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Invité JLChauvin
Publication:

Monsieur Le Baron souhaite le bonsoir à Son Ami Maître Chau.

Monsieur Le Baron invite ce dernier à ignorer les piaffements du tiers-état, Il faut savoir rester entre véritables nobles (bourgeoisie exclue, il s'entend)...

Car si certains sont peut-être de pseudos-nobles, d'autres sont des cons tout ce qu'il y a de plus authentiques. Car comme disait le regretté Pierre Desproges : "à quoi sert il d'être cultivé alors qu'il suffit de fermer sa gueule pour briller en société ?".

:):Smiley_41:koiquessemdrmdr

Comme de bien entendu Monsieur le Baron à bien raison!

Que ne subit-on de la "noblesse" parvenue... parvenue où, d'ailleurs? zzz

Mes respects, Monsieur Le Baron.

okok

Publication:

Sans rentrer dans les polémiques, ma petite contribution sur l'intérêt que peut représenter un OFP

Soit une zone de desserte sur laquelle partent et arrivent un certain nombre de flux, ceux-ci étant commercialisés, organisés et produits par plusieurs intervenants ferroviaires différents. Ça peut être deux unités d'une même entreprise ferroviaire (à tout hasard, deux pôles d'activité) ou deux entreprises ferroviaires concurrentes.

Cette zone de desserte possède une certaine capacité de desserte des différents sites clients, mais pour l'exploiter pleinement il faut avoir une expertise de nombreuses particularités locales, et surtout faire une programmation précise des remises et enlèvements pour réduire les parcours et opérations inutiles et donc utiliser efficacement les engins et les équipes de desserte.

Or, si chaque intervenant ferroviaire réalise l'ensemble du parcours jusque chez le client en mode « chacun pour soi » le système ne peut qu'être moins optimisé :

  • chacun va demander des sillons au GI sans savoir ce que demande l'autre, et comme les demandes seront en conflit les capacités des lignes ne seront pas exploitées au mieux
  • chacun devra avoir ses propres moyens de desserte (engins, équipes) ce qui tend à générer des sous-utilisations (type locotracteur qui dort les 3/4 du temps, loc de ligne utilisée pour faire de la manœuvre, etc.)
  • l'organisation de la desserte va se faire à distance par une entité qui doit pour organiser son flux cumuler l'expertise « longue distance » et l'expertise « locale » de nombreuses zones ; or il n'y a pas de miracle on ne peut pas être expert en tout et maîtriser parfaitement les particularités locales de la France entière ! Résultat : un risque de dessertes mal programmées ou mal ordonnancées entre elles.
Dans notre situation historique de monopole, nous n'avions pas ou peu à gérer des demandes sillon concurrentes ; les moyens étaient très largement dimensionnés dans le contexte de baisse de trafic fret, et les PC assuraient l'expertise locale (au détriment d'ailleurs du suivi d'ensemble des flux).

Mais, dans la situation que nous connaissons maintenant (séparation EF/GI, ouverture du marché, etc.) l'OFP est une des réponses possibles à ces problèmes.
En prenant en charge les dessertes sur sa zone d'expertise pour le compte des entreprises « longue distance » :
  • elle permet a minima de les décharger de l'expertise nécessaire sur la desserte pour qu'elles puissent se concentrer sur la partie longue distance (et dieu sait si c'est compliqué dans le grand bazar sillon actuel)
  • elle coordonne les besoins en sillon, permettant de formuler une demande d'ensemble cohérente permettant de mieux exploiter l'infrastructure
  • elle peut rentabiliser davantage son parc moteur et faire travailler plus efficacement les agents en combinant les dessertes (en réduisant les parcours à vide par exemple)

Bien sûr il s'agit là d'une vue théorique et je ne doute pas que vous trouverez des arguments contre (ou d'autres pour aussi !). Le premier que j'ai en tête est que nous sommes dans une telle situation de distorsion concurrentielle avec la route que même si l'OFP permet un gain d'ensemble du système (ce qui déjà n'est pas certain partout), il lui sera sûrement difficile d'obtenir une rémunération satisfaisante de l'EF qui lui sous-traite ; et là effectivement on court le risque de voir l'OFP « rogner sur tout » (des salaires à la sécurité).

Je ne suis en aucun cas convaincu qu'il s'agisse d'une panacée ou de la solution universelle qui réglerait tout. Je pense simplement que c'est un modèle qui peut (ou non) trouver selon les zones sa pertinence économique, non pas en exploitant des salariés ou en les sous-payant, mais en travaillant mieux et en évitant le gâchis.

