Invité necroshine Publication: 28 janvier 2010 Partager Publication: 28 janvier 2010 http://www.latribune.fr/entreprises/servic...de-la-sncf.html Keolis veut participer à la consolidation mondiale des transports. Selon nos informations, un mandat a été confié à une banque d'affaires pour étudier un rapprochement capitalistique entre la filiale de transport public de voyageurs de la SNCF et sa rivale privée britannique Arriva. Keolis dément, mais des sources proches de la SNCF confirment ces discussions. « Aujourd'hui, c'est la course à la croissance. Le secteur des transports en Europe est en pleine concentration, alors que cette phase est terminée en France », indique un expert. Très présent dans les bus et les trains, Arriva a connu des déboires dans son développement à l'étranger et cherche des partenaires financiers. Le français Transdev s'était intéressé à cette compagnie cotée. C'était avant que soit amorcé son projet de fusion avec Veolia Transport et que Keolis, qui voulait se rapprocher de Transdev, se retrouve ainsi sur la touche. « Un rapprochement capitalistique avec Arriva permettrait à Keolis d'être coté, tout en ayant la SNCF comme actionnaire majoritaire », explique un bon connaisseur du dossier. De fait, la SNCF, qui détenait jusqu'ici 45,4 % de Keolis, aux côtés de la Caisse des dépôts du Québec, va pouvoir en prendre 56 %. Sous mandat de la Commission européenne, l'Autorité de la concurrence française a autorisé récemment cette opération, permettant à la SNCF de faire de Keolis son bras armé à l'international. L'opérateur de transport public a marqué beaucoup de points hors de France depuis deux ans. Tout dernièrement, il a démarré l'exploitation d'un réseau ferré autour de Düsseldorf, en Allemagne, et lancé le premier train régional à grande vitesse en Grande-Bretagne dans le cadre d'une filiale commune avec un partenaire de longue date, le britannique Go-Ahead. « Il y aura forcément des renégociations nécessaires avec Go-Ahead » en cas d'accord avec Arriva, indique un proche du dossier. Déjà alliés au Portugal Sur le papier, le rapprochement entre ces deux groupes, qui se connaissent déjà et ont notamment répondu ensemble à un appel d'offres au Portugal, fait sens. Ils ont un chiffre d'affaires à peu près identique, d'un peu plus de 3 milliards d'euros chacun, des effectifs assez proches de 40.000 employés. Keolis réalise un peu plus de la moitié de ses recettes en France. Pour l'anglais, l'Europe représente désormais près de la moitié du chiffre d'affaires. Trop tôt pour savoir cependant quelle forme prendra ce rapprochement. « L'important est qu'un accord de principe aboutisse », dit un proche du dossier. « Pour l'opération entre Veolia Transport et Transdev, on pensait au départ que Veolia prendrait la main. Finalement, c'est une fusion à 50-50 », rappelle ce dernier. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité MarcM Publication: 28 janvier 2010 Partager Publication: 28 janvier 2010 Transports: le britannique Arriva discute avec la SNCF d'un rachat de Keolis AFP /28.01.2010, 13h30 Le groupe britannique de transports en commun Arriva a confirmé jeudi, en réponse à des articles de presse, qu'il avait entamé des discussions avec la SNCF en vue d'un rachat en tout ou partie de sa filiale Keolis. Dans un communiqué à la Bourse de Londres, le groupe britannique "confirme", en réponse notamment à un article du quotidien français la Tribune mercredi, "avoir entrepris des discussions très préliminaires avec la SNCF au sujet d'une possible contribution de tout ou partie des activités de transport de Keolis" à sa propre activité. Il s'agirait ainsi, précise Arriva, "de créer une activité de transport considérablement renforcée et parmi les premières en Europe, tournée vers la libéralisation accrue du marché du transport européen". Il n'y a pas de certitude qu'un accord sera trouvé, note Arriva. La veille, le journal économique la Tribune avait indiqué qu'un "rapprochement capitalistique" était à l'étude entre Keolis et Arriva. Jeudi, une porte-parole de Keolis à Paris a noté que Arriva et Keolis "se connaissent bien". "Nous sommes notamment alliés pour l'appel d'offres de l'exploitation du métro de Porto au Portugal, et nous avons été présélectionnés. Nous avions déjà posé une candidature commune au métro de Stockholm", dit une porte-parole de Keolis. Selon une autre source proche des discussions interrogée par l'AFP, les deux groupes étudient encore d'autres appels d'offres en commun. En revanche, au Royaume-Uni, pays d'origine d'Arriva, où Keolis réalise 25% de son chiffre d'affaires, ils n'ont pas de partenariat. Cette source a noté que le côté "très préliminaire" des discussions ne permettait pas encore d'assurer que l'unique débouché envisagé était un rachat de Keolis par Arriva. Elle a noté