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Le Web des Cheminots

Retraites - Jeudi 15 Novembre 2007 -


Messages recommandés

Régimes spéciaux:

poursuite de la grève dans les transports, dialogue entamé

AFP - Jeudi 15 novembre, 13h00 PARIS (AFP) -

Les perturbations dans les transports, à la SNCF et la RATP, vont se prolonger jeudi avec la poursuite de la grève contre la réforme des régimes spéciaux , alors que les syndicats doivent se prononcer sur le délai d'un mois accordé mercredi soir pour négocier, par le gouvernement. Evénement

Le trafic SNCF restera "très perturbé" mais enregistrera quelques "améliorations", avec 150 TGV sur 700 en circulation, 50 trains Corail sur 300, deux à quatre trains par heure sur le Transilien, et davantage de TER.

En Ile-de-France, la RATP prévoit en moyenne une rame sur six dans le métro sauf sur les lignes 14, automatique, et 1, où une rame sur deux fonctionnera. Le trafic sera très perturbé sur les lignes A et B du RER, et 30% des bus et tramways rouleront.

Après des actions spectaculaires mercredi à EDF et GDF, seuls FO et la CGT se sont prononcés pour un mouvement reconductible, qui prendrait "différentes formes" dans les jours à venir, comme des coupures ou des rassemblements de camions bleus.

Le ministre du Travail, Xavier Bertrand, a accordé mercredi soir "un mois" aux syndicats et aux entreprises concernées pour trouver une issue, avec l'Etat, en précisant que "les textes réglementaires" de la réforme "seront rendus publics puis publiés" au terme de ce délai. Le président Nicolas Sarkozy a estimé via son porte-parole que le conflit "doit s'arrêter le plus vite possible" car "les conditions sont réunies" pour "des négociations d'entreprises et de branches".

A la SNCF, où la direction a compté mercredi 61,5% de grévistes (contre 73,5% le 18 octobre lors de la première grève), CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa et Sud-Rail ont appelé à poursuivre le mouvement. Des assemblées générales se tiendront sur les sites SNCF jeudi dans la journée.

Jeudi, les syndicats devraient se prononcer sur les propositions de Xavier Bertrand.

A la RATP, où quatre syndicats appellent toujours à une grève reconductible, la direction s'est dite prête à "reprendre les discussions" dès vendredi matin. Mardi soir, Bernard Thibault avait éloigné la perspective d'un conflit prolongé en demandant des négociations tripartites - Etat, syndicats, directions d'entreprises - pour chaque régime spécial, et non plus une négociation nationale, proposition que l'Elysée a acceptée.

Dans les universités, alors que l'agitation a atteint mercredi son niveau le plus élevé depuis 15 jours, avec 36 sites universitaires perturbés, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, doit recevoir jeudi les organisations étudiantes.

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Régimes spéciaux:

baisse significative

du nombre de grévistes à la SNCF

Par Par Anne-Pascale REBOUL AFP - 13h30 PARIS (AFP) -

Le nombre de grévistes dans les chemins de fer français a significativement diminué jeudi, au deuxième jour d'un mouvement contre la réforme sur les régimes spéciaux de retraite, ont indiqué la CGT, syndicat majoritaire chez les cheminots, et la présidence française.

La grève était suivie jeudi par 46% des salariés de la SNCF, contre 64% la veille, a affirmé à l'AFP Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT-Cheminots. Selon le porte-parole de l'Elysée, David Martinon, elle était suivie par 42,8% des salariés contre 61,5% la veille.

Les transports français continuaient néanmoins de connaître de fortes perturbations jeudi, notamment en région parisienne. Les perturbations dans les transports, à la SNCF et la RATP, sont encore fortes jeudi alors que les syndicats doivent se prononcer sur le délai d'un mois accordé mercredi soir par le gouvernement pour négocier.

La circulation sur les autoroutes et voies rapides d'Ile-de-France, avec 277 km de bouchons à 7H00, était plus difficile jeudi matin que mercredi, nombre de franciliens ayant repris le volant.

Le trafic SNCF était toujours perturbé, mais avec quelques améliorations par rapport à la veille. Quelque 150 TGV doivent circuler dans la journée sur 700 en temps normal, une cinquantaine de Corail sur 300, un TER sur trois, avec le renfort de 2.000 cars de substitution en régions. Le trafic des Eurostar et Thalys est normal. Dans le Nord, des grévistes ont bloqué les aiguillages de la gare de Lille-Flandres et la SNCF a fait appel aux forces de l'ordre. En région parisienne, 2 à 4 Transiliens circulent par heure de pointe, avec 1.000 bus en complément.

