www.webtrains.net Publication: 22 juillet 2010 Partager Publication: 22 juillet 2010 (modifié) Dernière ligne droite pour la LGV BretagnePays de la Loire. Ayant pour objectif de choisir le titulaire fin 2010, RFF a adressé aux candidats les documents leur permettant de remettre une offre finale pour le projet de réalisation des 214 km de lignes nouvelles entre Le Mans et Rennes. Lisez l'article : http://www.webtrains.net/actualites.php?article=1000002919 Modifié 23 juillet 2010 par CRL COOL mise en accès direct du lien Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CRL COOL Publication: 28 août 2010 Partager Publication: 28 août 2010 Pour compléter l'article de Webtrains http://www.letelegramme.com/ig/generales/fait-du-jour/tgv-breton-un-train-de-questions-25-08-2010-1028392.php On saura avant la fin de l'année qui de Vinci, Bouygues ou Eiffage construira la Ligne à grande vitesse(LGV) entre LeMans et Rennes. Si l'État a confirmé sa participation financière, il peine à le faire pour la modernisation des lignes Rennes-Quimper et Rennes-Brest après 2013. Brest et Quimper à trois heures de Paris: l'objectif se rapproche mais, comme souvent, c'est la dernière ligne droite qui est la plus difficile. Bien des obstacles ont été surmontés mais il en reste encore quelques-uns à franchir, que la situation budgétaire de l'État rend plus délicats à négocier. Point positif: malgré ses difficultés financières, l'État s'est engagé à sanctuariser sa participation(1milliard d'euros) au projet de ligne à grande vitesse entre LeMans et Rennes. Une décision obtenue en juillet dernier, après des discussions avec le cabinet de Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Écologie. Un arrêté ministériel sera bientôt pris pour officialiser cet engagement. Une décision importante car elle permet à Eiffage, Bouygues et Vinci, les trois candidats à la construction et à l'exploitation de la ligne, d'élaborer leur offre sur du solide. Des négociations ont été engagées avec RFF(Réseau Ferré de France). Encore au moins vingt minutes à gagner «Les candidats ont déjà beaucoup amélioré leur offre pour être dans les clous de l'enveloppe financière», dit-on à la Région. Le groupe qui construira les 182kilomètres de ligne nouvelle sera connu avant la fin de l'année. Ce qui permettra un début des travaux dès 2011, pour une fin de ce gigantesque chantier quatre ans plus tard, sachant que, d'ores et déjà, plus de 95% des acquisitions foncières ont été réalisés. L'objectif est qu'au moment de la mise en service de cette nouvelle ligne -qui fera gagner 37minutes entre Paris et Rennes- la pointe Bretagne soit à3h08 de Paris (avec un seul arrêt). Les travaux réalisés sur Rennes-Brest et Rennes-Quimper d'ici 2013 ne le permettront pas tout à fait, sachant que la solution du pendulaire n'a finalement pas été retenue. Il faudra encore des aménagements sur ces deuxtronçons. Et là se pose évidemment la question de la nature des travaux et de leur financement. C'est à RFF de répondre à cette question. «Dans l'idéal, reconnaît GérardLahellec, chargé du dossier à la Région, il faudrait encore rogner vingt minutes». Si un petit gain peut être espéré avec la mise en service de rames très puissantes qui donneront leur maximum entre Rennes et Paris, d'importants aménagements resteront nécessaires après la mise en service de la Ligne à grande vitesse (LGV) sur les axes Rennes-Brest et Rennes-Quimper pour atteindre l'objectif final, celui des trois heures. Interrogations Côté financement, les choses risquent d'être encore plus compliquées compte tenu de l'état des finances publiques. Le dernier Comité de pilotage ferroviaire en a été l'illustration avec le refus de l'État d'inscrire, dans la deuxième phase, les études de modernisation de l'axe Rennes-Redon. Même si, du côté de la Région, on ne veut pas en tirer de conclusions hâtives, la non-inscription explicite dans l'avant-projet du Snit (Schéma national des infrastructures de transport) des aménagements à réaliser sur les axes infrarégionaux après 2013 suscite également de légitimes interrogations, voire des inquiétudes. L'association Investir en Finistère, qui redoute que la priorité soit donnée à l'axe Rennes-Nantes (via le futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes), n'a pas manqué de monter au créneau. La bataille du rail n'est pas terminée. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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