Invité necroshine Publication: 29 novembre 2011 Partager Publication: 29 novembre 2011 Mais vous inquietez pas, il est prévu de dégraisser le mammouth Fret, comme il n'y aura plus d'executants se seront des cadres dirigeants Fret qui tireront les trains !!!! J'ai dis une connerie ??? :wacko: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
JusDerAtS Publication: 29 novembre 2011 Partager Publication: 29 novembre 2011 Je sais pas si ça a été dis sur un autre post , il y a 2 semaines , la direction nous a annoncé la suppression de 64 postes au triages de WPY ( sur un effectif global de 180 personnes environs il me semble ) . On débranchera toujours en 3X8 et par gravité mais d’après ce que l'on entends plus pour très longtemps ... Voilà , une mauvaise nouvelle de plus pour pas changer ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité 5121 Publication: 30 novembre 2011 Partager Publication: 30 novembre 2011 Mais vous inquietez pas, il est prévu de dégraisser le mammouth Fret, comme il n'y aura plus d'executants se seront des cadres dirigeants Fret qui tireront les trains !!!! J'ai dis une connerie ??? oui ! parce qu'ils n'iront pas tirer de trains, ils se tireront tout court vendre des patates ou des machines à laver chinoises ....... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 2 décembre 2011 Partager Publication: 2 décembre 2011 http://www.charentelibre.fr/2011/12/02/le-cognac-reprend-le-train,1067914.php Le cognac reprend le train La ligne de fret ferroviaire Cognac - Le Havre devrait être à nouveau opérationnelle avant la fin du mois. Une bonne nouvelle pour les exportations de spiritueux. Acôté de la gare de voyageurs SNCF de Cognac, des containers sont empilés comme des pièces de Lego. Le jeu de construction géant est visible depuis le boulevard de Paris. Une petite centaine de boîtes métalliques est actuellement en transit sur la plate-forme de «Naviland Cargo», la filière de transport combiné de la SNCF. Pourtant, depuis le printemps 2010, plus un seul train sur les rails du site pour acheminer les marchandises vers le port international du Havre. Pas de quoi mettre les deux employés au chômage technique : «On charge les boîtes sur les camions, qui ont pris le relais des trains. Et on surveille le fichier informatique des entrées et des sorties». Les wagons devraient faire leur réapparition à partir du 12 décembre, selon Benoît Groussin, représentant régional de la Fédération nationale des associations des usagers des transports (Fnaut). «La ligne a été fermée du printemps 2010 à mai 2011, le temps que les travaux sur la voie Angoulême - Saintes soient réalisés. Ça fait quand même plus de six mois qu'on attend sa remise en fonction!», soupire le bénévole. Officiellement, la SNCF attend les changements d'horaires du 11 décembre. «Avec la réouverture, on respecte les orientations du Grenelle de l'environnement et on bâtit l'avenir», se félicite Benoît Groussin, qui s'est fendu d'une lettre à Dominique Bussereau pour accélérer le dossier. Le patron du conseil général de Charente-Maritime avait inauguré la ligne en octobre 2007, avec sa casquette de secrétaire d'État aux transports. Hier, il était «très content» que la ligne reprenne du service: «Je suis intervenu auprès du ministre des Transports et de la SNCF dans ce sens». Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 9 décembre 2011 Partager Publication: 9 décembre 2011 http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/47112/fret-sncf-assouplit-son-offre-multi-lots-multi-clients.html Fret SNCF assouplit son offre "Multi-lots multi-clients" Fret SNCF annonce à ses clients une réduction des délais de réservation et un allégement des pénalités de son offre "Multi-lots multi-clients". L'entreprise dit avoir réduit ses pertes grâce à cette offre lancée en décembre 2010. Fret SNCF a annoncé le 1er décembre 2011 à ses clients une réduction du délai de réservation des wagons de son offre "Multi-lots multi-clients" (MLMC), ainsi que l'allégement des pénalités quand les engagements annuels de trafic ne sont pas respectés. En décembre 2010, lors du lancement de cette offre en remplacement du "wagon isolé", la SNCF avait demandé à ses clients de prendre des engagements annuels de trafics, confirmés par des "pré commandes" passées de 3 à 4 mois à l'avance. Le dispositif était assorti de bonus/malus, selon que les trafics remis étaient conformes ou non aux volumes annoncés. C'est ce dispositif que Fret SNCF a décidé d'assouplir, en ramenant les pré commandes à un rythme mensuel et en divisant par deux le montant des dédits lorsque les volumes