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Le Web des Cheminots

Le Bar de la Rotonde


Invité _

Messages recommandés

moi aussi je suis des 64%

ca permet de reconnaitre si l'automobiliste est sur son territoire ou non (a savoir si il est "perdu" ou risque de l'etre et anticiper sa conduite "hasardeuse")

et au passage si ce sont de bon ou de mauvais conducteurs pascontent

car c'est pas pour dire mais dans certains coins on conduit comme des boeufs (comme dans une certaine zone dense de notre cher pays) sans la citer lapleunicheuse

Il me semble que l'on aura la possibilité de faire figurer son N° de département et sa région, dans un coin de la plaque.

Je ne pense pas que cela soit à Paris et dans sa banlieue que l'on conduise le plus mal. T'as essayé Toulon ou Nice?

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Salut ,

D'un coté le paquet fiscal qui a soulagé de la terreur du fisc les contribuables les plus riches de France , et de l'autre

la méthode Suisse qui concerne tous les contribuables qui se sont soustrait ou sous estimé le montant de leur imposition ,

ces citoyens Helvètes sont invités à se dénoncer en échange de de l'annulation de poursuites pénales et de l'atténuation

ou de la suppression de l'amende en cas de contrôle fiscal avéré .

Le contribuable devra en revanche s'acquiter du cinquième de la somme dissimilée dans tous les cas .

Décidemment , les valeurs changent mdrmdr

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Un nouveau système national d'immatriculation

sera mis en place le 1er janvier 2009

64% des Français regrettent la disparition du numéro de département sur les futures plaques d'immatriculation, selon un sondage publié par Dimanche Ouest France.

Moi aussi je regrette, c'est avec çà que j'ai appris mes départements cartonrouge

Cà devait pas être le 1er janvier 2008 le changement ?

Du coup, on sera proche des trois lettres !

En ce moment : ZE 74, avec environ 300 nouvelles immatriculations par jour !

Modifié par cc6572
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Moi aussi je regrette, c'est avec çà que j'ai appris mes départements cartonrouge

Cà devait pas être le 1er janvier 2008 le changement ?

Du coup, on sera proche des trois lettres !

En ce moment : ZE 74, avec environ 300 nouvelles immatriculations par jour !

J'arrive j'arrive ! la mienne arrive bientôt (passage de 60 en 74). Vivement que ça se fasse ^^

gom

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Dans la série: votre voiture nous intéresse :

A Saint-Dié, des universitaires

veulent révolutionner l'usage de la voiture

Par Par Joris FIORITI AFP - SAINT-DIÉ (AFP) -

Prendre moins souvent la voiture et la partager: des universitaires, spécialistes des transports ont appelé à une révolution de l'usage du véhicule personnel pour un impact écologique fort, au Festival international de géographie (FIG) de Saint-Dié.

"Nous sommes prisonniers de la voiture, car nous sommes prisonniers de la vitesse qu'elle permet. Notre mode de vie est complètement conditionné par la vitesse. Il va falloir apprendre à la partager", a lancé Yves Crozet, professeur à l'université Lyon 2, au cours de ce festival qui se clôt dimanche.

En France, où chaque personne passe en moyenne une heure par jour dans les transports, le taux moyen d'occupation d'une voiture est de 1,3 passager, rappelle l'universitaire. La mutualisation des véhicules est un phénomène marginal.

"L'automobile est incontestablement un objet phare de l'individualisation de la société", confirme Jean-Pierre Orfeuil, professeur à l'université Paris 12.

Plus d'un Français sur deux possède une voiture, avec 36 millions de véhicules recensés sur le territoire. Dans une famille type, chacun des adultes prend tous les jours son auto pour aller travailler.

Le nombre de déplacements s'en ressent. Quelque 16 millions de trajets en voiture sont recensés en Ile-de-France chaque jour, dont la moitié pour aller d'un endroit à un autre de la grande couronne, relève Yves Crozet. Les déplacements banlieue-Paris, eux, se font plutôt en RER.

Les transports en commun seraient donc la solution miracle aux problèmes de pollution ? Les spécialistes, dubitatifs, nient en bloc.

"Si d'un coup de baguette magique, on dotait toutes les villes de trams ou de réseaux de bus performants, cela ne diminuerait que de 1% les émissions de CO2 françaises", générées à 25% par les transports, analyse M. Crozet.

