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Le Web des Cheminots

Vestige d'une voie métrique en Bourgogne et Champagne.


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Invité necroshine

Un petit photo reportage...

Je passais souvent devant plusieurs ex-BV de cette ligne, et, ce, sans jamais les remarquer,

Puis un jour au detour d'une ballade a moto, je suis tombé sur un BV au milieu de nulle part...(Sognes),

et cela a éveillé ma curiosité... Voici donc une petite ballade le long de cette ligne :

Sens a Nogent sur Seine....

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Invité necroshine

Tout d'abord un petit peu d'histoire :

http://www.fleurigny.net/fleurigny/Son%20histoire/le_village/voies_de_communication/voies_%20de_communication.html

La ligne SENS - NOGENT SUR SEINE :

Il semble bien établi qu’au premier chef les promoteurs de ce chemin de fer aient été inspirés par une nécessité d’ordre social : celle de « désenclaver » un secteur déshérité , sans faire de sa « rentabilité » une condition essentielle .D’une longueur totale de 71 Km , la ligne dessert 23 localités – dont 16 dans l’Yonne – éparses , au sein d’une région peu peuplée , de faible rendement agricole , peu industrialisée ( sauf aux points extrêmes de SENS et de Nogent s/Seine ) . Toute cette zone accuse un dépeuplement rapide . La commune de FLEURIGNY VALLIERES verra sa population diminuer de plus de 50% entre 1867 (589 Hab) et 1968 (239 Hab) , Vallières subissant la plus forte baisse 1912 plus de 200 habitants , 1968 : 89 H .

La commune est fiévreuse .

Tous les arguments ne sont pas les mêmes, les registres municipaux en témoignent :

« Le conseil municipal ,

vu la pétition des habitants de la commune de Fleurigny qui sollicitent l’établissement d’un chemin de fer entre SENS et Nogent sur Seine par la vallée de l’Oreuse ; considérant que cette nouvelle ligne , qui relierait , directement les deux villes commerçantes de SENS et de NOGENT S/Seine pourrait desservir un grand nombre de localités privées jusqu’à ce jour de moyens de communication faciles et rapides ; que non seulement , dans le parcours les communes sont nombreuses et assez peuplées , mais que la région traversée offre des ressources importantes : produits agricoles abondants , minoteries , carrières , bois divers , tuileries etc … ; que notamment la vallée de l’Oreuse est riante et fertile et offre des curiosités de nature à attirer de nombreux visiteurs surtout pendant la belle saison ; que la ligne projetée aurait aussi le très grand avantage d’établir une liaison directe de plus entre la ligne de PARIS – LYON – MEDITERRANEE et le réseau qui couvre nos principales frontières

décide par ces motifs , (…) qu’il y a lieu de prier monsieur le Préfet de vouloir bien soumettre cette question au conseil général de l’Yonne , afin que cette assemblée (…) puisse préparer les voies et moyens de nature à faire aboutir promptement ce projet , qui intéresse si vivement les populations de toute la région comprise entre SENS et Nogent sur Seine » .

1903 L’investissement de la commune est de 12000 F ; mais le tracé initial , qui prévoit de passer au milieu du village ne satisfait pas la commune ; le prix des terrains à acquérir est exorbitant ; de plus deux passages à niveau sont nécessaires dont l’un au centre du village pour permettre aux bestiaux de se rendre à l’abreuvoir . Une demande de modification du tracé est demandée , la ligne après avoir quitté SAINT MARTIN franchirait le chemin de grande communication n°25 vers le tournant de LAUNAY pour longer ensuite le parc du château de FLEURIGNY et se diriger en droite ligne sur THORIGNY en passant à mi – côté au nord du cimetière de FLEURIGNY .

La ligne est lancée en 1907 . La commune s’organise :

« après examen du projet du chemin de fer d’intérêt local de SENS à Nogent s/Seine – considérant que dans les prévisions il n’existe pas de pont bascule pour la gare de Fleurigny - que la commune ainsi que le hameau de Vallières et celui de Barrault sont essentiellement agricoles ; qu’ils sont appelés à faire un grand trafic de marchandises ( céréales , bestiaux , matériaux etc …) le conseil municipal demande instamment qu’un pont bascule soit installé à la gare de Fleurigny » ( C.M. Juin 1911)