Pour conclure, pour ce qui est des plate-formes Fret, il est probable qu'elles deviennent de plus en plus des « OFP internes » avec davantage d'autonomie de planification et des missions conjuguant desserte, convoyage plus ou moins long pour alimenter le réseau « grand axe », jusqu'à la relation client.

Publication:

La SNCF ne veut plus du Fret, du moins dans l'Epic,

les filiales sont la pour abaisser le cout facturé aux chargeurs (reste a verifier...)

mais surtout se sont toutes les compétences, manoeuvres, proximités, gares Fret qui sont fermées....

Ce boulot se transmettra de lui meme aux OFP, car il y aura toujours besoin de ces metiers décimés...

Le fret pour etre reellement pertinent au sein de la Gde maison,

devrait se faire que par train complet, et, en Fac...

je note avec satisfaction que certains comprennent réellement ce qui se passe dans cette affaire.

Invité necroshine
Publication:

Sans rentrer dans les polémiques, ma petite contribution sur l'intérêt que peut représenter un OFP

Soit une zone de desserte sur laquelle partent et arrivent un certain nombre de flux, ceux-ci étant commercialisés, organisés et produits par plusieurs intervenants ferroviaires différents. Ça peut être deux unités d'une même entreprise ferroviaire (à tout hasard, deux pôles d'activité) ou deux entreprises ferroviaires concurrentes.

Cette zone de desserte possède une certaine capacité de desserte des différents sites clients, mais pour l'exploiter pleinement il faut avoir une expertise de nombreuses particularités locales, et surtout faire une programmation précise des remises et enlèvements pour réduire les parcours et opérations inutiles et donc utiliser efficacement les engins et les équipes de desserte.

Or, si chaque intervenant ferroviaire réalise l'ensemble du parcours jusque chez le client en mode « chacun pour soi » le système ne peut qu'être moins optimisé :

  • chacun va demander des sillons au GI sans savoir ce que demande l'autre, et comme les demandes seront en conflit les capacités des lignes ne seront pas exploitées au mieux
  • chacun devra avoir ses propres moyens de desserte (engins, équipes) ce qui tend à générer des sous-utilisations (type locotracteur qui dort les 3/4 du temps, loc de ligne utilisée pour faire de la manœuvre, etc.)
  • l'organisation de la desserte va se faire à distance par une entité qui doit pour organiser son flux cumuler l'expertise « longue distance » et l'expertise « locale » de nombreuses zones ; or il n'y a pas de miracle on ne peut pas être expert en tout et maîtriser parfaitement les particularités locales de la France entière ! Résultat : un risque de dessertes mal programmées ou mal ordonnancées entre elles.
Dans notre situation historique de monopole, nous n'avions pas ou peu à gérer des demandes sillon concurrentes ; les moyens étaient très largement dimensionnés dans le contexte de baisse de trafic fret, et les PC assuraient l'expertise locale (au détriment d'ailleurs du suivi d'ensemble des flux).

Mais, dans la situation que nous connaissons maintenant (séparation EF/GI, ouverture du marché, etc.) l'OFP est une des réponses possibles à ces problèmes.
En prenant en charge les dessertes sur sa zone d'expertise pour le compte des entreprises « longue distance » :
  • elle permet a minima de les décharger de l'expertise nécessaire sur la desserte pour qu'elles puissent se concentrer sur la partie longue distance (et dieu sait si c'est compliqué dans le grand bazar sillon actuel)
  • elle coordonne les besoins en sillon, permettant de formuler une demande d'ensemble cohérente permettant de mieux exploiter l'infrastructure
  • elle peut rentabiliser davantage son parc moteur et faire travailler plus efficacement les agents en combinant les dessertes (en réduisant les parcours à vide par exemple)

Bien sûr il s'agit là d'une vue théorique et je ne doute pas que vous trouverez des arguments contre (ou d'autres pour aussi !). Le premier que j'ai en tête est que nous sommes dans une telle situation de distorsion concurrentielle avec la route que même si l'OFP permet un gain d'ensemble du système (ce qui déjà n'est pas certain partout), il lui sera sûrement difficile d'obtenir une rémunération satisfaisante de l'EF qui lui sous-traite ; et là effectivement on court le risque de voir l'OFP « rogner sur tout » (des salaires à la sécurité).

Je ne suis en aucun cas convaincu qu'il s'agisse d'une panacée ou de la solution universelle qui réglerait tout. Je pense simplement que c'est un modèle qui peut (ou non) trouver selon les zones sa pertinence économique, non pas en exploitant des salariés ou en les sous-payant, mais en travaillant mieux et en évitant le gâchis.