A la RATP, on comptait au petit matin 1 métro sur 3 ou 4 sur une majorité de lignes, environ 30% de bus et de tramways et le trafic était quasi-nul sur le RER A et nul sur le B.Dans l'énergie, après des actions spectaculaires mercredi à EDF et GDF, seuls FO et la CGT poursuivent le mouvement.

Le ministre du Travail Xavier Bertrand, à l'issue de nouvelles rencontres avec les syndicats, leur a accordé mercredi soir "un mois" pour trouver avec les entreprises concernées une issue au conflit, acceptant la participation de représentants de l'Etat aux négociations. Le ministre exige "le respect des principes d'harmonisation", notamment des durées de cotisation à 40 ans, précise sa "lettre de proposition de méthode".

Mais pour le secrétaire général de FO Jean-Claude Mailly, "tout doit être sur la table", sans condition "préalable".

Pour Sud-Rail, 2e syndicat à la SNCF, "la copie" de M. Bertrand "est à revoir entièrement" et les grévistes sont appelés à "rejeter très massivement ce cinéma", lors des assemblées générales jeudi.

Les syndicats de cheminots, dont six (CGT, CFDT, FO, CFTC, Unsa, Sud-Rail) ont reconduit le mouvement mercredi, forts de 61,5% de grévistes à la SNCF, et doivent se réunir jeudi pour prendre position.

Mercredi soir, le président Nicolas Sarkozy a estimé, via son porte-parole, que le conflit devait "s'arrêter le plus vite possible" car "les conditions sont réunies" pour "des négociations d'entreprises et de branches".

Même son de cloche pour le secrétaire général de la CFDT François Chérèque, qui a jugé les éléments réunis pour "suspendre la grève à la SNCF".

A la RATP, où quatre syndicats (CGT, Sud, Unsa et FO) appellent toujours à une grève reconductible, la direction est prête à "reprendre les discussions" dès jeudi matin.

Mardi soir, Bernard Thibault avait éloigné la perspective d'un conflit prolongé en demandant des négociations tripartites - Etat, syndicats, directions d'entreprises - pour chaque régime spécial, et non plus une négociation nationale.

"La CGT a réussi à se mettre au centre du jeu", salue jeudi La Croix, tandis que La République des Pyrénées juge que M. Thibault "vient de gagner ses galons de stratège".

Dans les universités, alors que l'agitation a atteint mercredi son niveau le plus élevé depuis 15 jours, avec 36 sites universitaires perturbés, la ministre de l'Enseignement supérieur, Valérie Pécresse, doit recevoir jeudi les organisations étudiantes.

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Grève reconduite pour 24h

Reuters - PARIS (Reuters) - jeudi 15 novembre 15h30

La grève contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été reconduite jeudi pour 24 heures à la SNCF et à la RATP dans l'attente de la réponse des syndicats à l'offre gouvernementale d'un délai d'un mois pour négocier par entreprise et par branche.

Les assemblées générales qui se sont tenues jeudi matin se sont majoritairement prononcées pour la poursuite du mouvement dans les transports publics, a-t-on appris de sources syndicales.

L'intersyndicale des cheminots devait se réunir à 16h30 au siège de la CGT, à Montreuil (Seine-Saint-Denis), pour faire le point, mais la base, plus radicalisée, souligne qu'elle attend toujours des "éléments concrets" du gouvernement et de la direction de la SNCF.

Pour Xavier Bertrand, toutefois, "les conditions sont aujourd'hui réunies pour qu'on puisse faire progresser les négociations dans les entreprises".

"Je crois sincèrement qu'on a la possibilité de sortir par le haut", a dit le ministre du Travail jeudi matin sur RMC et BFM TV.

Quatre fédérations de cheminots (CGT, FO, CFTC, Unsa) militent pour une grève reconductible, de même que Sud-Rail, deuxième syndicat à la SNCF, écarté des discussions avec le gouvernement au motif "juridique que ce n'est pas une confédération", a-t-on expliqué de source gouvernementale.

A la RATP, quatre syndicats (CGT, Sud, Unsa, FO) plaident aussi pour une action sur la durée.

Le ministre du Travail a adressé mercredi soir une lettre aux dirigeants syndicaux (CGT, CFDT, Fgaac - non gréviste -, Unsa, FO, CFTC, CFE-CGC) pour fixer les modalités de négociations tripartites Etat-syndicats-entreprise sur la réforme de chaque régime spécial.

L'EXÉCUTIF MAINTIENT SES "LIGNES ROUGES"

Xavier Bertrand donne un mois aux parties pour négocier.

"A l'issue de ce délai, les textes réglementaires relatifs à la réforme des différents régimes spéciaux seront rendus publics, puis publiés", précise-t-il dans la lettre.

Le secrétaire général de la CDFT, François Chérèque, a jugé que les éléments étaient réunis pour une suspension de la grève.

