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[LNPM - Ligne nouvelle Perpignan Montpellier] Sujet Officiel


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RFF - 02/08/2010

Avec pour objectif de désigner le titulaire du contrat en partenariat public privé à l’été 2011, Réseau Ferré de France franchit une nouvelle étape pour le projet de réalisation de 80 km de ligne nouvelle mixte, fret et voyageurs, entre Nîmes et Montpellier. Hubert du Mesnil, Président de Réseau Ferré de France, a décidé d’entamer la phase de dialogue approfondi avec les trois groupements candidats pilotés par Bouygues TP, Eiffage et Vinci Concessions.

La ligne nouvelle Nîmes – Montpellier réalisée en contrat de partenariat

Réseau Ferré de France vient d’achever le processus d’analyse des propositions initiales remises le 5 mai 2010, par Eiffage, Bouygues TP et Vinci Concessions. Après avis de la commission consultative d’évaluation des offres, les trois candidats sont admis à participer au dialogue compétitif approfondi qui sera conduit par Réseau Ferré de France. Au terme de cette étape, Réseau Ferré de France émettra un dossier de consultation finale avant la fin de l’année 2010, puis les candidats présenteront leur meilleure proposition sous la forme d’une offre finale. Le choix du futur titulaire est prévu à l’été 2011.

Le candidat retenu à l’issue de la procédure se verra confier le financement, les études, la construction et la maintenance de la ligne nouvelle à grande vitesse du Contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier pendant la durée du contrat, en contrepartie de financements publics et de loyers versés par Réseau Ferré de France. L’organisation des circulations resteront sous la responsabilité de RFF.

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Un article associé:

http://www.francebtp.com/infrastructures/e-docs/00/00/A6/FF/document_articles.php?titre=ppp-pour-les-80-km-de-lignes-nouvelles-entre-nimes-et-montpellier

Avec pour objectif de désigner le titulaire du contrat en partenariat public privé à l’été 2011, Réseau Ferré de France franchit une nouvelle étape pour le projet de réalisation de 80 km de ligne nouvelle mixte, fret et voyageurs, entre Nîmes et Montpellier.

Réseau Ferré de France vient d’achever le processus d’analyse des propositions initiales remises le 5 mai 2010, par Eiffage, Bouygues TP et Vinci Concessions. Après avis de la commission consultative d’évaluation des offres, les trois candidats sont admis à participer au dialogue compétitif approfondi qui sera conduit par Réseau Ferré de France (RFF). Au terme de cette étape, RFF émettra un dossier de consultation finale avant la fin de l’année 2010, puis les candidats présenteront leur meilleure proposition sous la forme d’une offre finale. Le choix du futur titulaire est prévu à l’été 2011. Le candidat retenu à l’issue de la procédure se verra confier le financement, les études, la construction et la maintenance de la ligne nouvelle à grande vitesse du Contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier pendant la durée du contrat, en contrepartie de financements publics et de loyers versés par RFF. L’organisation des circulations resteront sous la responsabilité de RFF.

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  • 1 mois plus tard...

salut,

j'ai trouvé des sites qui parlent un peut + du projet pour Nimes

http://www.info-projet.fr/2010/contournement-ferroviaire-de-nimes-et-montpellier/

et les opposants

http://nimesaction.midiblogs.com/archive/2010/05/14/contournement-de-nimes-gares-tgv-ter-et-viaduc-de-courbessac.html

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salut,

j'ai trouvé des sites qui parlent un peut + du projet pour Nimes

http://www.info-proj...et-montpellier/

et les opposants

http://nimesaction.m...courbessac.html

Pour nîmes action, euh, c'est plus compliqué que ça! En fait ils sont pro-LGV, si on construit une gare TER/TGV à Manduel et surtout, que l'on arrête les travaux du viaduc de Courbessac, pour des motifs que je qualifierais de non-innocent, sans rentrer dans les détails...

