauche de nos jours ,et, où se trouve la limite centre/ gauche ! vaste débat !!!

  5. Sans parler de l'impact sur la surface du rail.

    Un tel impact, d'environ 4 à 5 mm après passage d'une circulation peut s'agrandir et dépasser la taille d'une pièce de 2 euros en 1 an. Et à ce stade, on est souvent obligé de remplacer un coupon de rail.

    Bilan : 3m de rail, 6 agents, sans compter les organisateurs, les agents de l'Infra Exploitation impactés.

    C'est cher du caillou quand même.

    où alors suivant les circonstances ,on remplace environ 3/400m de rail sur les deux files comme au célèbre PN de Baillargues(c'était tgv contre poid-lourd),travaux qui nécessitent l'intervention d'une entreprise ,vous imaginez le coût !

  6. MAM ?? encore une ???? casserole

    Selon le journal Tunis Hebdo, lors de son voyage en Tunisie, Michèle Alliot Marie aurait rencontré en secret, le 27 décembre, le directeur de la sécurité nationale et le Ministère de l'Intérieur de Ben Ali, des durs du régime qui souhaitaient obtenir l'aide de la France pour mater la rébellion. Des allégations complètement fausses selon le quai d'Orsay, qui dément formellement.

    La une de Tunis Hebdo

    La une de Tunis Hebdo

    *

    Libye: Patrick Ollier, le boulet d'Alliot-Marie

    *

    Soulèvements dans le monde arabe: la diplomatie reste «timide»

    *

    Dossier : les soubresauts du Quai d'Orsay

    Le feuilleton MAM n’en finit pas de s’écrire. Après son coup de fil passé à Ben Ali pendant ses vacances, le voyage en jet privé d’Aziz Miled, les affaires immobilières réalisées par ses parents le journal Tunis Hebdo révèle que la Ministre des affaires étrangères aurait rencontré, en secret, le 27 décembre le général Ali Seriati, chef de la sécurité présidentielle, l’un des hommes forts du régime, » et Rafik Hadj Kacem, le Ministre de l’Intérieur.

    « Alors que le sang des tunisiens coulait pour la dignité, Michèle Alliot Marie, s'est réunie, le 27 décembre à Tabarka avec Rafik H. Kacem et Seriati » titre l'hebdomadaire qui développe: « Une réunion a donc eu lieu le 27 décembre à 11 heures dans le salon d'honneur de l'hôtel Tabarka Beach entre les trois personnages. Cette réunion secrète dure deux heures durant lesquelles Hadj Kacem et Seriati tentent de convaincre, par tous les moyens, l'ancienne ministre de l'Intérieur qu'elle fut, de les aider afin de mater la “rébellion”. C'est au cours de cet entretien secret que MAM, sous la "pression” d'Ali Seriati, a fini par s'entretenir téléphoniquement avec Ben Ali. De quoi ont-ils parlé ? Nul ne le sait, à part le président déchu, Nicolas Sarkozy et elle ».

    Une information « formellement » démentie par le cabinet de Michèle Alliot Marie: « Michèle Alliot Marie n'a eu aucun contact durant son séjour avec les deux personnes citées dans ces articles ». MAM n'a pas apporté de précisions sur son emploi du temps, mais Tunis Hebdo n'apporte pas de preuves formelles de ses allégations. Seul élément venant corroborer cette thèse: on sait que Michel Alliot-Marie a nié que la France avait apporté tout renfort matériel de maintien de l'ordre au régime tunisien avant que du matériel ne soit intercepté à Roissy le 14 janvier 2011.

    Pendant que Lagarde et Wauquiez vont en Tunisie, MAM file vers le Brésil

    Surnommé le « sécurocrate», Ali Seriati a conduit la répression des manifestations et lâché ses tireurs d’élites. C’est lui qui a recruté à la hâte plusieurs centaines de miliciens, entraînés par ses officiers au maniement des armes et à l’accomplissement d’actes de sabotage, d’incendies et de pillage.

    Rafik Hadj Kacem, le Ministre de l’intérieur de Ben Ali, également un dur du régime, est lui considéré comme appartenant à la mafia des pilleurs de la Tunisie.

    Ali Seriati a été arrêté fin janvier et sera jugé pour «conspiration contre la sûreté de l’Etat et incitation à la violence armée». Il devra également répondre des accusations suivantes : «conspiration contre la sûreté intérieure et commission d’un attentat ayant pour but d’inciter les gens à s’armer les uns contre les autres ou à provoquer le désordre, le meurtre ou le pillage sur territoire tunisien».

    L’ancien ministre de l’Intérieur, Rafik Hadi Kacem a été arrêté , samedi après-midi, à Béja, sa ville natale, selon le site en anglais de la chaîne satellitaire Al Jazeera.

    Hadj Kacem a été limogé par l’ex-président Ben Ali quelques jours avant la fuite de ce dernier vers l’étranger.