Mais pour le secrétaire général de FO, Jean-Claude Mailly, "tout doit être sur la table", sans "préalable".

L'exécutif a réaffirmé jeudi par la voix du porte-parole de l'Elysée, David Martinon, que ses "lignes rouges" restaient inchangées.

A savoir l'allongement progressif de la durée de cotisation de 37,5 à 40 annuités d'ici à 2012, l'indexation des pensions sur les prix et non plus les salaires, le système de la "décote", qui implique qu'un agent travaillant moins de 40 ans voie sa pension amputée.

"Nous ne sommes pas pessimistes, car des évolutions importantes se produisent", a souligné David Martinon.

Les régimes spéciaux bénéficient à 1,1 million de retraités et 500.000 actifs.

Selon la direction de la SNCF, la grève était suivie par 42,8% des agents jeudi contre 61,5% la veille.

Le trafic était en légère amélioration sur le réseau ferroviaire, mais les perturbations restaient importantes pour les usagers.

Un TGV sur cinq devait circuler - 150 environ sur 700 en temps normal -, contre un sur sept mercredi, et un train Corail sur six, chiffre inchangé, ainsi qu'un TER sur trois.

A la RATP, on comptait une rame sur trois ou quatre en moyenne avec un trafic quasi nul sur certaines lignes. Le trafic était inexistant sur les lignes A et B du RER, 30% des bus et tramways circulaient en moyenne.

La direction de l'entreprise publique prévoyait un trafic "perturbé" vendredi.

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La SNCF "invite à nouveau"

les syndicats à rejoindre

la table des négociations

AP -16h- Paris

La direction de la SNCF "invite à nouveau" les syndicats à rejoindre la table des négociations dans l'entreprise, selon un communiqué diffusé jeudi au deuxième jour d'une grève reconductible contre la réforme des régimes spéciaux.

Depuis vendredi dernier, la direction de la SNCF propose aux syndicats de négocier un accord notamment des "augmentations salariales d'accompagnement des prolongations de carrière au-delà de 55 ans", ou encore une "meilleure prise en compte de la pénibilité au sein de l'entreprise".

La direction de la SNCF confirme qu'une rencontre s'est tenue mercredi 14 novembre avec la CFDT, la CFTC et la CGC sur les propositions formulées par la direction.

"Les organisations syndicales ont pris connaissance de ces propositions qu'elles ont souhaité mettre en débat au sein de leurs fédérations respectives avant de pouvoir arrêter leur position dans les délais proposés par la direction", souligne le communiqué.

La CGC (0,62% des voix aux dernières élections professionnelles dans l'entreprise) "a d'ores et déjà confirmé son accord sur ces propositions. Ce n'est pas le cas de la CFTC et de la CFDT", rappelle le communiqué.

La direction "invite à nouveau l'ensemble des organisations syndicales à rejoindre la table des négociations".

Les fédérations syndicales de cheminots se réunissent ce jeudi en fin d'après-midi pour décider des suites à donner au mouvement. AP

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La grève va se poursuivre vendredi,

malgré l'annonce d'un dialogue

Par Par Anne-Pascale REBOUL AFP - PARIS

La grève à la SNCF et la RATP, qui a entraîné de fortes perturbations jeudi malgré moins de grévistes, devrait se poursuivre vendredi avec une ampleur encore inconnue, la base rechignant à se satisfaire de l'annonce de négociations entre syndicats, directions et gouvernement. Evénement

Le mouvement contre la réforme des régimes spéciaux de retraite était suivi par 42,8% des salariés de la SNCF jeudi en milieu de journée, contre 61,5% mercredi, selon la direction, qui a été devancée par l'Elysée dans son annonce des taux de grévistes.

De son côté, la CGT-Cheminots a fait état de 46% de grévistes contre 64% la veille.

Avec sept syndicats sur huit appelant à la grève, le trafic était toujours perturbé jeudi, mais avec quelques améliorations notamment pour les TGV et Corail.

A la RATP, où quatre syndicats sur huit poursuivent le mouvement, la direction comptait jeudi 27,2% d'agents grévistes, contre 44% mercredi. Vers 14H00, 5 lignes de métro ne fonctionnaient pas, de même que les RER A et B.

Chez EDF et GDF, où seuls FO et la CGT poursuivaient le mouvement, les pourcentages de grévistes étaient très faibles, selon les directions : respectivement 2,1% et 3,6%.

La Comédie-Française a annulé pour le deuxième jour consécutif le spectacle programmé en soirée dans son grand théâtre.

Les assemblées générales tenues dans la matinée sur les sites SNCF et RATP ont en majorité reconduit la grève jusqu'à vendredi, selon les syndicats CGT et FO-cheminots.

