Invité steakfrites Publication: 3 mars 2010 Partager Publication: 3 mars 2010 post de steack frite : Eh ne me faites pas dire ce que j'ai pas dit. Je parle des RMIstes. Pas des chômeurs ou des gens aux bas salaires. Faut pas tout mélanger et toi tu serais dans la precarité! tu preferais bosser pour la gloire et avoir des difficultes pour boucler tes fins de mois ou profiter du systeme et (c est valable pour certains ,enfin encore.... )rester tranquille chez toi a ne rien faire avec moins de soucis financier (en ayant le loisir de faire quelques boulot au black pour payer les extras) Pour ton information "juju", avant d'être un privilégié de cheminot j'ai bossé pendant plusieurs années en intérim, sans sans aucune sécurité de l'emploi, et quand il n'y avait vraiment pas de boulot, eh ben j'acceptais de faire des missions même si ça ne correspondait pas à mon domaine de compétence et même si c'était du travail pénible. Je n'aurais jamais pu rester à glander chez moi car comme je l'ai dit plus haut, j'ai encore de l'amour propre. Et c'est aussi une question d'éducation. Jamais, mais jamais mon père n'aurait accepté de me voir glander à la maison en prétextant qu'il n'y avait pas de boulot. La volonté fait beaucoup. Parce que des mecs en pleine force de l'âge qui grattent le rmi depuis 15 ans, pour moi, c'est des sous-hommes. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
juju sotteville Publication: 3 mars 2010 Partager Publication: 3 mars 2010 (modifié) Pour ton information "juju", avant d'être un privilégié de cheminot j'ai bossé pendant plusieurs années en intérim, sans sans aucune sécurité de l'emploi, et quand il n'y avait vraiment pas de boulot, eh ben j'acceptais de faire des missions même si ça ne correspondait pas à mon domaine de compétence et même si c'était du travail pénible. Je n'aurais jamais pu rester à glander chez moi car comme je l'ai dit plus haut, j'ai encore de l'amour propre. Et c'est aussi une question d'éducation. Jamais, mais jamais mon père n'aurait accepté de me voir glander à la maison en prétextant qu'il n'y avait pas de boulot. La volonté fait beaucoup. Parce que des mecs en pleine force de l'âge qui grattent le rmi depuis 15 ans, pour moi, c'est des sous-hommes. mouais c est une facon de voir les choses !tout comme toi ,moi aussi j ai fais pas mal de boulot precaire !pas le choix en sortant de l ecole ,on avait le droit a rien pas de rmi puisque moin de 25 ans ,pas de chomage puisque jamais cotisé ( donc nada a part taxé les parents )!par contre si demain je devais me retrouver sans boulot ,j avoue que je ne suis pas certain que j irais au boulot ( enrichir un patron)si c est pour qu en fin de mois il me reste moin que si j avais eté pointé au pole emploi en restant tranquille a la maison ! mais bon chacun son point de vue !je pense simplement en evoquant ca, qu une fois de plus le systeme n encourage,et ca depuis tres longtemps , pas certains a bosser! Modifié 3 mars 2010 par gomen Correction de balises Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité MarcM Publication: 3 mars 2010 Partager Publication: 3 mars 2010 Retraites : la réforme rêvée de Nicolas et Guillaume Sarkozy Par Cécile Duflot et Pierre Larrouturou | Europe Ecologie | Connaissez-vous Guillaume Sarkozy ? C'est un des frères de Nicolas. C'est aussi le DG d'un groupe d'assurance. Il y a quelques années, Guillaume dirigeait une entreprise de textile. Mais il s'est reconverti dans l'assurance santé et l'assurance retraite. C'est plus rentable. D'autant que Guillaume a des projets pour développer son affaire et il connaît quelqu'un, au sommet de l'Etat, qui veut l'aider à réaliser ses projets. Le 4 juin 2008, Le Monde a publié un document qui dévoilait les intentions de Guillaume Sarkozy : « La Caisse des dépôts et le groupe Médéric, qui est dirigé par Guillaume Sarkozy, veulent créer une filiale commune spécialisée dans le financement des retraites. Un document de travail daté du 16 mai et estampillé “confidentiel”, relève que, en 2020, les non-cadres subiront une baisse de 5% du taux de remplacement pour une carrière complète et les cadres subiront une baisse de 20%. Les grandes lignes de ce projet de partenariat sont posées : la création d'une “nouvelle entreprise d'assurance”, qui proposera “un bilan retraite et des services adaptés, en phase d'épargne et au moment de la retraite” aux salariés. L'objectif est d'atteindre un chiffre d'affaires de 7 milliards d'euros en 2019. Les futurs partenaires se fixent “des taux de rentabilité raisonnables sur le long terme”. » Chez les Sarkozy, on se partage le travail : Nicolas