Roukmoute Publication: 4 septembre 2010 Partager Publication: 4 septembre 2010 La traversée d'Aigle par l'Aigle-Leysin vaut aussi son pesant de cacahuètes ! okok Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité chalut Publication: 4 septembre 2010 Partager Publication: 4 septembre 2010 La traversée d'Aigle par l'Aigle-Leysin vaut aussi son pesant de cacahuètes ! c'est le seul que je n'ai pas fait à Aigle... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
likorn Publication: 8 septembre 2010 Partager Publication: 8 septembre 2010 (modifié) Ah ouais la traversée c'est assez sympa. Durant mon service (j'étais soldat de circulation) j'ai fait la circulation sur les carrefours traversé par l'AL. De bon souvenirs, parce que c'est bien les seuls engins qui restaient prioritaires par rapport aux chars du convoi qui devait passer Et sinon dans les trucs marrants à voir y a aussi le BVB, à Bex et durant une bonne partie de la montée et également la sortie de Coire en direction d'Arosa Modifié 8 septembre 2010 par likorn Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CRL COOL Publication: 2 novembre 2010 Partager Publication: 2 novembre 2010 Un article sur les RhB, plus particulièrement sur la ligne de la Bernina: http://www.swissinfo.ch/fre/Dossiers/Patrimoine_de_lUnesco_en_Suisse/Actualite/La_Bernina,_une_ligne_historique_tournee_vers_le_futur.html?cid=8752386&WT.mc_id=FRE_adw_Francophonie La ligne ferroviaire de la Bernina célèbre un siècle d’existence, sans une ride. Son secret: traverser un paysage alpin d’une rare beauté et séduire des millions de voyageurs. Il y a deux ans, l’ouvrage historique a été porté au patrimoine mondial de l’humanité de l’Unesco. C’était le 5 juillet 1910. Le train s’apprêtait à relier entre elles et pour la première fois, la station de St Moritz en Engadine et la commune de Tirano, en Italie. L’idée avait été lancée une petite douzaine d’années plus tôt par le conseiller fédéral Numa Droz. Quatre ans plus tard, les premiers coups de pioche étaient donnés. Et le succès suivit… Durant le mois d’août, près de 92'000 touristes en moyenne empruntèrent le petit train rouge. Pour les habitants de la région, le prix du billet restait trop élevé. Mais qu’importe. Ils ont ardemment voulu la ligne ferroviaire rhétique. Son avènement a été synonyme de développement, d’emploi, d’électricité produite par la centrale de Campocologno construite spécialement pour alimenter les locomotives. Un siècle plus tard, on célèbre encore l’avènement de la ligne. Un anniversaire qui n’est pas réservé aux seuls nostalgiques. Le train de la Bernina a survécu à deux conflits mondiaux et aux récessions survenues après ces guerres, à l’avènement de la route et même à l’aveuglement de ceux qui refusaient de voir l'extraordinaire capital qu'il représentait pour l’avenir. Technique et parcours Aujourd'hui, on trouve des admirateurs du petit train rouge un peu partout dans le monde. En Suisse, en Italie, en Allemagne mais aussi au Costa Rica, où, depuis dix ans, les touristes peuvent emprunter une copie du viaduc de Brusio. Une idée que l’on doit à un Suisse de l’étranger qui a fait construire ce pont ferroviaire hélicoïdal d’une longueur de 3,5 km, pour permettre aux clients de rejoindre son restaurant panoramique. L’original, soit un pont à neufs arcs qui forme une spirale à ciel ouvert pour compenser le dénivellement, s’inscrit dans un élégant paysage de roches et de forêts de châtaigniers. Même si sur le plan technique, l’ouvrage n’est pas unique, il a rapidement acquis une notoriété internationale en devenant le symbole de la ligne ferroviaire de la Bernina. A cet égard, le choix du label symbolisant le centenaire n’est pas le fruit du hasard. Son tracé circulaire n’est cependant pas le seul intérêt de cette ligne ferroviaire. Le long du parcours, les voyageurs voient défiler les forêts de l’Engadine, les neiges éternelles du massif de la Bernina (4'049 m), soit le plus haut sommet des Alpes rhétiques, la vallée de Poschiavo et la Madone de Tirano. La locomotive Unesco «Quel autre trajet permet de passer en moins de deux heures, des glaciers aux palmiers, de traverser trois régions linguistiques et de franchir les frontières?», demande Silvio Briccola, vice-directeur de Ferrovia Retica (Chemins de fer rhétiques), la société qui gère la ligne de la Bernina. C’est d'ailleurs précisément ce lien étroit entre ligne ferroviaire, paysages et culture, qui a convaincu l’Unesco de porter la ligne de la Bernina et de l’Albula - qui conduit de St Moritz à Coire, le chef-lieu des Grisons et plus ancienne ville de Suisse - à l’inventaire du patrimoine mondial. L’an dernier, grâce notamment à la reconnaissance de l’Unesco, le nombre de passagers qui ont franchi le Bernina en