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Les TERs en situation perturbée... On sait quand ils roulent et surtout quand ils ne roulent pas, c'est à dire que ceux qui roulent sont des bus quand il y en a de disponible, pendant que les TGVs eux, roulent.

Je refuse que Limoges décide de ce qui doit rouler ou pas sur la ligne POLT, et le diktat qu'ils ont accepté avec la LGV cul-de-sac Limoges-Poitiers de tuer noir sur blanc la Liaison Paris - Limoges - Toulouse...

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Les TERs en situation perturbée... On sait quand ils roulent et surtout quand ils ne roulent pas, c'est à dire que ceux qui roulent sont des bus quand il y en a de disponible, pendant que les TGVs eux, roulent.

Je refuse que Limoges décide de ce qui doit rouler ou pas sur la ligne POLT, et le diktat qu'ils ont accepté avec la LGV cul-de-sac Limoges-Poitiers de tuer noir sur blanc la Liaison Paris - Limoges - Toulouse...

Ca ne répond pas à ma question.

Sinon, essaye d'apporter des arguments, chiffrés si possible.

Le fait que la liaison Paris - Limoges - Toulouse saute lorsqu'il y aura la LGV Bordeaux - Toulouse (et même probablement avant, lorsque Toulouse sera à 4H de Paris), c'est ce qui c'est passé quand la LGV Med a ouvert il y a 10 ans sur la liaison Paris - Marseille. Les Paris - Marseille ne s'arrêtent plus à Lyon, mais ce n'est pas pour autant qu'il n'y a plus de liaison TER Lyon - Marseille.

Les TER en situation perturbée c'est comme partout, mais si tu as des exemples concrets, merci de les donner.

Pour la liaison Paris - Limoges - Brive via Poitiers lorsqu'il y aura la LGV, il appartient à mon avis aux populations concernées de se battre pour que certaines soient prolongées jusqu'à Cahors, avec des arrêts à Souillac et Gourdon, plutôt que de toujours tout refuser en bloc.

Nico

Publication: (modifié)

Des arguments chiffrés? Bien à l'ouverture des LGV, SEA et GPSO il y aura 0 trains nationaux qui desserviront Brive - Toulouse et Brive - Port-Bou, vu que tout passera par Bordeaux ou Lyon, c'est aussi basique que cela, comme il n'y a pas/plus d'Aubrac et de Cévenol...

Et question chiffre, en tant que contribuable corrézien, malgré mon intérêt pour le CdF, j'ai un aéroport international de Brive-Souillac à amortir, qui suffit largement aux besoins des ultra-pressés, et que l'on connectera peut-être un jour ou l'autre à la ligne POLT; et un TGV Brive-Lille avec une magnifique régularité, qui fait déjà réfléchir sur le prix d'une desserte 100% LGV + TER que l'on ne pourra pas se payer avec la nouvelle réforme territoriale.

Pour Souillac et Gourdon, on se bat depuis deux ans pour garder ces arrêts sur une malheureuse ligne Téoz, dont le directeur régional répond au vice-président du CR Limousin qu'il ne peut comme amélioration du matériel que changer le Vynile des toilettes et la moquette du couloir, alors arrêter des TGVs à Souillac et Gourdon, c'est une totale utopie!

Et de toutes façons, c'est un Y occitano-catalan qu'il faut construire, reliant Toulouse, Perpignan, Barcelone, Montpellier et Marseille, soit à la louche 8 millions de personnes dans un ensemble à très haute valeur ajoutée, au lieu de francillianiser Toulouse!

Luke

Modifié par dyonisos
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ce qui m'énerve dans cette histoire de LGV garonne, c'est que la ligne classique BX TE se meure.

Dernier chantier en date, entre Tonneins et Aiguillon , les dernières traverses bois sont retirées , pas via un RVB massif mais par du rafistolage.

Par contre, rien de prévue pour retirer les 166 km de cantons en BAPR sur les 256 KM de la ligne. Ce type de bloc est saturé par le traffic actuel aux heures de pointes. Il empêche même tout développement possible.

