Invité jackv Publication: 10 octobre 2016 Publication: 10 octobre 2016 (modifié) http://www.lexpress.fr/actualite/societe/fait-divers/clermont-ferrand-un-agent-sncf-hospitalise-apres-une-violente-agression_1839089.html Clermont-Ferrand: un agent SNCF hospitalisé après une violente agression il s'en est pris à l'agent de la SNCF de 41 ans. "Il a saisi un ordinateur qui était sur un bas-flanc, à côté, et le lui a lancé à la tête. L'agent est tombé au sol, sonné. Son agresseur l'a alors roué de coups de poing à la tête, jusqu'à ce qu'il perde connaissance", ajoute notre source. Une heure après l'agression, une femme de ménage a pris son service. Elle découvre une gare dévastée: vitres cassées, bureaux retournés. "Même des vitres relativement épaisses ont été cassées", explique la source policière, qui ajoute qu'un train a subi des dégradations. "Il a cassé une porte vitrée pour accéder à un wagon", ajoute-t-elle. http://france3-regions.francetvinfo.fr/auvergne/puy-de-dome/clermont-ferrand/clermont-ferrand-employe-sncf-violemment-agresse-gare-1104789.html Modifié 10 octobre 2016 par jackv
Invité Fabr Publication: 10 octobre 2016 Publication: 10 octobre 2016 ...las.... ...la violence, comme seule référence....chronique devenue banale d'une société qui va mal.... ...Courage à l'agent, et à ses collégues.... Fabrice
TintinGV Publication: 10 octobre 2016 Publication: 10 octobre 2016 Courage à l'agent. Je viens de lire cela dans La Montagne.
Invité jackv Publication: 10 octobre 2016 Publication: 10 octobre 2016 Il y a 1 heure , Fabr a déclaré: ...las.... ...la violence, comme seule référence....chronique devenue banale d'une société qui va mal.... ...Courage à l'agent, et à ses collégues.... Fabrice et oui la bête reprend le dessus chez certain humain..
Arandir60 Publication: 10 octobre 2016 Publication: 10 octobre 2016 encore un "sauvageon" ? Bref un bien triste incident qui renforce encore l'impression d'insécurité régnante / que veulent nous faire subir les journaleux... Courage à l'agent et que le coupable soit puni à juste mesure
PLANONYME Publication: 12 octobre 2016 Publication: 12 octobre 2016 (modifié) Sur 10/10/2016 at 11:34 , jackv a déclaré: Clermont-Ferrand: un agent SNCF hospitalisé après une violente agression Cela justifierait certainement une discussion dans un sujet à part sous l'angle du CHSCT mais, faute de mieux, ici quelques rappels d'éléments de prévention que je sais superbement ignorés dans l'entreprise, y compris assez souvent par les membres des CHSCT parfois ignorants de la réglementation concernant les travailleurs isolés. Je prends les paris que des lecteurs de ce message vont être étonnés de mon apport. Succinctement : Le Décret du journal officiel du 20 février 1992 stipule que :«Lorsque l'opération est exécutée de nuit ou dans un lieu isolé à un moment où l'activité de l'entreprise utilisatrice est interrompue, le chef de l'entreprise concernée doit prendre les mesures nécessaires pour qu'aucun salarié ne travaille isolément en un point où il ne pourrait être secouru à bref délai en cas d'accident».Le travail isolé doit figurer parmi les risques listés dans le Document Unique de Sécurité de l’établissement pour la prévention et la maitrise des risques professionnels. Une mesure pratique sera d'équiper un salarié isolé d'un D.A.T.I. - Dispositif d'Alarme pour Travailleur Isolé. La mise en place d’un DATI permet de répondre à la réglementation (article R 4224-16 du code du Travail) imposant au chef d’entreprise d’assurer les premiers secours aux accidentés et blessés : en effet, le DATI est un système de télécommunication qui transmet une alarme en cas de défaillance ou d’agression du travailleur isolé vers un poste de surveillance. La dotation d’un DATI à un travailleur isolé est une mesure préventive insuffisante si elle n’est pas accompagnée d’une permanence à l’écoute ayant une procédure rapide et compétente en cas d'alerte DATI, des consignes d’intervention efficaces (moyens, plan d’évacuation, ...).Ces systèmes, qui permettent la détection de l‘état physique du travailleur et sa localisation, sont constitués au minimum par un émetteur porté par le travailleur isolé et un récepteur placé dans l’entreprise, pour recevoir l‘alarme à un poste de surveillance et la transmettre aux secours.Il existe de nombreux modèles, allant d’un dispositif