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Pour nîmes action, euh, c'est plus compliqué que ça! En fait ils sont pro-LGV, si on construit une gare TER/TGV à Manduel et surtout, que l'on arrête les travaux du viaduc de Courbessac, pour des motifs que je qualifierais de non-innocent, sans rentrer dans les détails...

Euh ben si..... Pourrais tu raconter STP? A lire leur site, effectivement, cette association n'est pas anti-LGV mais souhaiterait une concertation pour l'aménagement global des gares et des lignes sur Nîmes et ses environs....

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Une histoire de projet immobilier sur les emprises du viaduc, cette association est téléguidée par le Maire de Nîmes Jean Paul Fournier; son président, architecte de son état n'étant que l'adjoint du maire, désireux de récupérer des emprises foncières des domaines afin de faire une opération immobilière...

On en parle chez SARA: http://forum.sara-in...t=1470&start=20 et http://forum.sara-infras.com/viewtopic.php?f=11&t=1470&start=40

Modifié par dyonisos
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  • 2 semaines plus tard...

http://www.midilibre.com/articles/2010/10/18/NIMES-Saint-Cesaire-RFF-a-fini-la-concertation-1423896.php5

Saint-Césaire: RFF a fini la concertation La phase de concertation de l'aménagement du point de raccordement de Saint-Césaire s'est achevée vendredi dernier. La direction régionale de Réseau ferré de France avait mis durant un mois à la disposition des habitants, des lieux d'information sur le futur réaménagement des quais de la gare. Après avoir tiré un bilan, RFF promet d'évoquer le projet à la fin de cette année. Les informations sont consultables sur le site www.rff-infos-stcesaire.fr. Pour mémoire, le réaménagement des quais de la halte ferroviaire de Saint-Césaire permettra d'augmenter la capacité de l'axe principal Nîmes/Le Grau-du-Roi et de densifier l'offre TER Saint-Césaire/Vauvert. Un projet plus que nécessaire.

Les chefs d'entreprise nîmois

pessimistes Les indications économiques de la Chambre de commerce et d'industrie de Nîmes pour septembre ne sont pas très encourageantes. En effet, si le chiffre d'affaires reste stable, 21% des chefs d'entreprise consultés ont baissé leurs marges. Après plusieurs mois de hausse, les emplois diminuent légèrement. L'investissement continue de baisser, la trésorerie se détériore. Seulement 13% de ces responsables constatent une amélioration de leur trésorerie. Mais qu'on se rassure, les patrons prévoient un avenir plus souriant. Il n'y a pas de mal!

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  • 1 mois plus tard...

http://www.lindepend...iner-289953.php

TGV Perpignan-Montpellier : les études lancées, le tracé va s'affiner

L'annonce du lancement de la ligne Perpignan-Figuères le 19 décembre prochain relance l'intérêt du tronçon Montpellier-Perpignan encore surnommé le chaînon manquant. Co mme prévu, RFF (Réseau Ferré de France) a bien engagé cinq millions d'euros dans le financement des études d'affinement du tracé de cette future ligne à grande vitesse. Reste maintenant à trouver les 37 millions manquants pour boucler ce budget. Mais Edouard Parant, chef de mission chargé du projet reste confiant. « Le préfet de région doit réunir les partenaires éventuels d'ici quelques jours». Il espère « une bonne nouvelle » début décembre.

Depuis le printemps dernier effectivement, RFF a donc lancé les premières études « pour ne pas retarder le projet et rester sur l'objectif d'ouverture de la ligne en 2020 ». Il s'agit de réduire la fameuse bande des 5 kilomètres à un kilomètre de large. Plusieurs options ont été présentées aux élus concernés, notamment les maires des 74 communes impactées par le prochain tracé. Début décembre, RFF espère être en mesure de présenter une nouvelle carte plus précise.

