Aller au contenu
Le Web des Cheminots

Le Bar de la Rotonde


Invité _

Messages recommandés

  • 1 mois plus tard...

Salut ,

Mangez moi , mangez moi ...

Trafic de champignons: des cueilleurs roumains écument l'Ariège et l'Aude

TOULOUSE - Des forêts aux confins de l'Ariège et de l'Aude sont écumées par des braconniers d'un nouveau type: des Roumains y ramassent des champignons à la pelle au grand dam de propriétaires forestiers qui soupçonnent un trafic vers l'Espagne.

Depuis 15 jours, trois semaines, des Roumains campent dans les bois et font de la cueillette sauvage de champignons, témoigne un garde forestier, employé par le groupement forestier Cabrefol, qui compte 800 ha de forêts privées sur les communes de Bélesta et Fougax-et-Barrineuf (Ariège). Tous les jours, des véhicules immatriculés en Espagne ou en Roumanie viennent charger la marchandise, ajoute-t-il sous le couvert de l'anonymat.

Ce sont ainsi des centaines de kilogrammes de champignons qui sont ramassés, dénonce Philippe Gourmain, gestionnaire du groupement forestier. Le groupement forestier, qui soupçonne ces équipes de cueilleurs de travailler à vil prix au profit d'acheteurs espagnols, a porté plainte pour vol. On veut faire bouger les autorités, dit-il.

Les champignons concernés sont des lactaires délicieux appelés localement rousillous, très prisés par les Espagnols.

Les gendarmes se sont rendus jeudi dans le campement des ressortissants roumains situé dans la forêt domaniale de Picaussel, dans l'Aude, à 300 mètres de la limite avec l'Ariège, et qui serait également concernée par ces razzias.

Une quarantaine de Roumains, dont des femmes et des enfants, y ont été contrôlés. Les ressortissants roumains, dont les papiers sont en règle, démentent tout trafic, indiquent les gendarmes, qui soulignent que les investigations ne font que commencer. On a une forte suspicion de trafic, mais on doit maintenant le matérialiser.

Des arrêtés préfectoraux limitent la cueillette à 3 kg de champignons par personne pour une consommation personnelle dans l'Ariège, à 5 kg dans l'Aude. Le groupement forestier de Cabrefol permet aux habitants de Bélesta et Fougax-et-Barrineuf de cueillir des champignons dans cette limite. Nous n'avons pas de problèmes avec les locaux, dit Philippe Gourmain. Mais là, c'est du vol, il n'y a pas le consentement du propriétaire, il y a non respect de l'arrêté préfectoral et c'est du travail dissimulé.

Des cueilleurs ont indiqué aux gardes forestiers qu'ils étaient payés 5 € le kilo de rousillous ensuite revendu 25 à 30 EUR/kg en Espagne. Ca fait 20 EUR de profit par kg avec des champignons volés en utilisant ni plus ni moins que du travail clandestin, dit le garde forestier.

Alain Bolo, maire PS de Bélesta, village de 1.200 habitants, explique que le phénomène est nouveau cette année et dénonce l'exploitation des Roumains qui vivent dans des conditions lamentables, sont sous des bâches pour dormir.

Fin octobre, les gendarmes ont saisi entre 600 et 700 kg de lactaires sanguins cueillis illégalement dans la Drôme et interpellé une trentaine de personnes, principalement des Roumains et des Espagnols.

(©AFP / 05 novembre 2011 04h50)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Salut ,

J'irai pisser sur mon squelette ... enfin presque :

Par ces temps de sinistres qui courent et surtout avec la défaite de nos ex rois du ballon rond , il faut absolument que vous

narre une information au demeurant fort sympathique , afin de vous remonter le moral , mais cette nouvelle n'est hélas pas

à la portée des personnes ayant une certaine sensibilité et j'en conviens .

Lors de la pratique de la réduction des corps effectuée dans les cimetières , afin de faire de la place aux joyeux nouveaux

arrivants dans une concession , les employés chargés de cette chouette besogne ainsi que les officiers de police désignés

pour surveiller cette procédure , ont constaté que les défunts n'avaient hélas pas forcément endossé leur costume en os ,

mais qu'il restait un peu de viande dans le tableau ou même pire que cela coulait encore pour les cas les plus croustillants ,

y compris pour les personnes ayant gouté aux joies oh combien insondables du camping permanent et définitif ,

pendant de longues années !

Cet anomalie est due à la modification de l'alimentation qui comporte de plus en plus de conservateurs , et aussi par la

prise de plus en plus fréquente de toutes sortes de médicaments dont les antibiotiques et les anti déprimants .