diminue le niveau des retraites et Guillaume propose des complémentaires aux salariés les mieux payés. Quelle équipe. Quel cynisme ! « Le recul de l'âge de la retraite ne sert à rien » Pour comprendre comment la réforme Sarkozy va amener à une baisse quasi-générale des retraites, il faut cesser les débats pseudo-théologiques sur la « retraite à 60 ans » et regarder la réalité des chiffres : aujourd'hui, quand un salarié solde sa retraite, à 61 ans en moyenne, il est au chômage ou au RMI-RSA depuis trois ans (en moyenne). Il n'y a que 22% des salariés qui sont encore au travail quand ils partent en retraite.Dans ce contexte de chômage de masse, quel impact aurait l'allongement de la durée de cotisation que veut imposer le clan Sarkozy ? Une année de cotisation en plus pour bénéficier d'une retraite à taux plein ? Pour tous ceux et celles qui sont au chômage (presque 80 % des salariés), il ne sera pas possible de cotiser un an de plus. Il va leur manquer quatre trimestres. Ils subiront donc une décôte de 10% ! Allonger la durée de cotisation sans avoir fait radicalement reculer le chômage des 58-62 ans ne peut en aucun cas « sauver les retraites ». Jean-Paul Fitoussi, président de l'OFCE, écrivait dans Le Monde du 6 mars 2001 : « S'il n'est pas porté remède au chômage, le recul de l'âge de la retraite ne sert à rien. Cela revient à demander aux gens de travailler plus longtemps alors qu'ils manquent déjà de travail. Le vrai problème, c'est le chômage. » Comment fait-on pour vivre avec 900 euros par mois ? Voilà comment, avec des arguments pleins de bon-sens (« l'espérance de vie a augmenté, donc il faut cotiser plus longtemps »), on prépare une baisse généralisée du niveau de vie des retraites de la Sécurité sociale. Ceux qui veulent développer les systèmes d'assurance privés sont évidemment très favorables à cette réforme mais on comprend que tous les syndicats s'opposent à ce nivellement par le bas. Baisser aussi fortement le niveau de vie de millions de retraités serait vraiment scandaleux : derrière les chiffres, il y a des hommes et des femmes qui veulent vivre -vivre pleinement et pas seulement survivre ou sousvivre- avec ce que la Sécu leur verse. Comment fait-on pour vivre avec 900 euros par mois ? Comment fait-on pour accueillir ses petits-enfants quand chaque sou est compté ? Un spécialiste du dossier explique : « Soyons clairs : sans doute faudra-t-il un jour travailler plus longtemps. Mais tant que l'on ne s'est pas donné les moyens de lutter radicalement contre le chômage, travailler plus longtemps est contre-productif. C'est comme quand on fait du vélo en montagne : bien sûr qu'après avoir passé le col, il faudra freiner. Mais si on freine dans la montée, on n'arrivera jamais au col ! La priorité, la seule, c'est de lutter contre le chômage et les petits boulots. » Dans son dernier livre, Joseph Stiglitz, prix Nobel d'économie, affirme que, depuis deux ans, sous prétexte de « sauver les banques », on a consacré des centaines de milliards à sauver les actionnaires des banques. Une autre stratégie, totalement différente, était possible pour sauver les banques, mais Stiglitz montre que Obama et la plupart des chefs d'Etat ont plié devant les pressions des banquiers et du « big business ». De même, sous prétexte de vouloir « sauver les retraites » (qui peut s'opposer à cet objectif ? ), Nicolas Sarkozy veut imposer une réforme dont l'objectif n'est absolument pas de sauver les retraites, mais de favoriser ceux qui veulent développer des systèmes d'assurance privée : son frère et ses amis. Augmenter le nombre de ceux qui cotisent Pour sauver les retraites, l'essentiel aujourd'hui n'est pas d'augmenter le nombre de trimestres de cotisation mais d'augmenter le nombre de ceux et celles qui ont un emploi, augmenter le nombre de ceux qui touchent un vrai salaire et donc augmenter le nombre de ceux qui cotisent… On ne pourra pas sauver les retraites si on ne parvient pas à lutter radicalement contre le chômage et la précarité. Hélas, presque trois ans après leur arrivée au pouvoir, Nicolas Sarkozy et François Fillon n'ont engagé aucune réforme pour lutter contre le chômage et la précarité. Le total des inscrits à Pôle emploi a augmenté de 800 000 en dix-huit mois, mais le gouvernement semble se moquer totalement de cette question. Ce silence en dit long sur les priorités de l'équipe au pouvoir. Le chômage et la précarité sont au cœur de la crise dans laquelle s'enfonce notre pays : que l'on parle du dossier des retraites, de l« 'intégration des jeunes de banlieue » ou de la défiance de plus en plus grande des citoyens vis-à-vis