Une fois que la bande d'un kilomètre sera définie, il faudra encore la soumettre au comité de pilotage (qui regroupera les partenaires) et au ministre. Une deuxième étape d'études (financée donc grâce aux nouveaux partenariats) devra déterminer le tracé définitif (une bande de 100 m de large). Viendra ensuite le temps des derniers réglages administratifs. Pas forcément la plus aisée.

Elle devrait aboutir à un décret d'utilité publique qui permettrait enfin de lancer les travaux. En attendant, la concertation continue autour de cette future ligne.

En ce qui concerne les futures gares, et notamment celles de Narbonne et Béziers, rien n'est encore fixé. « Nous étudions toujours trois possibilités d'implantation : soit entre les deux villes, soit à l'ouest de Narbonne soit à l'Est de Béziers. Les deux dernières options sont privilégiées par les collectivités territoriales » souligne Édouard Parant. Le fret également fait l'objet de réunions de concertation.

Rendez-vous est donc donné début décembre pour de nouvelles annonces

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  • 1 mois plus tard...

quelques infos sur les travaux à Nimes dus au contournement ...

http://www.midilibre.com/articles/2011/01/13/A-LA-UNE-Rail-Les-consequences-de-la-LGV-sur-le-reseau-actuel-1507178.php5

Publié à 11 h 34 - 2016 : la Ligne à grande vitesse doit contourner Nîmes et Montpellier. Le Département et Nîmes Métropole se sont engagés à financer ce projet (35 M€ chacune). En contrepartie, en 2008, ils ont obtenu de l’État qu’il finance le développement du réseau ferré actuel autour de Nîmes. Contreparties que l’État a tenté de remettre en cause en décembre avant de se raviser ces derniers jours. Voici ce que cachent, pour les usagers du rail, ces contreparties obtenues.

Aujourd’hui, la ligne classique entre Sète et Nîmes est saturée : elle ne peut supporter ni plus de fret ni plus de voyageurs. Pour retrouver des possibilités d’augmentation du trafic voyageurs sur la ligne classique, il a été décidé que la nouvelle Ligne à grande vitesse

Nîmes - Montpellier, équivalent d’une déviation, soit mixte. Ainsi, pour la première fois en France, une Ligne à grande vitesse acceptera aussi bien les trains de fret que de voyageurs.

Ceci étant acquis, quand les collectivités gardoises, conseil général et Nîmes Métropole, ont été appelées à participer au financement du projet de contournement, elles ont conditionné leur participation à la réalisation par l’État et Réseau ferré de France d’un certain nombre d’investissements, soit sur les lignes (Alès, Le Grau-du-Roi) convergeant vers Nîmes (lire ci-contre), soit pour que la quasi-totalité du fret évite Nîmes centre. Voici les changements attendus.

1 Nîmes - Alès - Saint-Césaire. L’automatisation de la ligne Nîmes - Alès et la modernisation du raccordement de la ligne Le Grau-du-Roi - Nîmes à Saint-Césaire vont permettre de faire arriver, dès la réalisation du contournement, plus de trains en provenance de ces lignes sur la voie classique. Quant à la réalisation du viaduc de Courbessac, elle va faire gagner 8 minutes sur le trajet Nîmes - Alès. La réalisation de ces trois projets est en cours. Nouveauté : l’État propose d’inscrire au contrat de plan État-Région 2011-2014 en négociation la modernisation de la ligne Alès - Bessèges.

2 Jonquières -Saint-Gervasy - Marguerites. Pour permettre au fret d’emprunter la nouvelle Ligne à grande vitesse à Manduel, trois raccordements sont prévus : l’un à Jonquières avec la ligne de la rive gauche du Rhône (Tarascon - Marseille), l’autre à Saint-Gervasy - Marguerittes avec la rive droite du Rhône et un dernier, la “virgulette” qui permettra aux quelques trains de fret venant de la rive droite mais reconditionnés à Courbessac, de repartir ensuite vers la LGV. En 2017, on estime que 71 trains de fret empruntant l’actuelle rive droite et 31 venant de la rive gauche, éviteront la voie classique actuelle par Nîmes. C’est la raison pour laquelle les élus, notamment ceux de Nîmes Métropole, ont demandé que sur 2 km entre Manduel et Redessan, le raccordement soit enterré.