    Bien empêtrée dans la multitude de rumeurs qui courent sur ses multiples rencontres lors de ses vacances tunisiennes, MAM a décidé de prendre quelques distances avec Tunis. Elle n'a ainsi pas accompagné Laurent Wauquiez et Christine Lagarde en déplacement lors de leur déplacement à Tunis. MAM est actuellement en visite diplomatique au Brésil fait savoir le Ministère.

    non seulement ,MAM aurait du (être ?) démissionner ,mais en plus elle nous coûte un voyage au brésil pour ne pas se montrer en Tunisie ! revoltages revoltages revoltages

    on est vraiment gouverné par des guignols !!!

    il va de soi que le Boukistan n'est pour rien là dedans .............................................

  7. DSK est t-il socialiste ?

    à vous de juger ...................

    extraits...............

    Il est temps de parler de DSK et du tapage médiatique auquel on a droit depuis quelques mois pour en faire LE candidat du PS en 2012. Son parcours mérite quand même un bref résumé, car ces dernières années, DSK est entré de plein pied dans l'establishment international. Du coup, il est en pôle position pour 2012, d'après les médias.

    En 1997, il est ministre des Finances sous Jospin. Et là, il applique un programme libéral, soi disant pour appliquer les mesures européennes, mais en réalité il s'agit du credo qu'il n'hésite pas à affirmer aujourd'hui. Il commence la privatisation de France Telecom, par exemple, ou de Thomson.

    Il signe aussi l'AGCS, l'Accord Général sur le Commerce des Services, qui prévoit la libéralisation de tous les services, dont la santé, l'éducation, les transports en commun, l'eau, l'électricité...

    DSK est aussi secrétaire national du PS etc. prône le "oui" au référendum sur la constitution européenne via son club "A Gauche en Europe" (sic.) crée pour l'occasion avec Rocard, et où on retrouve une partie du gratin européen de l'époque. Le groupuscule participe à la création du magnifique programme du PS en 2007. Dès la défaite, il déclare qu'il faut que le PS rejoigne la "social démocratie", qui n'a rien de social ni d'ailleurs de démocratique.

    En 1993, après une défaite électorale aux législatives, il devient avocat d'affaires et crée DSK Consultants. L'année suivante, il crée avec le parton de Publicis le Cercle de l'Industrie, avec des industriels et politiques de droite et de gauche. Étaient réunis pour parler d'Europe, donc, et d'Industrie, le PDG de Renault, ou celui de Lafarge (entreprise toujours représentée au Bilderberg depuis des années), celui de l'ex Rhône Poulenc, d'EDF, de l'Oréal ou de Total par exemple.

    En fait, le Cercle de l'industrie est une espèce de lobbie pro européen regroupant des industriels pour défendre leurs intérêts auprès de l'Europe.

    Très vite, une cinquantaine d'entreprises françaises y cotisent. Accessoirement, cela permet aussi à DSK de se rapprocher de tous ces PDG qui seront prompts ensuite à financer et propager sa cause. Ce qui, on le constate, n'a pas manqué. Mais aussi, certaines de ces entreprises l'ont grassement rémunéré pour ses "conseils".

    Pendant ses périodes hors du champ politique, il enseigne. Notamment à Stanford, où il a été recruté en 2000 par Condoleeza Rice, qui dirigeait l'université.

    Il participe également à la réunion du Bilderberg dès 2000 , où il a croisé Georges Soros (un habitué), David Rockefeller, Henri Kissinger, Javier Solana, Jean-Calude Trichet de la Banque de France qui passe ensuite à la BCE (un habitué aussi), James Wolfensohn de la banque mondiale, les PDG de Paribas, Fortis, Nokia, le directeur de la CIA et bien d'autres, ce qui lui a ensuite valu les faveurs de Romano Prodi et de Jean Claude Juncker, deux autres habitués du Bilderberg, pour être le candidat de l'Europe au FMI, pile au moment de la crise et du renforcement du rôle et des moyens dudit FMI......................

    En mars 2009, il est 1er des "côtes d'avenir", super classement... du Figaro. Puis, il passe à une conférence au Canada, intitulée : "S'adapter au Nouvel Ordre mondial" (on notera qu'il ne s'agit pas d'une question, mais d'une injonction) où on a aussi pu voir Catherine Ashton, la nouvelle ministre européenne des affaires étrangères. Encore une fois, que du beau linge.................

    Le Monde encense son grand retour, comme le Figaro, Marianne, LCI, TF1 etc. Et tout ce cirque va probablement durer jusqu'à ce qu'aucun autre candidat n'apparaisse comme réaliste à gauche et que DSK ou un de ses sous fifres se lance dans la grande aventure de la campagne 2012. On peut dire qu'en une semaine, il a réussi sa tournée (sur Google, on compte plus de 1.000 articles en quatre ou cinq jours) !

