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Le Web des Cheminots

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Publication: (modifié)

Mensonge ou gatisme, le journaliste et les autres participants à l'émission n'ont rien dit.

comme disait un jour le Canard à propos de PPDA, Chabot et Lucet : Si Chirac avait dit que c'est un astronaute français qui s'était posé le premier sur la Lune, ils n'auraient même pas osé le contredire ....

Modifié par 5121
Publication:

C'est sûr que vu comme ça...

Je suis peut être un peu trop optimiste mais pour le moment, les concurrents ne se battent pas pour venir concurrencer la SNCF, et avec Veolia qui vient de jeter l'éponge récemment, ça ne fait que confirmer mon impression. Même avec des subventions, il faudra quand même venir avec du materiel.

Après, j'en vois bien un qui pourrait venir concurrencer la SNCF: Keolis, une filiale...

Nan mais laisse tomber... un discours réaliste (je te suis à 100% !) ne saurait lutter contre le fait d'attiser les peurs !!! (même non justifiées).

Je pense même qu'il y a des gens qui pensent encore qu'il y a du fric à se faire dans le ferroviaire et qu'ils sont plein de méchants concurrents à rêver de venir tout piquer brrrrr

(sérieux quoi.... en 2 ans on voit arriver aujourd'hui UNE boîte sur UN train : ah oui ça doit être le pactole pour que les grands méchants se précipitent ainsi).

Publication:

Sur un train que, manifestement la SNCF est bien contente de se débarrasser.

Publication:

Nan mais laisse tomber... un discours réaliste (je te suis à 100% !) ne saurait lutter contre le fait d'attiser les peurs !!! (même non justifiées).

Je pense même qu'il y a des gens qui pensent encore qu'il y a du fric à se faire dans le ferroviaire et qu'ils sont plein de méchants concurrents à rêver de venir tout piquer brrrrr

(sérieux quoi.... en 2 ans on voit arriver aujourd'hui UNE boîte sur UN train : ah oui ça doit être le pactole pour que les grands méchants se précipitent ainsi).

Par contre , comme ça a déjà commencé à la sncf , ils vont continuer compression de personnels , conditions de travail dégradées (plus de productivité) -entre autres grâce à cette pseudo ouverture à la concurrence- , dans un autre but :

celui de privatiser le capital !

Invité Gnafron 1er
Publication: (modifié)

Par contre , comme ça a déjà commencé à la sncf , ils vont continuer compression de personnels , conditions de travail dégradées (plus de productivité) -entre autres grâce à cette pseudo ouverture à la concurrence- , dans un autre but :

celui de privatiser le capital !

Programme du CNR (extrait) :

Sur le plan économique :

• l’instauration d’une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l’éviction des grandes féodalités économiques et financières de la direction de l’économie ;

• une organisation rationnelle de l’économie assurant la subordination des intérêts particuliers à l’intérêt général et affranchie de la dictature professionnelle instaurée à l’image des États fascistes ;

• l’intensification de la production nationale selon les lignes d’un plan arrêté par l’État après consultation des représentants de tous les éléments de cette production ;

• le retour à la nation des grands moyens de production monopolisés, fruit du travail commun, des sources d’énergie, des richesses du sous-sol, des compagnies d’assurances et des grandes banques ;

• Le développement et le soutien des coopératives de production, d’achats et de ventes, agricoles et artisanales ;

• Le droit d’accès, dans le cadre de l’entreprise, aux fonctions de direction et d’administration, pour les ouvriers possédant les qualifications nécessaires, et la participation des travailleurs à la direction de l’économie.

Sur le plan social :

• le droit au travail et le droit au repos, notamment par le rétablissement et l’amélioration du régime contractuel du travail.

un rajustement important des salaires et la garantie d’un niveau de salaire et de traitement qui assure à chaque travailleur et à sa famille la sécurité, la dignité et la possibilité d’une vie pleinement humaine.

