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Le Web des Cheminots

Manifestation Européenne des Cheminots


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Salut,

juste pour détendre l'élastique.... il me semble qu'enn 1995 y avait pas de train qui roulait et pourtant vous avez j'ose l'espérer foulé les pavés parisiens , NON ???????????????????????? lapleunicheuse

(...)

Et si on n'a pas foulé les pavés parisiens en 95 on est "vilains bouh les laids" ???

Je dis ça je dis rien moi en 95 je couvais...

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Salut,

juste pour détendre l'élastique.... il me semble qu'enn 1995 y avait pas de train qui roulait et pourtant vous avez j'ose l'espérer foulé les pavés parisiens , NON ???????????????????????? lapleunicheuse

remarquez que vous pouvez manifester la nuit aussi ce serait pas mal ça ne gênerait personne sauf les chouettes s'il en reste !!!!!

et Sarko de dire que les cheminots n'existent plus helpsoso

En 95 des manifs il y en avait dans toutes les villes de France...

et sur tous les sites ferroviaires...

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Donc tu es syndicaliste... Tu as besoin du forum pour savoir si ton syndicat ( ou un autre ) a posé un préavis ? lapleunicheuse

Si par hasard, tu es au courant de la positon de ton syndicat, merci de la communiquer !

Tu es marrant , il ne peut pas tout suivre ......Que déjà il surveille son carnet d'AY , et les cheminots seront bien défendus. cestachier !

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  • 4 semaines plus tard...

Toutes les fédé adhérentes à ETF manifestaient.

En même temps pour certains le nombre n'étaient pas là (je parle des français pas des délégations étrangères) et ils se sont même arrêtés au métro VAVIN pas pu aller jusqu'à Montparnasse le terminus de la manif.

C'est vrai qu'ils avaient l'air "motivés, motivés, motivés " !!!!!!!!!!!!!!!

bref, j'ai trouvé que la manif avait de la gueule sauf les torches controleursncf

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Les cheminots européens défilent à Paris contre la libéralisation du rail

Elise THIRY-BOUVIER

Des milliers de cheminots, venus d'une douzaine de pays d'Europe, ont manifesté jeudi à Paris à l'appel de la Fédération Européenne des Transports (ETF) contre la politique ferroviaire de l'UE et la libéralisation du rail.

Les cheminots - 20.000 selon les syndicats, 8.500 selon la police - venus de Grande-Bretagne, de Belgique, d'Allemagne, d'Italie ou d'Espagne, ont défilé derrière une banderole portant l'inscription en trois langues: "Stop à la libéralisation", "No to EU rail privatisation" et "Stoppt die liberalisierung".

"Au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, l'Union européenne encourage le développement de corridors ferroviaires de fret de bout en bout de l'Europe (...) Tous les investissements financiers se concentreront sur ces corridors en oubliant toute mission d'aménagement du territoire", a dénoncé ETF. Pour la fédération, cela aboutira à la "détérioration des conditions de vie et de travail des cheminots".

La manifestation était organisée au lendemain d'une réunion en France d'une commission devant décider de modifier un décret sur la réorganisation du travail des conducteurs du fret, nécessaire selon la SNCF (chemins de fer français) pour accroître sa compétitivité face aux opérateurs privés.

Dans le défilé, le secrétaire général d'ETF, le portugais Eduardo Chagas a désapprouvé "les propositions de libéralisation du fret de la commission européenne qui va mettre des lots aux enchères pour les opérateurs qui pourront payer".

"Il y a un besoin de développer les services du rail, comme service public, (...) mais les stratégies suivies n'ont rien d'autre que le marché en vue, alors on s'est dit +ça suffit+, il faut inverser cette politique, cette obsession de libéralisation", a déclaré M. Chagas.

"Tous les cheminots sont conscients que les opérateurs privés voient les réglementations de sécurité comme une contrainte, ce qui risque de nuire à terme à la sécurité des voyageurs", a dénoncé le Français Didier Le Reste, patron de la CGT-cheminots.

Un responsable du syndicat national des cheminots anglais (National Union of rail maritime and transports workers), Alex Gordon, a indiqué à l'AFP que la privatisation du rail en Grande-Bretagne, héritée de Margaret Thatcher, avait été "désastreuse" pour la "qualité et la sécurité du service au public".