Les cheminots de Nantes, Caen, Le Mans ont ainsi voté jeudi à une large majorité la reconduction, comme ceux de Haute-Normandie et de trois établissements de Paris-Nord.

La lettre du ministre du Travail Xavier Bertrand, envoyée mercredi soir aux syndicats, "a été analysée par les AG, qui ont conclu que les cheminots ne peuvent s'en contenter" pour qui "il faut maintenir la pression" jusqu'à l'ouverture de négociations.

Dans sa missive, M. Bertrand accorde "un mois" aux syndicats pour trouver avec les entreprises une issue, et accepte la participation de représentants de l'Etat aux négociations, comme l'avait réclamée la CGT.

Mais il exige "le respect des principes d'harmonisation" : ces discussions "ne sont pas faites pour annuler le passage aux 40 ans" de cotisation, a-t-il prévenu jeudi.

D'ores et déjà, la RATP prévoit pour vendredi un trafic encore "perturbé" avec une rame de métro sur 5 en moyenne, sauf sur la 1 et la 14, des lignes A et B du RER "très perturbées" et 40% en moyenne des bus et tramways.

La SNCF devait donner ses prévisions en milieu d'après-midi.

Les syndicats de cheminots devaient se réunir à 16H30 pour "examiner la situation", selon le secrétaire général de la CGT-cheminots Didier Le Reste.

Pour François Chérèque (CFDT), les éléments sont réunis pour "suspendre la grève à la SNCF".

Mais selon Jean-Claude Mailly (FO), "tout doit être sur la table" durant les négociations, sans condition "préalable" de la part du gouvernement.

Sud-Rail, 2e syndicat de l'entreprise ferroviaire, a jugé sans intérêt "la copie" de M. Bertrand, appelant les cheminots à "rejeter très massivement ce cinéma".

Le porte-parole de l'Elysée a déclaré à la mi-journée que l'exécutif n'était "pas pessimiste" sur une issue prochaine de la grève, ajoutant qu'il travaillait à ce que le mouvement "ne dure pas".

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14 novembre:

un engagement fort et unitaire

Déclaration de la CGT et des Fédérations des Cheminots, des Transports, de Mines-Energie

14 novembre 22h

Dans le prolongement du 18 octobre, la journée de mobilisation unitaire du 14 novembre marque indéniablement l’engagement fort et unitaire des salariés relevant des régimes spéciaux pour la défense de leurs droits en matière de retraite.

Fac-similé

Lire la lettre envoyée par le ministre du travail, Xavier Bertrand, aux confédérations syndicales en réponse à la proposition de la CGT de négociations tripartites entreprise par entreprise.

Les taux de grévistes ont été particulièrement élevés : de l’ordre de 64 % à la Sncf, 65 % à EDF-GDF, 45 % à la Ratp.

En l’absence d’éléments nouveaux, la reconduction de la grève pour 24 heures a été votée unitairement dans de nombreux établissements et sites.

Par un courrier du Ministre du Travail Xavier Bertrand adressé aux organisations syndicales dans la soirée, le gouvernement indique qu’il accepte désormais l’ouverture de négociations tripartites par entreprises ou branches professionnelles « avec la participation d’un ou de représentant(s) de l’Etat ». Il écrit : « l’objectif d’un mois de négociation peut être retenu ».

Après que les autres confédérations aient refusé une réunion tripartite sur le cadre global de la réforme, cette lettre est une réponse à une demande formulée par la Cgt. Elle est le résultat de la puissance de l’action Samedi, le même Ministre faisait de notre désaccord sur la durée de cotisation portée à 40 ans un préalable aux discussions. Bien que nous ayons maintenu nos désaccords, le préalable a disparu.

La Cgt considère que l’ouverture de discussions tripartites est incontestablement un cadre nouveau qui permet aux salariés de porter leurs revendications sur l’ensemble des éléments constitutifs des droits à la retraite. Ainsi, la participation de représentants de l’Etat donne un sens et une légitimité nouvelle à des discussions, hier conduites exclusivement par les directions d’entreprises.

Le gouvernement précise : « les propositions concrètes des directions comme des organisations syndicales permettant l’amélioration de la situation des agents y seront examinées » Ces négociations permettront d’assurer la transparence des positions et des propositions des uns et des autres. Ce qui n’était pas le cas des discussions bilatérales menées parfois en coulisses par le gouvernement et les directions d’entreprises. Cela permettra donc une information et une intervention régulières des salariés à chacune des étapes des négociations.

La Confédération Cgt et ses Fédérations concernées sont totalement lucides sur la situation. Elles ne considèrent pas que les désaccords ont disparu. Elles comptent bien les aborder à nouveau dans les réunions. C’est notamment le cas de la durée des cotisations, des conditions d’application de la décote, de l’indexation des retraites et de l’éventualité d’instaurer un statut dégradé dont les victimes seraient les futurs embauchés.

