pepel27 Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 Non, ni vu tous les films, et toi? Sont-ce là tes seuls arguments? Un peu court, quand même... Continue, tu nous intéresse. On reprend du temps à comparer les tiens d'arguments et les miens si tu veux? helpsoso Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité necroshine Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 La réponse est peut être que tu te trompes et que cela ne coûtait pas moins cher qu'aujourd'hui??? Ben je ne pense pas me tromper tant que cela !!! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pepel27 Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 et suite à ma réponse, tu dis: Corporatif, non.... Les trains ne roulent pas QUE grace aux ADC, c'est même assez minoritaire: il y a des GM, des dépanneurs, des SUD, des agents de manoeuvre, des AMV, les "mulots" et les "écureuils", etc.... la liste n'est pas exhaustive.... Bref, des agents qui produisent. Sur les arguments cités par Aldo500, ce sont des postes financiers dont le cout est intégré au cout "traction" d'une JS.... Tu ne sais pas çà en tant que DUO??? koiquesse . Agressif, oui, un peu, car je trouve que dans tes propos tu méprises aussi bien les agents de la base et du terrain et, encore plus grave, les clients / usagers qui nous font vivre..... Parler juste du sujet ADC est effectivement un autre débat.... N'hésites pas à ouvrir un sujet, j'aurai plaisir à disserter et argumenter, notamment sur le RH0077 garant de la sécurité du personnel et des circulations qui interdit certaines pratiques que certains souhaiteraient faire intégrer à la réglementation. Si si.... On est dans le sujet!!! Le cout des JS est intégré dans le prix du billet de train, qui devient parfois dissuasif pour des voyageurs potentiels....Donc personne dans les trains et donc lignes déficitaires... Les réformes de ces dernières années tapent sur les agents de la base mais plus rarement sur des cadres haut placés (parfois des placards dorés, ne nous voilons pas la face....). Et pourtant!!! Tout le monde s'accorde à dire que c'est les frais de structure qui coutent trop chers, mais personne ne franchit le rubicon pour devenir un vrai réformateur du système: réduire les frais de structure, ce qui passera inévitablement par une réduction des postes de cadre (près de 40% des effectifs SNCF, rappelons le!!!). Le seul qui s'y soit essayé, c'est Mr Le Flock Prigent.... 6 mois de boite et, grand hasard, il est obligé de quitter ses fonctions.... car "rattrapé" par des affaires..... Merci d'avoir remis un résumé de mes posts sur lesquels il est exposé clairement que je ne méprise personne. Mon avis est beaucoup plus teinté que ça mais je vais me répéter, sachant que j'aurais plus de réaction sur contre mon statut de cadre que sur les idées que j'expose. Pour les usagers: J'ai dit que malgré les problémes de régularité, ils devaient prendre du recul afin de comprendre qu'en habitant à 100 voir 200 (et +) Km du boulot, on ne peut compter sur des horaires à la minute prêt. J'ai demandé à ce sujet si le fait que beaucoup d'entre eux comptent des délais de correspondance de 2/3 min dans les gares soit normal etc etc. Donc je ne méprise pas le client, je demande juste s'il est possible de prendre du recul. Pour les cheminots: J'ai déja expliqué que je suis derriére ceux qui ne passent pas leur temps, professionnel et personnel, à cracher sur l'entreprise qui les emploie. Rien de plus. Je ne supporte juste plus ces cheminots, pseudos révolutionnaires ( dans la fonction publique....) qui saute sur le moindre pépin pour descendre en flêche leur entreprise vis à vis des usagers et/ou des médias. Concernant les solutions: J'ai juste exposé que la SNCF n'avait pas de planche à billets et que donc seules 2 solutions existent pour rénover les infrastructures, acheter du matériel, créeer des journée de réserve ADC etc 1) Les impôts. Si les Français ( et pas uniquement usagers...) sont d'accords, je n'y vois pas de soucis 2) La hausse des billets: Idem J'expliquais qu'à ce sujet les régions qui nous paient ont tranché et demandaient à la SNCF de faire de la productivité au lieu de demander de l'argent... Pour les solutions, c'est un exposé de faits mais tu préféres faire penser que ce