des politiques, on en revient toujours au lancinant problème du chômage. Pour vaincre le chômage, nous ne pensons pas qu'on puisse encore et toujours attendre le retour de la croissance (voir à ce sujet notre réponse vidéo à Luc Chatel : Sainte Rita fera-t-elle revenir la croissance ? ). Attendre le retour de la croissance n'est pas la solution, il faut agir ! Voilà pourquoi, dès le mois d'avril, Europe Ecologie veut organiser dans chaque région des Etats généraux de l'emploi. En investissant massivement dans le logement, en investissant massivement dans les transports en commun, en investissant massivement dans les économies d'énergie, en développant sur tous nos territoires des réseaux de PME et des entreprises de l'économie solidaire, en favorisant une agriculture moins polluante (et plus riche en emplois), en développant les circuits courts économes en énergie mais riches en emplois non-délocalisables, en engageant vraiment la transformation écologique de nos économies, nous pouvons créer des centaines de milliers d'emplois. Certains voudraient nous faire croire qu'entre la crise écologique et la crise sociale, il faut choisir. C'est impossible car les deux crises sont aussi graves. Et il est tout à fait possible de répondre en même temps à la crise écologique et à la crise sociale. Dans ces deux domaines, des choses intéressantes ont été faites depuis six ans dans les régions socialistes mais il est vital, il est urgent, d'aller plus loin, plus vite. Il est vital, il est urgent d'agir avec des outils et des méthodes nouvelles. Tel est notre objectif. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
BB4100 Publication: 3 mars 2010 Partager Publication: 3 mars 2010 mdrmdr J'entends ça tous les jours au boulot... c'est vraiment le côté du métier que je veux oublier à la maison, mais non... Et si nous descendions tous dans la rue (tous veut dire TOUT le monde) pour réclamer des salaires plus hauts, du temps de travail en moins remplacé par de nouveaux postes en CDI, réclamer une plus juste répartition des richesses, une sécurité de l'emploi pour tous... Mais c'est trop dur, on va juste demander de retirer une paille dans l'œil du voisin sans même oser toucher à la poutre dans le notre... 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Monsieur Le Baron Publication: 3 mars 2010 Partager Publication: 3 mars 2010 Monsieur Le Baron voit que sous peu en France, tout le monde (SNCF comprise, enfin les restes de la SNCF, il s'entend...) pourra s'appliquer cette réplique du Coup de Sirocco : "une main devant et une main derrière". 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Gnafron 1er Publication: 22 novembre 2012 Partager Publication: 22 novembre 2012 Balaise ......"elle" génère plus de pauvres et veut leurs couper les vivre ? http://www.liberation.fr/societe/2012/10/15/l-europe-va-t-elle-couper-les-vivres-a-ses-pauvres_853378 Réunis à Bruxelles, les dirigeants européens vont négocier le budget communautaire pour la période 2014-2020. En jeu, notamment : le montant de l'aide alimentaire aux plus démunis. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Rail cassé Publication: 22 novembre 2012 Partager Publication: 22 novembre 2012 J'entends ça tous les jours au boulot... c'est vraiment le côté du métier que je veux oublier à la maison, mais non... Et si nous descendions tous dans la rue (tous veut dire TOUT le monde) pour réclamer des salaires plus hauts, du temps de travail en moins remplacé par de nouveaux postes en CDI, réclamer une plus juste répartition des richesses, une sécurité de l'emploi pour tous... Mais c'est trop dur, on va juste demander de retirer une paille dans l'œil du voisin sans même oser toucher à la poutre dans le notre... Mais à force, la poutre; on l'a dans le .... hic! ça pique!!!!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
mikado43 Publication: 22 novembre 2012 Partager Publication: 22 novembre 2012 les pauvres sont utile au monde la preuve les états-unies en ont et c'est pas par snobisme quand même (de notre dernier grand philosophe) les pauvres sont l'alibi des riches , " manger du caviar à la louche pendant une soirée caritative pour la lutte contre la pauvreté",et pour les pauvres HI PI PIP OURA et pour le caviar TANT QU'IL EN AURA ON BOUFFERA !!!!! 1 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
zoreglube Publication: 2 mars 2015 Partager Publication: 2 mars 2015 Salut , Pauvres , quels pauvres ??? http://www.laviedesidees.fr/Sur-le-terrain-des-riches.html 2 Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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