• la garantie du pouvoir d’achat national par une politique tendant à la stabilité de la monnaie ;

• la reconstitution, dans ses libertés traditionnelles, d’un syndicalisme indépendant, doté de larges pouvoirs dans l’organisation de la vie économique et sociale ;

• un plan complet de sécurité sociale, visant à assurer à tous les citoyens des moyens d’existence, dans tous les cas où ils sont incapables de se les procurer par le travail, avec gestion appartenant aux représentants des intéressés et de l’État ;

la sécurité de l’emploi, la réglementation des conditions d’embauchage et de licenciement, le rétablissement des délégués d’atelier ;

• l’élévation et la sécurité du niveau de vie des travailleurs de la terre par une politique de prix agricoles rémunérateurs, améliorant et généralisant l’expérience de l’Office du blé, par une législation sociale accordant aux salariés agricoles les mêmes droits qu’aux salariés de l’industrie, par un système d’assurance contre les calamités agricoles, par l’établissement d’un juste statut du fermage et du métayage, par des facilités d’accession à la propriété pour les jeunes familles paysannes et par la réalisation d’un plan d’équipement rural ;

une retraite permettant aux vieux travailleurs de finir dignement leurs jours ;

• le dédommagement des sinistrés et des allocations et pensions pour les victimes de la terreur fasciste.

Modifié par Gnafron 1er
  • 1 mois plus tard...
Publication:

La SNCF est-elle réformable?

http://www.lemonde.fr/idees/article/2012/01/16/les-chemins-de-fer-francais-sont-ils-reformables_1629514_3232.html

La SNCF, les chargeurs, et à leur façon les nouveaux collectifs d'usagers, mais aussi les grandes centrales syndicales de cheminots, les élus locaux et nos partenaires européens s'alarment depuis plusieurs années de l'évolution de notre système ferroviaire, chacun évidemment de son point de vue.

Les Assises du ferroviaires qui ont confronté ces points de vue d'acteurs du 15 septembre au 15 décembre 2011 auront-elles suffi à les agréger en un corps de réformes acceptables pour relancer le rail français et lui ouvrir de nouvelles perspectives de développement ? En tout cas, elles auront eu l'incontestable mérite d'ouvrir le champ des auditions à l'échelle européenne, d'échanger des analyses et d'esquisser des solutions jusque-là trop simplistes et trop cloisonnées pour être partagées et débattues entre toutes les parties prenantes.

En cela, elles constituent à tout le moins une contribution documentée, co-construite, et sans précédent à la réforme d'un des derniers monopoles publics fétiches d'après-guerre, à usage du futur gouvernement quel qu'il soit.

Il en ressort que notre modèle ferroviaire, en porte-à-faux entre le modèle monopolistique de 1936 et une ouverture européenne bâclée, est aujourd'hui en proie à la fois à une gouvernance bancale depuis la séparation de RFF et de la SNCF en 1997, à une incapacité financière à faire face aux trois grands chantiers de régénération du réseau historique, de désaturation de l'Ile-de-France et du programme "Bussereau" de lignes nouvelles grande vitesse , à de nouvelles exigences de ses usagers, à une impréparation notoire à la protection sociale de ses personnels et aux risques d'écrémage de l'ultime étape d'ouverture du trafic voyageurs national annoncée par Bruxelles, et à une incapacité à positionner l'industrie et les services ferroviaires français au sein d'une Europe du rail de plus en plus dominée par la Deutschbahn et exposée à de nouvelles concurrences.

A ces différents défis, les Assises ferroviaires ont répondu par des propositions de réforme précises et pragmatiques : ouverture expérimentale du trafic voyageurs national sous condition de négociation d'une convention collective de la branche ferroviaire, priorité aux investissements de régénération et de désaturation du réseau classique, "règle d'or" de financement pour les nouveaux investissements, nouvelle étape de régionalisation ferroviaire, réunification des personnels de l'infrastructure, organisation d'une filière industrielle ferroviaire apte à affronter les nouvelles concurrences, etc. Pour autant, la messe n'est pas dite.

Les premières réactions aux Assises trahissent la difficulté à légitimer des diagnostics et des propositions de solutions encore très éloignées des représentations idéologiques dominantes de la base cheminote et d'un grand public imprégnés du paternalisme et de la générosité étatiques d'après guerre. Sauf que l'Etat et la capacité d'endettement public ne sont plus ce qu'ils étaient.