3 Rive droite du Rhône. Cette ligne aujourd’hui n’est ouverte qu’aux trains de fret. Le conseil général milite pour une réouverture au trafic voyageurs, la Région est favorable et des études préalables menées par RFF vont être accélérées.

4 Nîmes - Le Grau-du-Roi. Le raccordement de la ligne Nîmes -Le Grau-du-Roi avec la ligne nouvelle n’est pas prévu dans le cadre de la réalisation du contournement Nîmes - Montpellier. Toutefois, RFF et la Région veulent étudier la possibilité de dynamiser les liaisons directes entre Paris et Le Grau-du-Roi via la LGV. L’arrivée du TGV dans la station balnéaire induit l’électrification de la ligne Nîmes - Le Grau-du-Roi. Pour l’heure, RFF achète à Générac les terrains qui, ultérieurement, permettraient de réaliser les raccordements Nîmes - LGV et Le Grau-du-Roi - LGV.

5 Gares nouvelles. La réalisation d’une gare nouvelle TGV à Manduel, chère au président de Nîmes Métropole Jean-Paul Fournier, est confirmée « quelques années plus tard que celle de Montpellier-Odysseum », qui doit entrer en service dès l’achèvement du contournement.

juste un bémol sur le §4 ...je pense que le journaliste s'est laissé emporter par son lyrisme(il aurait ecrit ça un 1er avril !!!) quand on sait qu'il y a 25ans que le projet du contournement est engagé et que faute de moyen rien n'a été fait ,le jour ou on verra "le grau /nimes " électrifié ,je meurs lotrela

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  • 4 semaines plus tard...

la LGV n'est pas prête d'arriver à Perpignan !!! cartonrouge

c'est toujours pareil les sous,les sous ............

Demain sera paraphé à Montpellier le protocole d’étape pour le financement de la ligne nouvelle du contournement de Nîmes et Montpellier. Cette signature survient à point : le pharaonique programme de construction du Grenelle laisse élus et professionnels perplexes, les caisses étant vides et le réseau ferré classique à bout de souffle : RFF manque d’argent même pour entretenir les voies anciennes (17 % d’impasse budgétaire).

Le projet de Schéma national des Infrastructures de Transport (Snit) confirme 2 000 km d’ici 2020, puis 2 500 km par la suite. Total : cent milliards d’euros ! Pharaonique.

La ministre de l’Écologie Nathalie Kosciusko-Morizet rassure : « On demande des participations aux collectivités territoriales, parce que ça leur permet de se développer. » Mais le

cas de la LGV Tours-Bordeaux donne à réfléchir. Le financement de ce projet de 7,8 mds € n’est pas bouclé après des mois de négociations.

Les collectivités commencent à dire qu’elles ne pourront pas suivre, tandis qu’un appel au privé menace d’une forte hausse du prix des billets.

Quant à RFF, gestionnaire des voies, il ne peut plus s’endetter que si les investissements sont rentables. Ce qui ne semble souvent plus le cas.

Du coup, on entend qu’une partie des projets ne seront jamais réalisés. Maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin (UMP), glisse qu'« il n’y aura peut-être jamais de LGV » Marseille-Nice. Il est vrai qu’avec ses collègues il a choisi l’option la plus chère à... 15 milliards d’euros. « Ce programme de LGV, c’est comme si on construisait de nouvelles ailes à un château dont on n’aurait pas les moyens de refaire les toitures », note un cadre de la SNCF. François Fillon, lui, refuse que l’on sacrifie le réseau existant aux LGV.