Les petites bestioles chargées du festin ne sont donc ( pas encore) adaptées au changement de ce menu , mais espérons

qu'elles vont changer leurs habitudes culinaires rapidement , ce ne seront donc plus des bactéries mais des piranhas .

Ce qui me console et réjouit à ce sujet ; même morts on est encore emmerdé par les affres et les dérives qui découlent

de la société capitaliste .

Bonne nuit et faites de beaux rêves ...

Salut ,

Seconde pioche : :Smiley_50: :Smiley_50:

J'ajoute une nouvelle édition de ce joyeux sujet , pour tous les membres du forum qui nous rejoints depuis , pour celle et ceux

ayant raté cette salutaire information

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Bonjour ,

La crise , coté commercial :

France: hausse du déficit commercial en septembre à 6,3 mrd EUR (Douanes)

Paris (awp/afp) - Le déficit commercial de la France a enregistré une nette hausse en septembre à 6,30 milliards d'euros, après 4,31 milliards en août, mais s'est atténué sur l'ensemble du troisième trimestre par rapport aux trois mois précédents, ont annoncé mardi les Douanes.

Sur le trimestre, le trou de la balance commerciale française atteint près de 17 milliards d'euros contre 18,7 milliards au deuxième trimestre.

La nette hausse du déficit en septembre est due à un reflux des ventes aéronautiques, qui avaient fortement augmenté le mois précédent, expliquent les Douanes dans un communiqué.

"Les ventes aéronautiques, qui avaient bondi en août, refluent en septembre. En progression au début de l'été, les exportations des autres produits manufacturés se tassent également", ajoutent-elles.

"Le repli des importations industrielles est moins sensible, car il est atténué par la fermeté des achats énergétiques", précise le communiqué.

Au troisième trimestre, "à l'exportation, le rebond est général, à l'exception de la pharmacie et des véhicules automobiles", notent les Douanes.

Les ventes de machines industrielles et agricoles et de biens intermédiaires sont "particulièrement dynamiques". Les points forts de la spécialisation française (équipements automobiles, boissons, luxe...) soutiennent également la reprise.

Le redémarrage des importations, moins rapide, s'explique notamment par une hausse des achats aéronautiques et automobiles.

sm

(AWP / 08.11.2011 09h27)

Modifié par zoreglube
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 semaines plus tard...
Invité Gnafron 1er

René Lebouvier, premier débaptisé de France

Par Laurence De Charette, Christine Ducros /Le Figaro

Dans la Manche, René Lebouvier est le premier débaptisé de France. Dans notre pays, chaque année, un millier de personnes demandent à être débaptisées.

coeur-.gif

A 71 ans, René Lebouvier est le premier «débaptisé» de France. Invité vendredi d'Yves Calvi sur RTL, il relate sa longue croisade tranchée par la justice le 6 octobre dernier. Ce jour-là, le Tribunal de grande instance de Coutances (Manche) lui donne raison. Depuis des années, ce libre-penseur mène une quête pour que son nom soit effacé du registre de baptême dans lequel il figurait depuis qu'il avait en 1940 reçu ce sacrement.

Le tribunal estime que la présence du nom du plaignant dans les registres de baptême est contraire aux principes garantissant la vie privée. «Je suis d'un milieu très catholique. Au départ, j'avais saisi la CNIL qui m'avait dit que c'était impossible. Le curé de Fleury, mon village me disait la même chose», confie-t-il sur RTL.

Il obtient satisfation et veut aller plus loin encore

Mais il est têtu. Et, excédé par les positions de l'Église, notamment sur le préservatif, dans une lettre du 31 mai 2001, René Lebouvier demande malgré tout à être «débaptisé». Il obtient un début de satisfaction. En marge de son nom, dans les registres paroissiaux et diocésains, qui mentionnent son baptême, est donc apposée la phrase suivante : «a renié son baptême par lettre datée».

Dix ans plus tard, en colère cette fois contre les scandales pédophiles qui secouent l'Eglise, les positions de Benoît XVI sur le préservatif en Afriqueet la condamnation par l'Eglise de l'avortement d'une fillette de 9 ansenceinte de jumeaux à Recife au Brésil, il veut aller plus loin encore et faire littéralement disparaitre son nom des registres.

«Le fait d'avoir été baptisé par l'Église catholique est un événement intime constituant une information personnelle sur un individu», écrivent les juges. Or, «l'existence de ce baptême sur un registre accessible à des personnes tierces à l'individu concerné (…) constitue en soi une divulgation de ce fait qui porte par conséquent atteinte à la vie privée.»