remis sont inférieurs à 90% de ceux des commandes exprimées. Un meilleur système d'exploitation de MLMC Selon Sylvie Charles, directrice de Fret SNCF, ces évolutions correspondent à la fois à une demande des clients et à une amélioration du système d'exploitation de MLMC. "Les chargeurs, peu à l'aise avec les pré commandes à trois mois, ont éprouvé d'autant plus de difficultés que la visibilité sur leur niveau d'activité s'est réduite depuis l'été 2011. De notre côté, nous avons beaucoup travaillé à anticiper la résolution des questions liées aux sillons. Nous savons aujourd'hui plus facilement rendre à RFF ou obtenir des sillons sans devoir nous y prendre 4 ou 5 semaines à l'avance, car nous nous sommes dotés d'outils informatiques qui nous permettent non seulement de lever des précarités dans ce domaine mais aussi de faire des propositions alternatives à RFF." Après un an de fonctionnement de MLMC, Sylvie Charles se montre plutôt optimiste sur les performances de la nouvelle offre. "En 2010, le nombre de wagons chargés avait été de 220 000. En 2011, nous en avons transporté autant avec une offre totalement renouvelée, dont on nous avait prédit qu'elle allait condamner l'activité wagon isolé". Des pertes désormais inférieures à 100 M€ Mais surtout, Fret SNCF serait en passe d'améliorer sa situation financière. Une bonne nouvelle pour l'ensemble du groupe SNCF, dont l'un des foyers de pertes les plus importants est le wagon isolé. "L'objectif, qui était d'abaisser le point mort et l'inertie du système, est atteint. Avant la crise, nous perdions pas loin de 300 millions d'euros avec le wagon isolé. Nous ne sommes pas encore à l'équilibre mais on s'en approche... Nous perdons beaucoup moins de 100 millions", indique Sylvie Charles, qui se réjouit par ailleurs que la structure de MLMC permette désormais à Fret SNCF de suivre dans de bonnes conditions économiques l'évolution des trafics à la baisse comme à la hausse. Objectif 2012 : 90% de wagons dans les délais prévus Enfin, la situation s'améliorerait aussi côté fiabilité du service. "Dans l'ancien système, seulement un wagon sur deux arrivait dans le temps prévu et surtout, on pouvait constater de très forts écarts par rapport à cette mauvaise moyenne. Dans le cadre de la nouvelle offre, il reste 3% de très grands retards, c'est-à-dire supérieurs à 5 jours, sur lesquels nous continuons à travailler. En revanche, nous atteignons un taux d'un peu moins de 80% de wagons arrivés dans les délais prévus, et de 90% de wagons arrivés dans les délais prévus ou avec au plus un jour de retard. L'enjeu 2012, c'est de supprimer ce jour de retard et de parvenir à 90% d'arrivées dans les délais prévus." Ce qui change dans la réservation des wagons MLMC → Des pré commandes mensuelles : Avant le 15 de chaque mois, le client pré commande pour le mois M+2 en même temps qu'il commande pour le mois M+1. → Le montant des dédits est divisé par deux : Il y a dédit quand les volumes remis sont inférieurs à 90% des commandes exprimées. Le dédit est alors calculé en comparant le volume remis au volume commandé, sachant que la commande peut bouger de +/-20% par rapport à la pré commande. → Le système bonus/malus est allégé : Le malus s'applique quand le niveau des commandes annuelles est inférieur à 80% des wagons remis (trop de wagons remis non commandés dérèglent le fonctionnement de l'outil de production de MLMC). Le bonus récompense les clients ayant atteint ce niveau de commandes et développant leur chiffre d'affaires avec Fret SNCF. Les montants des bonus/malus sont progressifs jusqu'à un maximum de 5% du CA, améliorant la prévisibilité de la facture ferroviaire. Dans l'offre d'origine, les malus pouvaient atteindre 17%. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Publication: 20 décembre 2011 Partager Publication: 20 décembre 2011 Vues ce matin à Achères, des G2000BB Colas-Rail en tête de trains GEFCO sortant des usines PSA de Poissy (78). Colas ne roule plus seulement pour le groupe Bouygues ? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rigolo Publication: 20 décembre 2011 Partager Publication: 20 décembre 2011 Vues ce matin à Achères, des G2000BB Colas-Rail en tête de trains GEFCO sortant des usines PSA de Poissy (78). Colas ne roule plus seulement pour le groupe Bouygues ? Bah non ils roulent pour ECR qui soutraite en partie les GEFCO ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ADC01 Publication: 20 décembre 2011 Partager Publication: 20 décembre 2011 Vues ce matin à Achères, des G2000BB Colas-Rail en tête de trains GEFCO sortant des usines PSA de Poissy (78). Colas ne roule plus seulement pour le groupe Bouygues ? Ben ,non Colas fait partie du consortium,avec ECR et Europorte qui a récupéré le trafic Gefco. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CRL ACH Publication: 21 décembre 2011 Partager Publication: 21 décembre 2011 Le triage d'Achères avait fermé en 2005 et jusqu'à avril, le triage était plein de wagons vides mais en avril, j'avais pris un collègue en cabine qui bossait au Poste A du triage et m'avait dit qu'à partir de mai, les wagons allaient commencé à partir pour......la casse? il ne savait pas non + mais en tout cas, chose a été faite, il y avait une quinzaine de voies pleines de wagons et à présent, il doit y en avoir 4 mais par contre, des trains de voitures sont de retour après plusieurs années d'absence!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
DavidKorner Publication: 21 décembre 2011 Partager Publication: 21 décembre 2011 D'après ce que me dit un collègue de TRA du FRET, Colas fait uniquement des manoeuvres pour GEFCO. Vrai? Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 31 janvier 2012 Partager Publication: 31 janvier 2012 http://www.daily-bourse.fr/sncf-geodis-les-pertes-operationnelles-superieures-Feed-AFP120130113722.v9ofj0my.php SNCF Geodis: les pertes opérationnelles supérieures à 300 M EUR en 2011 Le directeur général de SNCF Geodis, société de fret ferroviaire et de logistique, prévoit des pertes opérationnelles supérieures à 300 millions d'euros en 2011, et maintient son objectif de retour à l'équilibre en 2013-2014. Selon Pierre Blayau, le chiffre d'affaires de SNCF Geodis a progressé de 4,5% l'an dernier en incluant les filiales européennes du groupe mais il "est resté stable en France". Mais la société "reste à un niveau de pertes opérationnelles supérieur à 300 millions, même si nous les avons réduites de 150 millions en 2011", a-t-il reconnu dans un entretien au quotidien Les Echos. "Nous aurions pu mieux faire mais nous avons été pénalisés par deux éléments", a-t-il ajouté. Il a évoqué la "grande difficulté" à obtenir des sillons (créneaux de circulation des trains) comme tous les opérateurs de fret, à cause des travaux réalisés sur les voies "et de certaines difficultés d'organisation du côté de Réseau ferré de France" (RFF), le gestionnaire des infrastructures. "Nous estimons à 50 millions d'euros la perte de résultat liée à ces difficultés en 2011. Pour 2012-2013, RFF a pris des dispositions ce qui nous laisse espérer que les choses vont s'améliorer", a-t-il indiqué. Par ailleurs, SNCF Geodis n'applique pas la même convention collective que ses concurrents, a précisé M. Blayau, estimant que si c'était le cas, "cela améliorerait nos coûts de 25%". "Dans les conditions actuelles, nos résultats correspondent aux engagements pris en 2008", a-t-il relevé. "Pour 2012, nous ambitionnons de réduire nos charges de 15% à 20% à volume transporté constant, et nous visons toujours le retour à l'équilibre en 2013-2014". Et 2012 ne commence pas sur des chapeaux de roues: "Les volumes transportés en janvier et ce que nous anticipons pour les premiers mois de l'année sont inférieurs de 10% à 2011", a-t-il indiqué. Mais "tous les indicateurs opérationnels, qu'il s'agisse de la ponctualité ou de la qualité de service, sont en amélioration", a-t-il souligné. Il a confié que sa filiale de transport combiné Novatrans représentait un "vrai point de préoccupation". Reprise il y a trois ans au bord de la faillite, elle "n'a pas redécollé" et perd toujours "aux alentours de 20 millions d'euros" malgré l'injection de 30 millions d'euros. "Nous travaillons aujourd'hui à la recherche d'un repreneur, ou bien à une recapitalisation qui serait acceptable par Bruxelles. Nous ferons, quoiqu'il arrive, face à nos responsabilités", a indiqué M. Blayau. "Aujourd'hui, c'est la question de la viabilité même du modèle économique du fret ferroviaire qui est posée", a-t-il estimé. "Certains segments d'activité ont clairement une pertinence économique mais, au global, aucun acteur européen ne dégage de profit". Selon lui, "ce déficit récurrent pèse sur l'économie de l'ensemble du système ferroviaire". "Nous ne nous en sortirons pas sans une régulation du transport routier de marchandises", a-t-il souligné, mais "sur ce plan, hormais la mise en place de la taxe poids lourds, aucune décision n'a été prise". Il a qualifié de "très ambitieux" l'objectif d'atteindre 25% du transport de marchandises effectué hors des routes en 2022 (contre 15% aujourd'hui) prévu dans le Grenelle de l'environnement. "Pour y parvenir, il serait nécessaire d'adapter l'économie du ferroviaire, avec notamment une augmentation de la capacité du réseau de 30% et des investissements dans des infrastructures nouvelles", a estimé M. Blayau. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