sont des idées que je porte. Tu sais un cadre ne fait pas que porter des idées politiques d'entreprise, il fait aussi en sorte de travailler avec la réalité. Il est bien joli de réclamer des rames, des réserves, des caténaires neuves, des voies neuves etc mais aujourd'hui il est un fait que personne ne paie et que même si quelqu'un payait, on ne se réveillerait pas un matin avec tous les travaux faits. Donc, oui, je travaille avec la réalité. Je ne vis pas dans un rêve. Sur le forme j'ai écris que tu étais corporatif car c'est bien toi qui lorsque je parlé de JS a aussitôt parlé des roulements ADC ( mais je comprends, c'est complétement naturel) et en même temps dans ta réponse tu essaies de faire croire que je ne connais pas la constitution du prix du JS conduite... Je suis d'accord pour parler RH077 avec toi mais il faudra aussi aborder la partie sédentaire de ce document... Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pepel27 Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 Pas que..... mais çà en fait partie..... Méchants cadres qui coûtent une fortune à l'entreprise... Ce ne sont pas uniquement les cadres qui coutent chers. Ce sont tout ceux (tous statuts confondus) qui ne travaillent pas. Oserais parler des ces cheminots dégagés des journées entiéres pour assister à une pseudo "réunion" qui ne durent qu'une heure? qui n'ont même pas l'honnêteté de faire une permanence auprés de leur collégue à l'issue. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pepel27 Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 C'est compréhensible, s'il a autant de temps pour répondre à tout le monde c'est peut-être qu'il est en détachement complet sur le forum Christophe Ben non c'est que je n'habite pas à 300 bornes de mon boulot et que donc j'arrive à ne pas rentrer trop tard... :blush: Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CC 72041 Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 Ah mais je ne visais personne en particulier Concernant les solutions: J'ai juste exposé que la SNCF n'avait pas de planche à billets et que donc seules 2 solutions existent pour rénover les infrastructures, acheter du matériel, créeer des journée de réserve ADC etc 1) Les impôts. Si les Français ( et pas uniquement usagers...) sont d'accords, je n'y vois pas de soucis 2) La hausse des billets: Idem J'expliquais qu'à ce sujet les régions qui nous paient ont tranché et demandaient à la SNCF de faire de la productivité au lieu de demander de l'argent... Pour les solutions, c'est un exposé de faits mais tu préféres faire penser que ce sont des idées que je porte. C'est vrai. {Méchants - c'est pas moi qui le dis} cadres qui coûtent une fortune à l'entreprise... Voilà là une troisième solution, qui ne demande pas d'avoir l'aval de la population pour agir. Alors ça demande des sacrifices, peut-être à certains (certainement pas à tous, ça j'en suis convaincu), et il n'en coûtera pas à tous les cadres, mais ceux qui ont trouvé la planque par exemple. Je suis désolé car je vois que ce que je dis rentre dans le critère de "qui saute sur le moindre pépin pour descendre en flêche leur entreprise vis à vis des usagers et/ou des médias. Mais il faut que je te raconte quelque chose d'amusant. Je vais rester vague pour ne mettre en cause personne, mais ça m'est arrivé cette semaine. Nuit TTX. Première nuit, on ne sort pas : pas d'agent-formation prévu. Le lendemain on appelle tous de notre côté (conducteur, agent caténaire, technicien du train en question) pour faire remonter l'info. On nous assure à tous que le problème est réglé. Deuxième nuit, on ne sort pas : pas d'agent-formation prévu ! Donc là y a un souci mais d'où vient le souci ? Christophe Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