La Cgt sera particulièrement vigilante pour obtenir des engagements se concrétisant par la pérennité de chacun des régimes et des droits correspondants des salariés.

La Cgt est naturellement consciente qu’à cette étape de l’action, l’essentiel du travail revendicatif reste à accomplir pour un déroulement et des résultats conformes aux aspirations des agents. La période qui s’ouvre nécessite une vigilance et une présence massive de tous les personnels qui se sont engagés dans les différentes phases de la lutte.

Elle leur demande d’apprécier les avancées constatées et de prendre en assemblées générales les décisions qui préservent leurs forces et l’unité syndicale.

Montreuil, le 14 novembre 2007 – 22 H 00

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14 novembre:

un engagement fort et unitaire

Déclaration de la CGT et des Fédérations des Cheminots, des Transports, de Mines-Energie

14 novembre 22h

Dans le prolongement du 18 octobre, la journée de mobilisation unitaire du 14 novembre marque indéniablement l’engagement fort et unitaire des salariés relevant des régimes spéciaux pour la défense de leurs droits en matière de retraite.

Fac-similé

Lire la lettre envoyée par le ministre du travail, Xavier Bertrand, aux confédérations syndicales en réponse à la proposition de la CGT de négociations tripartites entreprise par entreprise.

Les taux de grévistes ont été particulièrement élevés : de l’ordre de 64 % à la Sncf, 65 % à EDF-GDF, 45 % à la Ratp.

En l’absence d’éléments nouveaux, la reconduction de la grève pour 24 heures a été votée unitairement dans de nombreux établissements et sites.

Par un courrier du Ministre du Travail Xavier Bertrand adressé aux organisations syndicales dans la soirée, le gouvernement indique qu’il accepte désormais l’ouverture de négociations tripartites par entreprises ou branches professionnelles « avec la participation d’un ou de représentant(s) de l’Etat ». Il écrit : « l’objectif d’un mois de négociation peut être retenu ».

Après que les autres confédérations aient refusé une réunion tripartite sur le cadre global de la réforme, cette lettre est une réponse à une demande formulée par la Cgt. Elle est le résultat de la puissance de l’action Samedi, le même Ministre faisait de notre désaccord sur la durée de cotisation portée à 40 ans un préalable aux discussions. Bien que nous ayons maintenu nos désaccords, le préalable a disparu.

La Cgt considère que l’ouverture de discussions tripartites est incontestablement un cadre nouveau qui permet aux salariés de porter leurs revendications sur l’ensemble des éléments constitutifs des droits à la retraite. Ainsi, la participation de représentants de l’Etat donne un sens et une légitimité nouvelle à des discussions, hier conduites exclusivement par les directions d’entreprises.

Le gouvernement précise : « les propositions concrètes des directions comme des organisations syndicales permettant l’amélioration de la situation des agents y seront examinées » Ces négociations permettront d’assurer la transparence des positions et des propositions des uns et des autres. Ce qui n’était pas le cas des discussions bilatérales menées parfois en coulisses par le gouvernement et les directions d’entreprises. Cela permettra donc une information et une intervention régulières des salariés à chacune des étapes des négociations.

La Confédération Cgt et ses Fédérations concernées sont totalement lucides sur la situation. Elles ne considèrent pas que les désaccords ont disparu. Elles comptent bien les aborder à nouveau dans les réunions. C’est notamment le cas de la durée des cotisations, des conditions d’application de la décote, de l’indexation des retraites et de l’éventualité d’instaurer un statut dégradé dont les victimes seraient les futurs embauchés.

La Cgt sera particulièrement vigilante pour obtenir des engagements se concrétisant par la pérennité de chacun des régimes et des droits correspondants des salariés.

La Cgt est naturellement consciente qu’à cette étape de l’action, l’essentiel du travail revendicatif reste à accomplir pour un déroulement et des résultats conformes aux aspirations des agents. La période qui s’ouvre nécessite une vigilance et une présence massive de tous les personnels qui se sont engagés dans les différentes phases de la lutte.

Elle leur demande d’apprécier les avancées constatées et de prendre en assemblées générales les décisions qui préservent leurs forces et l’unité syndicale.

Montreuil, le 14 novembre 2007 – 22 H 00

IL demande la suspension du mouvement ?

Modifié par ouragan
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PARIS (AFP) - La grève à la SNCF et la RATP, qui a entraîné de fortes perturbations jeudi malgré moins de grévistes, devrait se poursuivre vendredi, la base rechignant à se satisfaire de l'annonce de négociations entre syndicats, directions et gouvernement.