Pour conclure, pour ce qui est des plate-formes Fret, il est probable qu'elles deviennent de plus en plus des « OFP internes » avec davantage d'autonomie de planification et des missions conjuguant desserte, convoyage plus ou moins long pour alimenter le réseau « grand axe », jusqu'à la relation client.

Salut Sebastien,

merci pour ton explication, qui, cependant,

ne changera pas mon avis sur le fait que c'etait des competences que nous avions avant tous ces plans Fret calamiteux...

Publication:

On peut aussi essayer de rester cordiaux. Même quand le temps est à l'orage sur la France. Merci. :)

  • 3 semaines plus tard...
Invité JLChauvin
Publication:

J'ai une question idiote (comme d'habitude, dirons certain(e)s): :biggrin:

400 kms, ce n'est pas rien, est-ce un conducteur de CFR qui accomplit ce trajet? 400 kms en "patachon" çà doit prendre un certain temps quand même, si mes "souvenirs" sont bons (ah, les joies d'un Houcarde-St Pierre à 80...). Dans ces conditions, comment s'organise le retour "à sa base" du dit conducteur? Quelle réglementation du travail applique CFR, le code du travail ou une convention collective quelconque? Quelles sont les lignes, toutes les lignes, parcourues par les employés de CFR durant leurs "missions"?

A moins bien sûr que je n'ai mal compris, ce que j'espère, à propos des points "d'échange" entre CFR et les autres EF.

Publication: (modifié)

J'ai une question idiote (comme d'habitude, dirons certain(e)s): :biggrin:

400 kms, ce n'est pas rien, est-ce un conducteur de CFR qui accomplit ce trajet? A moins bien sûr que je n'ai mal compris, ce que j'espère, à propos des points "d'échange" entre CFR et les autres EF.

tu n'as pas mal compris, 400 km c'est officiellement la distance du point d'échange de je ne sais quelle OFP du Midi qui remonte jusqu'à Portes, on en a parlé ici.

En fait, ce que beaucoup ne voient pas, c'est que les OFP, dans ces conditions, n'auront plus besoin des EF "nationales", et leurs grandes déclarations d'amour (on vous apportera du trafic ...) voleront bientôt en éclats.

Restera la destruction pure et simple et définitive de notre EF nationale qui, malgré ses défauts et une direction prête à tous les renoncements parce que c'est sa lettre de mission, serait encore capable de gérer elle-même et pour le bien de tous tous ces petits trafics .... sur des lignes qui s'appelaient à trafic restreint.

Faut-il que je ressorte mes photos de 63000 et 66000 venant chercher un ou deux wagons à Trifouilly-les-Oies pour le prouver ???

Modifié par 5121
Publication: (modifié)

tu n'as pas mal compris, 400 km c'est officiellement la distance du point d'échange de je ne sais quelle OFP du Midi qui remonte jusqu'à Portes, on en a parlé ici.

En fait, ce que beaucoup ne voient pas, c'est que les OFP, dans ces conditions, n'auront plus besoin des EF "nationales", et leurs grandes déclarations d'amour (on vous apportera du trafic ...) voleront bientôt en éclats.

Restera la destruction pure et simple et définitive de notre EF nationale qui, malgré ses défauts et une direction prête à tous les renoncements parce que c'est sa lettre de mission, serait encore capable de gérer elle-même et pour le bien de tous tous ces petits trafics .... sur des lignes qui s'appelaient à trafic restreint.

Faut-il que je ressorte mes photos de 63000 et 66000 venant chercher un ou deux wagons à Trifouilly-les-Oies pour le prouver ???

Absoluement pas besoin de ressortir les photos ( quoi que...).

Le souci primordial de ces OFP en naissance, c'est evidement la volonté concertée d'EF à ne pas vouloir traiter ces trafics, car ils n'y feraient pas les mêmes choux gras que sur leurs trafics complets et transfontaliers....

Bien entendu, la SNCF de l'époque savait parfaitement bien gerer ses trafics, puis la logique du tout benef tout de suite a pris le pas...

Nous sommes quelques uns à vouloir encore defendre l'idée du rail "Pluriel", parceque dans la société actuelle, ...

PS encore la moitié de mon texte bouffé par je ne sais quelle fonctions....pfffffff.

Fabrice

Modifié par Fabr
Publication:

HS ON :

Oui, enfin, les ex-CFTA devenus VFLI ne sont pas nombreux : pour mémoire, ils sont 4 ou 5. Les autres ont été soint mis en retraite d'office ou ont préférés partir, soit ont été repris par la SNCF en tant que contractuels, soit n'ont pas voulu intéger VFLI et donc se sont retrouvés sans rien.