"Nous sommes venus à 200 travailleurs anglais pour dire aux Français et aux Allemands +ne faites pas la même erreur que celle des Anglais en 1996+" a-t-il dit.

"En Allemagne, il y a seulement un mois, la privatisation de 25% de la Deutsche Bahn n'a été arrêtée que grâce à la crise financière", a-t-il regretté.

En France, deux syndicats ont appelé à une grève reconductible de conducteurs à partir de mardi 18 novembre.

La libéralisation du rail dans l'UE a débuté en 2003 par le trafic international de marchandises; poursuivie en 2006 (fret national), elle doit être étendue en 2010 au trafic international de voyageurs.

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L'Humanité 13 novembre 2008

La concurrence sabote le rail

Ferroviaire .

Les cheminots de l’Union européenne manifestent aujourd’hui à Paris pour exiger l’arrêt de l’ouverture à la concurrence. Ils demandent « une évaluation indépendante » de son bilan.

Plus de 25 000 cheminots venus de tous les pays membres de l’Union européenne sont attendus aujourd’hui à Paris. À l’appel de la section ferroviaire de la Fédération européenne des transports (ETF), ils manifesteront cet après-midi entre la place de la Bastille et Montparnasse pour dire « stop à la libéralisation ». Les organisations syndicales de cheminots que fédère l’ETF demandent particulièrement l’abandon du projet de la Commission européenne d’imposer la séparation de la gestion des infrastructures et des exploitations ferroviaires. Selon Bruxelles, l’actuelle organisation ferroviaire fondée sur la gestion du réseau par les opérateurs historiques comme la SNCF ou la Deutsche Bahn est un obstacle à la libre concurrence car elle confère à ces derniers un avantage sur leurs concurrents. Cet avantage reste à -démontrer. Le montant des péages dont doivent s’acquitter les opérateurs pour faire circuler leurs trains n’étant pas déterminé par l’exploitant gestionnaire.

Mise aux enchères

Pour les opposants à la libéralisation, cette mesure aura surtout pour conséquence de provoquer le démantèlement des opérateurs historiques en poussant à la filialisation de la gestion de l’infrastructure. Cette filialisation aboutira, selon l’ETF, à gérer les réseaux ferroviaires nationaux de manière à générer des profits et non plus à satisfaire les besoins en transports. Les syndicats craignent à terme une mise aux enchères des sillons qui seront attribués au plus offrant, au mépris de l’intérêt général et du service public.

Outre que soit stoppée cette nouvelle étape dans la libéralisation, l’ETF revendique que soit réalisée « une évaluation indépendante » de l’ouverture à la concurrence du rail engagée au début des années 1990. Selon les syndicats européens, celle-ci, contrairement aux promesses de ses zélateurs, n’a pas permis de développer le ferroviaire. Bien au contraire, elle a contribué à son affaiblissement.

Sur le plan environnemental, le bilan est catastrophique. Alors que réchauffement climatique impose de favoriser les modes alternatifs à la route, la part modale du train en matière de transport de marchandises en Europe ne cesse de régresser. Entre 1996 et 2004, elle est passée de 19,6 % à 16,4 %. En moins de dix ans, ce sont 115 milliards de tonnes par kilomètre qui ont été transférées quasi totalement vers le transport routier. La libéralisation du fret ferroviaire en 2006 a - aggravé le phénomène. À titre d’exemple, les restructurations conduites par la SNCF pour se préparer à ce nouveau contexte ont conduit à une baisse de 15 milliards de tonnes par kilomètre du volume de marchandises transporté par l’entreprise publique entre 2000 et 2008. Selon l’entreprise publique, ses nouveaux concurrents n’auraient réussi à capter que 10 % des trafics perdus.

un bilan calamiteux sur le plan social

Sur le plan social, le bilan de la libéralisation est tout aussi calamiteux. L’emploi cheminot a fortement régressé en particulier dans le fret. Sur les 3 750 suppressions d’emplois effectuées à la SNCF entre 2000 et 2004, les trois quarts ont concerné cette activité. L’ouverture à la concurrence aboutit également à la remise en cause des systèmes de protection sociale et à la dégradation des conditions de travail. C’est ainsi, « au nom de la compétitivité », que la SNCF tente de remettre en question le statut des agents et à allonger en particulier le temps de travail des conducteurs (voir encadré). Sur le plan européen, le patronat ferroviaire s’emploie à obtenir l’alignement de la réglementation sociale de la branche sur celle du transport routier, incomparablement moins favorable aux salariés.