"Les bus ne peuvent résoudre les contraintes individuelles de déplacement. Et mieux vaut, en termes écologique et financier, le covoiturage que l'utilisation d'un bus départemental avec cinq personnes à son bord", poursuit-il.

Pour diminuer notablement la pollution, il faut donc avant tout s'en prendre aux automobilistes, au besoin en les contraignant à évoluer: interdiction des véhicules inadaptés dans les centres des villes, promotion des moyens de locomotion propres, péages et taxes tous azimuts, observe Jean-Pierre Orfeuil.

Des lieux communs sont également à abolir, comme l'interdiction des camions dans les centres, alors qu'un 10 tonnes pollue bien moins que 50 fourgonnettes, remarque Michel Savy, professeur à Paris XII. Il faut aussi permettre aux gros centres logistiques de se rapprocher des villes, pour limiter les trajets inutiles.

La 18e édition du FIG, consacrée à "la planète en mal d'énergies" qui a débuté jeudi se termine dimanche.

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J'ai de bonnes lectures ,

En me baladant sur le net, je suis tombé sur ceci :

source

http://www.strategies.fr/archives/1365/136..._du_siecle.html

Réseaux

Le pouvoir à la table du Siècle

Ultrasélectif, le Siècle rassemble la quintessence du pouvoir politique, économique et médiatique. La discrétion de ses membres est à la hauteur de son influence.

Un mercredi par mois, place de la Concorde à Paris, la fine fleur de la communication et des médias pénètre discrètement dans les salons de l'Automobile club de France. Ce n'est pas l'amour des voitures qui rassemble Maurice Lévy (Publicis), Alain de Pouzilhac (Havas), Serge July (Libération) ou Patrick Poivre d'Arvor (TF1), mais un dîner en compagnie de Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Thierry Breton, Claude Bébéar ou Nicole Notat. Tous sont membres du Siècle, le plus prestigieux des cercles de décideurs hexagonaux.

Créé en 1944 par Georges Bérard-Quélin, ancien dirigeant du Parti radical et fondateur de la Société générale de presse, décédé en 1990, le cénacle rassemble la quintessence du pouvoir politique, économique, médiatique, voire intellectuel ou syndical. Le tout sans distinction d'opinions, de croyances ou d'origines sociales. « Des personnalités qui se réunissent pour échanger sur des sujets de société. Une sorte d'auberge espagnole où chacun retire ce qu'il y apporte », résume Étienne Lacour, secrétaire général de l'association.

Les ministres membres se comptent sur les deux mains, de Jean-Pierre Raffarin à François Fillon. Les barons du Parti socialiste aussi, comme Lionel Jospin ou Laurent Fabius. Le milieu des affaires n'est pas en reste, avec la quasi-totalité des grands patrons, de Louis Schweitzer (Renault) à Michel Pébereau (BNP Paribas). Sans oublier la plupart des dirigeants de la presse et de l'édition, d'Odile Jacob à Jean-Marie Colombani, en passant par Claude Imbert et Laurent Joffrin.

Ni une mafia, ni une loge

Mais n'entre pas qui veut. La sélection est rude. « On ne choisit pas le Siècle, c'est lui qui vous choisit ! », souligne Étienne Lacour. Présidé en 2005 par Renaud Denoix de Saint-Marc, vice-président du Conseil d'État, le conseil d'administration compte une quinzaine de personnalités comme Denis Jeambar (L'Express), Anne-Marie Couderc (Hachette Filipacchi Médias), Marc Tessier (France Télévisions) et même Nicole Notat (Vigeo). Triées sur le volet, les recrues gardent le statut d'invités pendant au moins un an avant de devenir membres. David Pujadas (France 2), Emmanuel Chain, Édouard de Rothschild ou Jean-François Copé ont, depuis peu, décroché le sésame.

Mais gare aux accidents de carrière ! La rumeur veut qu'un membre victime d'une traversée du désert soit tôt ou tard mis sur la touche. Jean-Marie Messier en a fait les frais. « Les gens qui quittent toute fonction se retirent d'eux-mêmes », reconnaît poliment Étienne Lacour, qui précise que son club n'est « ni une mafia, ni une loge maçonnique ».