HS OFF !

Non, la plupart ont continué en tant que VFLI (plus d'une douzaine), que ce soit à la conduite ou à la voie. Certains étaient aussi controleur dans les TER et ont également été repris par VFLI (Fertis en premier, puis VFLI depuis 2 ans).

Publication:

Cette ligne a été restaurée cet été ( fermeture du 1er Juillet au 15 septembre )

Elle en avait bien besoin... vu les déraillements assez grave qui on eut lieu en quelques années... Pour au moins 2 d'entre eux, apparament il s'est avéré que c'est la voie qui a bougé sous le passage du train. Les photos ne sont pas jolies à voir.

Publication:

Je ne suis en aucun cas convaincu qu'il s'agisse d'une panacée ou de la solution universelle qui réglerait tout. Je pense simplement que c'est un modèle qui peut (ou non) trouver selon les zones sa pertinence économique, non pas en exploitant des salariés ou en les sous-payant, mais en travaillant mieux et en évitant le gâchis.

Les propos de sebastien recoupent parfaitement mon opinion sur le sujet, donc grâce à lui, je retrouve la deuxième partie de ma réponse précédente...

Ouf...

Fabrice

Invité TRAM21
Publication:

Les propos de sebastien recoupent parfaitement mon opinion sur le sujet, donc grâce à lui, je retrouve la deuxième partie de ma réponse précédente...Smiley_18.gif

Ouf...

Fabrice

tout à fait...

avec notre expérience naissante, on se rend compte à quel point le service fait au client est déficient : pas de communication, pas d'anticipation, etc.

d'une manière générale, on voit que la communication est à améliorer, à bien des niveaux : avec les CRO, les agents circulations, etc.

le fait de s'annoncer, donner la compo du train, les heures, etc, permet aux interlocuteurs d'anticiper, et ça permet aussi d'instaurer un bon climat relationnel

les points de contacts de CFR avec les autres EF sont Saincaize ; Chagny ; Dijon.

nous aurions préféré nous limiter à Chagny, mais la proximité du dépôt de Dijon Perrigny rend plus possible certaines opérations de maintenance (plein de gazole, par ex.), sans compter d'autres demandes des EF partenaires...

Invité JLChauvin
Publication:

tout à fait...

avec notre expérience naissante, on se rend compte à quel point le service fait au client est déficient : pas de communication, pas d'anticipation, etc.

d'une manière générale, on voit que la communication est à améliorer, à bien des niveaux : avec les CRO, les agents circulations, etc.

le fait de s'annoncer, donner la compo du train, les heures, etc, permet aux interlocuteurs d'anticiper, et ça permet aussi d'instaurer un bon climat relationnel

les points de contacts de CFR avec les autres EF sont Saincaize ; Chagny ; Dijon.

nous aurions préféré nous limiter à Chagny, mais la proximité du dépôt de Dijon Perrigny rend plus possible certaines opérations de maintenance (plein de gazole, par ex.), sans compter d'autres demandes des EF partenaires...

Certes, mais ceci ne réponds toujours pas à ma question (idiote?) du 22 juin 2010 à 20:06...

Publication: (modifié)

J'ai une question idiote (comme d'habitude, dirons certain(e)s):

400 kms, ce n'est pas rien, est-ce un conducteur de CFR qui accomplit ce trajet? 400 kms en "patachon" çà doit prendre un certain temps quand même, si mes "souvenirs" sont bons (ah, les joies d'un Houcarde-St Pierre à 80...). Dans ces conditions, comment s'organise le retour "à sa base" du dit conducteur? Quelle réglementation du travail applique CFR, le code du travail ou une convention collective quelconque? Quelles sont les lignes, toutes les lignes, parcourues par les employés de CFR durant leurs "missions"?

A moins bien sûr que je n'ai mal compris, ce que j'espère, à propos des points "d'échange" entre CFR et les autres EF.

De mon avis, rien n'empêche un OFP de prevoir des decouchers de ses équipes, et, vu la distance annoncée, on sortirait presque du contexte OFP pour rentrer sur celui d'EF, à part entière...

On ne peut taxer, avant l'heure, une demarche "novatrice", dans la mesure où il se pourrait bien qu'avec les hommes aux commandes, le standard dégradé actuel des EF ne se retrouve dans ces petites structures.

