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Facebook  

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Messages recommandés

Publication:

J'ai vu ça...

Ils ont d'autres méthodes sinon, comme de taguer les casiers et de faire des listes de ceux qui ont travaillé.

C 'est minable... comme leur prochaine fiche de paye.

Cette année ils ont innoves ,ils ne jaunissent plus les boites ils se contente seuleument de les arracher...................et comme tu le dis il y a cette fameuse liste qui est une incitation à la haine en ce moment c'est chaud bouillant à l 'ECT et certains risquent d'avoir mal au cul dans quelques temps et pas ceux que l'on pense.

Publication:

Cette année ils ont innoves ,ils ne jaunissent plus les boites ils se contente seuleument de les arracher...................et comme tu le dis il y a cette fameuse liste qui est une incitation à la haine en ce moment c'est chaud bouillant à l 'ECT et certains risquent d'avoir mal au cul dans quelques temps et pas ceux que l'on pense.

En tout cas, pour ceux qui sont sur FB, il y en a bien peu dans cet excellent groupe :

http://www.facebook.com/home.php?#!/group.php?gid=101981106504118

  • 1 mois plus tard...
Publication: (modifié)

Attention Facebook peut se révéler dangereux.

Je dirais plutôt "attention un crêpage de chignon peut mal se terminer" ! ;) ;) :)

Modifié par Roukmoute
  • 1 mois plus tard...
Publication:

Je dirais plutôt "attention un crêpage de chignon peut mal se terminer" ! okok okok okok

Tu as raison : 1 mort

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2010/07/24/97001-20100724FILWWW00421-une-querelle-sur-facebook-degenere.php

Une querelle sur Facebook dégénère

La querelle avait débuté sur Facebook, où deux jeunes Américaines se disputaient un homme en prison. Elle a fini tragiquement, lorsque la voiture dans laquelle se trouvait Danielle Booth, 20 ans, qui tentait d'échapper à Torrie Lynn Emery, 23 ans, a été percutée par un poids lourd alors qu'elle venait de griller un feu rouge. La conductrice de la voiture, Ayesha Abernathy, 21 ans, est décédée, tandis que Danielle Booth a été grièvement blessée, rapporte le Morning Sun.

Quelques heures plus tôt, Danielle Booth était allé signaler à la police qu'elle avait été la cible de menaces, après l'altercation virtuelle sur Facebook. Les deux jeunes femmes se sont ensuite croisées dans un McDonald's de Pontiac, dans le Michigan. C'est ici que la poursuite a débuté. Torrie Lynn Emery a percuté plusieurs fois la voiture où se trouvait sa rivale.

Torrie Lynn Emery encourt la prison à perpétuité. Sa fille de 3 ans, présente à l'arrière du véhicule, n'a pas été blessée.

Publication:

Oh ils sont cons ces amerloques... heureusement qu'il y a le FBI pour les encadrer nonmais [2nd degré inside]

Bref, faut arrêter de monter en épingle les cas extrêmes... après tout, puisque chaque année y a des ferrovipathes qui meurent dans le monde, on interdit les trains?

Oui, je suis sur FB, et alors... je n'y passe pas ma vie, à peine 5 mn tous les trois jours, non je ne suis pas spammé, non je n'ai pas 10.000 amis (en dessus de 1500, c'est suspect) etc. mdrmdr

Publication:

A retenir :

ça c'est cool, bravo Soldat Louis nonmais
Publication:

Hello !

Vu sur Facebook :

http://www.facebook....110729185623568

David :Smiley_51: :Smiley_51:

'Suis allé faire un tour...

'Ai vu une blague sur une photo de l'accident de Zoufftgen... Trop super... :Smiley_51:beurk beurk

Pas eu envie de cliquer pour dire ce que j'en pensais, ça aurait été trop d'honneur...

Publication:

Si ça leur permet de se défouler ailleurs que sur les contrôleurs ou les agents des gares !!!

