fabrice Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 Reprise pour Thionville A noter la tentative de journalistes à assister à l'AG. Ils ont pu se rendre compte que la pluie mouille controleursncf
SATANAS Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 Reprise pour Thionville Ils ont trouvé 7 rebelles pour faire pencher la bascule....
fabrice Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 Ils ont trouvé 7 rebelles pour faire pencher la bascule.... A l'AG y avait pratiquement que les conducteurs 5 ou 6 pour la poursuite, une vingtaine pour la fin, le reste en abstention
Arnold Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 Reprise pour Thionville A noter la tentative de journalistes à assister à l'AG. pareil hier à Boulogne, on ne les a jamais vu de la semaine et quand les os demande de retravailler ils débarquent! On leur a tout de même dit que ce n'etait que suspendu lol
zoom 45 Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 A Vénissieux AG à 09h00 Résultat:Une soixantaine pour la reprise Une trentaine pour la reconduction de la gréve 5-6 pour l'abstention Pour info la CGT avait appelée a la reprise dés le 22/11/07
vince77 Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 (modifié) AG de villeneuve st georges dépot à 10h00 une petite cinquantaine de personne à l'AG. la cgt ne prend pas part au vote. Résultat anecdotique du vote 3 reconductions, 8 abstentions, le reste pour la reprise. L' EMT de vsd a donc repris le boulot ce jour à midi. Modifié 24 novembre 2007 par vince77
Z27500 Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 Voila l'article de presse que tu demandes mais comme j'ai dit la presse s'emballe vite souvent : Sabotages à la SNCF : premières interpellations 22/11/2007 | Mise à jour : 19:48 | . INFO FIGARO. Trois suspects ont été placés en garde à vue en Lorraine après la série de dégradations perpétrées sur le réseau ferré. Un agent de la maintenance de la SNCF, présenté de source proche du dossier comme un syndicaliste de la CGT, et un jeune chauffeur routier ont été interpellés mercedi soir pour leur présumée participation au blocage des trains à Blainville (Meurthe-et-Moselle). Entre le 16 et le 19 novembre dernier, du ballast avait été déposé sur des lames d'aiguillages. Des clefs de locomotives ainsi que du matériel de sécurité embarqué dans des trains, dont des torches de détresse, avaient été dérobés. Les suspects, reconnus par des témoins, sont entendus par les gendarmes de la section de recherches de Nancy. Ils devraient être déférés vendredi matin au parquet. A Thionville (Moselle), un autre agent de la SNCF a été placé en garde à vue par la police. Mercredi soir, il s'est introduit dans le poste d'aiguillage informatisé avant d'insulter ses collègues non grévistes et de briser plusieurs vitres en lançant des pierres. Interpellé peu après, il a reconnu les faits qui lui sont reprochés. Depuis le début des actions de sabotages, la SNCF a fait appel à des huissiers pour constater les dégradations commises. Par ailleurs, l'entreprise a mobilisé ses cadres afin de «protéger l'outil de production» et reconnaître les fauteurs de troubles. Selon nos informations, un dernier bilan fourni par la SNCF fait état d'une quarantaine de plaintes déposées ou en cours de dépôt. A travers le pays, des saboteurs agissant de manière organisée ont enduit par endroit les rails de graisse, dégradé des lecteurs de cartes d'accès, brûlé des câbles ou détérioré des systèmes de signalisation. http://www.lefigaro.fr/actualites/2007/11/...not-casseur.php Quatre mois avec sursis pour un cheminot casseur J.B. (lefigaro.fr) Avec AFP 23/11/2007 | Mise à jour : 19:36 | Commentaires 14 . L’homme, en état d’ébriété, avait brisé les baies vitrées d’un poste de relais de Thionville pendant la grève des transports. Jugé en comparution immédiate, il devra indemniser la SNCF. Un cheminot de la CGT a été condamné vendredi à quatre mois d’emprisonnement avec sursis par le tribunal correctionnel de Thionville, en Moselle, pour «dégradation volontaire d’un bien d’utilité publique» commis pendant la récente grève des transports. Le tribunal, qui a statué dans le cadre de la procédure de comparution directe, a également