Le trafic SNCF restera perturbé vendredi mais connaîtra une "nouvelle amélioration", avec 250 TGV sur 700 en circulation, 60 trains Corail, entre 1 et 4 Transiliens par heure et près d'un millier de TER, a prévu jeudi la direction.

Le secrétaire général de la CGT-cheminots, Didier Le Reste, a indiqué jeudi devant la presse, peu avant la réunion des syndicats de la SNCF, que "le mouvement est reconduit jusqu'aux assemblées générales de demain" vendredi.

Le mouvement contre la réforme des régimes spéciaux de retraite était suivi par 42,8% des salariés de la SNCF jeudi en milieu de journée, contre 61,5% mercredi, selon la direction, qui a été devancée par l'Elysée dans son annonce des taux de grévistes.

De son côté, la CGT-Cheminots a fait état de 46% de grévistes contre 64% la veille.

Avec sept syndicats sur huit appelant à la grève, le trafic était toujours perturbé jeudi, mais avec quelques améliorations notamment pour les TGV et Corail.

A la RATP, où quatre syndicats sur huit poursuivent le mouvement, la direction comptait jeudi 27,2% d'agents grévistes, contre 44% mercredi. Vers 14H00, 5 lignes de métro ne fonctionnaient pas, de même que les RER A et B.

Chez EDF et GDF, où seuls FO et la CGT poursuivaient le mouvement, les pourcentages de grévistes étaient très faibles, selon les directions : respectivement 2,1% et 3,6%. La Comédie-Française a annulé pour le deuxième jour consécutif le spectacle programmé en soirée dans son grand théâtre.

Les assemblées générales tenues dans la matinée sur les sites SNCF et RATP ont en majorité reconduit la grève jusqu'à vendredi, selon les syndicats CGT et FO-cheminots.

Les cheminots de Nantes, Caen, Le Mans ont ainsi voté jeudi à une large majorité la reconduction, comme ceux de Haute-Normandie et de trois établissements de Paris-Nord.

La lettre du ministre du Travail Xavier Bertrand, envoyée mercredi soir aux syndicats, "a été analysée par les AG, qui ont conclu que les cheminots ne peuvent s'en contenter", selon FO, pour qui "il faut maintenir la pression" jusqu'à l'ouverture de négociations.

Dans sa missive, M. Bertrand accorde "un mois" aux syndicats pour trouver avec les entreprises une issue, et accepte la participation de représentants de l'Etat aux négociations, comme l'avait réclamée la CGT.

Mais il exige "le respect des principes d'harmonisation" : ces discussions "ne sont pas faites pour annuler le passage aux 40 ans" de cotisation, a-t-il prévenu jeudi.

D'ores et déjà, la RATP prévoit pour vendredi un trafic encore "perturbé" avec une rame de métro sur 5 en moyenne, sauf sur la 1 et la 14, des lignes A et B du RER "très perturbées" et 40% en moyenne des bus et tramways.

La SNCF devait donner ses prévisions en milieu d'après-midi.

Les syndicats de cheminots devaient se réunir à 16H30 pour "examiner la situation", selon le secrétaire général de la CGT-cheminots Didier Le Reste.

Pour François Chérèque (CFDT), les éléments sont réunis pour "suspendre la grève à la SNCF".

Mais selon Jean-Claude Mailly (FO), "tout doit être sur la table" durant les négociations, sans condition "préalable" de la part du gouvernement.

Sud-Rail, 2e syndicat de l'entreprise ferroviaire, a jugé sans intérêt "la copie" de M. Bertrand, appelant les cheminots à "rejeter très massivement ce cinéma".

Le porte-parole de l'Elysée a déclaré à la mi-journée que l'exécutif n'était "pas pessimiste" sur une issue prochaine de la grève, ajoutant qu'il travaillait à ce que le mouvement "ne dure pas".

un mouvement fort et unitaire cartonrougecartonrougecartonrouge koiquesse

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Sur ce coup là

j'espère qu'on va retrouver le chemin d'un syndicalisme rassemblé

avec des cheminots unis et mobilisés

pour la défense de nos intérêts communs.

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Sur ce coup là

j'espère qu'on va retrouver le chemin d'un syndicalisme rassemblé

avec des cheminots unis et mobilisés

pour la défense de nos intérêts communs.

c'est ce que je dis depuis le début... mais après les négociations.

Pas avant

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Chez EDF et GDF, où seuls FO et la CGT poursuivaient le mouvement, les pourcentages de grévistes étaient très faibles, selon les directions : respectivement 2,1% et 3,6%

3% de gréviste???? ... c'est presque insultant de l'écrire pascontent

vous allez me tuer de rire les mecs! 3% de gréviste ... la révolution est en marche

il faudra qu'a la fin de l'histoire je vous remercie tous ... pour ces moments d'anthologie auquels j'assiste

inoubliable cartonrouge

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15 novembre 2007 - 22h

LES FEDERATIONS SYNDICALES DES CHEMINOTS

CGT – CFDT – FO – CFTC – SUD-Rail – UNSA – CFE/CGC

Les fédérations syndicales de cheminots se sont réunies ce jour, jeudi 15 novembre 2007, afin de faire le point sur l’action des cheminots et les suites à lui donner.