Publication: (modifié)

Puisque vous êtes dans les photos...

la 8 et la 26 sont bien trouvées... la 27 est marrante

la 17 est délirante :) la 34 aussi d'ailleurs mdrmdr

et puisqu'ils se marrent sur ce thème, qu'ils sachent que le Washington-Omaha avait régulièrement 24 h, voire 36 h de retard en 1880 suite aux nombreuses attaques de train ! plus de 30 parfois ! lotrela

Modifié par louis44
Publication:

Mode second degré...Ouverture

Enfin une bonne nouvelle...

Bon les Femmes sont plus discrètes, Elles n'étalent pas leurs exploits.

Mode second degré...Fermeture

Un homme banni de Facebook après avoir couché avec 300 utilisatrices

 

    Un homme a été banni de Facebook après s'être vanté d'avoir couché avec 300 utilisatrices du site de réseau social.

    Il explique même que grâce aux sites de socialisation en général, il aurait fait l'amour avec 1.500 femmes. 

    Clive Worth explique ses exploits dans un livre, A Serial Shagger's Guide to Online Dating.

    A soixante ans, l'homme explique avoir couché avec 1.500 femmes grâce aux sites de socialisation, et notamment 300 utilisatrices du site Facebook.

    Une révélation que le site de Mark Zuckerberg n'a pas vraiment appréciée.

    Ainsi, pour cette raison, Clive Worth a été banni du site.

    Mais ce dernier ne s'est pas avoué vaincu, décidant alors de créer un nouveau compte sous un pseudonyme féminin, Carol Peters.

    L'homme a d'ailleurs été banni de plusieurs sites dont ceux dédiés à la rencontre Match.com et DatingDirect. 

    Publication:

    C'est un collectionneur celui-là ! attention, c'est aussi un des aiguilleurs travaillant sur la ligne qui me sert de signature mdrmdrlotrela

    Non, sans blague...

    :Smiley_57:

    • 2 semaines plus tard...
    Publication:

    Oui... je suis inscrit en cercle fermé.....uniquement pour partager les photos avec amis et famille. Pas de bla bla inutile, que du partage avec ceux qu'on aime et qu'on choisit. C'est le seul point positif de ce truc.... le reste ; amis par millier, états d'âmes et dragues puériles.... c'est de la connerie !!!

    Publication: (modifié)

    Oui... je suis inscrit en cercle fermé.....uniquement pour partager les photos avec amis et famille. Pas de bla bla inutile, que du partage avec ceux qu'on aime et qu'on choisit. C'est le seul point positif de ce truc.... le reste ; amis par millier, états d'âmes et dragues puériles.... c'est de la connerie !!!

    +1

    Même situation, mêmes conclusions, mêmes utilisations!

    Modifié par capelanbrest
    • 4 semaines plus tard...
    Invité ect-de-lyon
    Publication:

    J'y suis, mais pas avec mon vrai nom de famille. Comme ça, c'est moi qui choisit mes amis! Non mais okok

    Publication: (modifié)

    Personne n'aime Guillaume Pépy ! Pour ce qui ne connaissent pas FaceBook, normalement en dessous de sa photo il y a le nombre de personne qui aime cette personnalité et là c'est le néant !

    http://www.facebook.com/pages/Guillaume-Pepy/140113699348238?ref=search&v=desc

    Modifié par Pluto
    Publication:

    Personne n'aime Guillaume Pépy ! Pour ce qui ne connaissent pas FaceBook, normalement en dessous de sa photo il y a le nombre de personne qui aime cette personnalité et là c'est le néant !

    http://www.facebook.com/pages/Guillaume-Pepy/140113699348238?ref=search&v=desc

    Il y a plusieurs pages avec Guillaume Pépy contenant des membres inscrits.