très simple (bracelet électronique) disposant uniquement d’un bouton sur le boîtier donnant l’alerte par pression à une plateforme, mais il existe aussi des dispositifs qui permettent d’échanger avec la plateforme en cas d’alerte, avec des capteurs détectant la perte de verticalité (chute du travailleur) ou de mouvement (perte de conscience du travailleur) et qui sont de plus dotés de balise GPS permettant ainsi une géo-localisation.L’alarme peut être déclenchée volontairement, en cas de danger imminent ou d’agression, ou automatiquement en cas de malaise ou d’accident.. Lorsque je siégeais en CHSCT, il y avait des activités Transilien dans notre périmètre de compétence territoriale. Et notamment les agents appelés à circuler seuls dans les emprises d'une gare pour différentes missions et donc potentiellement exposés à des risques d'agression. Ils étaient équipés d'un DATI. Une tournée d'inspection CHSCT avait révélé qu'ils en connaissaient assez mal le principe de fonctionnement. Notamment, spontanément en cas d'agression, ils faisaient tout pour rester debout ou tenter de se relever immédiatement, alors que le dispositif était prévu de se déclencher automatiquement en cas de perte de verticalité (car dans le feu de l'action d'une agression il n'est pas forcément aisé d'appuyer sur le bouton d'appel d'urgence idoine). Les extraits cités viennent de cette page : http://www.officiel-prevention.com/protections-individuelles/dati-travailleur-isole/detail_dossier_CHSCT.php?rub=91&ssrub=202&dossid=265, elle même résumé d'une brochure de l'INRS. Le récit des circonstances de la découverte du collègue agressé par un agent de nettoyage au petit matin me fait penser que ce chef d'escale n'était équipé d'aucun dispositif de sûreté de cette nature. Modifié 12 octobre 2016 par PLANONYME fautes de frappe 4
Pascal 45 Publication: 23 novembre 2016 Publication: 23 novembre 2016 (modifié) SNCF : perturbations à la gare Saint-Lazare après l'agression d'un conducteur (source Le Parisien - 23/11/2016) Citation Les perturbations vont durer toute la soirée. En raison de l’agression d’un conducteur, ce matin mercredi 23 novembre 2016, à Saint-Lazare, les cheminots ont cessé le travail en début d’après-midi. Le trafic au départ de Saint-Lazare et sur les lignes L et J est actuellement fortement perturbé. Le trafic est notamment totalement interrompu entre Paris-Saint-Lazare et Cergy-le-Haut, Saint-Cloud et Versailles Rive Droite, Saint-Germain-en-Laye Grande Ceinture et Noisy-le-Roi (Ligne L). Sur la ligne J, en direction des Mureaux et de Mantes-la-Jolie, de nombreux trains sont supprimés. Une réunion extraordinaire du Comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) est actuellement en cours ... http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/arret-de-travail-en-cours-a-saint-lazare-23-11-2016-6365760.php Modifié 23 novembre 2016 par Pascal 45
cc27001 Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 C'est pas banal.... http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/paris-pagaille-a-saint-lazare-a-cause-d-une-dispute-23-11-2016-6366633.php Citation Tout débute dans la matinée. En arrivant gare Saint-Lazare, un conducteur est pris à partie et copieusement insulté par un voyageur mécontent pour des raisons qui restent floues. Assistant à l’échange entre les deux hommes, un cadre de la SNCF prend alors la défense du voyageur, l’incitant apparemment à porter plainte contre le conducteur ! Une attitude pas très «corporate» qui aurait envenimé la situation et poussé ce conducteur à déclarer un «dépôt de sac», - autrement dit un arrêt de travail. L’incident prend une ampleur inattendue quand, les syndicats CGT et Sud Rail appellent à débrayer en début d’après-midi en soutien à leur collègue. «Nos conducteurs sont malheureusement habitués aux réactions désagréables de certains usagers mais ils ne se mettent généralement pas en grève pour une simple insulte. C'est vraiment l'intervention de ce cadre qui a envenimé la situation». la lutte des classes vient de faire 500000 victimes, qui ont eu à subir des retards conséquents ou des suppressions de trains. 3