Du coup, le réflexe demeure d'en appeler à la source miraculeuse de financements publics accrus pour un secteur qui n'en est pourtant guère rationné avec un déficit d'exploitation annuel de 1,5 milliard d'euros, 13 milliards de financements publics par an, un endettement de plus de 30 milliards et des performances qui plafonnent quand elles ne se dégradent, à l'exception des TGV à leur apogée commerciale.

Le tout, ça va sans dire, sans augmenter les tarifs, sans accroître la productivité, sans renoncer à un programme LGV de 110 milliards d'euros, mais en désaturant les TER d'Ile-de-France, en régénérant le réseau classique, en généralisant les TER cadencés, et en transférant la dette ferroviaire à l' Etat déjà perclus d'emprunts indésirables pour les prêteurs… Quand on aime, on ne compte pas et les français sont légitimement attachés à leurs trains, les syndicats à leur statut de la loi de 1940, les élus à leurs gares et leurs dessertes TGV, les usagers à leurs sous tarifications par rapport aux coûts.

Certes le déclin du fret a démontré que la concurrence sans réseau et sillons aptes à l'absorber n'était pas la panacée; mais il a tout autant démontré, quatre plans de "redressement" et 10 milliards d'euros de subventions pour 50 milliards de tonnes/km en moins depuis l'an 2000, qu'un puits sans fonds de subventions publiques ne l'était pas plus.

En période préélectorale, il ne fallait pas s'attendre à ce que l'introspection des Assises suscite une adhésion débordante de désintéressement politique, d'autant qu'elle révèle une incurie passée de l'Etat à prendre ses responsabilités. Nathalie Kociusko-Morizet a eu le mérite d'affronter la situation et l'habileté d'en renvoyer le règlement au prochain gouvernement.

Au terme de cet exercice inédit, il y a fort à penser que notre système ferroviaire ne pourra plus longtemps échapper aux révisions que suggèrent les principales conclusions des Assises, mais il a deux façons d'y parvenir :

  • La première consiste à les mettre en œuvre par la volonté politique et la négociation sociale dans le cadre d'un nouveau pacte national de développement du rail, orchestré par le gouvernement afin d'en gérer les évolutions, d'en amortir les transitions, et de dessiner un modèle ferroviaire français à nouveau conquérant, respectueux de son corps social, compatible avec nos engagements et nos votes européens, conciliant compétitivité extérieure et missions de service public et d'aménagement du territoire intérieures. C'est la voie de la réforme.
  • La seconde consiste à laisser s'accomplir une évolution Darwinienne du système actuel, consistant à contourner le statut par un dépérissement naturel de l'EPIC SNCF au profit de filiales et de nouveaux entrants au code du travail et à l'intérim, une réduction "naturelle" de l'emploi, un écrémage interne et externe des lignes rentables aux dépens des déficitaires, des augmentations tarifaires incessantes, et un rationnement du service par les limites des budgets publics. On atteindra très vite les 3 000 kilomètres de réseau ralentis avant d'être sélectivement fermés, une situation tiers-mondiste sur certaines lignes d'Ile-de-France, une restriction du programme TGV par épuisement des collectivités locales à le financer, un renoncement subreptice au fret ferroviaire et une stagnation de l'offre TER au profit à peine déguisé du camion et du car. Cette voie est en marche.

Dans tous les cas, notre système ferroviaire se réformera, parce que son équation actuelle, sous contrainte d'un Etat impécunieux et de régions au taquet fiscal, est tout simplement insoutenable.

La seconde voie est simplement plus naturelle à la France, qui ne se réforme jamais plus sûrement et brutalement, que quand elle se dérobe à la réforme.