    Trouvé une page de L'Express. fr Emploi

    Quand le succès de Facebook inspire les entreprises

    Un extrait de l'article concernant la SNCF et ses employés

    Faciliter le dialogue

    Les chefs d'entreprise profitent également de ces réseaux pour mieux communiquer avec leurs employés. Ils peuvent ainsi recueillir les opinions de chacun avant de prendre une décision. "La plate-forme 'e-changeons' permet à tous les salariés, qu'ils soient vendeurs de billets ou cadres supérieurs, de donner leur avis sur certains projets d'avenir ou sur les moyens de revaloriser l'image de l'entreprise auprès du public", assure Frédéric Millien, animateur de la plate-forme de la SNCF.

    ..........

    Mais ces réseaux dépassent souvent le cadre professionnel. Sur les forums, les employés échangent sur des sujets d'actualité, sur la manière de concilier leur vie privée et professionnelle ou sur des questions pratiques. "Une salariée souhaitait, par exemple, avoir plus d'informations sur les compléments d'allocations familiales, raconte Frédéric Millien, de la SNCF. En quelques jours, elle a obtenu 109 réponses". Les liens entre les salariés se resserrent même en dehors des heures de bureau. Sur la plate-forme de la SNCF, on recense ainsi entre 300 et 400 connexions chaque week-end. Certains craignent déjà que les salariés ne puissent plus se déconnecter du travail...

    Si quelqu'un trouve cette page.....

    • 3 semaines plus tard...
    Publication:

    Quand une inscription sur un mur peut coûter sa place :

    Licenciées pour des injures sur Facebook

    Trois travailleuses sociales d'une association de défense de femmes victimes de violences conjugales de Périgueux ont été licenciées pour "faute lourde" après des propos tenus sur Facebook jugés "injurieux, diffamatoires et menaçants" par leur employeur, a-t-on appris aujourd'hui auprès de leur avocat. Après l'échec d'une audience de conciliation, lundi, l'affaire sera jugée par le tribunal des prud'hommes de Périgueux le 14 mars 2011.

    SOS-femmes, qui emploie une quinzaine de personnes, "prétend que les trois salariées ont tenu sur des murs Facebook, donc privés, dont l'accès est limité aux amis, des propos injurieux, diffamatoires et menaçants et engagé une procédure de licenciement pour faute lourde, un motif exceptionnel", a déclaré à l'AFP Me Eric Barateau, en précisant qu'une quatrième personne, leur chef de service, a été remerciée pour un autre motif. "On a eu le tort de dénoncer haut et fort les déviances de la direction", a déclaré à l'AFP une des salariées licenciées, parlant d'"insultes" et de "gros dysfonctionnements dans la prise en charge des femmes".

    Ces trois mères célibataires, âgées de 36 à 42 ans, disent ensuite avoir vu leurs conditions de travail se dégrader, parlant de pressions jusqu'à leur mise à pied le 6 juillet pour une conversation à trois sur Facebook, a rapporté cette éducatrice d'internat, employée de SOS-Femmes depuis 1999 après en avoir été bénévole. "On est en présence d'interception illicite et à l'évidence d'un bidouillage des propos qui ont été tenus", a ajouté Me Barateau.

    "A ce jour, l'employeur n'a pas dit comment il avait eu accès à ces informations", a poursuivi l'avocat périgourdin. En conséquence, les trois femmes ont porté plainte pour "interception illicite de communications", a-t-il ajouté, estimant que "la preuve illicite" n'est pas recevable devant un tribunal, pas davantage que "l'immixion dans la vie privée".

    Les salariées licenciées, qui avaient été convoquées au commissariat pour une plainte de l'employeur pour "menaces de mort et incitation à la haine", contestent en outre la "retranscription" des propos tenus sur Facebook, même si elles admettent avoir parlé des problèmes dans l'association, a ajouté l'avocat. Sollicitée par l'AFP, l'avocate de l'employeur Me Marie-Claude Plisson, n'a pas souhaité s'exprimer.