pepel27 Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 Voilà là une troisième solution, qui ne demande pas d'avoir l'aval de la population pour agir. Alors ça demande des sacrifices, peut-être à certains (certainement pas à tous, ça j'en suis convaincu), et il n'en coûtera pas à tous les cadres, mais ceux qui ont trouvé la planque par exemple. Je suis désolé car je vois que ce que je dis rentre dans le critère de "qui saute sur le moindre pépin pour descendre en flêche leur entreprise vis à vis des usagers et/ou des médias. Mais il faut que je te raconte quelque chose d'amusant. Je vais rester vague pour ne mettre en cause personne, mais ça m'est arrivé cette semaine. Nuit TTX. Première nuit, on ne sort pas : pas d'agent-formation prévu. Le lendemain on appelle tous de notre côté (conducteur, agent caténaire, technicien du train en question) pour faire remonter l'info. On nous assure à tous que le problème est réglé. Deuxième nuit, on ne sort pas : pas d'agent-formation prévu ! Donc là y a un souci mais d'où vient le souci ? Christophe Non, ce que tu dis n'entre pas dans "i]qui saute sur le moindre pépin pour descendre en flêche leur entreprise vis à vis des usagers et/ou des médias car tu as hélas entiérement raison, cela existe. Je crois aussi sincérement que ces postes sont protégés, et pas uniquement par la direction. Je dirais même, pas en priorité par la direction. J'associe également avec ces cadres "planqués" tous les cheminots qui font tout pour produire le moins. Donc certains maitrises, certains cadres, certains délégués du personnel... Ton exemple est typique d'un incident dans notre entreprise, vous avez avisé d'un probléme majeur (puisqu'il empêche la production) et rien n'est fait, ou pas assez vite. Ta question à la fin est légitime, pourquoi? Je te suggére de poser la question clairement à ton Dpx qui sera en mesure de faire l'analyse de ce probléme. (erreur de commande, agent qui ne s'est pas présenté etc etc). Je fais parti des gens qui pensent que toutes remontées du terrain (tant qu'elles restent légitimes et "polies") méritent 1) d'être traitées et 2)d'être expliquées à l'agent qui en est à l'origine. Je crois que cela éviterait les faux discours d'une part et d'améliorer les procédures surtout. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Publication: 12 février 2011 Partager Publication: 12 février 2011 Je fais parti des gens qui pensent que toutes remontées du terrain (tant qu'elles restent légitimes et "polies") méritent 1) d'être traitées et 2)d'être expliquées à l'agent qui en est à l'origine. Je crois que cela éviterait les faux discours d'une part et d'améliorer les procédures surtout. Vue de la base, cette phrase avec laquelle tout le monde sera d'accord est de moins en moins mise en pratique. Par exemple, depuis que l'UP banlieue de Brétigny est devenue l'UO traction ligne C, les annotations sur les BS ne font PLUS JAMAIS l'objet du moindre commentaire de la part des CTT, sauf si elles sont "impolies" (avec toute l'imprécision que recouvre ce mot), et là elles condamnent leur auteur à 6 mois de suivi particulier. Pour mon cas personnel, j'ai eu un FU-KVB le 25 juin 2010 dans des circonstances qui m'ont laissé un doute quant à son origine. J'ai annoté mon BS en faisant part de ce doute, et en demandant la BG pour en avoir le coeur net. A ce jour, 12 février 2011, mon CTT n'a toujours pas demandé la BG au service Visagraph de Tours, et ne m'a toujours pas commenté cet évenement lors d'un accompagnement. Ce mutisme me laisse penser que ce FU n'est pas dû à une faute de ma part, mais le doute est toujours là même s'il ne m'empêche pas de dormir. Autre exemple : Le DUO adjoint a récemment décidé de corriger les annotations sur les BS comme un instituteur corrige les rédactions des élèves de CM1, en traquant les fautes d'orthographe ou de syntaxe avec un stylo rouge, et en ne donnant pas suite aux rapports qui ne sont pas écrits en bon français, ou si la case "conditions météo" n'est pas renseignée. Dans ces conditions, une quantité astronomique de signalements doivent disparaitre dans la nature. Ce CTT et cet Adj.DUO ne font surement qu'appliquer une procédure (écrite ou non) validée par le DUO. Y aurait-il aussi des statistiques sur la façon dont les BS sont renseignés, leur nombre, et les sujets abordés ? Difficile dans ces conditions de faire avancer le schmilblick. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Railfan Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 Bonjour, Afin de sortir du duel cheminot / cadre (en résumant), je pourrais poser une question bête? Hum bon donc vous parliez de Le Floch Prigent (je crois bien); qu'avait-il intenté? Je ne sais rien de lui, et je préfère demander ici que me renseigner sur la bible wikipédienne. Merci! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