Clairement, les juges condamnent donc le diocèse à effacer définitivement, dans un délai de 30 jours, toute mention de ce baptême sur le registre.

C'est nouveau car jusqu'à ce jour lorsqu'ils recevaient une lettre d'une personne souhaitant renier son baptême, les curés étaient tenus de le mentionner en marge du nom du demandeur. Mais ils n'étaient, en revanche, pas contraints de faire disparaître totalement l'identité. «Renier son baptême est peu fréquent mais ça arrive» dit-on au diocèse de Paris». Chaque année, il y a 1000 personnes qui demandent à être débaptisées en France, notamment car certaines veulent changer de religion. Le phénomène s'appelle l'apostat.

Dans la Manche, le diocèse déplore et fait appel

Dans la Manche, le diocèse a déploré la décision de la justice. «Elle est contraire à la jurisprudence constante des tribunaux supérieurs en matière d'atteinte au respect de la vie privée», affirme-t-il, avant d'annoncer que Mgr Stanislas Lalanne, l'évêque de Coutances, a décidé d'interjeter appel.

En attendant l'arrêt de la Cour d'appel, le diocèse n'est pour l'instant pas tenu d'appliquer la décision des juges normands. Mais si elle devait être confirmée, elle constituerait une jurisprudence qui pourrait s'appliquer ailleurs en France.

Complément , en Corse :

http://www.corsematin.com/article/corte/letudiant-plasticien-%C2%AB-ose-%C2%BB-une-expo-et-declenche-la-colere-sur-le-campus

Modifié par Gnafron 1er
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 semaines plus tard...

Bonjour ,

Nous sommes en ce moment en " période de pointe " :

Suicide: une enquête révèle l'ampleur de cette catastrophe quotidienne

PARIS - En France, où presque un décès sur 50 est un suicide, 5,5% des 15-85 ans déclarent avoir déjà fait une tentative au cours de leur vie, les femmes étant deux fois plus nombreuses que les hommes, révèle une enquête du Baromètre santé 2010.

Le nombre de suicides est connu grâce à l'analyse des certificats de décès, même s'il est sous-estimé, mais les tentatives de suicide ne font pas l'objet d'enregistrements systématiques.

Le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) publie mardi une série d'études, dont chacune est une pièce de plus au puzzle qui vise à mieux connaître cette catastrophe en miettes et quotidienne, souligne le professeur de psychiatrie Jean-Louis Terra dans un éditorial.

En 2009, 10.464 décès par suicide ont été enregistrés par le Centre d'épidémiologie sur les causes médicales de décès (CépiDc) de l'Inserm, un chiffre en diminution régulière ces dernières années, mais qui reste très élevé par rapport aux voisins européens de la France.

Une étude du CépiDc publiée par le BEH conclut à une sous-estimation de 9,4% du nombre officiel de décès.

Les hommes représentent les trois-quarts des décès par suicide (7.739 décès masculins contre 2.725 décès féminins).

En revanche, les tentatives et les pensées suicidaires sont davantage le fait des femmes, montre l'enquête du Baromètre santé, conduite par l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes) auprès de 27.000 personnes.

Elles sont plus nombreuses à avoir déjà fait une tentative au cours de leur vie (7,6% contre 3,2%) et à avoir tenté de se suicider au cours des 12 derniers mois (0,7% contre 0,3%).

Cet apparent paradoxe s'explique en partie, souligne l'équipe de François Beck (Inpes), par les méthodes mises en oeuvre, plus meurtrières chez les hommes (pendaison, arme à feu...).

Des adolescentes particulièrement exposées

Les femmes sont aussi plus nombreuses que les hommes à avoir pensé au suicide (4,4% contre 3,4%).

La survenue d'idées suicidaires est maximale entre 45 et 54 ans (5%), tranche d'âge qui enregistre le plus gros effectif de décès par suicide (2.246 en 2009).

Le facteur de risque le plus important dans la survenue des pensées suicidaires comme des tentatives de suicide est le fait d'avoir subi des violences (sexuelles ou non).

Les autres facteurs associés sont le fait de vivre seul, le chômage, un faible niveau de revenu et la consommation de tabac, et, chez les femmes, une consommation d'alcool à risque chronique.

Une autre étude de l'Institut de veille sanitaire (InVS) chiffre à environ 90.000 le nombre annuel des hospitalisations pour tentatives de suicide entre 2004 et 2007, les femmes représentant 65% des séjours.

Moins de la moitié des tentatives adressées aux urgences seraient ainsi comptabilisées, soulignent les auteurs de l'étude qui ont estimé à environ 220.000 le nombre de passage aux urgences pour tentative de suicide en 2007.