ordonné une mise à l’épreuve de 18 mois et l’obligation d’indemniser la SNCF, dont le préjudice a été estimé à 3.500 euros. Mercredi vers 21h30, le prévenu, âgé de 46 ans, avait brisé à coups de galets quatre baies vitrées du poste de relais à commande informatique de Thionville où est notamment assurée la sécurité des trains en circulation. Ivre, il en avait ensuite défoncé la porte et détruit un visiophone situé à l’entrée. Décrit comme un «agent modèle», à la fois par sa hiérarchie et ses collègues, ce père de famille au casier judiciaire vierge et titulaire de la médaille de la Travail a reconnu les faits et a expliqué à la barre son «coup de folie» par la «pression du conflit». «Avec la réforme, je me sentais trahi par l’Etat et la SNCF. J’ai pété les plombs et en dix, quinze secondes, ça a tourné», a-t-il ajouté en présentant ses «excuses sincères» devant le tribunal. «Un acte isolé et inacceptable» Pour la partie civile, ni la grève ni l’alcool ne sauraient justifier des faits «totalement inadmissibles». Le procureur a pour sa part souligné qu’»il ne s’agissait pas de juger les modalités d’un conflit social mais un acte isolé et inacceptable commis en marge de celui-ci». Arguant des «remarquables états de service» de son client aux chemins de fer nationaux, la défense a estimé qu’en raison de son ivresse (un taux d’alcoolémie d’un gramme relevé lors de la garde à vue), le prévenu n’était pas dans son état normal au moment des faits. Un autre cheminot de 48 ans et un chauffeur routier de 20 ans, fils de cheminots, comparaîtront le 17 décembre devant le TGI de Nancy pour «entrave à la circulation ferroviaire». Les deux hommes sont accusés d’avoir, le 16 novembre, purgé les freins d’un train bloqué par un piquet de grève à Blainville-sur-l’Eau, en Meurthe-et-Moselle, à 30 km de Nancy, empêchant le redémarrage du convoi.
Invité Publication: 23 novembre 2007 Publication: 23 novembre 2007 http://www.lefigaro.fr/actualites/2007/11/...not-casseur.php Quatre mois avec sursis pour un cheminot casseur J.B. (lefigaro.fr) Avec AFP 23/11/2007 | Mise à jour : 19:36 | Commentaires 14 . L'homme, en état d'ébriété, avait brisé les baies vitrées d'un poste de relais de Thionville pendant la grève des transports. Jugé en comparution immédiate, il devra indemniser la SNCF. âgé de 46 ans, Décrit comme un «agent modèle», à la fois par sa hiérarchie et ses collègues, ce père de famille au casier judiciaire vierge et titulaire de la médaille de la Travail son «coup de folie» par la «pression du conflit». «Avec la réforme, je me sentais trahi par l'Etat et la SNCF. J'ai pété les plombs et en dix, quinze secondes, ça a tourné», a-t-il ajouté en présentant ses «excuses sincères» devant le tribunal. Arguant des «remarquables états de service» de son client aux chemins de fer nationaux, la défense a estimé qu'en raison de son ivresse (un taux d'alcoolémie d'un gramme relevé lors de la garde à vue), le prévenu n'était pas dans son état normal au moment des faits. je condamne cet acte odieux indigne. Mais je le comprend, je ressens son abandon et la perte des valeurs qui construisaient son équilibre psychique. Autour de moi, je vois des 48ans, 52 ans, 51 ans en plein désarroi, "trahis", surtout s'ils ont grimpé dans la hièrarchie. C'est la remise en cause d'années de labeurs dans le rève secret d'une seconde vie dans des conditions matérielles corrects à 55 ans qui s'effrondre. En prenant son AM Idrac s'éteonnait de la présence d'un "mur de berlin mental": elle vient de faire sauter le mur de Berlin des réves d'après-sncf de son personnel en le défendant pas devant le gvt. A quel prix? Aucune cellule psychologique alors que les 14 mesures de l'entreprise semblent s'adresser aux futurs embauchés, sacrifiant les "braves petits soldats". Avez-vous entendu des mesures interressantes positives rétroactives? Honnètement, je redoute le cap où nous verrons les 1er "cheminots indignes" commencer à travailler à 56 ans. Comment cela sera supporté psychologiquement? je l'ignore mais la boite s'en fout et contre-fout. A quand des "suicides à la Renault" inexpliqués? Cela contribuera à améliorer les comptes de la retraite.
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