Mettre toute cette ligne en Bloc Automatique Lumineux, et refaire du RVB massif sur un certain nombre de tronçons, serait salutaire en attendant cette fameuse LGV.

de plus cette dernière n'a de sens que si la LGV entre BX et Tours est terminée. Or nous en sommes très loin.

pour finir , je me demande à quelle date le tronçon LGV BX-TE sera rentabilisé?

Publication: (modifié)

ce qui m'énerve dans cette histoire de LGV garonne, c'est que la ligne classique BX TE se meure.

Dernier chantier en date, entre Tonneins et Aiguillon , les dernières traverses bois sont retirées , pas via un RVB massif mais par du rafistolage.

Par contre, rien de prévue pour retirer les 166 km de cantons en BAPR sur les 256 KM de la ligne. Ce type de bloc est saturé par le traffic actuel aux heures de pointes. Il empêche même tout développement possible.

Mettre toute cette ligne en Bloc Automatique Lumineux, et refaire du RVB massif sur un certain nombre de tronçons, serait salutaire en attendant cette fameuse LGV.

de plus cette dernière n'a de sens que si la LGV entre BX et Tours est terminée. Or nous en sommes très loin.

pour finir , je me demande à quelle date le tronçon LGV BX-TE sera rentabilisé?

Purée, mais c'est pire à ce point-là? Là, je comprends mieux le déraillement du TGV il y a une dizaine d'année dans les Landes; même sur des liaisons "stratégiques TGV", on n'a pas renouvelé les voies assez tôt pour en assurer la sécurité "totale"?

Pour la LGV, que l'on me démontre "avec des chiffres" que le trafic aérien Paris <-> Toulouse sera réduit à la portion congrue de ceux qui sont accros à l'avion et qui ont la phobie du train, genre >300000 passagers par an sur les 2,4 millions de passagers "avions" actuels; et je croirais à la rentabilité de ce projet.

Sinon, si c'est comme à Marseille avec 51% de passagers trains et 49% pour l'avion sur Paris - Marseille, ça promets un beau bouillon bien re-subventionné...

Modifié par dyonisos
Publication: (modifié)

Bonjour,

et si cette ligne ne se réalisait tout simplement pas ? Sa rentabilité est en effet loin d'être assurée, et son financement encore moins. helpsoso

Un article général à lire à ce sujet :

http://www.20minutes...estent-financer

L'ambitieux programme de construction de lignes ferroviaires à grande vitesse du gouvernement laisse élus et professionnels perplexes, alors que les caisses sont vides et que le réseau classique montre des signes d'essouflement.

Pour offrir des alternatives à la route et à l'avion, le Grenelle de l'environnement a prévu le lancement de 2.000 km de lignes à grande vitesse (LGV) d’ici 2020, puis de 2.500 km supplémentaires dans les années suivantes.

Le projet de Schéma national des infrastructures de transport (Snit), publié fin janvier, confirme ce choix. Il envisage plus d'une centaine de milliards d'euros d'investissements.

Mais s'il a même ajouté quelques projets à une liste déjà longue, le Snit reste très discret sur les questions d'argent.

"Je pense que c'est finançable", assure la nouvelle ministre de l'Ecologie, Nathalie Kosciusko-Morizet.

"Regardez comment on fait sur le Paris-Strasbourg, on y arrive. (...) On demande des participations aux collectivités territoriales, parce que ça leur permet, à elles, de se développer. C'est du partenariat bien compris", affirme-t-elle.

Mais l'exemple de la ligne Tours-Bordeaux donne à réfléchir. Le financement de ce projet de 7,8 milliards d'euros n'est toujours pas bouclé, après des mois de négociations.

Les collectivités locales commencent à dire de plus en plus fort qu'elles ne pourront pas suivre, tandis qu'un appel au privé pour compléter ne va pas forcément de soi pour cause de menace d'une forte hausse du prix des billets.

Quant à Réseau ferré de France (RFF), le gestionnaire public des voies ferrées françaises, il ne peut plus s'endetter que si les investissements sont vraiment rentables. Ce qui ne semble pas le cas de bon nombre de projets...

Du coup, on commence à entendre ici et là qu'une bonne partie des projets du Snit ne seront jamais réalisés.

Le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin (UMP), a par exemple glissé qu'"il n'y aura peut-être jamais (...) de LGV" entre Marseille, Toulon et Nice (un projet d'au moins 15 milliards d'euros).