par ailleurs que Keolis avait déjà, outre les projets développés avec Arriva, "une grande expérience des partenariats". Cet interlocuteur a noté un regain de concentration dans le secteur du transport mondial. "On a besoin de groupes puissants et géographiquement diversifiés", a-t-il dit, notant par ailleurs que Keolis et Arriva étaient complémentaires, tant pour les activités -- à eux deux ils couvrent tout le champ du transport public, bus, cars, trains, tramway -- que géographiquement. Arriva est ainsi présent en Europe, notamment du Sud et de l'Est, mais pas en France, tandis que Keolis, outre son coeur de marché français et européen, s'est implanté jusqu'au Canada, en Algérie et en Australie. La SNCF discute actuellement avec Arriva en tant qu'actionnaire de référence de Keolis, groupe non côté dont elle possède 45,4%. Elle est sur le point d'en devenir actionnaire majoritaire grâce à une opération qui vient de recevoir le feu vert des autorités de la concurrence : elle va fusionner dans Keolis sa filiale Effia (parkings), ce qui lui permettra d'en détenir 56,7%. Cette opération doit permettre à la SNCF de consolider Keolis, dans le cadre de la stratégie du président de la SNCF Guillaume Pepy d'augmenter le chiffre d'affaires du groupe de 50% entre 2007 et 2012. Keolis a réalisé en 2009 un chiffre d'affaires estimé à 3,5 milliards d'euros (à 60% en France). Arriva a pour sa part enregistré un chiffre d'affaires de 1,579 milliards de livres (1,83 milliard d'euros) au premier semestre achevé le 30 juin, et de 3,042 milliards de livres en 2008. Ces nouvelles faisaient gagner 3,51% à Arriva jeudi vers 11H40 GMT à la Bourse de Londres, à 484,30 pence, dans un marché en hausse de 0,11%. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité MarcM Publication: 28 janvier 2010 Partager Publication: 28 janvier 2010 http://www.latribune.fr/entreprises/servic...de-la-sncf.html Keolis veut participer à la consolidation mondiale des transports. Selon nos informations, un mandat a été confié à une banque d'affaires pour étudier un rapprochement capitalistique entre la filiale de transport public de voyageurs de la SNCF et sa rivale privée britannique Arriva. Keolis dément, mais des sources proches de la SNCF confirment ces discussions. « Aujourd'hui, c'est la course à la croissance. Le secteur des transports en Europe est en pleine concentration, alors que cette phase est terminée en France », indique un expert. Très présent dans les bus et les trains, Arriva a connu des déboires dans son développement à l'étranger et cherche des partenaires financiers. Le français Transdev s'était intéressé à cette compagnie cotée. C'était avant que soit amorcé son projet de fusion avec Veolia Transport et que Keolis, qui voulait se rapprocher de Transdev, se retrouve ainsi sur la touche. « Un rapprochement capitalistique avec Arriva permettrait à Keolis d'être coté, tout en ayant la SNCF comme actionnaire majoritaire », explique un bon connaisseur du dossier. De fait, la SNCF, qui détenait jusqu'ici 45,4 % de Keolis, aux côtés de la Caisse des dépôts du Québec, va pouvoir en prendre 56 %. Sous mandat de la Commission européenne, l'Autorité de la concurrence française a autorisé récemment cette opération, permettant à la SNCF de faire de Keolis son bras armé à l'international. L'opérateur de transport public a marqué beaucoup de points hors de France depuis deux ans. Tout dernièrement, il a démarré l'exploitation d'un réseau ferré autour de Düsseldorf, en Allemagne, et lancé le premier train régional à grande vitesse en Grande-Bretagne dans le cadre d'une filiale commune avec un partenaire de longue date, le britannique Go-Ahead. « Il y aura forcément des renégociations nécessaires avec Go-Ahead » en cas d'accord avec Arriva, indique un proche du dossier. Déjà alliés au Portugal Sur le papier, le rapprochement entre ces deux groupes, qui se connaissent déjà et ont notamment répondu ensemble à un appel d'offres au Portugal, fait sens. Ils ont un chiffre d'affaires à peu près identique, d'un peu plus de 3 milliards d'euros chacun, des effectifs assez proches de 40.000 employés. Keolis réalise un peu plus de la moitié de ses recettes en France. Pour l'anglais, l'Europe représente désormais près de la moitié du chiffre d'affaires. Trop tôt pour savoir cependant quelle forme prendra ce rapprochement. « L'important est qu'un accord de principe aboutisse », dit un proche du dossier. « Pour l'opération entre Veolia Transport et Transdev, on pensait au départ que Veolia prendrait la main. Finalement, c'est une fusion à 50-50 », rappelle ce dernier. , Nécro tu as loupé mon message..........identique ! On pourrait fusionner , en tout bien toute honneur , ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 28 janvier 2010 Partager Publication: 28 janvier 2010 , Nécro tu as loupé mon message..........identique ! On pourrait fusionner , en tout bien toute honneur , ! Oui je vois ca, mais 12h22 pour moi, et 13h59 pour toi... Copiteur !!!! Oui je suis d'accord, fusionnons !!! revoltages Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Dom Le Trappeur Publication: 28 janvier 2010 Partager Publication: 28 janvier 2010 Marc T'es mort sur ce coup là... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité MarcM Publication: 28 janvier 2010 Partager Publication: 28 janvier 2010 Marc T'es mort sur ce coup là... Ma main dans le pot de miel = Non , c'est pas moi ... ! Responsable mais pas coupable .........;re ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Roukmoute Publication: 30 janvier 2010 Partager Publication: 30 janvier 2010 Elle est sur le point d'en devenir actionnaire majoritaire grâce à une opération qui vient de recevoir le feu vert des autorités de la concurrence : elle va fusionner dans Keolis sa filiale Effia (parkings), ce qui lui permettra d'en détenir 56,7%. Pardon de ne pas tout comprendre, mais la SNCF veut devenir actionnaire majoritaire de Keolis pour mieux la vendre dans la foulée ? "On a besoin de groupes puissants et géographiquement diversifiés" = "Les monopoles privés, ça c'est l'avenir, ça, coco !" ;) Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Roukmoute Publication: 30 janvier 2010 Partager Publication: 30 janvier 2010 Wouarf , Nécro tu as loupé mon message..........identique ! On pourrait fusionner , en tout bien toute honneur , wouarf ! Oui je vois ca, mais 12h22 pour moi, et 13h59 pour toi... Copiteur !!!! Oui je suis d'accord, fusionnons !!! Marc T'es mort sur ce coup là... Ma main dans le pot de miel = Non , c'est pas moi ...wouarf ! Responsable mais pas coupable .........;re wouarf ! Sujets fusionnés. PS : marc, tssk, tssk, tssk... lotrela Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 11 juin 2010 Partager Publication: 11 juin 2010 http://www.usinenouvelle.com/article/fusion-db-arriva-le-president-de-la-sncf-voit-rouge.N133422?xtor=RSS-215 Alors que la Commission européenne s’apprête à donner son feu vert à la fusion récemment annoncée entre la Deutsche Bahn et le britannique Arriva, Guillaume Pépy manifeste ses craintes au sujet de la concurrence qui se profile sur les rails européens. Des propos recueillis par un journal allemand. Dans un article publié le jeudi 10 juin 2010 par le Financial Times Deutschland, le président de la SNCF, Guillaume Pépy, exprime de vives craintes au sujet de la fusion survenue à la fin avril entre la Deutsche Bahn (DB) et le britannique Arriva. Or, ce mariage dans le ferroviaire et la logistique est examiné, actuellement, par la Commission européenne à Bruxelles. Le feu vert de celle-ci ne fait aucun doute, et la DB s’est par ailleurs engagée à céder les activités d’Arriva en Allemagne. La compagnie ferroviaire germanique avait damé le pion à la SNCF dont la filiale Kéolis avait également les yeux de Chimène pour Arriva. Les propos tenus par Guillaume Pépy ne vont pas manquer d’alimenter les conversations quant à l’attitude frileuse des Français, à maints égards, en matière de concurrence. Car le président de la SNCF évoque l’incursion possible de la DB dans des marchés tels que celui du Thalys ou du tunnel sous la Manche. Il a toutefois apporté une nuance: «Je ne pense pas qu’un monopole soit normal à long terme». Et d’enfoncer à nouveau le clou: «Il serait regrettable que le monopole étatique soit remplacé par la toute puissance d’une méga-entreprise." En convolant en justes noces avec Arriva, DB a pris plusieurs train d’avance sur la SNCF. Exploitant un réseau de 34.000 sur son propre territoire, transportant au quotidien sept millions de passagers, la compagnie allemande a tissé sa toile dans le monde à la vitesse grand V. Une toile dont les ramifications s’étendent à 130 pays. Arriva, quant à lui, se définit sur son site institutionnel comme «l’un des plus importants opérateurs dans le secteur des transports en Europe»: un milliard de passagers dans douze pays ont recours à ses services. (La France n’est pas au nombre de ces pays.). Kéolis, pour sa part, exploite des réseaux de transports urbains dans douze pays. Le communiqué publié à l’occasion de la fusion entre l’Allemand et le Britannique avait de quoi donner le frisson à une compagnie comme la SNCF, elle aussi désireuse de conquérir le monde: «Le groupe combiné sera une entreprise véritablement internationale de transport et de logistique (…) disposant de la taille, du savoir et de l'expérience nécessaires pour assurer une concurrence effective sur des marchés de transport de plus en plus libéralisés», souligne le communiqué. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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