Après la grève exceptionnelle du 18 octobre, les cheminotes et les cheminots se sont à

nouveau fortement mobilisés ces deux derniers jours (63,2 % tous collèges le 14 novembre et 45 % le 15 novembre). C’est une participation massive dans le cadre d’un mouvement reconductible.

L’ampleur de cette participation à la grève montre la forte détermination des cheminots à

défendre leur régime spécial de retraite. Cette mobilisation porte aussi sur l’exigence du

développement du Service Public, du Fret SNCF, de l’Emploi à statut et l’augmentation du pouvoir d’achat.

Face à cette mobilisation, le gouvernement a été contraint de concéder des négociations tripartites gouvernement, directions d’entreprises et organisations syndicales, comme demandé par l’ensemble des organisations syndicales de cheminots le 22 octobre dernier.

Les fédérations CGT – CFDT – FO – CFTC – UNSA – CFE/CGC considèrent que cette

annonce du Ministre du Travail doit maintenant se traduire par un contenu et un

calendrier précis à la SNCF.

Nos fédérations exigent la pérennité de notre régime spécial de retraite et de ses droits.

Dans ce cadre, les fédérations CGT – CFDT – FO – CFTC – UNSA – CFE/CGC demandent par courrier, adressé ce jour au Ministre du Travail, que soit organisée dès demain la première réunion qui aura pour objectif de préciser les points qui seront négociés tout au long du processus ainsi qu’un calendrier précis.

En tout état de cause, ce sont les cheminots dans les assemblées générales qui décideront de la suite à donner à l’action et de l’évolution de la situation.

Le rapport de forces, l’unité devront être maintenus pour gagner nos revendications.

En ce sens, nous devons aussi poursuivre nos échanges avec l’opinion publique sur la justesse de notre action qui va dans le sens de l’intérêt de l’ensemble des salariés de ce pays et du service public.

Nos fédérations appellent les cheminots,

réunis en assemblées générales,

à reconduire la grève pour une nouvelle période de 24 heures.

Paris, le 15 novembre 2007

Explications de texte ?

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Chez EDF et GDF, où seuls FO et la CGT poursuivaient le mouvement, les pourcentages de grévistes étaient très faibles, selon les directions : respectivement 2,1% et 3,6%

3% de gréviste???? ... c'est presque insultant de l'écrire mdrmdr

vous allez me tuer de rire les mecs! 3% de gréviste ... la révolution est en marche Mdr.gif

il faudra qu'a la fin de l'histoire je vous remercie tous ... pour ces moments d'anthologie auquels j'assiste

inoubliable beurk

En quoi c'est marrant?

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"En tout état de cause, ce sont les cheminots dans les assemblées générales qui décideront de la suite à donner à l’action et de l’évolution de la situation."

et

"Nos fédérations appellent les cheminots,

réunis en assemblées générales,

à reconduire la grève pour une nouvelle période de 24 heures."

Y'a pas un truc qui cloche là???

Les AG décident. De faire ce que demandent les fédés.

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"En tout état de cause, ce sont les cheminots dans les assemblées générales qui décideront de la suite à donner à l’action et de l’évolution de la situation."

et

"Nos fédérations appellent les cheminots,

réunis en assemblées générales,

à reconduire la grève pour une nouvelle période de 24 heures."

Y'a pas un truc qui cloche là???

Les AG décident. De faire ce que demandent les fédés.

toi tu as tout compris les AG sont souveraines beurk

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SNCF et RATP:

la base rechigne

et la grève se poursuit

AFP - PARIS (AFP) -

La grève dans les transports, qui a entraîné de fortes perturbations jeudi, malgré une baisse du taux de grévistes, va se poursuivre vendredi, et jusqu'à samedi à la SNCF, la base rechignant à se contenter d'annonces de négociations tripartites (Etat, syndicats, directions). Evénement

Le mouvement contre la réforme des régimes spéciaux de retraite a été suivi par 42,8% des salariés de la SNCF jeudi, contre 61,5% mercredi, selon la direction, qui a été devancée par l'Elysée dans son annonce du taux de grévistes.

Si la participation semblait refluer, la plupart des assemblées générales (AG) à la SNCF et RATP ont reconduit la grève jusqu'à vendredi, Sud-Rail notant une "très forte implication des cheminots dans le mouvement".