Et le débat a pris une nouvelle tournure avec l'avalanche d'incidents qui a perturbé les trains au début de l'hiver. Elle a montré qu'une bonne partie du réseau est en piteux état.

"Ce programme de LGV, c'est comme si on construisait de nouvelles ailes à un château dont on n'aurait pas les moyens de refaire les toitures", note un haut dirigeant de la SNCF.

Un de ses collègues ose une comparaison avec une certaine "aristocratie décadente", ce qui n'empêche pas l'entreprise publique --qui ne paie plus la construction des lignes-- de plaider pour de nouvelles infrastructures dans des réunions sur le terrain.

Le député UMP de la Drôme Hervé Mariton a expliqué à l'AFP qu'il comptait obtenir une réduction des ambitions du Snit, dans lequel "il y a un trop grand linéaire de lignes nouvelles".

Officiellement, le gouvernement veut à la fois construire des LGV et rénover le réseau.

"Qui serions-nous si nous laissions aux générations futures quelques milliers de kilomètres de ligne à grande vitesse, et, à côté, 30.000 km de voies non entretenues à reconstruire?", a ainsi plaidé lundi le Premier ministre François Fillon, sur le chantier de la LGV Rhin-Rhône.

Mais en l'état actuel des choses, RFF n'a pas les moyens de maintenir le réseau existant, ses revenus n'atteignant que 83% de la somme nécessaire.

D'où la remise en cause du choix du TGV par certains élus.

"On ne mettra pas de LGV partout. Or, en ce moment, il n'y a pas de solution alternative. Or, c'est la solution alternative, qui nous intéresse!", lance le député-maire PS de Caen, Philippe Duron.

Il imagine des trains plus rapides que les bons vieux Corail, qui ne seraient pas des TGV mais seraient moins chers et peut-être plus réalistes.

© 2011 AFP

Modifié par CRL COOL
ajout de la citation
  • 1 mois plus tard...
  • 4 mois plus tard...
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Un site vient d'être créé sur le passage à 4 voies (au lieu de 3) de la portion Toulouse - St Jory, qui doit être mis en service lorsque la LGV arrivera à Toulouse.

http://www.saintjory-toulouse.fr/

  • 4 mois plus tard...
Publication:

Elle dit l'inverse d'une semaine sur l'autre... : http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2012/01/02/97001-20120102FILWWW00288-nkm-la-lgv-bordeaux-toulouse-se-fera.php

NKM: la LGV Bordeaux-Toulouse se fera

AFP Mis à jour

le 02/01/2012 à 15:13

La ministre des Transports, Nathalie Kosciusko-Morizet, assure que l'extension de ligne à grande vitesse (LGV) de Bordeaux vers l'Espagne et vers Toulouse se fera, tentant ainsi de rassurer les collectivités qui avaient menacé de suspendre leur financement. "Le Grand Projet Sud-Ouest (GPSO) n'est pas remis en question. C'est très clair", a affirmé la ministre dans un entretien paru lundi dans le journal Sud Ouest.

"Il y a un calendrier précis qui fait l'objet d'un protocole. Pour la liaison Bordeaux-Espagne, comme pour Bordeaux-Toulouse, nous avons un engagement de mise à l'enquête publique courant 2013, avec une déclaration d'utilité publique (DUP) en 2014", a-t-elle dit au quotidien régional. Concernant le troisième prolongement entre Poitiers et Limoges, "on est engagés sur une enquête publique en 2012, pour une DUP en 2013".

Des collectivités, comme le conseil régional Midi-Pyrénées ou le conseil général des Pyrénées-Atlantiques, avaient indiqué en décembre qu'elles suspendraient leur financement acté pour la ligne Tours-Bordeaux, dont la construction va commencer, et exigeraient le remboursement des sommes versées si elles n'obtenaient pas de confirmation de l'extension de la LGV vers l'Espagne et Toulouse.

Ces réactions faisaient suite aux déclarations de la ministre lors de la clôture des Assises du ferroviaire, le 15 décembre, où devant les difficultés financières de l'Etat et des collectivités, elle avait fait part de son intention de demander une évaluation de la pertinence socio-économique des prochaines lignes à grande vitesse. Si NKM a assuré dans les colonnes de Sud Ouest que "la parole de l'État ne sera pas remise en cause sur le GPSO, qui est un coup parti", elle a cependant indiqué que le gouvernement devrait "faire des choix (...) pour ce qui est des lignes nouvelles".