CRL ACH Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Ce n'était pas un cadre apparemment......gros foutoir jusqu'en fin de soirée ou les trains étaient affichés au compte goutte, même pour nous, même son de cloche, pas de jaloux. Le trafic reprend vers 16h45 visiblement mais bordel jusqu'au dernier train.....droit de retrait injustifié mais on commence à en avoir l'habitude.....à croire que certains aiment bien faire chier les voyageurs et se mettre encore plus à dos la population.....comme si on n'était assez détesté! 3
PLANONYME Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 (modifié) Mon petit doigt me dit que la raison du "litige" et de l'engueulade entre le voyageur et le conducteur pourrait être une fermeture de portes jugée, à tort ou à raison, un peu rapide ou cavalière par le premier. Quand un autre cheminot (cadre ou pas) essaye de ramener le calme entre les protagonistes en invitant le voyageur à déposer une plainte contre le conducteur (manière de lui dire de déposer une réclamation), cela ne veut pas dire que celui qui intervient met en cause le conducteur. Mais ce dernier, l'aura peut-être perçu comme ça ? Simples suppositions à partir d'une lecture entre les lignes de ce qui est relaté ici ou là sur cet incident (les médias puisque je n'ai pas réussi à trouver le moindre communiqué syndical !). Droit de retrait ou grève sauvage ? Eternel débat. Je suis à peu-près sûr que même les représentants du personnel siégeant en CHSCT extraordinaire ont été gênés et emmerdés, ne sachant pas par quel bout prendre ce problème. Je sais comment ça se passe : la direction invite les représentants du personnel à se débrouiller pour que les circulations reprennent le plus vite possible, en échange de quoi elle promet de ne pas être trop regardante sur les conditions de déclenchement de l'arrêt de travail. Jusqu'au prochain ! Je suis émerveillé par la rapidité avec laquelle le Président du CHSCT a réussi à réunir son instance ! Tout le monde était là ? Dans l'absolu, le danger grave et imminent c'est aujourd'hui qu'il est présent. Car on ne prend pas impunément en otage - j'emploie à dessein et en conscience ce mot tabou sur ce forum - 500 000 voyageurs (c'est le chiffre de cc27001) sans les mettre à cran et créer une situation à partir de laquelle n'importe quoi peut dégénérer. Si quelqu'un est capable de donner une version crédible et vérifiée, autre que mes suppositions et supputations, nous serons tous preneurs. Modifié 24 novembre 2016 par PLANONYME
aldo500 Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Bref! La routine, presque. Malheureusement. 1
cyclodocus Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 sauf que s'il s'agit vraiment d'une fermeture des portes jugée trop rapide (par qui ? et selon quelles "capacités" de jugement) on oublie que puisqu'il y a dorénavant agent seul, c'est au mécano de décider quand il ferme. Et ceci en fonction de l'horaire à respecter et de l'affluence sur le quai. il est évident que s'il attend le voyageur qui arrive du bout du quai (en courant, ou pas), il est toujours là le lendemain. Et donc qu'à chaque arrêt il va y avoir des frustrés.... et que plutôt que de perdre 4 h à semer la m... pour passer son mécontentement, ben on prend le RER qui suit 2
CRL ACH Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Apparemment le CRL est membre du CHSCT. On est à 500000 voyageurs quotidiens sur lignes L et J, pas sur Saint Lazare et encore moins sur une après-midi. Bref, j'ai bossé hier soir et aucun des collègues avec qui j'ai discuté ne comprenait le pourquoi de ce droit de retrait, je m'en suis même posé la question s'il y en avait vraiment eu un. Bon j'ai bien eu confirmation qu'il y en a bien eu un mais je cherche toujours à savoir pourquoi.....malgré les deux messages envoyés par la direction et le tract de Sud, bien je ne comprends toujours pas pourquoi. Ça doit être parce que c'est un cheminot qui est venu foutre sa merde, je ne vois rien d'autres. Tiens, si jamais des voyageurs ou associations portent plainte, à mon avis, les collègues qui ont débrayé seraient mal. 1
Invité jackv Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Il y a 8 heures , cc27001 a déclaré: C'est pas banal.... http://www.leparisien.fr/info-paris-ile-de-france-oise/transports/paris-pagaille-a-saint-lazare-a-cause-d-une-dispute-23-11-2016-6366633.php la lutte des classes vient de faire 500000 victimes, qui ont eu à subir des retards conséquents ou des suppressions de trains. tu devais faire une souscription pour construire un monument...pour les pauvres otages braqués lâchement par des conducteurs