Les usagers sont également les grands perdants -

de la libéralisation. Dans les pays où elle est le plus avancée, les tarifs ont augmenté. Enfin, l’ouverture à la concurrence a conforté la recherche de rentabilité comme critère principal de gestion des opérateurs ferroviaires, provoquant fermetures de lignes, suppressions de dessertes et dégradation des conditions de circulation.

Pierre-Henri Lab

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Didier Le Reste « La coopération plutôt que la concurrence »

Entretien avec Didier Le Reste, secrétaire général de la CGT cheminot, et président de la section ferroviaire de la Fédération européenne des transports.

Quel bilan économique et social tirez-vous de la libéralisation du secteur ferroviaire ?

Didier Le Reste. Au début des années quatre-vingt-dix, dans le cadre des premières directives, la libéralisation a été présentée comme un facteur de revitalisation et de développement du rail. Vingt ans après ces premières étapes, on constate que la part modale du ferroviaire a régressé au profit de la route. C’est particulièrement vrai dans le fret où l’ouverture à la concurrence est la plus avancée. Dans le même temps, l’emploi cheminot a diminué de moitié. Les conditions de travail se sont dégradées. L’allongement de la durée du temps de travail est engagé. Les systèmes de protection sociale sont partout attaqués. Les usagers ne sont pas épargnés. Dans les pays où la libéralisation est la plus avancée, les tarifs ont significativement augmenté. La libéralisation a pour but de satisfaire les intérêts de quelques grands groupes privés au détriment de l’intérêt général. En témoignent les investissements européens en matière d’infrastructures ferroviaires qui sont principalement tournés vers la création de corridors fret rentables, favorisant les délocalisations, au mépris des enjeux d’un aménagement du territoire équilibré et harmonieux. Malgré le bilan désastreux de l’ouverture à la concurrence, la Commission européenne veut encore aller plus loin. Elle prône aujourd’hui la séparation de la gestion des infrastructures de celle de l’exploitation. Elle envisage d’autoriser d’autres entreprises que les entreprises ferroviaires à acheter des sillons. Cette politique de désintégration des systèmes ferroviaires est souhaitée par les opérateurs privés qui jugent l’organisation actuelle et les règles de sécurité comme un obstacle au développement du business dans le secteur. En matière sociale, le patronat européen souhaite profiter du cycle actuel de négociation pour obtenir, à terme, l’alignement de la réglementation du travail dans le ferroviaire sur celle du transport routier. Ainsi il veut augmenter le nombre de repos consécutifs extérieurs des personnels roulants.

Qu’attendez-vous de la rencontre prévue aujourd’hui avec le secrétaire d’État aux Transports, Dominique Bussereau ?

Didier Le Reste. Malheureusement pas grand-chose. Le rendez-vous sera vraisemblablement écourté. Cela témoigne du bilan social calamiteux de la présidence française. Pour notre part, nous entendons lui réitérer notre refus de la poursuite de la libéralisation du - secteur et du développement du dumping social qui l’accompagne. Nous demandons qu’un véritable bilan de cette libéralisation soit réalisé, tant sur le plan social, économique, technique, juridique qu’environnemental.

Quelles sont vos propositions ?

Didier Le Reste. Nous considérons que l’espace européen est un espace pertinent pour le développement du ferroviaire. Mais, à l’opposé de l’ouverture à la concurrence, nous prônons le développement des coopérations entre opérateurs historiques. Celles déjà existantes ont prouvé leur efficacité. Nous revendiquons également la définition d’un cadre social et salarial de haut niveau, tenant compte des conditions particulières d’exploitation des chemins de fer et des conséquences des conditions de travail sur la sécurité. Nous exigeons le désendettement de l’entreprise historique des chemins de fer, la maîtrise et le financement publics de leur gestion et de leur fonctionnement.