Au cours du dîner, les conversations privées sont bannies. En revanche, avant et après le repas, chacun est libre de ses propos. « C'est l'occasion en dix minutes de rencontrer des personnalités influentes dans tous les domaines », explique Michèle Cotta, première femme acceptée dans le cénacle, en 1983. De là à solliciter faveurs et autres renvois d'ascenseurs, il n'y a qu'un pas qu'elle refuse de franchir. « Le club n'assure aucun passe-droit. C'est juste plus facile de prendre rendez-vous avec un ministre ou un homme d'affaires », raconte-t-elle. Mais selon Emmanuel Ratier, auteur de Au coeur du pouvoir (Faits & Documents, 1996), seul livre publié sur le sujet : « Les plans de table sont pourtant savamment pensés. »

La révolution de palais provoquée par le transfert de Franz-Olivier Giesbert du Nouvel Observateur au Figaro en septembre 1988 se serait jouée lors d'un dîner du Siècle avec Philippe Villin, alors bras droit de Robert Hersant. L'entrée d'Édouard de Rothschild dans le capital de Libération se serait-elle aussi négociée entre la poire et le fromage avec Serge July ? « C'est possible », répond laconiquement Étienne Lacour, avant de souligner qu'un membre, même journaliste, ne rapporte jamais les propos tenus au sein du cénacle. La discrétion reste de mise dans les salons du pouvoir !

Frédéric Saliba

Le Siècle en dates et en chiffres

1944. Création du Siècle.

580. Nombre de membres du club, dont l'annuaire est renouvelé chaque année.

160. Nombre d'« invités » en attente de leur acceptation comme membres.

17. Nombre de membres du conseil d'administration de l'association.

60 ans. Âge limite pour devenir membre, 65 ans pour le rester.

150 euros. Cotisation annuelle des membres, plus 62 euros par dîner.

7. Nombre de convives par table.

2. Nombre de parrainages nécessaires pour soutenir une candidature.

300. Nombre de membres et invités conviés à chaque dîner mensuel.

55 ans. Âge moyen des membres du club.

50. Nombre annuel de candidatures proposées, dont le tiers est refusé.

Modifié par Dom-trappeur
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Bon à savoir :

Panne et abonnement internet :

oeil pour oeil, dent pour dent.

Exceptio non adimpleti contractus

Par Maix PCINpact -

Instructive affaire que celle jugée par la Cour d’Appel de Paris en mai dernier et publiée ces jours-ci. Un abonné avait souscrit un abonnement à NoosNet (internet) et NoosTV (télévision) en 2000. Noos ayant décidé d’augmenter les débits (de 1024 à 409 Kbits/s), la société lui envoyait un nouveau modem. Après plusieurs tentatives d’initialisation, toutes vaines, l’abonné renvoyait finalement le modem à l’expéditeur avec une lettre explicative.

Face au silence de Noos, il décide de ne plus payer l’abonnement Internet, mais continue à payer la partie télévision et liée à l’offre NoosTV. En retour, Noos se contentera d’envoyer plusieurs relances sur le paiement de l’abonnement pour finalement, le 8 juillet 2005, couper son accès internet. L’affaire prend alors un tournant judiciaire jusqu’en appel.

La Cour d’Appel de Paris, indique la Gazette du Net, a estimé ainsi que le FAI était tenu à une obligation de résultat quant à l’accès internet (dans le même sens, voir notre actualité). Or, il n’a ni justifié de l’envoi d’un nouveau modem ni assumé d’autres formes d’assistance pour remplir à bien ses obligations contractuelles. Dans ces circonstances, l’abonné a pu à bon droit faire jouer ce que l’on nomme dans le jargon l’exception d’inexécution (pour les latinistes : exceptio non adimpleti contractus).

Cette arme contractuelle permet à une partie de cesser de remplir ses obligations afin d’inciter le cocontractant à respecter ses propres obligations. En application de ce principe, donc, l’abonné a pu « cesser de payer le prix de l'abonnement à NoosNet alors qu'il ne bénéficiait plus de ce service interrompu par Noos le 8 juillet 2005 »,ont posé les juges d’appel.

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Si ça , ça ne finit pas en roman et/ou en film

Un Britannique achève 13 ans

de tour du monde

à la seule force des muscles

Par Par Loïc VENNIN AFP - LONDRES (AFP) -

En bateau à pédales, à vélo, à la nage: le Britannique Jason Lewis a bouclé samedi un tour du monde de 13 ans à la seule force de ses muscles, un marathon durant lequel il a été pourchassé par un crocodile en Australie, interpellé en Egypte pour espionnage, fait naufrage dans l'Atlantique...