Publication:

Elle dit l'inverse d'une semaine sur l'autre... : http://www.lefigaro....use-se-fera.php

NKM: la LGV Bordeaux-Toulouse se fera

AFP Mis à jour

le 02/01/2012 à 15:13

La ministre des Transports, Nathalie Kosciusko-Morizet, assure que l'extension de ligne à grande vitesse (LGV) de Bordeaux vers l'Espagne et vers Toulouse se fera, tentant ainsi de rassurer les collectivités qui avaient menacé de suspendre leur financement. "Le Grand Projet Sud-Ouest (GPSO) n'est pas remis en question. C'est très clair", a affirmé la ministre dans un entretien paru lundi dans le journal Sud Ouest.

"Il y a un calendrier précis qui fait l'objet d'un protocole. Pour la liaison Bordeaux-Espagne, comme pour Bordeaux-Toulouse, nous avons un engagement de mise à l'enquête publique courant 2013, avec une déclaration d'utilité publique (DUP) en 2014", a-t-elle dit au quotidien régional. Concernant le troisième prolongement entre Poitiers et Limoges, "on est engagés sur une enquête publique en 2012, pour une DUP en 2013".

Des collectivités, comme le conseil régional Midi-Pyrénées ou le conseil général des Pyrénées-Atlantiques, avaient indiqué en décembre qu'elles suspendraient leur financement acté pour la ligne Tours-Bordeaux, dont la construction va commencer, et exigeraient le remboursement des sommes versées si elles n'obtenaient pas de confirmation de l'extension de la LGV vers l'Espagne et Toulouse.

Ces réactions faisaient suite aux déclarations de la ministre lors de la clôture des Assises du ferroviaire, le 15 décembre, où devant les difficultés financières de l'Etat et des collectivités, elle avait fait part de son intention de demander une évaluation de la pertinence socio-économique des prochaines lignes à grande vitesse. Si NKM a assuré dans les colonnes de Sud Ouest que "la parole de l'État ne sera pas remise en cause sur le GPSO, qui est un coup parti", elle a cependant indiqué que le gouvernement devrait "faire des choix (...) pour ce qui est des lignes nouvelles".

J'ai posté la même chose pour le LGV Aquitaine, je ne retrouvais pas ce sujet.

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Et au fond, personne ne la croit...

Max Brisson (UMP) se réjouit de constater que NKM considère le projet GPSO comme « un coup parti, dans la mesure où les financements de la section Tours-Bordeaux sont conditionnés par le prolongement de la ligne au sud de Bordeaux ». Le maire adjoint et conseiller général de Biarritz pense « qu'il est clair aujourd'hui pour la ministre que les projets qui aboutiront seront ceux pour lesquels les collectivités locales seront les plus engagées. Le Conseil général devra donc se montrer extrêmement volontariste pour assurer les dessertes de Bayonne et de Pau. Car le risque de voir le seul tronçon vers Toulouse privilégié, faute d'un engagement assez fort, est évident. Concernant la traversée du Pays basque, Mme Kosciusko-Morizet prend en compte les débats et les émotions suscitées. Ils tranchent avec l'attitude de passage en force manifestée par MM. Rousset et Labazée, comme en témoigne la dernière délibération du Conseil général », conclut M. Brisson. De son côté, Jean-Jacques Lasserre (MoDem) pense que NKM a été « obligée de changer son discours, ce qu'elle a fait ».

Le sénateur indique que l'engagement de l'État à poursuivre au sud de Bordeaux ne le dérange pas. « Je me suis battu pour que la LGV arrive à Bayonne et à Pau. Que l'État souhaite poursuive va dans le bon sens. En revanche, Mme Kosciusko-Morizet dit clairement que les collectivités locales seront appelées au même niveau financier que l'État, ce qui rend le programme extrêmement fragile. Compte tenu des montants annoncés, 11 milliards d'euros - sans compter la desserte de Pau - elle dit d'un côté OK, mais ne rend pas le projet possible. J'ai toujours dit qu'il fallait réserver nos budgets à notre territoire. »

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Le tracé décidé aujourd'hui pour les tronçons Bordeaux Toulouse et Bordeaux Hendaye, mais les anti-LGV se font entendre

Future Ligne à Grande Vitesse : journée décisive

Future Ligne à Grande Vitesse : journée décisive

Les tracés définitifs des tronçons sud (Bordeaux-Toulouse et Bordeaux-Hendaye) seront dévoilés aujourd'hui.

