TroTroRigolo Publication: 21 février 2008 Partager Publication: 21 février 2008 bonjour a tous! pour ma part je pense que ce depart etait prevu depuis le debut. en effet ,maintenant que les lois service minimum et reforme retraite sont passees, elle n'a plus rien a faire a la tete de la sncf l Je ne suis pas sur qu'elle se soit beaucoup impliquer dans ces projet puisque c'est Pepy qui a mené les négociations... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ada Publication: 21 février 2008 Partager Publication: 21 février 2008 (modifié) Apparament, ça a bataillé ferme entre pro-Idrac et pro-Pépy jusqu'au dernier moment... Et Sarko aurait donné raison à Xavier Bertrand Guillaume Pepy et son sens du dialogue social délogent Anne-Marie Idrac de la tête de la SNCF LE MONDE | 21.02.08 | 14h23 • Mis à jour le 21.02.08 | Guillaume Pepy, directeur général exécutif de la SNCF, a été choisi, mercredi 20 février, par l'Elysée pour remplacer Anne-Marie Idrac à la présidence de l'entreprise ferroviaire publique. Le décret, qui nomme les représentants de l'Etat au conseil d'administration, a été signé par le premier ministre, François Fillon. Le choix de M. Pepy devrait être entériné, mercredi 27 février, en conseil des ministres. Matignon souligne les "qualités (de M. Pepy) pour porter un projet d'avenir pour la SNCF, confrontée à des dossiers importants comme la réforme du fret et l'ouverture à la concurrence". L'entourage de M. Fillon insiste sur sa "crédibilité auprès des partenaires sociaux". Il ajoute que Mme Idrac "n'a pas démérité". La signature du décret, qui nomme, de fait, le président de l'entreprise pour cinq ans, a tardé à venir. Attendue lundi, puis mardi, elle n'a été apposée que mercredi, un laps de temps qui traduit les hésitations du gouvernement. Tour à tour, Mme Idrac et M. Pepy ont été donnés favoris. Il y a trois semaines, l'actuel directeur général tenait la corde alors qu'en début de semaine, Mme Idrac paraissait mieux placée pour assurer sa propre succession. M. Pepy avait alors fait savoir qu'il quitterait l'entreprise s'il n'était pas retenu. Certains observateurs n'hésitent pas dire qu'il y aurait eu changement de candidat, mercredi matin, entre 9 h 00 et 11 h 00. Jean-Louis Borloo, ministre de l'écologie, et Dominique Bussereau, secrétaire d'Etat aux transports, défendaient la candidature de Mme Idrac. Mais ils n'ont pas eu gain de cause face à Xavier Bertrand, ministre du travail, et Raymond Soubie, conseiller social à l'Elysée, fervents soutiens de M. Pepy qui l'ont vu à la manoeuvre lors des négociations sur la réforme des régimes spéciaux de retraite. Les partisans du maintien de Mme Idrac à la tête de la SNCF arguaient qu'elle n'avait pas démérité dans le traitement des deux dossiers à haut risque social pour la SNCF, la mise en place du service minimum et la réforme des régimes spéciaux de retraite. De plus, avec Anne Lauvergeon, la présidente du directoire du groupe nucléaire Areva, Mme Idrac est l'une des seules femmes à la tête d'une entreprise publique. Plutôt un bon point pour un gouvernement qui se veut soucieux de parité. SUPPRESSIONS D'EMPLOIS Mais, Mme Idrac avait énervé l'Elysée quand elle avait déclaré préférer "la négociation à la loi" pour mettre en place le service minimum. Surtout, elle s'est vu reprocher ses relations parfois difficiles avec les organisations syndicales. Son passage au ministère des transports, comme secrétaire d'Etat aux transports, à l'époque des grandes grèves de 1995, lui a valu un accueil plus que mitigé. Quand, quatre mois plus tard, elle a fustigé la qualité du dialogue social dans l'entreprise, jugeant qu'il datait d'"avant la chute du mur de Berlin", les cheminots ont définitivement refusé de l'admettre. Comme une ultime revanche, sept syndicats de cheminots (CGT, CFDT, FO, CFTC, SUD-Rail, UNSA et CFE-CGC) ont demandé mercredi à la présidente de la SNCF, dans une lettre ouverte, de renoncer à sa "volonté politique de réprimer pour réprimer". Une lettre opportunément envoyée, notent certains, puisque le sujet concerné - le refus du licenciement d'un cadre CGT de la SNCF opposé par l'inspection du travail - datait d'une dizaine de jours... M. Pepy, en revanche, a su nouer avec les syndicats des relations constructives au cours des quelque treize années qu'il a consacrées à l'entreprise publique. Cet ancien directeur de cabinet de Martine Aubry, lorsqu'elle était ministre du travail du gouvernement Cresson, a su s'imposer en douceur. On l'a d'ailleurs plus souvent vu à la télévision que Mme Idrac les jours de grève contre le service minimum et la réforme des régimes spéciaux. Coiffé au poteau en juillet 2006 par Mme Idrac alors qu'il pensait succéder à Louis Gallois, précipitamment nommé à la coprésidence du groupe aéronautique EADS, cet énarque de 49 ans connaît la maison parfaitement et est à l'origine de plusieurs succès commerciaux : Voyages-sncf.com, les billets Prem's et iDTGV. Sa feuille de route est claire. Il lui faudra d'abord s'atteler à l'épineux dossier du fret. Lancée il y a un an, la restructuration du fret doit également passer par un volet social qui prévoit près de 2 000 suppressions d'emplois, soit environ 10 % des effectifs de cet effectif. Il lui faudra ensuite préparer l'ouverture du transport de voyageurs à la concurrence, prévue pour 2010. François Bostnavaron Modifié 21 février 2008 par ada Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 21 février 2008 Partager Publication: 21 février 2008 Pour en revenir a Pépy, c'est marqué dans les textes precedents : Sarko dit en parlant de Mme Idrac : "Elle fera ce que l'actionnaire lui demandera de faire !!!" Ne pas croire que Guillaume Pépy revolutionnera la SNCF, il sera obligé de mettre en oeuvre ce qu'on lui imposera en tres haut lieu... Mais, etant dans l'entreprise depuis tres longtemps, il l'a connait, et sera a meme de mieux la guider pour affronter son avenir, et le notre par la meme. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
assouan Publication: 21 février 2008 Partager Publication: 21 février 2008 salut. que ç'a soit pepy ou quelqu'un d'autre , le résultat sera le même. Démantelé le fret et préparé du mieux l'ouverture à la concurrence à mon avis, faut pas trop se faire d'illusions. Bien entendu il y a des sujets douloureux et des réformes carrément sensibles en vue mais la différence est tout de même majeure entre : - un énarque qui est là dans le cadre de sa carrière - un énarque qui aime la boîte ! et G. Pepy joue dans la deuxième catégorie... c'est peu et énorme à la fois (à mon avis). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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