Le quadragénaire a effectué dans les eaux de la Tamise les derniers mètres de son tour du monde marathon de plus de 74.000 km. L'aventurier a accosté à un embarcadaire de Greenwich, dans l'est de Londres, avant de hisser sur des roues sa frêle embarcation de moins de huit mètres de long pour lui faire traverser le Méridien de Greenwich, où la longitude est définie comme égale à 0°.

C'est à cet endroit que Jason Lewis avait démarré son tour du monde, en juillet 1994.

"Je suis bouleversé. Je ne peux pas le croire... 13 ans, c'a été un long voyage. C'a été toute ma vie", a-t-il lancé sur la télévision Sky News, essouflé et visiblement épuisé. "C'a été vraiment dur au début", s'est souvenu l'aventurier à la barbe nourrie. "J'ai cru ne jamais y arriver", a-t-il lancé sous le regard d'une centaine de curieux.

Le Britannique a parcouru le globe en bateau à pédales, kayak, vélo, patins à roulettes, mais parfois simplement à pied ou à la nage. En treize ans, il a établi plusieurs records, devenant notamment en août 2000 le premier homme à traverser l'océan Pacifique en bateau à pédales (en 178 jours).

Parmi les péripéties vécues durant ses treize ans de voyage, il s'est fait renverser en 1995 par une voiture aux Etats-Unis en traversant le continent américain en patins à roulettes. L'accident, dont il est ressorti les deux jambes cassées, a bien failli mettre un point final à l'expédition, s'est-il souvenu samedi.

"J'ai cru que j'allais perdre l'une de mes jambes, que j'allais être amputé. C'était un moment très, très difficile", a-t-il déclaré. Il est cependant reparti, toujours à patins à roulettes, après neuf mois d'hospitalisation.

Il a également été pourchassé par un crocodile en Australie, ainsi que par des policiers chinois, et interpellé en Egypte sur des soupçons d'espionnage. "Je faisais la traversée en kayak depuis le Soudan vers l'Egypte -- la nuit parce que je n'avais pas d'autorisation -- et ils m'ont arrêté pour espionnage", s'est remémoré l'aventurier.

Il s'est aussi échoué sur un récif aux Antilles, a failli percuter une baleine et a dû chasser des cambrioleurs en Inde, poignard en main.

Mais sa plus grande difficulté a été de pouvoir réunir les fonds nécessaires à la poursuite de son périple. Sans sponsor d'importance, Jason Lewis a souvent dû s'arrêter en chemin pour gagner ses propres deniers. Aux Etats-Unis, il rassemblait des bestiaux dans un ranch; en Australie, il était employé d'un salon de pompes funèbres.

Rien cependant n'a eu raison de sa détermination, ni même l'abandon de son compagnon de voyage, en septembre 1998, après une dispute mémorable.

"Je n'ai jamais réellement aimé le travail de bureau", a-t-il admis sur Sky News. Et il ne compte pas changer d'avis maintenant, après 13 ans d'aventure. Son avenir, il le voit ainsi en train d'organiser des "mini-expéditions" pour les jeunes.

Modifié par Dom-trappeur
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Trente quatre ans sans électricité

AP - GRENOBLE -

La vie à l'ancienne de Michelle Meyer, 75 ans, a pris fin mardi lorsque pour la première fois depuis qu'elle a emménagé dans sa maison de Saint-Marcel-Bel-Accueil (nord de l'Isère), il y 34 ans, elle a appuyé sur l'interrupteur. Un petit voyant s'est allumé sur un boîtier du mur de pierre, une chaude lumière a soudain envahi la cuisine: sa ferme bénéficiait enfin... de l'électricité.

Faute de moyens, cette septuagénaire qui avait fui la capitale pour s'installer dans cette ferme à la recherche d'une vie simple et spirituelle, à l'écart du village au bout d'une route goudronnée, n'avait jamais pu amener l'électricité jusqu'à son domicile.