Le comité de pilotage du "grand projet sud-ouest", le GPSO, se réunit aujourd'hui pour déterminer à quel endroit passera très précisément la future ligne à grande vitesse. Les opposants au projet et notamment de nombreux élus basques ont fait le déplacement à Bordeaux. Ils manifesteront pendant la réunion du GPSO.

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Les opposants ne veulent pas entendre parler de nouvelle tranchée dans leur paysage. Ni en Lot-et-Garonne où passera, si elle est entérinée, la liaison rapide entre Bordeaux et Toulouse. Ni au pays basque pour la liaison Bordeaux-Hendaye-Espagne. Pour eux la solution la plus adaptée et la moins coûteuse serait un aménagement des voies existantes.

C'est ce qu'ils scanderont encore aujourd'hui, tous rassemblés à Bordeaux. Une centaine d'élus comptaient faire le déplacement.

Car cette journée est bien décisive dans ce projet de LGV du grand sud-ouest. On connaitra enfin son tracé précis même s'il reste encore de nombreuses étapes avant sa mise en chantier.

Ce tracé dévoilé aujourd'hui devra être entériné par le ministre des Transports à la fin du mois. Puis l'enquête d'utilité publique pourra être lancée. Si tout va bien, s'il n'y a pas de recours et surtout si tous les financements sont trouvés et c'est là la plus grosse difficultés, la déclaration d'utilité publique interviendra. Ce ne sera pas avant fin 2014.

Pour des travaux qui, dans tous les cas, ne commenceront pas avant 5 ans.

Publication:

il ne me font pas rire ces gens-là ! combien d'entre eux n'ont jamais pris un TGV pour Paris en se félicitant que ça aille plus vite ? Heureusement pour eux que plus au nord, certains aient accepté qu'on tranche dans leur paysage. Qui n'est ni plus ni moins précieux pour les uns que pour les autres !

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Questions pour les spécialistes :

Pourquoi faut-il attendre encore 2 ans pour la DUP ?

Et surtout pourquoi faut-il attendre 5 ans pour démarrer les travaux ?? :(

PS : j'ai déplacé vos messages dans le bon sujet.

Publication: (modifié)

Questions pour les spécialistes :

Pourquoi faut-il attendre encore 2 ans pour la DUP ?

Et surtout pourquoi faut-il attendre 5 ans pour démarrer les travaux ?? :(

les 5 ans pour les travaux, c'est lié aux travaux actuels de la LGV Est 2è phase, LGV SEA Tours-Bordeaux.... Les moyens mécanisés ne sont pas multipliables à l'infini malheureusement!

Modifié par CRL COOL
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il ne me font pas rire ces gens-là ! combien d'entre eux n'ont jamais pris un TGV pour Paris en se félicitant que ça aille plus vite ? Heureusement pour eux que plus au nord, certains aient accepté qu'on tranche dans leur paysage. Qui n'est ni plus ni moins précieux pour les uns que pour les autres !

Il y a une différence entre se servir des LGV qui existent (si elles existent, pourquoi s'en priver ?) et demander de nouvelles LGV.

Mais les arguments de certains opposants laissent quand même perplexe. Dans un article d'il y a quelques années, un maire du Lot-et-Garonne expliquait qu'il ne voulait pas de la LGV car elle passerait sur le terrain qu'il voulait consacrer à une nouvelle zone commerciale...

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Il y a une différence entre se servir des LGV qui existent (si elles existent, pourquoi s'en priver ?) et demander de nouvelles LGV.

pour qu'elles existent, il a bien fallu les construire non ? donc elles ont été nouvelles un jour non ?

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pour qu'elles existent, il a bien fallu les construire non ? donc elles ont été nouvelles un jour non ?