  8. Dix élus déposent plainte suite à la manifestation réprimée

    Publié à 9 h 30 - Dix élus cévenols ont déposé plainte avec constitution de partie civile par le biais de leur avocat, Me Bourgois. Une plainte pour violences lors de la manifestation du 21 janvier dernier à Anduze, où les opposants, au passage dans l’agglomération du Grand Alès, avaient bloqué le train à vapeur des Cévennes, élus en tête. Alors que les gendarmes dégageaient les voies, le commandant de la compagnie avait fait usage d’une bombe lacrymogène, un geste filmé par un participant et dont la vidéo avait fait le tour d’internet.

    La plainte engagée par les élus est nominative à l’encontre du gradé et a été déposée en citation directe, ce qui a pour effet de court-circuiter le parquet. « On ne peut pas

    laisser passer ce comportement », affirme Alain Beaud, le président de la communauté de commune Autour d’Anduze. Qui rappelle qu’un élu a eu plus de huit jours d’incapacité. En plus d’Alain Beaud, la conseillère générale du canton ainsi que huit conseillers municipaux de Massillargues-Attuech, de Saint-Sébastien-d’Aigrefeuille, de Tornac et d’Anduze font partie des élus qui demandent à la justice de se prononcer.

    THIERRY DUBOURG

  9. http://www.radiobfm.com/edito/home/96935/la-sncf-se-diversifie-et-renoue-avec-les-benefices/

    La SNCF de papa a vécu. Aujourd'hui l'établissement français est l'un des premiers groupes mondiaux de mobilité et de logistique. Présente dans 120 pays, l'entreprise s'est développée sur des métiers complémentaires au train.

    Cette diversification a plusieurs avantages. Grâce à ses filiales privées, la SNCF peut répondre à des appels d'offres à l'international sans être handicapé par son étiquette d'etablissement public. D'un coté Kéolis propose une offre complète dans le transport urbain, de l'autre avec Géodis. Le groupe a pu offrir à sa division fret une offre globale dans le transport de marchandise, regroupant train, camion, avion ou encore cargo.

    Le dernier-né des relais de croissance de la SNCF se nomme "Gares et Connexions". Pour cette branche, la mission est double: louer des emplacements aux nouveaux entrants et transformer les gares en véritables lieu de vie, en y implantant différents services comme superette et autre service de la vie quotidienne.

    la sncf de papa ,d'accord ou pas ,on s'en doutait pascontent

    "Gares et Connexions" ? c'est quoi ça ? on comprend mieux pourquoi on abandonne le fret !! revoltages

  10. la république ,version sarko / mam ...

    http://www.rue89.com/2011/02/17/casse-toi-pov-con-la-france-invente-loutrage-a-dictateur-190985

    Un professeur du lycée français du Caire a été convoqué à l'ambassade puis rapatrié « pour sa sécurité » parce qu'il avait manifesté contre Hosni Moubarak, place Tahrir, avec une pancarte « Casse toi pauvre con ». C'est une curieuse histoire que révèle Telerama.fr. Car deux semaines plus tôt à Tunis, la famille d'un autre professeur, assaillie par les pillards, s'était vu, elle, refuser un rapatriement. Deux conceptions de la sécurité.

    Le professeur, marié à une Egyptienne et père de deux enfants, est convoqué trois jours après avoir manifesté avec sa pancarte « Casse toi pauvre con ». Cette phrase devenue slogan est associée à Nicolas Sarkozy, parce que le Président l'avait prononcée, et parce que le parquet avait poursuivi un Français pour « outrage » car ce dernier voulait l'arborer sur un T-shirt au passage du convoi présidentiel.

    Lorsque le professeur manifeste au Caire, Moubarak n'est pas encore tombé. Il quittera le pouvoir le 17 février. En attendant, la France est officiellement un pays ami du régime égyptien.

    Télérama écrit que le fonctionnaire a été identifié sur des clichés pris par le photographe de l'ambassade, ce que le Quai d'Orsay

    dément vigoureusement, assurant qu'il a été repéré sur des images diffusées par BFM-TV.

    « Mieux vaut être ministre des Affaires étrangères et proposer de l'aide à un

    dictateur qu'être un simple prof et en conspuer un autre », note l'hebdomadaire.

    Fonctionnaire français, l'homme est tenu au devoir de réserve, comme d'ailleurs les chercheurs du Centre d'études et de documentation économique, juridique et sociale (Cedej), basé en Egypte, eux aussi rappelés au silence par le ministère des Affaires étrangères.

    Le fonctionnaire est rapatrié dès le lendemain, « pour sa sécurité », explique le ministère. Administrativement, selon l'hebdomadaire, il risque, en France, la rétrogradation :

    « Il s'en sort avec un blâme. Le Quai d'Orsay lui a d'abord fait comprendre qu'il pourrait rentrer en Egypte et retrouver sa famille l'été prochain, après son départ à la retraite. Moubarak ayant quitté le pouvoir, il pourrait rentrer plus tôt. »

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