train a dépassé le million. «Il est difficile de quantifier les retombées de l’Unesco», explique encore Silvio Briccola. «Mais nous avons indéniablement observé une augmentation de la fréquentation et de notre chiffre d’affaire.» Pas de musée roulant Aujourd’hui, la direction de l’entreprise est fière de la reconnaissance de l’Unesco et se sert habilement du prestigieux label pour attirer voyageurs et journalistes. De fait, le premier volet de festivités marquant le centième anniversaire de la ligne a attiré de nombreux représentants de médias étrangers. Pourtant, au départ, la direction de l’entreprise était plutôt réticente à l’idée d’une telle candidature. «Nous avions aucun exemple nous permettant d’évaluer concrètement les répercussions possibles», se souvient Silvio Briccola. «Nous voulions à tout prix éviter de devenir une sorte de musée ambulant, dépourvu de toute opportunité de développement futur. A cela s’ajoute que nous ne pouvions guère nous permettre d’augmenter nos frais de gestion qui étaient déjà fort élevés.» C’est pourquoi en 2004, la Ferrovia Retica choisit de limiter sa candidature à la seule ligne de l’Albula, considérée comme plus intéressante sur le plan technique. Mais c’était sans compter les habitants de la vallée de Poschiavo. «On ne pouvait tout de même pas exclure le site de la Bernina, ses beautés et ses spécificités», s’exclame Cassiano Luminati, président de l’Office du tourisme de la vallée de Poschiavo. «Pour éviter cette mise à l’écart, nous avons fondé un comité et mobilisé tous nos contacts à Berne, ainsi qu’en Italie. Et nous avons insisté jusqu’à ce que la direction de la Ferrovia Retica revienne sur sa décision», se souvient-il. L’aimer sans l’emprunter Aujourd’hui, il ne viendrait à l’idée de personne de mettre en doute le bien-fondé de cette revendication. «Cela a été une saine réaction d’orgueil de la part d’une région plutôt périphérique, habituée à se battre pour ses acquis et ce en quoi elle croit», reconnaît aujourd’hui Silvio Briccola. L’attachement des habitants de la vallée de Poschiavo à leur «train» est néanmoins paradoxal, puisque rares sont ceux qui l’empruntent. «C’est vrai», admet Cassiano Luminati, «nous ne montons que très rarement à bord du train, et uniquement si aucune autre alternative ne se présente». La grande lenteur de la rame, 30 km/heure, a de quoi en décourager plus d’un, puisque deux heures sont nécessaires pour franchir la Bernina, alors que seules 45 minutes suffisent à couvrir la même distance en voiture. Mais le petit train rouge n’est pas qu’un moyen de locomotion. Il produit de l’emploi et apporte son flot de touristes dans une région où chaque habitant connaît quelqu’un qui travaille ou qui a travaillé pour la ligne ferroviaire de la Bernina. Un travail réalisé à l’enseigne de la passion, comme pour ces retraités qui restaurent bénévolement le «crocodile» Ge4/4 182, l’une des locomotives historiques de la ligne. Passion et reconnaissance rythmeront aussi les nombreuses manifestations, expositions et spectacles qui compléteront les festivités du jubilé. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
PM01440 Publication: 22 mars 2012 Partager Publication: 22 mars 2012 (modifié) Ayant également emprunté tout dernièrement cette splendide ligne de montagne, je vous propose un petit vidéo montage dans le sens inverse de celui posté par CRL COOL à savoir Nyon-La Cure sous la neige. Parti de Nyon sans précipitations nous avons trouvé la neige dès les premières pentes. Passées St Cergue, l'épaisseur de neige est devenu conséquente et m^me très importante après les Pralies contraignant le conducteur à diminuer la vitesse comme il s'en explique dans une conversation radio avec son central que vous pourrez enendre à partir de 6 minutes. Bon visionnage : <iframe width="560" height="315" src="http://www.youtube.com/embed/2cscaIQwSNc" frameborder="0" allowfullscreen></iframe> Modifié 23 mars 2012 par PM01440 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Gom Publication: 23 mars 2012 Partager Publication: 23 mars 2012 Pas réussi à regarder bien longtemps. La musique d'ascenseur, je ne suis vraiment pas fan. Mais chacun ses goûts. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Pascal 45 Publication: 29 juillet 2012 Partager Publication: 29 juillet 2012 Le train à crémaillère de la Jungfrau a 100 ans ... Le chemin de fer de la Jungfrau a été inauguré en 1912. C'est un monument, une institution helvétique fréquentée chaque année par 700 000 personnes (avec vidéo France3) ... A lire ici : http://alsace.france3.fr/evenements/outre-rhin/reportage-fr.php?report=a491391e3ad767bb8a1703589055227d Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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