Sept fédérations syndicales de cheminots ont demandé aux AG de reconduire vendredi le mouvement de grève "pour 24 heures", soit jusqu'à samedi.

Plus tôt dans la journée, Didier Le Reste (CGT-cheminots) avait pourtant laissé entrevoir un possible apaisement, expliquant que le gouvernement avait proposé "des éléments nouveaux", et que les salariés devaient "en débattre et décider" de poursuivre ou suspendre la grève.

Mais la lettre du ministre du Travail Xavier Bertrand, envoyée mercredi soir aux syndicats, "a été analysée par les AG, qui ont conclu que les cheminots ne pouvaient s'en contenter", voulant savoir ce qu'il y aura "dans le panier des négociations", selon FO.

Dans sa missive, M. Bertrand a accordé "un mois" aux syndicats pour trouver une issue avec les entreprises, et accepté la participation de l'Etat aux négociations, réclamée par la CGT, tout en exigeant "le respect des principes d'harmonisation".

Six syndicats de cheminots, mais pas Sud-Rail, ont demandé à M. Bertrand d'organiser vendredi une réunion tripartite "pour fixer le cadre" des négociations à la SNCF.

Mais le ministre a redit jeudi soir que les discussions ne pourraient commencer qu'après la fin de la grève.

"Je demande aux organisations syndicales dans les entreprises d'appeler à la reprise du travail", a-t-il déclaré sur France 3, ajoutant: "on ne peut pas avoir et la grève et les négociations d'entreprise en même temps".

Peu avant l'intervention de M. Bertrand, la CFTC-cheminots avait rappelé que "ce sont les cheminots qui font la loi sur le terrain" et Sud-Rail appelé à rejeter le "cinéma" du ministre.

Plusieurs confédérations syndicales penchaient pourtant pour la reprise du travail, comme la CFDT de François Chérèque.

Côté trafic , M. Bertrand a dénombré jeudi "deux fois plus" de bus, de trains et plus de rames de métro que la veille, mais a souligné que la "galère" continuait pour les usagers.

Le trafic SNCF est resté perturbé, malgré des améliorations, notamment sur les TGV et les Corail.

A la RATP, où quatre syndicats sur huit poursuivent le mouvement, la direction comptait jeudi 27,2% de grévistes, contre 44% mercredi. Vers 18H00, huit lignes de métro et les RER A et B ne fonctionnaient pas ou quasiment pas.

A EDF et GDF, où FO et CGT disaient poursuivre le mouvement, le taux de grévistes a chuté à 2,1% et 3,6%).

Vendredi, la RATP prévoit un trafic encore "perturbé" avec un métro sur cinq en moyenne, des RER A et B "très perturbés" et 40% des bus et tramways.

La SNCF a annoncé une "nouvelle amélioration", mais le trafic restera perturbé vendredi (avec 250 TGV sur 700 en circulation, 60 trains Corail et entre un et quatre Transiliens par heure) et "pas normal" durant le week-end.

Modifié par Dom-trappeur
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"En tout état de cause, ce sont les cheminots dans les assemblées générales qui décideront de la suite à donner à l’action et de l’évolution de la situation."

et

"Nos fédérations appellent les cheminots,

réunis en assemblées générales,

à reconduire la grève pour une nouvelle période de 24 heures."

Y'a pas un truc qui cloche là???

Les AG décident. De faire ce que demandent les fédés.

En plus il s'agit de la reconduction pour le vendredi 16

déjà décidée en AG du matin ou en soirée...

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En quoi c'est marrant?

J'ai vu les messages de Gulp, et il ne vaut mieux lui répondre, il est juste venu sur le forum pour taper des messages incohérents ( même pas méchants ).

Le bannir serait une œuvre de salubrité.

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Euh, non, Dom les fédés appellent à reconduire pour samedi.

La réunion des fédés (6, 7 ou 8, sud ou pas sud..., fgaac ou pas fgaac ?) a commencé à 16h30

elle a du se terminer vers 18h30/19h

Pour moi la reconduction concerne la journée de vendredi car des AG devaient se tenir à cette heure là...

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La réunion des fédés (6, 7 ou 8, sud ou pas sud..., fgaac ou pas fgaac ?) a commencé à 16h30

elle a du se terminer vers 18h30/19h

Pour moi la reconduction concerne la journée de vendredi car des AG devaient se tenir à cette heure là...

l'interfédé à commencé en retard d'une heure, ya des participants qui étaient coincé dans les embouteillages à cause des ces fauteurs de troubles de gréviste mdrmdr

7 os sans la FGAAC, un communiqué commun sans SUD je crois, pour appeler à une reunion tripartite sur la methode de négociation pour le mois prévu et qui finis par un appel à reconduire 24h. Pour moi c'est des AG de demain vers celles de samedi.

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