"Avec l'âge, je n'en pouvais plus", avoue cette "écologiste" d'avant l'heure dont la vie était jusqu'à aujourd'hui rythmée par le soleil. "Tous les matins, j'allumais ma lampe à pétrole en me levant, puis ma cheminée et je l'éteignais quand il y avait un peu de lumière du jour, parce que bon, ça sent pas très bon le pétrole", raconte Mme Meyer. "Le soir, je rallumais quelques bougies pour coudre, ou lire".

Grâce à une aide du comité départemental d'habitat rural, elle a enfin accès à ce qu'elle appelle "un petit luxe": la lumière électrique. A une connexion au réseau EDF, trop onéreuse compte tenu de l'éloignement, les spécialistes ont préféré une l'installation solaire, plus économique et ... en harmonie avec la philosophie de la propriétaire de la ferme. Désormais une seule journée de soleil offre à Michelle Meyer cinq jours de lumière garantie. AP

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Les députés suppriment le certificat médical prénuptial

AFP - PARIS (AFP) -

Les députés ont supprimé mardi le certificat médical prénuptial lors de l'examen d'une proposition de loi de simplification du droit destinée à abroger les textes obsolètes.

Cet examen obligatoire, datant de 1942, concerne chaque année en moyenne 270.000 couples.

La consultation à l'issue de laquelle ce certificat est délivré donne lieu à un bilan médical des futurs époux mais aussi à l'information sur la grossesse, la contraception et les maladies sexuellement transmissibles.

"Aujourd'hui, 40 % des naissances ont lieu hors mariage et les informations sur la grossesse sont devenues plus facilement accessibles", a justifié le rapporteur Etienne Blanc en soulignant que le certificat ne concerne ni les concubins, ni les pacsés.

Ce certificat représentera une économie de 14 millions d'euros par an pour la sécurité sociale, a ajouté le rapporteur.

Les députés ont également adopté un article autorisant désormais un pacsé ou un concubin de représenter son partenaire devant certaines juridictions comme le juge d'instance ou le juge de proximité. A l'heure actuelle, seule la représentation par le conjoint ou un membre de la famille -jusqu'au troisième degré- est possible.

Par ailleurs, les députés ont adopté mardi une proposition de loi de "simplification du droit" qui supprime des lois obsolètes mais prévoit aussi le recours à la visioconférence dans les audiences civiles.

Cette proposition de loi, débattue dans le cadre d'une "niche", séance d'initiative parlementaire réservée aux groupes, a été voté par l'UMP et le Nouveau Centre. Le PS, le PCF et les Verts se sont abstenus.

Le texte supprime 127 lois obsolètes, parfois très anciennes et aux dénominations souvent cocasses comme la lutte contre les "tromperies sur l'origine des noix" ou la répression des "fraudes sur le guignolet".

Il prévoit aussi de simplifier la vie des entreprises en supprimant, notamment, la déclaration spécifique sur la taxe d'apprentissage, qui fait actuellement double emploi.

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Trente quatre ans sans électricité

Non mais je trouve ca dingue qu'à notre époque des gens vivent encore sans electricité. Mais le pire c'est que sa ville n'a rien fait pour elle, ahurissant!!! mdrmdr

Moi deja sans mon portable et ordi je suis perdu alors sans electricité!!!!! mdrmdr

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Dom-trappeur

Trente quatre ans sans électricité

Non mais je trouve ca dingue qu'à notre époque des gens vivent encore sans electricité. Mais le pire c'est que sa ville n'a rien fait pour elle, ahurissant!!! mdrmdr

Moi deja sans mon portable et ordi je suis perdu alors sans electricité!!!!! mdrmdr

Saint-Marcel-Bel-Accueil (nord de l'Isère)

C'est la première fois que personnellement j'entends prononcer le nom de cette commune...

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Dans le cas du Vatican la densité est nettement plus importante......

2090 habitants au KM2 pour le Vatican

je crois mais je n'en mettrai pas ma main à couper qu'il doit y avoir une commune avec une densité inférieure à 5 habitants au KM2 en France

Modifié par Dom-trappeur
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Informations générales sur Tarnac Corrèze

http://www.toutes-les-villes.com/19/tarnac.html

Population : 356 habitants

19 131 ème commune en nombre d'habitants

Superficie : 67,46 km² 462 ème superficie

Densité : 5 hab./km²

moyenne france 144 hab./km²

35 426 ème commune en densité

Et je crois qu'il y a mieux....

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