    Publication: (modifié)

    Quand une inscription sur un mur peut coûter sa place :

    Licenciées pour des injures sur Facebook

    déjà que j'ai jamais voulu m'y mettre (bien que mon emploi ... hein ?) lotrela

    blague à part ,j'ai été sur copain d'avant et un jour en allant sur la page d'une personne "amie" ou je sais plus ,j'ai trouvé une carte avec la localisation de tous ses ami(e)s ,dont moi bien sur ,alors là j'ai fait un bond et je me suis désinscris sur le champ !

    je veux bien" donner" mes coordonnées personnelle à quelqu'un que je choisi ,mais pas me retrouver à la vue d'illustres inconnus !

    Modifié par raez
    Publication:

    «Sur Facebook, ce n'est pas le salarié qui s'exprime contre son employeur, mais le citoyen»

    http://www.liberation.fr/economie/01012292493-sur-facebook-ce-n-est-pas-le-salarie-qui-s-exprime-contre-son-employeur-mais-le-citoyen

    Trois salariées d'une association de défense de femmes victimes de violences conjugales de Périgueux ont été licenciées le 6 juillet pour«faute lourde» après des propos tenus sur Facebook jugés «injurieux, diffamatoires et menaçants» par leur employeur.

    Les trois femmes, qui nient avoir été «injurieuses ou menaçantes»admettent qu'elles étaient bien connectées le 21 juin sur le réseau social pour les faits qui leurs sont reprochés. Mais à leur domicile, donc en dehors de leurs temps et lieu de travail.

    Après l'échec d'une audience de conciliation, lundi, l'affaire sera jugée par le tribunal des prud'hommes de Périgueux le 14 mars 2011.

    En attendant, Jean-Emmanuel Ray, professeur à l'Ecole de droit de Paris I-Sorbonne, revient pour Libération sur ces licenciements et le cadre juridique dans lequel ils se situent.

    Publication:

    Ouest France du 1 octobre 2010

    http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-A-Brest-il-insulte-les-gendarmes-sur-Facebook-trois-mois-ferme_39382-1532101_actu.Htm

    A Brest, il insulte les gendarmes sur Facebook : trois mois ferme

    Le tribunal correctionnel de Brest a condamné un habitant de Locmaria-Plouzané à trois mois de prison pour outrage. En janvier dernier, à l’issue d’un contrôle routier qui s’était mal passé pour lui, il s’était déchaîné contre les gendarmes du Faou sur son profil Facebook. Les insultes étaient restées en ligne pendant plus de trois mois. Le prévenu était absent de l’audience, ce vendredi.

    Dom, ce n'est pas toi quand même mdrmdr

    Invité ect-de-lyon
    Publication:

    C'est typiquement le phénomène de pseudo anonymat, de pseudo protection et de sensation d'être libre de tout dire, de tout faire.

    Ah, face de livre, quand ta folie nous tient...

    Publication:

    Ouest France du  1 octobre 2010

    http://www.ouest-fra...532101_actu.Htm

    Dom, ce n'est pas toi quand même mdrmdr

    Dom toujours en liberté (non surveillée...)

    et toujours pas sur Face de Bouc...

    Breton toujours, Face de Bouc Jamais !

    Les gendarmes ont quand même mis 6 mois...

    Il restera toujours des traces (de bouc...) sur Internet...

    • 2 semaines plus tard...
    Publication:

    Traces de bouc...

    une enquête intéressante...

    Facebook tisse sa toile

    http://www.lemonde.fr/technologies/article/2010/10/10/facebook-tisse-sa-toile_1421885_651865.html#ens_id=1227433

    • 4 mois plus tard...
    Publication:

    Un article de l'Express :

    http://www.lexpress.fr/diaporama/diapo-photo/emploi-carriere/emploi/ces-sites-qui-minent-la-productivite-des-salaries_967148.html?p=3

    Les salariés français passent près d'une heure par jour au bureau à surfer sur le Web à des fins personnelles, contre seulement 35 minutes dans le cadre de leur travail, révèle une étude d'Olféo, une société de conseil. En tête des sites les plus chronophages: Facebook. Les réseaux sociaux et les blogs représentent désormais 20% des sites visités par les Français pendant leurs heures de bureau

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