Entretien réalisé par P.-H. L.

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Vers une nouvelle mobilisation des conducteurs SNCF

La réunion hier avec la SNCF et le ministère du Transport concernant le projet de décret sur l’organisation du travail dans le fret s’est conclue sur un constat d’échec des syndicats. La CGT a dénoncé « une parodie de discussion et un passage en force de la direction ». « Nous annoncerons des actions prochainement », a indiqué Laurent Russeil, secrétaire général adjoint de la CGT cheminots. La FGAAC, deuxième syndicat chez les conducteurs de la SNCF, compte appeler à une grève reconductible à partir du mardi 18 ou du mercredi 19 novembre.

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Modifié par Dom-trappeur
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L'Humanité 13 novembre suite

événement

Modèle britannique à ne pas suivre

Les cheminots mettent en avant les mauvaises performances de la privatisation du rail.

Londres, (Grande-Bretagne),

correspondance particulière.

À l’appel du syndicat RMT, les cheminots britanniques ont décidé d’affréter un Eurostar pour venir à Paris manifester aujourd’hui. Ce syndicat, qui, avec 80 000 adhérents, affiche le plus fort afflux de nouveaux syndiqués, indique dans un communiqué qu’il s’oppose aux « diverses directives de l’UE et autres propositions qui mènent à la casse et à la privatisation des réseaux ferroviaires ». RTM rappelle que le modèle de privatisation proposé aujourd’hui pour les pays européens a été adopté en Grande-Bretagne dès 1996, par le gouvernement conservateur de John Major, avec comme résultat, « des pertes massives d’emplois ; des atteintes à la sécurité du transport ferroviaire, aux salaires, aux conditions de travail, aux retraites, à l’organisation syndicale et aux négociations collectives ». Au final, cette réorganisation a conduit à la mise en place d’un réseau « moins performant et dont la maintenance coûte beaucoup plus cher ».

Le British Rail d’hier, réseau nationalisé par le gouvernement travailliste de 1948, a été fragmenté en 25 entités, décision ne reposant sur aucun besoin sauf à fournir des revenus substantiels (avec l’aide essentielle de l’État) aux actionnaires.

Le RMT, avec le soutien du TUC, la confédération syndicale, ne cesse pas de réclamer la renationalisation du réseau. Le même appel vient des députés travaillistes de gauche mais depuis l’arrivée au pouvoir de Tony Blair en 1997, le réseau privé - subventionné maintenant au niveau de 5 milliards de livres (6 milliards d’euros) par an - reste en place. La commission indépendante pour des transports intégrés fait campagne, soutenue par les syndicats et le mouvement écologiste, pour la réouverture de lignes de chemin de fer fermées depuis une quarantaine d’années, afin de décongestionner les routes. Mais cette sagesse-là ne se fait pas entendre jusqu’au 10 Downing Street.

Peter Avis

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Allemagne : les employés paient le prix de la concurrence

Outre-Rhin, la libéralisation est plus poussée que dans les autres pays européens. Le dumping salarial s’exerce dans l’entreprise et au niveau international.

Berlin (Allemagne),

correspondance particulière.

« En Allemagne les conséquences de la libéralisation du chemin de fer se font sentir sur les salaires et les conditions

de travail », affirme Oliver - Kaufhold, porte-parole du syndicat Transnet, qui ajoute : « Les compagnies qui se partagent le réseau sont souvent en situation de concurrence et ce sont les employés qui en paient le prix, au nom de la compétitivité. »

L’ouverture à la concurrence du secteur ferroviaire allemand date de 1994. Peu après la réunification du pays, en 1993, la compagnie allemande de chemin de fer Deutsche Bahn (DB) affichait un déficit de 8,2 milliards d’euros et ses dettes s’élevaient à 33,5 milliards d’euros. Le gouvernement allemand s’est alors lancé dans

la restructuration du secteur ferroviaire puis, directives - européennes et « premier paquet ferroviaire » aidant, il a décidé de l’ouvrir à la concurrence. Depuis 2004, la DB est redevenue bénéficiaire. Aujourd’hui, la compagnie publique a perdu son monopole, même en ce qui concerne le trafic passager de proximité.