CRL COOL Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 (modifié) Bonjour, Afin de sortir du duel cheminot / cadre (en résumant), je pourrais poser une question bête? Hum bon donc vous parliez de Le Floch Prigent (je crois bien); qu'avait-il intenté? Je ne sais rien de lui, et je préfère demander ici que me renseigner sur la bible wikipédienne. Merci! Pour faire court: Il voulait alléger les frais de structure..... en taillant dans les effectifs de la direction..... Modifié 14 février 2011 par CRL COOL Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Railfan Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 J'imagine que certains ont dû être ravis, en effet avait-il rendu un audit, ou une étude? Merci. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
raez Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 La SNCF a un plan de guérison pour la ligne Nîmes-Perpignan La SNCF a identifié le grand axe languedocien comme l’un des plus « malades » de France. Cinq chapitres contre les retards et annulations de trains La SNCF peaufine un véritable plan d’attaque pour améliorer la fiabilité de l’axe Nîmes-Perpignan, l’une des douze « lignes malades » identifiées par Guillaume Pepy, son président. Les responsables de la force de pilotage régionale, trois Philippe (Le Bras, Coulet et Vernay) œuvrent sur cinq axes : limiter les incendies, bloquer les vols de câbles, garantir l’information, optimiser les roulements de matériel et améliorer le service minimum. Débroussailler... et replanter Avec un budget en hausse de 15 %, à 3 millions d’euros en 2011, la lutte contre les incendies est l’un des piliers du plan. Les feux de talus en 2010 ont doublé par rapport à 2009 (51), multipliant par 4,5 le nombre de minutes de retard (57 000 mn) ! On optimisera l’usage du train désherbeur, pour ne pas le faire passer trop tôt avant l’été. On testera des brûlages dirigés par les pompiers. La SNCF, mandataire pour l’entretien du réseau qui appartient à RFF, a réalisé un film des talus de voies de Nîmes à Narbonne pour classer les parcelles par risque. « Nous allons plus loin dans la prévention », note Jean Ghedira, directeur régional de la SNCF, « en étudiant avec l’ONF du Gard et RFF un plan de revégétalisations » avec les bonnes plantes pour résister aux feux. Les pompiers sont encouragés à des techniques économes en temps d’interruption (tuyaux sous les rails, etc.). Traquer les voleurs de métaux Les vols de câble ont été multipliés par huit en un an sur le réseau languedocien de RFF, bloquant la signalisation et le trafic et exposant les circulations à des risques physiques. Les préfectures ont reçu des éléments sur la nature des matériels volés. Une convention avec la gendarmerie, signée aujourd’hui à Paris, permettra un survol des lignes par hélicoptères. Les lieux sensibles seront signalés et RFF et la SNCF s’allieront à France Télécom pour sécuriser leurs matériels. SNCF et RFF installeront aussi des radars et testeront des caméras. Localisations secrètes. Optimiser l’information La présence dans le trio de pilotage de Philippe Vernay, issu du marketing des TER, montre l’importance ccordée au bon fonctionnement des canaux d’information (net, radio, affichage, sms, téléphone...). L’engagement nouveau d’une publication mensuelle des chiffres de régularité « marque la volonté d’associer étroitement les clients à la vie de l’entreprise », souligne Martine Nougué, responsable de la communication à la direction de Montpellier. Limiter l’impact des grèves Le plan de reconquête vise aussi à limiter l’impact des grèves sur la vie quotidienne des usagers du TER. Un enjeu capital car le Languedoc- Roussillon est la région qui affiche le plus grand nombre de jours de grève avec Midi-Pyrénées et avant Paca. En 2010, on a comptabilisé jusqu’à 40 jours de grève par an pour certains agents. Pour le directeur régional Jean Ghédira, « il faut améliorer le dialogue social en amont pour que la grève ne soit que le dernier recours ». La SNCF entend aussi sécuriser les prises de travail pour éviter les pressions. Mais surtout le service minimum doit encore être amélioré. D’abord, par la limitation au recours des bus de substitution et le