L'absorption de médicaments était de loin le mode opératoire le plus fréquent, avec une prédominance féminine.

Un pic est observé dans les taux d'hospitalisation chez les adolescentes, reflet de l'importance du phénomène suicidaire dans cette population particulièrement exposée.

L'étude de l'Inpes montre d'ailleurs une prévalence des tentatives de suicide au cours des 12 derniers mois plus élevée chez les femmes entre 15 et 19 ans (2%).

Ce BEH donne un bon point de départ épidémiologique au Programme national d'actions contre le suicide lancé en septembre par le gouvernement, avec l'ambition de passer enfin sous la barre des 10.000 décès annuels, estime le Pr Terra.

(©AFP / 13 décembre 2011 00h01)

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Invité Gnafron 1er

René Lebouvier, premier débaptisé de France

Par Laurence De Charette, Christine Ducros /Le Figaro

Dans la Manche, René Lebouvier est le premier débaptisé de France. Dans notre pays, chaque année, un millier de personnes demandent à être débaptisées.

coeur-.gif

A 71 ans, René Lebouvier est le premier «débaptisé» de France. Invité vendredi d'Yves Calvi sur RTL, il relate sa longue croisade tranchée par la justice le 6 octobre dernier. Ce jour-là, le Tribunal de grande instance de Coutances (Manche) lui donne raison. Depuis des années, ce libre-penseur mène une quête pour que son nom soit effacé du registre de baptême dans lequel il figurait depuis qu'il avait en 1940 reçu ce sacrement.

Le tribunal estime que la présence du nom du plaignant dans les registres de baptême est contraire aux principes garantissant la vie privée. «Je suis d'un milieu très catholique. Au départ, j'avais saisi la CNIL qui m'avait dit que c'était impossible. Le curé de Fleury, mon village me disait la même chose», confie-t-il sur RTL.

Il obtient satisfation et veut aller plus loin encore

Mais il est têtu. Et, excédé par les positions de l'Église, notamment sur le préservatif, dans une lettre du 31 mai 2001, René Lebouvier demande malgré tout à être «débaptisé». Il obtient un début de satisfaction. En marge de son nom, dans les registres paroissiaux et diocésains, qui mentionnent son baptême, est donc apposée la phrase suivante : «a renié son baptême par lettre datée».

Dix ans plus tard, en colère cette fois contre les scandales pédophiles qui secouent l'Eglise, les positions de Benoît XVI sur le préservatif en Afriqueet la condamnation par l'Eglise de l'avortement d'une fillette de 9 ansenceinte de jumeaux à Recife au Brésil, il veut aller plus loin encore et faire littéralement disparaitre son nom des registres.

«Le fait d'avoir été baptisé par l'Église catholique est un événement intime constituant une information personnelle sur un individu», écrivent les juges. Or, «l'existence de ce baptême sur un registre accessible à des personnes tierces à l'individu concerné (…) constitue en soi une divulgation de ce fait qui porte par conséquent atteinte à la vie privée.»

Clairement, les juges condamnent donc le diocèse à effacer définitivement, dans un délai de 30 jours, toute mention de ce baptême sur le registre.

C'est nouveau car jusqu'à ce jour lorsqu'ils recevaient une lettre d'une personne souhaitant renier son baptême, les curés étaient tenus de le mentionner en marge du nom du demandeur. Mais ils n'étaient, en revanche, pas contraints de faire disparaître totalement l'identité. «Renier son baptême est peu fréquent mais ça arrive» dit-on au diocèse de Paris». Chaque année, il y a 1000 personnes qui demandent à être débaptisées en France, notamment car certaines veulent changer de religion. Le phénomène s'appelle l'apostat.

Dans la Manche, le diocèse déplore et fait appel

Dans la Manche, le diocèse a déploré la décision de la justice. «Elle est contraire à la jurisprudence constante des tribunaux supérieurs en matière d'atteinte au respect de la vie privée», affirme-t-il, avant d'annoncer que Mgr Stanislas Lalanne, l'évêque de Coutances, a décidé d'interjeter appel.

En attendant l'arrêt de la Cour d'appel, le diocèse n'est pour l'instant pas tenu d'appliquer la décision des juges normands. Mais si elle devait être confirmée, elle constituerait une jurisprudence qui pourrait s'appliquer ailleurs en France.

Complément , en Corse :

http://www.corsemati...e-sur-le-campus

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant



×
×
  • Créer...

Information importante

Nous avons placé des cookies sur votre appareil pour aider à améliorer ce site. Vous pouvez choisir d’ajuster vos paramètres de cookie, sinon nous supposerons que vous êtes d’accord pour continuer.