Trois cent quarante-six compagnies locales se partagent 15 % du marché. « La libéralisation est plus poussée que dans la plupart des autres pays européens, explique -Oliver Kaufhold. Nous devons négocier les conditions de travail avec chaque direction et, c’est malheureux à dire, mais nous comptons déjà une trentaine d’entreprises qui refusent d’appliquer les tarifs de branche. »

Même son de cloche chez le syndicat GDL des personnels roulants de la DB qui avait montré sa force l’hiver dernier en appelant à la grève des semaines durant afin d’obtenir 31 % de hausse des salaires pour les conducteurs. « Actuellement, la libéralisation du secteur ferroviaire allemand se fait au rabais. Nous assistons à un dumping salarial au sein de l’entreprise comme au niveau international », affirme Gerda Seibert, porte-parole du syndicat GDL. Et d’expliquer que si les directives européennes facilitent les transports internationaux, la garantie des standards pour le personnel est absente. « Prenez l’exemple du TGV Est : pour le même trajet, les conducteurs français sont mieux rémunérés que les conducteurs allemands. Une absurdité ! Et ça va si loin que nous devons veiller à ce que nos conducteurs travaillant avec les pays de l’Est soient rémunérés comme leurs collègues roulant sur le réseau domestique. » Mais là où la porte-parole de GDL sort de ses gonds, c’est au sujet de la concurrence en interne : « La DB a sa propre agence intérim et casse les accords de branche. Un conducteur en intérim touche ainsi 22 000 euros brut par an, contre 31 500 euros pour un employé de la DB. Rien de plus malsain que cette concurrence en - interne ! »

Quant à l’argument de minimiser les coûts du personnel pour l’introduction en Bourse de la DB, il a vécu. L’opération initialement fixée au 27 octobre est reportée pour cause de crise financière.

Charlotte Noblet

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Extrait de l'article ci-dessus

"Modèle britannique..."

..."depuis l’arrivée au pouvoir de Tony Blair en 1997,

le réseau privé

- subventionné maintenant au niveau de 5 milliards de livres (6 milliards d’euros) par an -

reste en place."...

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Merci Dom, ces deux pages de l'Huma sont fort intéresantes et les quelques photos de la manif montrent une belle dynamique internationale !

Je suis très attendri aussi par l'effort fait par nos amis britanniques pour écrire leur tract en français, avec un peu le même français que notre chère Jane Birkin. Qu'ils soient chaleureusement remerciés !

l'ensemble des articles de la semaine sur ce sujet est disponible gratuitement (comme toutes les archives de l'Huma depuis 1990 !) ici :

http://www.humanite.fr/recherche.html?motc...jours&ok=Ok

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Merci Dom, ces deux pages de l'Huma sont fort intéresantes et les quelques photos de la manif montrent une belle dynamique internationale !

Je suis très attendri aussi par l'effort fait par nos amis britanniques pour écrire leur tract en français, avec un peu le même français que notre chère Jane Birkin. Qu'ils soient chaleureusement remerciés !

Un passage bien rendu est celui qui concerne M.Jacques Barrot...

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Salut salut!

Moi aussi, j'y étais! Avec un petit attroupement venu pour l'occasion de Tours, Vierzon et Orléans. Nous avons cru ne jamais arriver; nous nous sommes "perdus" dans le Métro à Bastille controleursncf .

J'ai trouvé que cette manifestation était géniale. C'est l'avis d'un peu tout le monde. Trés bonne ambiance dans les rangs de Nice, Narbonne, Béziers, Cerbére et Limoges. Pour Tours, en fait, à vrai dire, sachant que nous nous sommes "égarés", nous nous sommes retrouvés par petits groupes à divers endroits du cortége cestachier et c'est vrai que nous étions tellement que le plan ne pouvait pas être "respecté" mais c'était superbe, on a fait les fou-fous, on a dansé, chanté... On a revu des collégues/camarades d'ici et d'ailleurs, on a sympatisés avec d'autres, on a un peu mis le bazar à gare de Lyon en raccompagnant des camarades mais bon, ca va, rien de méchant mdr

Chanmé la caisse à paétards, j'adore ca lol, ca fait PAF mdr J'ai brulé 3 fumigénes et fait de jolis dessins par terre mdr.

