BB4100 Publication: 12 février 2009 Publication: 12 février 2009 je ne sais pas où la photo a été prise mais il y a ce type de support entre montpellier et frontignan (probablement jusqu'à sete et peut etre au delà ) mais je ne veux pas m'avancer . je vous fait confiance pour apporter des précisions ! Entre Toulouse et Sète, c'est la compagnie du Midi qui avait électrifié avec des supports en treillis métallique. La gere de Sète étant le terminus Est du Midi, l'électrification s'est arrêtée là, le P.-L.M continuant en traction vapeur. L'électrification a été poursuivie jusqu'à Nîmes à la création de la SNCF. La portion Sète - Montpellier s'est vue équipée de supports en béton à section carrée tandis que la portion Montpellier - Nîmes a reçu des supports en treillis ressemblant à peu de choses près à ceux équipant Paris - Tours. Ensuite, les 2D2 5500 laissaient leurs trains aux Pacifics PLM vers Lyon ou Marseille.
Jules_FdC Publication: 20 février 2009 Publication: 20 février 2009 Pour remonter ce post très interessant... Dans le débat "type de poteaux" je me pose une question, une fois le type choisi il reste à le "sceller" via généralement du béton. Mais existe t-il une relation empirique entre la hauteur d'un poteau (par exemple de type acier en H) et le volume (m3) de la fondation ? ou applique t-on généralement le même "cubage" car la marge de manoeuvre calculé depuis plusieurs années est assez large. (on peut lire tout et son contraire sur le net...)
Invité 5121 Publication: 20 février 2009 Publication: 20 février 2009 Pour remonter ce post très interessant... Dans le débat "type de poteaux" je me pose une question, une fois le type choisi il reste à le "sceller" via généralement du béton. Mais existe t-il une relation empirique entre la hauteur d'un poteau (par exemple de type acier en H) et le volume (m3) de la fondation ? ou applique t-on généralement le même "cubage" car la marge de manoeuvre calculé depuis plusieurs années est assez large. (on peut lire tout et son contraire sur le net...) je pense qu'on peut lire tout et son contraire, parce tout dépend du terrain. Sable, roche, remblai, déblai, portée (1,2 ou même 4 voies), d'un seul côté, des deux côtés. En terrain facile, l'embase se limite à un trou de 50-60 cm foré à la tarière, de je ne sais quelle profondeur. Voir le peu de béton au pied de certains poteaux en poutrelle H. Sur le RER-B RATP , la réélectrification complète entre 1995 et 2000 avec poutrelles H et portiques solidarisant les deux mâts, les fondations faisaient à peu près 1 m3.
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