PLANONYME Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 (modifié) Il y a 1 heure , CRL ACH a déclaré: et le tract de Sud Tu peux nous faire partager le tract de SUD ? Je n'ai pas trouvé sur les réseaux sociaux. Pourtant, c'est une organisation qui a une certain savoir-faire en la matière. Il y a 3 heures , cyclodocus a déclaré: il est évident que s'il attend le voyageur qui arrive du bout du quai (en courant, ou pas), il est toujours là le lendemain. Qui n'a jamais vu la porte se fermer au nez d'un voyageur au moment où il monte à bord ? L'heure d'accord. Mais "service voyageur terminé". Une fois, j'ai eu à traiter un gros litige. La moitié d'un groupe d'enfants était encore sur le quai quand le TGV s'est remis en mouvement (départ donné par l'ASCT à la gare du Futuroscope). Là-aussi, ça s'était envenimé avec l'ASCT. Des accompagnants du groupe, déjà à bord, avaient tiré le signal d'alarme. Et plutôt que de faire amende honorable (il n'avait pas vu d'accord, mais son boulot c'était non seulement de regarder mais de voir...), l'ASCT voulait verbaliser pour un signal d'alarme qu'il jugeait intempestif. Pour lui, pas de danger immédiat. Dans l'absolu, oui. Tant les enfants déjà à bord que ceux encore sur le quai étaient tous en sécurité ! Mais enfin. Discernement, le maître-mot dans ce genre de situation. Modifié 24 novembre 2016 par PLANONYME
Invité jackv Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Car c’est un «art», la fermeture des portes. Nous y voilà. Une fois que tout le monde a trouvé son siège, son petit espace, sa barre pour s’accrocher, son mètre cube disponible, il est temps de partir. Alors on lance le «vibreur» de fermeture des portes, le fameux «Biiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii» (j’le fais bien, n’est ce pas?). Vous savez bien, ce qui vous avertit que vous ne DEVEZ PLUS MONTER ou DESCENDRE http://transport.blogs.liberation.fr/2012/04/10/les-gazelles-et-les-blaireaux/
Roukmoute Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Il y a 5 heures , PLANONYME a déclaré: je n'ai pas réussi à trouver le moindre communiqué syndical ! 'Faut venir sur cheminots;net :
Invité jackv Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 (modifié) http://www.infoprudhommes.fr/note-juridique/931-le-droit-de-retrait Le droit de retrait lorsqu’il est motivé n’entraîne ni sanction, ni retenue sur salaire (article L4131-3 du CT). S’il y a divergence de point de vue entre l’employeur et le salarié sur l’existence « d’un motif raisonnable » justifiant le droit de retrait , l’employeur devra saisir le juge du fond et justifier du fait que le danger n’était ni GRAVE ni IMMINENT Il pèse en effet sur l’employeur une obligation de sécurité de résultats en matière de prévention des ATMP et le seul fait qu’un salarié soit obligé d’exercer son droit de retrait est une présomption de non respect de cette obligation. en compilant plusieurs informations qui se recoupent.. Le salarié doit avoir « un motif raisonnable de penser que la situation de travail présente un danger grave et imminent pour sa vie ou sa santé ». Qu’est-ce qu’un motif raisonnable ? Il est illusoire de tenter d’en donner une définition précise. Cette notion porte en elle une part irréductible d’indétermination. En cas de litige, c’est le juge qui tranchera. Il est néanmoins possible de préciser quelques paramètres importants dont tient compte le juge pour reconnaître ou pas le bien fondé du droit de retrait. L’appréciation du caractère raisonnable ne se fait pas de manière abstraite, mais tient compte des connaissances du salarié, de son état physique ou psychique au moment du droit de retrait. Cela signifie que la réalité du danger n’a pas à être prouvée par le salarié. Il suffit qu’il ait un motif raisonnable de penser qu’un tel danger existe. Le fait qu’il n’y ait, objectivement, aucun danger ne prive pas ipso facto le salarié de la protection attachée au droit de retrait. Le motif raisonnable n’est pas forcément extérieur au travailleur. Le salarié dont l’état de santé ne lui permet pas d’occuper le poste auquel il est affecté peut donc exercer son droit de retrait. Si le salarié peut s’appuyer sur les préconisations ou réserves faites par le médecin du travail, le bénéfice du motif raisonnable lui est reconnu par