Entre choix et non choix, se situe désormais le dilemme des responsables du ferroviaire français, de tous, pour remettre nos chemins de fer sur les rails prometteurs du XXIe siècle

Publication:

Un article de WK-Transport-Logistique

Transport ferroviaire : le "décret gare" est enfin publié

Transport ferroviaire : le "décret gare" est enfin publié

Le décret relatif aux gares, qui pose la première pierre de la libéralisation ferroviaire, est entré en vigueur le 23 janvier 2012. Il garantit un accès non discriminatoire aux nouveaux entrants et impose de nouvelles règles de gouvernance.

Dans les tuyaux depuis plusieurs mois, le décret relatif aux gares de voyageurs et aux infrastructures de services du réseau ferroviaire est entré en vigueur le 23 janvier 2012. S'il rappelle que "toute entreprise ferroviaire autorisée à réaliser des services de transport peut demander à accéder de manière transparente et non discriminatoire aux gares et aux infrastructures du réseau ferroviaire", il modifie l'organisation de la branche "Gares et connexions" de la SNCF en instituant une direction autonome chargée, au sein de la SNCF, d'assurer la gestion des infrastructures de services.

Deux catégories de redevances

Déterminant dans un premier temps la nature des services et prestations accessibles aux entreprises ferroviaires comme l'accueil et l'information des voyageurs, la fourniture de carburant, d'électricité ou l'accès aux voies de garage, ce décret précise néanmoins que "la fourniture des prestations donne lieu à la perception d'une redevance". Une première catégorie de redevances, dont les régions devront s'acquitter directement, concerne le périmètre d'action de Réseau Ferré de France (RFF) tandis que la seconde catégorie de redevances couvre le périmètre de biens gérés par la SNCF.

Une branche autonome

Au chapitre gouvernance, le texte introduit la présence d'instances régionales de concertation entre les différentes parties prenantes mais laisse des zones d'ombre sur leur composition exacte et leurs missions.

Enfin, le décret modifie l'organisation de la branche "Gares et connexions" de la SNCF en instituant une direction autonome, dotée de comptes distincts des autres activités de l'établissement.

Publication:

à force d'accumuler les usines à gaz, ils vont finir par tout faire sauter !!! :Smiley_57:

  • 2 années plus tard...
Publication:

Les nouvelles du "front" :

Le Parlement européen propose une ouverture complète des marchés intérieurs de transport de passagers en 2023 et non pas en 2019 comme prévu initialement par Bruxelles dans ses propositions de quatrième paquet ferroviaire. La Commission serait sur le même tempo, tandis que le texte du 4ème paquet de libéralisation du secteur est plutôt attendu pour 2015, selon Dominique Riquet, premier vice-président de la Commission Transports au Parlement européen. Soit après la mise en place de la réforme ferroviaire française, dont le projet n'est pas compatible ni avec le 4ème paquet, ni avec le droit actuel selon Dominique Riquet.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/20140210trib000814555/sncf-la-fin-du-monopole-probablement-repoussee-a-2023.html

Examiné en première lecture par les eurodéputés depuis le 17 décembre, le quatrième paquet de mesures ferroviaires comporte deux volets, un premier technique qui met tout le monde d'accord et qui a été voté. Un deuxième beaucoup moins consensuel qui concerne l'ouverture à la concurrence et la gouvernance des systèmes ferroviaires dans les États membres. La France est en train d'imaginer le sien dans un projet de réforme.

http://www.mobilicites.com/fr_actualites_l-ouverture-a-la-concurrence-ferroviaire-est-devant-le-parlement-europeen---vers-un-report-en-2022--_0_77_2981.html

Publication:

Les nouvelles du "front" :

Le Parlement européen propose une ouverture complète des marchés intérieurs de transport de passagers en 2023 et non pas en 2019 comme prévu initialement par Bruxelles dans ses propositions de quatrième paquet ferroviaire. La Commission serait sur le même tempo, tandis que le texte du 4ème paquet de libéralisation du secteur est plutôt attendu pour 2015, selon Dominique Riquet, premier vice-président de la Commission Transports au Parlement européen. Soit après la mise en place de la réforme ferroviaire française, dont le projet n'est pas compatible ni avec le 4ème paquet, ni avec le droit actuel selon Dominique Riquet.

http://www.latribune.fr/entreprises-finance/services/transport-logistique/20140210trib000814555/sncf-la-fin-du-monopole-probablement-repoussee-a-2023.html