En Languedoc, ce doute vise bien sûr la future LGV Montpellier-Perpignan. Là encore, c’est l’option la plus chère qui a été choisie, fret et très grande vitesse : 5 à 6 milliards d’euros. Phasable... ou infaisable ?

GABRIEL LÉON (avec AFP)

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  • 2 semaines plus tard...

Un communiqué de RFF : http://www.rff.fr/fr/presse/communiques-de-presse/2011-800/contournement-de-nimes-et-4992

Communiqué de presse du 14 février 2011

Contournement de Nîmes et Montpellier : RFF invite les candidats à préciser leur offre

Le protocole d’étape entre les partenaires financeurs de la future ligne à grande vitesse du contournement entre Nîmes et Montpellier pour le fret et voyageurs a été signé le 7 février à Montpellier. Réseau Ferré de France lance le dialogue compétitif avec chacun des trois groupements candidats pilotés par Bouygues TP, Eiffage et Vinci Concessions.

Une nouvelle étape vers la conclusion du contrat de partenariat

Le protocole d’étape signé le 7 février en présence de Thierry Mariani, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de l’Écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement, chargé des Transports ayant validé le cadre du Contournement de Nîmes et Montpellier, RFF a convoqué les trois groupements candidats pour la première session du dialogue compétitif approfondi.

Cet échange avec les candidats durera 7 semaines. Les groupements remettront leur offre finale cet été, et RFF désignera l’attributaire pressenti du contrat à l’automne 2011.

Le contrat porte sur le financement, les études, la construction et la maintenance de la ligne nouvelle à grande vitesse du Contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier. Le groupement retenu recevra en contrepartie des financements publics et des loyers versés par RFF.

L’organisation des circulations restera sous la responsabilité de RFF.

Evolution du projet du Contournement de Nîmes et Montpellier

Deux gares nouvelles au Contournement de Nîmes et Montpellier pour la desserte de deux agglomérations accompagnent désormais le projet : à Manduel, pour Nîmes et dans le secteur Odysseum, pour Montpellier.

Dans sa forme finale, ce projet va permettre de mettre Paris et Montpellier à 3 heures l’une de l’autre, d’augmenter les circulations TER entre Nîmes et Sète et d’éloigner les trains de fret des centres villes.

Hubert du Mesnil, Président directeur général de Réseau Ferré de France, a déclaré : « En franchissant cette nouvelle étape, RFF affirme sa volonté de faire aboutir le meilleur projet possible pour le Languedoc Roussillon, dans le cadre de nos Grands projets Ferroviaires Méditerranéens. Maillon essentiel de la liaison Italie - Espagne, ce projet offrira un progrès majeur pour la circulation des voyageurs régionaux et des marchandises. »

Le Contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier

D’une longueur de 80 km, ce projet comprend à la fois, la réalisation d’une section de 60 km de ligne à grande vitesse entre Manduel (à l’est de Nîmes) et Lattes (à l’ouest de Montpellier), 10 km de liaison sur la rive droite du Rhône et 10 km de raccordements vers Saint Brès, Lattes et Manduel.

Première phase de la réalisation de la ligne à grande vitesse mixte fret et voyageurs entre Nîmes et Perpignan, ce projet s’inscrit dans le prolongement de la ligne à grande vitesse Méditerranée et de la concession franco-espagnole Perpignan-Figueras mise en service fin 2010 qui assure la connexion entre le réseau français et européen avec le réseau ibérique.

Le contournement de Nîmes et de Montpellier permettra :

d’accroitre l’attractivité du transport de voyageurs à grande vitesse vers le sud de la France, tout en libérant des sillons sur la ligne actuelle pour augmenter significativement l’offre des trains régionaux de voyageurs ;

de favoriser significativement le développement du corridor « D » entre Valence-Lyon-Turin et Budapest pour le fret européen.