les juges. Le droit de retrait collectif A la suite d’une agression de contrôleurs le 28 mars 2005, cent vingt-six agents de la SNCF, indiquant exercer leur droit de retrait, ont refusé de prendre leur service les 29 et 30 mars 2005. L’employeur contestant le bien fondé de leur droit de retrait a opéré des retenues de salaires pour ces 3 journées. Le Conseil de Prud’hommes de Chambéry a relevé que les trois agresseurs du 28 mars 2005, n’ayant pas été interpellés les 29 et 30 mars, présentaient un danger pouvant laisser craindre pour la sécurité des agents en service sur toute la région. Il estime par conséquent que les salariés ont exercé légitimement leur droit de retrait. Cette analyse a été approuvée par la Cour de cassation. n° 07-43740 (D) Cass.soc.22 octobre 2008 Le droit de retrait préventif Un salarié peut-il refuser une mission dans un pays en proie à des troubles (guerre civile, risque d’enlèvement etc.) ? Dans une circulaire ministérielle DGT 2009/16 du 3 juillet 2009 pour les salariés en mission à l’étranger, il est écrit à ce sujet que « si le salarié est dans une zone à risque (…) et que son employeur ne souhaite pas le rapatrier malgré sa demande, le salarié peut invoquer le droit de retrait si les conditions en sont réunies Modifié 24 novembre 2016 par jackv
cc27001 Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Il y a 9 heures , CRL ACH a déclaré: On est à 500000 voyageurs quotidiens sur lignes L et J, pas sur Saint Lazare et encore moins sur une après-midi. Le chiffre moyen est de 537000/jour en 2014, tous les voyageurs ne vont pas à St Lazare mais le trafic perturbait l'ensemble des lignes. Et pour les navetteurs, en général ils prennent le train pour aller au boulot le matin, et pour en revenir le soir. Donc on ne doit pas être loin des 500000 voyageurs impactés.
Inharime Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 il y a 22 minutes, cc27001 a déclaré: Le chiffre moyen est de 537000/jour en 2014, tous les voyageurs ne vont pas à St Lazare mais le trafic perturbait l'ensemble des lignes. Et pour les navetteurs, en général ils prennent le train pour aller au boulot le matin, et pour en revenir le soir. Donc on ne doit pas être loin des 500000 voyageurs impactés. Si il y a 500000 aller-retour par jour ça fait 250000 personnes. Même si le voyageur est impacté à l'aller comme au retour c'est toujours le même individu. C'est juste un malchanceux. 1
Invité jackv Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 il y a 7 minutes, Inharime a déclaré: Si il y a 500000 aller-retour par jour ça fait 250000 personnes. Même si le voyageur est impacté à l'aller comme au retour c'est toujours le même individu. C'est juste un malchanceux. 1 parmi les 250000 autres
cc27001 Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 un "malchanceux" ou un client spolié du produit qu'il a acheté ?
Invité jackv Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Il y a 1 heure , cc27001 a déclaré: un "malchanceux" ou un client spolié du produit qu'il a acheté ? mais non il n'y a pas de date de péremption
Anne78 Publication: 24 novembre 2016 Publication: 24 novembre 2016 Il y a 13 heures , cyclodocus a déclaré: sauf que s'il s'agit vraiment d'une fermeture des portes jugée trop rapide (par qui ? et selon quelles "capacités" de jugement) on oublie que puisqu'il y a dorénavant agent seul, c'est au mécano de décider quand il ferme. Et ceci en fonction de l'horaire à respecter et de l'affluence sur le quai. il est évident que s'il attend le voyageur qui arrive du bout du quai (en courant, ou pas), il est toujours là le lendemain. Et donc qu'à chaque arrêt il va y avoir des frustrés.... et que plutôt que de perdre 4 h à semer la m... pour passer son mécontentement, ben on prend le RER qui suit A quoi servent les caméras sur les quais? Pourquoi ne pas les visualiser pour vérifier qui dit vrai? Prenant les transports en commun depuis des années je suis bien placée pour affirmer que certains conducteurs ont tendance à fermer les portes avec un peu de précipitation dans une région ile de France saturee d habitants entraînant des quais bondés. Ces pratiques présentent un certain degré de risque pour les voyageurs. A l époque ou nous vivons, un peu de bienveillance a l égard de ses semblables ne serait pas du luxe.
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