Voila voila, trés bien, trés sympa, réussi, on était beaucoup. Les RG et CRS étaient aussi de la partie mais bon cestachier

Je suis encore tout exité et bon, ok, je reconnais, à Austerlitz, j'ai un peu abusé de la biére (j'ai foutu les boules à une DP mdr). Mais ca va, grosse marrade!

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Salut salut!

Moi aussi, j'y étais! Avec un petit attroupement venu pour l'occasion de Tours, Vierzon et Orléans. Nous avons cru ne jamais arriver; nous nous sommes "perdus" dans le Métro à Bastille cestachier .

Si vous vous perdez déjà dans les couloirs du métro vous risquez d'avoir de la peine à vous retrouver dans le European Railway Network (réseau ferroviaire européen) .... controleursncf A ce niveau vous ne serez pas les seuls...

J'ai trouvé que cette manifestation était géniale. C'est l'avis d'un peu tout le monde. Trés bonne ambiance dans les rangs de Nice, Narbonne, Béziers, Cerbére et Limoges. Pour Tours, en fait, à vrai dire, sachant que nous nous sommes "égarés", nous nous sommes retrouvés par petits groupes à divers endroits du cortége cestachier et c'est vrai que nous étions tellement que le plan ne pouvait pas être "respecté" mais c'était superbe, on a fait les fou-fous, on a dansé, chanté... On a revu des collégues/camarades d'ici et d'ailleurs, on a sympatisés avec d'autres, on a un peu mis le bazar à gare de Lyon en raccompagnant des camarades mais bon, ca va, rien de méchant mdr

Chanmé la caisse à paétards, j'adore ca lol, ca fait PAF mdr J'ai brulé 3 fumigénes et fait de jolis dessins par terre mdr.

Voila voila, trés bien, trés sympa, réussi, on était beaucoup. Les RG et CRS étaient aussi de la partie mais bon bigbisous

Je suis encore tout exité et bon, ok, je reconnais, à Austerlitz, j'ai un peu abusé de la biére (j'ai foutu les boules à une DP mdr). Mais ca va, grosse marrade!

bigbisous bigbisous

Modifié par michael02
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Mettons nous à la place de "n'importe qui" qui lirait ce message : les cheminots nous prennent en otage pour aller faire la fête dans les rues :Smiley_29:

D'accord, ce n'était qu'une manifestation, m'enfin les raccourcis sont faciles à faire. Ce que j'en dis...

Gom

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Mettons nous à la place de "n'importe qui" qui lirait ce message : les cheminots nous prennent en otage pour aller faire la fête dans les rues revoltages

D'accord, ce n'était qu'une manifestation, m'enfin les raccourcis sont faciles à faire. Ce que j'en dis...

Gom

Les manifestations sont elles un sujet tabou? Doit on avoir honte de manifester? De s'amuser un peu?

J'ai pas compris ton message en fait... Mais je l'interpréte comme ca.

:Smiley_41:

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Mettons nous à la place de "n'importe qui" qui lirait ce message : les cheminots nous prennent en otage pour aller faire la fête dans les rues :)

D'accord, ce n'était qu'une manifestation, m'enfin les raccourcis sont faciles à faire. Ce que j'en dis...

Gom

Hello ,

Et de source sûre , on est payés pour cela.... lotrela

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Les manifestations sont elles un sujet tabou? Doit on avoir honte de manifester? De s'amuser un peu?

J'ai pas compris ton message en fait... Mais je l'interpréte comme ca.

helpsoso

Non, une manif pour protester, montrer qu'on existe, faire entendre notre voix, d'accord. Mais la description que tu en donnes me choque un peu, elle donne l'impression que tu y es allé dans le but de t'amuser, alors que ça concernait un sujet plutôt sérieux.

Gom

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Non, une manif pour protester, montrer qu'on existe, faire entendre notre voix, d'accord. Mais la description que tu en donnes me choque un peu, elle donne l'impression que tu y es allé dans le but de t'amuser, alors que ça concernait un sujet plutôt sérieux.

Gom

Je suis encore un gamin lotrela

lotrela

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