Exemple: pour un decoucher, choisir une residence/hotel savament placé afin que les équipes puissent trouver REELLEMENT le repos necessaire avant leur mission du retour, et non un vulgaire boui-boui au bord d'une rocade telle celle de Bordeaux, pour ce que, malheureusement, je connais dans mon EF......

Et que l'on arrete de dire, cyniquement, que ce n'est qu'une affaire de coûts...

Fabrice

Modifié par Fabr
Publication:

Bonjour,

Un article dans http://www.lyonne.fr/editions_locales/haut-nivernais/deux_nouvelles_societes_s_installent@CARGNjFdJSsGEhwNCx8-.html

"La municipalité [de Clamecy] souhaitait avoir la maîtrise de ce bâtiment, qui se détériore, depuis le départ de CFTA, à l'été 2006. « Nous sommes en contact avec plusieurs activités ferroviaires et notamment avec un opérateur ferroviaire privé, installé à Cercy-la-Tour"

Publication: (modifié)

CFR suis la convention collective des VFIL, version 2008/2009 et le code du travail d'une facon plus generale .

Pour l'ancien depot de Clamecy CFTA, j'ai reçu un mail d'un journaliste du journal du centre me posant la meme question que

Pano.

Nous avons en effet ete contacté par la commune de Clamecy pour connaitre notre interet pour ce batiment certe fonctionnel,

mais helas, bien trop éloigné de Cercy pour y faire notre depot / atelier , il me semble.

Modifié par km315
Invité TRAM21
Publication:

CFR suis la convention collective des VFIL, version 2008/2009 et le code du travail d'une facon plus generale .

Pour l'ancien depot de Clamecy CFTA, j'ai reçu un mail d'un journaliste du journal du centre me posant la meme question que

Pano.

Nous avons en effet ete contacté par la commune de Clamecy pour connaitre notre interet pour ce batiment certe fonctionnel,

mais helas, bien trop éloigné de Cercy pour y faire notre depot / atelier , il me semble.

en fait, il semblerait que ce soit Europorte qui a repris cet atelier ex CFTA.

affaire à suivre ! :)

Publication:

en fait, il semblerait que ce soit Europorte qui a repris cet atelier ex CFTA.

affaire à suivre ! :)

Tu as loupé une etape TRAM 21 , Europorte ( ex Veolia ) en est le proprietaire, et , ne l'utilise plus ...

D'ou la dispo du local

Invité TRAM21
Publication: (modifié)

Tu as loupé une etape TRAM 21 , Europorte ( ex Veolia ) en est le proprietaire, et , ne l'utilise plus ...

D'ou la dispo du local

mea culpa...

l'article de lyonne.fr n'est pas très clair là-dessus... :)

Modifié par TRAM21
  • 1 mois plus tard...
Invité Monsieur Le Baron
Publication:

Monsieur Le Baron souhaite savoir si CFR va exploiter la portion "Tamnay-Chateau Chinon" de la ligne Cercy-Corbigny.

Publication: (modifié)

Cela fait partie du perimetre de CFR, si l'industrie du bois souhaite

re-expedier depuis la gare bois de Chateau Chinon ou de Corbigny sur l'autre ligne, CFR sera la...

Mais le prix actuel du bois ne permet pas d'absorber le prix de la rupture de charge

route/fer sur de courtes distances ...

Si les forestiers du Morvan vendent leur bois a des industriels éloignés ( Sud de la France ou etranger ), le fer

sera pertinent.

Et une grande seance d'entretien sera nécéssaire pour remettre en etat l'Infra sur cette section de

ligne en sommeil depuis pas mal d'années.

Modifié par km315
Invité TRAM21
Publication: (modifié)

on peut dire merci au plan Véron, qui a torpillé cette ligne, et condamné une "gare-bois" flambant neuve et chèrement payée, dont seul le train inaugural chargé en est parti... pour aller dérailler un peu plus loin, après Tamnay-Châtillon (au même endroit que celui qui a déraillé à l'été 2008, et qui a bien failli provoquer la décision de fermeture de la ligne Cercy la Tour - Corbigny au 31/05/2009 par la SNCF)

en tous cas, cette ligne a un potentiel touristique énorme !

juste une petite tof prise depuis un des PN de la ligne, en montant vers Château-Chinon :

300809017.jpg

Modifié par TRAM21
  • 2 mois plus tard...
Publication:

CFR roule en 67400 ou c'est juste une photo sans rapport ?

VFLI roule en 67400 sur le Morvan. C'est une uniquement une photo d'illustration. Et d'ailleurs, est ce que la photo a été faite là bas ?

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