ADC01 Publication: 31 janvier 2012 Partager Publication: 31 janvier 2012 D'après ce que me dit un collègue de TRA du FRET, Colas fait uniquement des manoeuvres pour GEFCO. Vrai? Faux, j'ai croisé un Gefco tiré par Colas hier sur RES et un autre aujourd'hui en sens contraire. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 4 février 2012 Partager Publication: 4 février 2012 http://www.lejsl.com/edition-d-autun/2012/02/04/quelles-solutions-pour-enrayer-la-chute-du-fret-bois-ferroviaire Quelles solutions pour enrayer la chute du fret bois ferroviaire ? « En 2011, nous avons chargé 60 000 tonnes de bois en gare d’Autun », constate M. Barbé, le logisticien exclusif de la gare bois d’Autun, pour le compte d’Eurorail, un groupe basé en Belgique. Il y a encore deux ans, dans l’euphorie de la dynamique autour de la filière bois, c’était 100 000 tonnes qui étaient échangées ici, et qui faisaient d’Autun la plus importante gare bois de France. Désormais, Autun a même perdu son leadership bourguignon, supplanté par la gare de Chatillon-sur-Seine qui aurait atteint les 125 000 tonnes. Mais elle est désormais elle aussi en difficulté, car l’immense scierie du groupe belge Carrier aurait redonné sa priorité au transport routier. Les forestiers ne trouvent plus d’avantages économiques suffisant pour travailler avec la SNCF et fustigent son manque d’adaptabilité, aussi bien pour les transports courts que ceux qui dépassent les 300 kilomètres. De nombreux rapports ont souligné les rigidités de l’opérateur national qui s’empêtre ainsi dans une rentabilité inexistante surtout pour les transports de proximité. La solution passerait par des opérateurs ferroviaires régionaux privés désormais autorisés, et dont l’équipement serait adapté aux petits transports. En Morvan, à Cercy-la-Tour, CFR a ainsi été constitué en 2010. Il se pourrait que dans les semaines ou mois à venir, son actionnariat évolue et lui permette d’intervenir en gare bois d’Autun pour se substituer à la SNCF. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Fabr Publication: 4 février 2012 Partager Publication: 4 février 2012 Il n'y avait pas aussi comme une histoire de subventions pour le transport du Bois par le rail ??? subvention supprimée... Et en periode de vaches maigres du TRM, le bois peut bien consituer une niche supplementaire... Dur, une fois de plus, pour le rail.... Fabrice Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 4 février 2012 Partager Publication: 4 février 2012 A lire l'article, la SNCF se fait plus que tacler !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Casimirian Publication: 8 février 2012 Partager Publication: 8 février 2012 Ne pas oublier, pour pas mal de trafics créés en 2009 l'effet boomerang de la taxe carbone. Le fait que celle-ci ait été abandonnée à considérablement refroidi certaines entreprises qui avaient le pli du fret ferroviaire, afin de ne pas bouffer les bénéfices dans le transport routier. Aujourd'hui, de nombreuses entreprises ne reconduisent pas les contrats signés en 2008-2009 à cause de cette non-taxe carbone. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Mak Publication: 8 février 2012 Partager Publication: 8 février 2012 "Pour l'Alsace, l'écotaxe PL devrait démarrer au premier trimestre 2013" Donc à priori ecotaxe pas abandonnée, le bébé est juste refilé au futur président... http://www.wk-transport-logistique.fr/actualites/detail/43819/pour-l-alsace-l-ecotaxe-pl-devrait-demarrer-au-premier-trimestre-2013.html Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CRL COOL Publication: 11 février 2012 Partager Publication: 11 février 2012 (modifié) P'tit coup de gueule du jour..... On ne peut même plus acheminer un yoyo par le rail? c'était le 20 janvier à Cannes la Bocca. Modifié 11 février 2012 par CRL COOL Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Gnafron 1er Publication: 11 février 2012 Partager Publication: 11 février 2012 P'tit coup de gueule du jour..... On ne peut même plus acheminer un yoyo par le rail? c'était le 20 janvier à Cannes la Bocca. Oui ,on va te sortir que ça coûtera moins cher .... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 11 février 2012 Partager Publication: 11 février 2012 (modifié) C'est grave !!!!! Acheminement EM par convoi exceptionnel... Acheminement train ballast pour infrarail par CFR... Acheminement rames transilien par ECR.... Modifié 11 février 2012 par necroshine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Gnafron 1er Publication: 11 février 2012 Partager Publication: 11 février 2012 C'est grave !!!!! Acheminement EM par convoi exceptionnel... Acheminement train ballast pour infrarail par CFR. ..voir par camion .... Acheminement rames transilien par ECR.... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Tof21 Publication: 13 février 2012 Partager Publication: 13 février 2012 http://www.lejsl.com...ois-ferroviaire Quelles solutions pour enrayer la chute du fret bois ferroviaire ? « En 2011, nous avons chargé 60 000 tonnes de bois en gare d’Autun », constate M. Barbé, le logisticien exclusif de la gare bois d’Autun, pour le compte d’Eurorail, un groupe basé en Belgique. Il y a encore deux ans, dans l’euphorie de la dynamique autour de la filière bois, c’était 100 000 tonnes qui étaient échangées ici, et qui faisaient d’Autun la plus importante gare bois de France. Désormais, Autun a même perdu son leadership bourguignon, supplanté par la gare de Chatillon-sur-Seine qui aurait atteint les 125 000 tonnes. Mais elle est désormais elle aussi en difficulté, car l’immense scierie du groupe belge Carrier aurait redonné sa priorité au transport routier. Les forestiers ne trouvent plus d’avantages économiques suffisant pour travailler avec la SNCF et fustigent son manque d’adaptabilité, aussi bien pour les transports courts que ceux qui dépassent les 300 kilomètres. De nombreux rapports ont souligné les rigidités de l’opérateur national qui s’empêtre ainsi dans une rentabilité inexistante surtout pour les transports de proximité. La solution passerait par des opérateurs ferroviaires régionaux privés désormais autorisés, et dont l’équipement serait adapté aux petits transports. En Morvan, à Cercy-la-Tour, CFR a ainsi été constitué en 2010. Il se pourrait que dans les semaines ou mois à venir, son actionnariat évolue et lui permette d’intervenir en gare bois d’Autun pour se substituer à la SNCF. Encore un coup dur !!! Quand ont pensent qu'il y a encore pas si longtemps ( 2-3 ans pas plus ) le nombre de train de bois que l'ont tiraient depuis la gare de Montchanin étaient assez conséquent et que l'ont a vu ce traffic diminuer a vu d'oeil mais qui nous faisait rouler quand même , le fait de stopper tout , sa serait aussi un gros coup dur pour les agents de MCH ( déjà qu'ils sont en effectif réduit ). Je ne sais pas trop ou ont va mais ont y va c'est certain :Smiley_55: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 13 février 2012 Partager Publication: 13 février 2012 (modifié) Les CFR sont moins chers, ils reprendront le trafic !!! Modifié 13 février 2012 par necroshine Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité SNCF 21 Publication: 13 février 2012 Partager Publication: 13 février 2012 Les CFR sont moins chezs, ils reprendront le trafic !!! Mais la SNCF a t-elle la volonté de continuer ? C'est surtout cette question qu'il faut aussi poser ... A croire qu'elle préfère payer ses CRL/CRML à ne rien faire plutôt que de tirer des trains ... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Nipou Publication: 15 février 2012 Partager Publication: 15 février 2012 Dans ma région, il se murmure que le fret va revenir au ter. Aussi, voici deux versions d'une même histoire (vous aurez droit aux deux dans les prochains mois suivant que ça vienne de la direction ou d'une OS et comme toujours, la vérité est quelque part au milieu) Version 1 : Avant on avait tout. Puis ils sont arrivés avec un discours type : "vous ètes nuls, on fera mieux et moins cher" et ont créé Fret SNCF. Ils ont tout cassé. On récupère les restes car il y en a si peu qu'ils ne sont plus intéressés. Version 2 : On avait tout, normal il n'y avait pas de concurrence et on ne comptait rien (combien coûte un train ? pas notre problème). Ils sont arrivés avec un objectif : compter. Une fois les comptes faits, le drame prenait corps. Il fallait tout changer pour faire à moins et essayer de devenir rentable. Par la dessus, le marche s'est ouvert à la concurrence. L'échec est là, localement au moins. Les coûts de structures deviennent plus important que le peu que rapporte les quelques trains qu'il reste. Fret SNCF s'en va (du moins comme gestionnaire implanté) et, s'il garde les quelques conducteurs, donne leur gestion à TER. Quelque soit la version que vous choisissez, le résultat est le même : - Des drames humains. - Des camions en plus. - Un gâchis énorme. 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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