maintien de plus de trains. Ensuite, grâce au dialogue réalisé entre l’exploitant et les diverses associations d’usagers régionales, par un meilleur “calage” des horaires du service minimum sur les besoins des déplacements domicile travail. « Afin que l’on n’ait pas des trains le matin mais avec l’impossibilité de revenir le soir », explique Jean Ghédira. Faire plus avec autant de trains Manque de rames TER en Languedoc-Roussillon ? « Avec ce que nous avons, nous pouvons bien travailler », assure Jean Ghédira, directeur régional de la SNCF. Il y a les contraintes de longueur de quais qui oblige parfois à limiter les compositions de trains. Mais il y a beaucoup à faire pour améliorer les capacités. D’abord, la SNCF fait chaque jour un « bilan de capacité » qui permet une adaptation fine le lendemain. Mais surtout, dès le prochain horaire, en décembre 2011, la région sera « cadencée ». Cela consiste à faire circuler des groupes de trains de même vitesse à minutes fixes de chaque heure. « C’est comme ranger les allumettes dans le même sens, on en rentre plus dans la boîte », explique un cadre national de RFF, gestionnaire du réseau. Dès mars, la Région dira quel usage elle compte faire des sillons libérés. Notons aussi que la mise en service du viaduc de Courbessac permettra de réduire de 8 mn le temps de parcours Nîmes-Alès, à 36 mn à ce jour soit un gain de capacité de plus de 20 %. GABRIEL LEON je me marre ..... les responsables se rendent compte des problémes d'incendies dus au non débroussaillage depuis des années . chez nous, plus aucune piste entretenue depuis 25 ans ,ce qu'il en reste est envahis par les herbes folles et le ballast au mieux ,quand ce n'est pas par des arbustes au pire . les artères cables sont recouvertes de végétation ou d'humus ,des couvercles de caniveaux manquent ,otés par des chasseurs pour débusquer les lapins (je croyais que la chasse était interdite aux abords des voies ). puis cerise sur le gateau ,le cloisonnement des métiers . avant ,on disait aux cantonniers "si tu passes à tel PK ,merci de nous faire (débroussailler) les abords du centre " ça ne posait aucun problème . maintenant c'est impossible ,il faut envoyer l'imprimé A 38 ,puis ,ils ne sont plus assez nombreux pour le faire ! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Class66220 Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 Bonjour à tous Je vais faire un petit HS par rapport à cette séparation des activités. Ce qui m'attirais à la SNCF c'était la polyvalence des métiers. Pouvoir passer du FRET au voyageurs et inversement. Passer d'un omnibus à un rapide. Pas d'ennui. Pour moi c'est ce qui faisait le charme du métier. Malheureusement quand j'ai entendu parler de la segmentation des activités (on pourrait même parler d'hyper spécialisation), j'ai vite déchanté. Et plus il y avait surtout l'exigence en diplôme. Etant trop diplômé je serais rentré comme attaché TS. Ce que je voulais c'est faire mes gammes à la conduite autant d'années que possible avant de voir si évoluer était raisonnable. On est pas tous fait pour encadrer. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bruyerois Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 Pour faire court: Il voulait alléger les frais de structure..... en taillant dans les effectifs de la direction..... Est ce lui qui avait mit en place le départ volontaire ? Pour 15 ans de service , on te donnais 150 000 FR pour ta démission .Au lieu de vider les bureau de St Lazare , ce sont les gens fatigués des 3/8 qui sont partis , ça n'a pas durer très longtemps. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Invité Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 Le "départ volontaire", c'était en 1987 ou 1988. Résultat recherché : virer les "vieux" qui coutaient cher, moyennant une prime correspondant à un mois de salaire par année d'ancienneté. Résultat obtenu : ceux qui en ont profité avaient moins de 10 ans de SNCF. D'anciens apprentis, pour beaucoup. Encore une réussite totale !!!! Le Floch-Prigent, c'était entre le 01/01 et le 01/07/ 1996. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capelanbrest Publication: 14 février 2011 Partager Publication: 14 février 2011 Le "départ volontaire", c'était en 1987 ou 1988. Résultat recherché : virer les "vieux" qui coutaient cher, moyennant une prime correspondant à un mois de salaire par année d'ancienneté. Résultat obtenu : ceux qui en ont profité avaient moins de 10 ans de SNCF. D'anciens apprentis, pour beaucoup. Encore une réussite totale !!!! Le Floch-Prigent, c'était entre le 01/01 et le 01/07/ 1996. Pour autant que je me souvienne bien L LF Prigent a surtout péché par excès de confiance tel un jeune manger persuadé que ces méthodes sont les bonnes, sans tenir compte de l'histoire de l'entreprise de ses agents etc..... Ce qui peut se faire dans le privé , l'est nettement moins dans le secteur public (ou assimilé) ! Pour des raisons de culture mais aussi de statut.... Tout mnager quelqu'il soit se doit observer quelques règles élémentaires avant de prendre des décisions : Connaitre l'histoire de l'entreprise, de ses tabous, de ses codes(bons ou mauvais) etc.....Bref parfaite connaissance de l'entreprise sur le plan humain et matériel.... Savoir précisément ce qu'attend l'actionnaire principal et surtout connaitre les marges de manœuvres que celui ci lui laisse, connaitre parfaitement les limites à partir desquelles l'actionnaire principal ne le suivra plus, voir s'en séparera. Enfin avant toute action, observer mesurer et seulement ensuite agir voir mettre en place uns stratégie à court moyen et long terme.... Il semblerait que L LF Prigent a brulé toutes ces étapes.....pourtant enseignées dans toutes les écoles de management.... Rattrapé par les affaires, mais pas seulement, la suite on la connait....certains lobbys à l'intérieur même du sérail, étant passés par là.... tout cela semble tellement ancien ...! Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kerguel Publication: 20 mars 2011 Auteur Partager Publication: 20 mars 2011 Guillaume Pépy auditionné par une commission d'enquête à l'Assemblée Nationale. Patience, ca va aller mieux ! http://www.mobilicites.com/fr_actualites-la-sncf-demande-aux-francais-d-etre-patients--rff-s-impatiente_77_862.html La SNCF demande aux Français d'être patients, RFF s'impatiente Le président de la SNCF Guillaume Pepy demande aux Français de faire preuve de patience face au problème des retards, soulignant que le réseau ferroviaire était "en travaux comme jamais". De son côté, Hubert du Mesnil, patron de Réseau ferré de France, dénonce le "fardeau permanent" de la dette dont a hérité le gestionnaire des infrastructures et qui l'a empêché de moderniser les voies. C'est l'appel du 15 mars : "Français, ne perdez pas patience". Auditionné devant la Commission d'enquête de l'Assemblée nationale sur la situation de l'industrie ferroviaire française, Guillaume Pepy a observé que "le réseau ferroviaire français était "en travaux comme jamais". "C'est une excellente nouvelle mais, comme dans la route ou comme dans les aéroports, les travaux sont rarement synonymes de ponctualité et de fiabilité", a décrit le président de la SNCF. "Il faut savoir que structurellement, les années que nous vivons sont celles d'une reconstruction d'une partie du réseau et qu'il faudra être un tout petit peu patient pour retrouver la qualité de service idéale que les Français attendent", a reconnu Guillaume Pepy. Hubert du Mesnil, président de Réseau ferré de France (RFF), ne dit pas le contraire : "On a tant tardé qu'aujourd'hui, il faut tout refaire à la fois !", résume-t-il. Et si le gestionnaire des infrastructures ferroviaires a tant tardé, c'est à cause de la dette de 20,5 milliards d'euros héritée à la création de RFF en 1997. Tous les ans, RFF paie près d'un milliard d'euros d'intérêts, "un fardeau permanent qui nous empêché d'investir dans l'entretien et la rénovation du réseau", observe Hubert du Mesnil. Bonne et mauvaise dette Parallèlement, RFF continue à s'endetter pour financer ses projets d'investissements (7,5 millliards d'euros, notamment pour les lignes à grande vitesse, ce qui porte la dette totale à 28 milliards), "Mais nous ne pouvons pas emprunter davantage pour rénover le réseau, sauf à faire dériver dangeureusement la dette", ajoute Alain Quinet, directeur général délégué de RFF. C'est un peu comme le cholestérol, il y a la bonne et la mauvaise dette. Où en est l'Etat dans cette réflexion sur la dette qui pèse sur RFF ? La loi