Examiné en première lecture par les eurodéputés depuis le 17 décembre, le quatrième paquet de mesures ferroviaires comporte deux volets, un premier technique qui met tout le monde d'accord et qui a été voté. Un deuxième beaucoup moins consensuel qui concerne l'ouverture à la concurrence et la gouvernance des systèmes ferroviaires dans les États membres. La France est en train d'imaginer le sien dans un projet de réforme.

http://www.mobilicites.com/fr_actualites_l-ouverture-a-la-concurrence-ferroviaire-est-devant-le-parlement-europeen---vers-un-report-en-2022--_0_77_2981.html

la France et SNCF, peuvent bien imaginer ce qu'elles veulent, car au final si les date sont retenues elles disposent désormais de quasiment 10 ans pour faire leur tambouille.....réforme avec ou sans !

10 ans c'est le temps nécéssaire pour y aller à petits pas...tranquilos mais surement....et d'ici là d'autres gouvernements arriveront partiront au gré des consultations à venir.....bref il est urgent de ne pas s'affoler....n'est ce pas au final ce que tout le monde souhaitait secrètement, surtout ceux qui d'ici là, auront eu, ou seront en passe d'avoir leur bâton de maréchal ?

finalement une décision providentielle venue de Bruxelles non ? et en m^me temps un peu de répits pour l'état France..... :Smiley_04:

(je ne serais aps surpris si les travaux de la réforme étaient à nouveau repoussés, histoire de donner du temps au temps..... :Smiley_41:

Publication: (modifié)

(je ne serais aps surpris si les travaux de la réforme étaient à nouveau repoussés, histoire de donner du temps au temps..... :Smiley_41:

Eh bien.... je ne serai pas si surprise non plus vue la tendance générale qui semble se dégager sur cette réforme.... (ah personne n'a envie de s'affronter à une grève "dure" tiens donc....)

PS : 1995 est bien loin où la Ratp aussi était là mais...

Modifié par assouan
  • J'adore 2
Publication:

Eh bien.... je ne serai pas si surprise non plus vue la tendance générale qui semble se dégager sur cette réforme.... (ah personne n'a envie de s'affronter à une grève "dure" tiens donc....)

PS : 1995 est bien loin où la Ratp aussi était là mais...

oh comme c 'est marrant ça....notre point de vue converge.....pourtant moi suis pas à la SeNeCeFe..... :Smiley_03: :Smiley_03: :Smiley_03: :Smiley_03:

Mais bon sans doute avons nous un point commun : la détestation respective de l'autoflagellation...... :Smiley_04:

  • J'adore 1
Publication:

Oui, mais il n'est pas prévu d'abroger par l'hémicycle le RH 077 d'ici juillet 2015 (de mémoire pour le mois ^^) ???

Donc, le temps au temps, je ne pense pas :Smiley_39: ...

Publication:

Oui, mais il n'est pas prévu d'abroger par l'hémicycle le RH 077 d'ici juillet 2015 (de mémoire pour le mois ^^) ???

Donc, le temps au temps, je ne pense pas :Smiley_39: ...

Oui c'est prévu.... après la réalité des prix sera sûrement dans la réaction - ou pas - des cheminots (et je t'y compte ;) ) ?

Publication:

Oui c'est prévu.... après la réalité des prix sera sûrement dans la réaction - ou pas - des cheminots (et je t'y compte ;) ) ?

Ben, personnellement, j'ai toujours tendu vers le RH077 dans mon entreprise lorsque le vide juridique était de mise :Smiley_04: .

Je dois dire que je n'avais pas beaucoup d'opposition dans la hiérarchie !!!

Pour les cheminots, j'espère qu'ils se bougeront pour garder LEURS acquis, et qu'au final, nous arriverons à mobiliser aussi chez nous pour les appuyer et ainsi d'avoir de meilleurs conditions de travail et surtout commande du personnel ^^ ...