Certes mais rien ne dit que ceux qui s'opposent à la LGV Garonne dans leur jardin aient demandé la LGV Atlantique puis SEA dans le jardin des autres.

Néanmoins, connaissant la mentalité de beaucoup d'élus, ça ne serait pas du tout improbable...

Publication:

as-tu connu les opposants de Lambesc sur la LGV-Med. Pour monter manifester à Paris, ils se sont forcés à prendre le train de nuit. Evidemment, ça l'aurait foutu mal de descendre en gare de Lyon d'un ... TGV !!!!

mais les autres fois où ils montaient à Paris, ils voyageaient comment à ton avis ?

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as-tu connu les opposants de Lambesc sur la LGV-Med. Pour monter manifester à Paris, ils se sont forcés à prendre le train de nuit. Evidemment, ça l'aurait foutu mal de descendre en gare de Lyon d'un ... TGV !!!!

mais les autres fois où ils montaient à Paris, ils voyageaient comment à ton avis ?

Pourquoi les personnes qui subissent ou risquent de subir les inconvénients d'une LGV devraient-elles se priver des avantages qu'il apporte, une fois la ligne construite malgré leurs protestations ?

Je ne suis personnellement pas favorable à la LGV POCL. Le jour où elle sera construite, il est bien évident que je prendrai le TGV, comme tout le monde. Ne serait-ce que parce que je n'aurai pas envie de me taper 4 ou 5 heures de trajet avec un changement au moins.

Et je serai sûrement très content de gagner du temps.

Publication: (modifié)

Je ne suis personnellement pas favorable à la LGV POCL. Le jour où elle sera construite, il est bien évident que je prendrai le TGV, comme tout le monde. Ne serait-ce que parce que je n'aurai pas envie de me taper 4 ou 5 heures de trajet avec un changement au moins.

Et je serai sûrement très content de gagner du temps.

ben voilà .... alors sois logique ...

Modifié par 5121
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Pourquoi les personnes qui subissent ou risquent de subir les inconvénients d'une LGV devraient-elles se priver des avantages qu'il apporte, une fois la ligne construite malgré leurs protestations ?

Je ne suis personnellement pas favorable à la LGV POCL. Le jour où elle sera construite, il est bien évident que je prendrai le TGV, comme tout le monde. Ne serait-ce que parce que je n'aurai pas envie de me taper 4 ou 5 heures de trajet avec un changement au moins.

Et je serai sûrement très content de gagner du temps.

A mon avis tu peux dormir tranquille un sacré moment.

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ben voilà .... alors sois logique ...

Il n'y a que toi qui voit la contradiction là où elle n'est pas. Je n'ai, ce qui jusqu'à preuve du contraire reste mon droit, aucune envie que mes impôts servent à financer le déficit de Vinci ou Eiffage dans le PPP monté pour cette ligne et de payer plus cher mon billet. Mais le jour où la LGV POCL sera construite du fait de décisions légalement adoptées par des personnes démocratiquement élues, ce n'est pas parce que je n'aurais pas signé la pétition diffusée en 2011 par le conseil régional d'Auvergne que je serai dispensé de passer à la caisse.

Alors pourquoi je devrais me priver des avantages du TGV définitivement construit, sans même parler du fait que les Intercités auront été remplacés par des TER mettant une heure et demie ou deux heures de plus ?

Le même raisonnement vaut pour la personne dont la LGV passe dans son jardin : non seulement son jardin aura été coupé en deux, mais en plus elle devrait aller à Paris en calèche pour ne pas qu'on lui sorte "vous voyez bien que vous êtes content du TGV, puisque vous le prenez pour aller à Paris" ?

Certains arguments (j'en ai cité un) des opposants peuvent être contestables voire stupides, et en tout cas pas de nature à justifier l'abandon du projet, mais c'est un raccourci un peu rapide de dire "ils n'ont pas à critiquer puisqu'eux aussi prennent le TGV" (ou en tout cas le train, ce qui revient un peu au même, puisqu'il a bien fallu que les lignes classiques coupent en deux certains jardins).

S'ils se déplaçaient à dos de chameau, tu serais sûrement le premier à les traiter d'arriérés complets, et tu aurais sûrement raison !

A mon avis tu peux dormir tranquille un sacré moment.

C'est aussi mon avis.

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