relative à l'organisation et à la régulation des transports ferroviaire, dite loi ORTF, votée en décembre 2009 prévoit un rapport au gouvernement sur ce sujet récurrent. Quid des 12 lignes malades ? En ce qui concerne les douze "lignes sensibles" ou "malades" identifiées fin janvier 2011 (du RER A et D en Ile-de-France au TGV Paris-Tours en passant par Nîmes-Perpignan et tous les trains de nuit), Guillaume Pepy a indiqué que la SNCF et RFF bâtissaient "ensemble des plans d'urgence qui font face à une situation de détérioration de la qualité de service". "Ces plans, pour certains d'entre eux, sont déjà en place. Nous publierons de premiers résultats à la fin du 1er trimestre de cette année, c'est-à-dire au début du mois d'avril", a relevé G. Pepy, se montrant confiant sur le constat de résultats "encourageants". Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kerguel Publication: 4 juin 2011 Auteur Partager Publication: 4 juin 2011 Les 12 lignes malades de nouveau sous les feux de l'actualité. Une plainte pour discrimination est même évoquée. http://www.europe1.fr/Economie/Ils-vont-porter-plainte-contre-la-SNCF-567813/ Ils vont porter plainte contre la SNCF Des usagers du TGV vont attaquer la compagnie ferroviaire pour discrimination. La SNCF avait promis de mieux indemniser ses clients. Mais c’est loin d’être chose faite répondent les usagers des douze lignes jugées "malades". D’autant que les retards cumulés et les annulations de trains s’accumulent toujours, cinq mois après le lancement d’un plan pour améliorer le trafic sur ces lignes. Les abonnés du TGV pestent contre la compagnie ferroviaire qui ne rembourse pas tous les passagers. Seule une partie des utilisateurs qui prennent au quotidien le TGV sont dédommagés pour une annulation ou un retard. La raison ? Lorsque l’on prend un TER, puis un TGV - ou inversement un TGV puis un TER -, aucune indemnisation n’est accordée à l’usager en cas de retard. Ce qui n’est pas le cas, si l’on prend uniquement un TGV. Une plainte pour "discrimination" C’est pourquoi les habitués, regroupés derrière l’association des voyageurs du Grand-ouest, veulent porter plainte pour discrimination, le 22 juin prochain. "On a des milliers d’abonnés du TGV qui n’ont pas reçu d’indemnisation de la SNCF. C’est pour cela que nous allons mettre en demeure la SNCF dans les prochains jours de régler cette indemnisation aux usagers en question", explique Willy Colin, le responsable de l’association, à Europe 1. La SNCF reconnaît à demi-mots ce malaise. La direction avoue que sur les douze lignes considérées malades, trois sont en dysfonctionnement. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
capelanbrest Publication: 4 juin 2011 Partager Publication: 4 juin 2011 Les 12 lignes malades de nouveau sous les feux de l'actualité. Une plainte pour discrimination est même évoquée. http://www.europe1.f...la-SNCF-567813/ Quant on lit ça on comprend mieux pourquoi le législateur freine des 4 fers, pour légaliser les action group's de consommateurs! helpsoso Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
kerguel Publication: 25 novembre 2012 Auteur Partager Publication: 25 novembre 2012 (modifié) Une ligne malade guérie : Le sauvetage réussi de la ligne Nîmes-Perpignan "C’est une véritable opération commando que les équipes de la SNCF ont réalisée pour redresser la régularité défaillante des trains sur Nîmes-Perpignan. Cette ligne, de grand intérêt régional mais d’importance internationale, avait été classée parmi les douze "lignes sensibles" par Guillaume Pepy, PDG de l’établissement public, en janvier 2011. Sensible, ou plutôt malade, avec seulement 82 % de trains à l’heure et des mois noirs tel août 2010 où 73 % des convois étaient à l’heure. Soit plus du quart en retard." On y lit aussi que RFF a fait des choses extraordinaires pour aboutir à ce résultat :Smiley_23: Modifié 25 novembre 2012 par kerguel Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Messages recommandés
Créer un compte ou se connecter pour commenter
Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire
Créer un compte
Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !
Créer un nouveau compteSe connecter
Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.
Connectez-vous maintenant