Cette ligne à grande vitesse qui combine l’activité fret et voyageurs, permettra à l’horizon 2016, d’accroître l’attractivité du transport ferroviaire français et européen en s’inscrivant dans une perspective de développement durable mise en avant par le Grenelle de l’Environnement.

A propos de RFF

Pivot du système ferroviaire français, Réseau Ferré de France développe, modernise et commercialise l’accès au réseau ferré dans une logique de solidarité du territoire aux échelles européenne, nationale et régionale.

Deuxième investisseur public français, comptant 1 200 collaborateurs pour un chiffre d’affaire de 3,4 milliards d’euros, RFF pilote un plan de modernisation du réseau sans précédent de 13 milliards d’euros sur la période de 2008 - 2013. Dans le cadre du Grenelle de l’environnement, RFF met en oeuvre la politique nationale de déploiement de lignes nouvelles.

Fort d’un actif industriel de 30 000 km de lignes, RFF organise à l’attention de l’ensemble de ses clients, entreprises ferroviaires de transport de voyageurs et de fret, un accès équitable et performant au réseau ferré français.

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  • 10 mois plus tard...

Bouygues retenu pour le Contournement de Nîmes et Montpellier

12/01/2012 - RFF

Bouygues a été retenu pour l’attribution du contrat de partenariat public - privé du contournement de Nîmes et de Montpellier. D’un montant de deux milliards d’euros, cette infrastructure prévue pour 2017, sera la première ligne à grande vitesse « mixte », utilisée par le fret et les voyageurs.

Réseau Ferré de France a désigné Bouygues, groupement composé de Bouygues TP, DTP Terrassement et Colas (filiale de Bouygues SA), Alstom Transport, Spie Batignolles et les fonds Méridian Infrastructure et FIDEPPP, « attributaire pressenti » du contrat de partenariat public-privé pour la conception, la construction, la maintenance et le financement du contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier.

La première ligne à grande vitesse « mixte », utilisée par le fret et les voyageurs

Cette ligne a pour objectif d’améliorer significativement la qualité de service et la performance du transport ferroviaire : le transport de marchandises, notamment avec l’Espagne, l’offre à grande vitesse pour l’accessibilité des grandes villes de la région Languedoc-Roussillon, et le développement des trains régionaux.

Inscrite dans le prolongement des lignes à grande vitesse existantes Paris-Lyon et Méditerranée vers l’Espagne, elle constitue un maillon supplémentaire pour la construction de l’Europe ferroviaire.

Le lancement de la construction du contournement de Nîmes et de Montpellier est prévu pour la fin 2012. Ce chantier d’une durée de quatre ans générera environ 6 000 emplois directs et indirects par an qui profiteront à l’économie régionale.

Quatre lignes à grande vitesse lancées simultanément

Réseau Ferré de France, dans sa responsabilité d’acteur ferroviaire, a rempli sa mission de lancer la construction de quatre projets de ligne à grande vitesse en même temps, dont trois en partenariat public – privé. Le contournement ferroviaire de Nîmes et de Montpellier est dans la continuité des autres contrats signés en 2011 pour les lignes à grande vitesse entre Tours et Bordeaux et entre Le Mans et Rennes.

Pour la LGV Est européenne entre Metz et Strasbourg, en cours de construction, RFF a choisi de la réaliser sous sa maîtrise d’ouvrage, dans la continuité de la première phase mise en service en 2007.

L’ensemble des ces quatre lignes seront mises en service d’ici 2017. Ces lignes nouvelles répondent à l’objectif du Grenelle de l’environnement qui prévoit le lancement de 2000 km de lignes à grande vitesse supplémentaires d’ici 2020.

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Bizarre (ou est-ce que je me trompe) chacun des trois groupements constitués il y a trois ans a eu une LGV en PPP.

Le hasard de l'ouverture des appels d'offres fait bien les choses et sait équilibrer les charges de nos Grandes Entreprises nationales

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Bizarre (ou est-ce que je me trompe) chacun des trois groupements constitués il y a trois ans a eu une LGV en PPP.