  • 10 mois plus tard...
  • 1 année plus tard...
Publication:
il y a 20 minutes, vchiu a déclaré:

http://www.capital.fr/enquetes/dossiers/sncf-vivement-la-concurrence-1072960

Désolé si cet article de septembre denier a déjà été posté

 

 

le début de l'article part d'une donnée affirmée avec force mais qui est fausse..

"Chez nos voisins, la suppression du monopole des compagnies nationales a amélioré considérablement le service. Il est grand temps que la France s'y mette."

Publication:

dans capitalisme, il y a Capital .... à quoi bon se goberger des opinions de ceux qui certes, gouvernent, mais dont le point de vue est d'une partialité incontestable ?  êtes-vous masos ?

Publication: (modifié)
Il y a 4 heures , jackv a déclaré:

le début de l'article part d'une donnée affirmée avec force mais qui est fausse..

"Chez nos voisins, la suppression du monopole des compagnies nationales a amélioré considérablement le service. Il est grand temps que la France s'y mette."

Mais il y a des chiffres de ponctualité, de trafic, d'évolutions de subvention. Ces chiffres sont-ils faux ?

Avez-vous des exemples de monopoles ferroviaires  qui se sont conservés sur lesquels la qualité s'est améliorée?

 

Modifié par vchiu
Publication:

 tu n'as pas encore compris qu'on fait dire ce qu'on veut aux chiffres, la preuve, le ticket de métro ...   quand aux monopoles, ce n'est pas ça qui manque dans le privé, la concurrence (libre et non faussée évidemment !!!) étant acceptée jusqu'à ce que  le dernier bouffe l'avant dernier.

tu ne te rends pas compte que le perdant final de cette fausse course est le salarié. Renseigne-toi sur la robotisation chez Amazon ( pour s'en tenir à notre chère Europe)  et reviens nous voir !

 

Publication:
Il y a 2 heures , 5121 a déclaré:

 tu n'as pas encore compris qu'on fait dire ce qu'on veut aux chiffres, la preuve, le ticket de métro ...   quand aux monopoles, ce n'est pas ça qui manque dans le privé, la concurrence (libre et non faussée évidemment !!!) étant acceptée jusqu'à ce que  le dernier bouffe l'avant dernier.

tu ne te rends pas compte que le perdant final de cette fausse course est le salarié. Renseigne-toi sur la robotisation chez Amazon ( pour s'en tenir à notre chère Europe)  et reviens nous voir !

 

Pardon, je n'ai pas compris la preuve par le ticket de métro.  Quant aux chiffres je trouve qu'ils témoignent d'une réalité qu'on ne peut pas ignorer.

Je suis à votre écoute pour des exemples de monopoles dans le privé. 

Pour en revenir au ferroviaire, je ne suis pas d'accord. En rendant  peu compétitive le rail, une situation monopolistique plombe toute la filière et pénalise (entre autres) les perspectives d'emplois et de salaires.  C'est la route  et l'aérien qui tirent  parti de cette situation ce qui n'est pas vraiment bon pour notre pays.

Quand aux plaintes récurrentes devant la progression de la "robotisation" ,je pense que ce n'est pas une mauvaise chose d'automatiser des tâches répétitives et pas toujours valorisantes.  Si vous voulez rétablir le poinçonneur aux stations, cela va coûter bien plus que ce que les voyageurs et les finances publiques peuvent payer...

 

  • J'adore 1
Invité JLChauvin
Publication:

Je ne sais pas pourquoi vous vous agacez à essayer d'argumenter avec lui, soit il est incurable, soit c'est un pur provocateur... :Smiley_20: dans les deux cas ça ne fait qu'embrouiller le sujet. Laissez le donc dans son monde, il finira par aller embêter un autre faorum et on pourra continuer à discuter sérieusement de l'avenir du ferroviaire... :Smiley_15:

Publication: (modifié)

oui, je pense qu'il est un peu bouché ...  engoncé dans son monde de petits trains .... l'a toujours pas compris le coup du ticket de métro ...

c'est vrai qu'à St-Maur, on aurait plutôt tendance à voir la vie en rose, un peu comme à Neuilly,  quoââââ.

 

 

Modifié par 5121

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