Le hasard de l'ouverture des appels d'offres fait bien les choses et sait équilibrer les charges de nos Grandes Entreprises nationales

Le hasard, en effet...

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il y avait eu une phrase savoureuse à propos de la LGV Bretagne : le projet a été donné à Eiffage, qui s'était révélé excellent ....

or ils avaient "concouru" pour la SEA et c'est Vinci qui avait emporté le marché . Bizarre, cette fois-là donc , Eiffage n'était pas trop bon, tandis que maintenant, Vinci est subitement devenu mauvais ....

.. et Bouygues, jusque-là très mauvais, est devenu le meilleur !

on nous prend vraiment pour des brêles ! Je le répète : nationalisation sans indemnités !

d'ailleurs, sur la SEA, Vinci n'apporte que 750 M€ le reste est de l'emprunt

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Il va falloir qu'on m'explique comment on peut maintenir 80 km de LGV (mixte qui plus est : du jamais vu)

Alors que partout ailleurs on augmente la taille des Etablissements.

Comment effectuer la maintenance corrective en respectant les délais de réparation imposés dans tous les métiers à la fois :

-caténaire, énergie, voie, soudure arc et alu, signalo, info et télécom ( des équipes de chaque métier en 3x8 ???)

Ce qui était jouable pour SEA (350km) et limite pour BPL (182km) devient incompréhensible pour CNM

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  • 6 mois plus tard...

Feu vert pour la LGV Perpignan-Montpellier !

La nouvelle a été confirmée le vendredi 27 juillet en comité de pilotage, le projet de construction de la ligne à grande vitesse est maintenu. Mise en service prévue pour 2020.

http://www.infolignes.com/reportages.php?contentId=29053

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Feu vert pour la LGV Perpignan-Montpellier !

La nouvelle a été confirmée le vendredi 27 juillet en comité de pilotage, le projet de construction de la ligne à grande vitesse est maintenu. Mise en service prévue pour 2020.

http://www.infoligne...contentId=29053

Il aurait été aberrant d'avoir des LN Nîmes - Montpellier, Perpignan - Figueras et de devoir faire passer toutes les circulations par la ligne classique entre Montpellier et Perpignan.

La Transversale Sud Ouest a bien besoin de ces nouvelles lignes !

On peut regretter cependant l'absence de raccordement à l'Est de MPL (pour les TGV origine et terminus MPL et des navettes TER comme à Reims par exemple), car le temps de parcours global Paris - Montpellier centre ne devrait finalement pas être amélioré.

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Il aurait été aberrant d'avoir des LN Nîmes - Montpellier, Perpignan - Figueras et de devoir faire passer toutes les circulations par la ligne classique entre Montpellier et Perpignan.

La Transversale Sud Ouest a bien besoin de ces nouvelles lignes !

On peut regretter cependant l'absence de raccordement à l'Est de MPL (pour les TGV origine et terminus MPL et des navettes TER comme à Reims par exemple), car le temps de parcours global Paris - Montpellier centre ne devrait finalement pas être amélioré.

Effectivement, çà imposera toujours des sorties des TGV pour MPL à Manduel..... mais aussi de dissocier les trafics MPL et PPN. Le temps de parcours de 3h20 entre Paris et MPL est déjà pas si mal, et un Racc avec suppression de l'arrêt à Nimes ne ferait gagner au mieux que 5mn. On roule à 160 entre Manduel et Montpellier, sauf la traversée de Nimes à 60km/h.

Sinon, cette LGV est plus que nécessaire: la ligne est quasi saturée entre Manduel et Narbonne.... et la ponctualité pas toujours évidente à maintenir. C'est surtout en cas de retard que l'effet boule de neige se fait sentir. Rendez vous dans 8 ans, donc.... Si iren ne s'y oppose!!

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