1924 la ligne se rapproche ; « Mr le maire expose (…) que l’avenue d’accès à la gare présente une forte rampe et un coude très brusque pour arriver à la cour des voyageurs ; que les voitures lourdement chargées , attelées de 2 et 3 chevaux seront dans l’impossibilité d’accéder à cette cour pour atteindre celle des marchandises ; que cette situation sera préjudiciable d’une part aux intérêts des cultivateurs qui éprouveront de sérieuses difficultés pour expédier leurs produits ou recevoir des marchandises , et d’autre part , à la compagnie exploitante qui verra un trafic diminuer du fait que certains usagers continueront comme aujourd’hui à expédier leurs marchandises et à en recevoir par les autobus desservant la gare de Pont sur Yonne (…) ; et qu’il serait regrettable de ne pouvoir utiliser avec son plein effet le nouveau moyen de transport attendu depuis si longtemps ; considérant qu’il convient enfin d’aider l’agriculture dépourvue de main d’œuvre , par tous les moyens ; demande qu’un passage facilement praticable aux véhicules poids lourds et à longs attelages soit établi par le fond de la cour aux marchandises , l’avenue actuelle devant être réservée pour le service des piétons et des voitures légères ».

Enfin ! en 1925 a lieu l’ouverture partielle de la ligne sur laquelle un seul train par jour dans chaque sens de SENS à Saint Maurice aux R.H.et à Villeneuve l’Archevêque , fonctionne

Les%20vo14.gif

Il est précisé que « provisoirement » , en attendant l’ouverture complète de la ligne , les trains resteront légers et ne prendront dans les gares et arrêts que les voyageurs , les bagages et les chiens .

La petite histoire : Les trains ne s’arrêtent que pour prendre des voyageurs qui , rapprochés du poteau d’arrêt , auront fait comprendre par un signe quelconque au mécanicien leur intention de monter ; ou pour y laisser des voyageurs qui auront , à la station précédente , prévenu le chef de train de leur intention de descendre à ces arrêts .

1927 : « En raison d’un itinéraire Saint Maurice – SENS au profil d’une irrégularité regrettable présentant une rampe continue dépassant 2700 m (…) source de dangers permanents pour les voyageurs , (…) le conseil général décide de faire refaire la section de ligne ce qui nécessite la coupure de l’exploitation en deux tronçons : SENS –THORIGNY et SAINT MAURICE AUX RICHES HOMMES – VILLENEUVE l’ARCHEVEQUE et NOGENT S/SEINE .

lors de la mise en place de la ligne complète , le trafic se limitera à 2 trains par jour , avec horaires décalés les lundi et samedi ( en fonction des jours de marché aux terminus) . – voir tableau avec commentaires en annexe – La moyenne horaire ne s’améliore pas : 20 Km/h en moyenne

La destruction à Nogent S/Seine , en juin 1940 par les troupes françaises , du pont sur la Seine (en béton armé de 72m) qui terminé en 1928 , avait marqué l’achèvement de la ligne et mit fin à son exploitation provisoire (qui avait duré 3 ans) entre Saint Maurice aux R.H.et SENS , coupa court à toute velléité de remise en service durant l’occupation .

Le matériel resté à Saint Maurice aux R.H. fut liquidé ainsi que les voies (1942 – 1943)

Séance du conseil municipal de la commune, 27 mai 1949 : Liquidation des V.F.I.L. « le C.M. vu la circulaire préfectorale du 19 avril 1949 prévoyant la cession à la commune de l’ensemble des parcelles de terrains dépendant de l’assiette des voies ferrées d’intérêt local , décide d’accepter cette cession sous la réserve que , vu la situation financière de la commune, vu le peu d’intérêt que cette cession comporte sur le territoire de Fleurigny, que cette cession soit faite à titre gratuit » .

En 1951 , monsieur DEVRIEZE Cyrille , acquéreur de l’ancienne gare , acquiert la plateforme longeant la gare .

Ainsi disparaît , sans bruit ni débat celui qu’on surnommait le « tacot » , ce petit chemin de fer , dont on peut encore retrouver quelques jalons : anciennes gares à l’architecture caractéristique , remblais restes de plateformes devenus chemins ruraux .

Les%20vo15.jpgLes%20vo16.jpg

Jean CHAMANT président du conseil général de l’Yonne , ancien ministre des transports écrit :

« Il reste que ce moyen de transport collectif , lent mais peu coûteux , a rendu des services irremplaçables à son époque , et a laissé des souvenirs vivaces à ceux qui l’ont utilisé ».

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Invité necroshine

http://fr.wikipedia.org/wiki/Lignes_Sens_-_Villeneuve-l%27Archev%C3%AAque_et_Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes_-_Nogent-sur-Seine

Les lignes de Sens à Villeneuve-l'Archevêque et de Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes à Nogent-sur-Seine étaient des lignes de chemin de fer secondaire à voie métrique, situées dans les départements de l'Yonne et de l'Aube.

Longueur de chaque tronçon :

Construction[modifier]

Le projet initial prévoyait de relier Sens à Nogent-sur-Seine, avec une antenne rejoignant Villeneuve-l'Archevêque depuis Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes.

L'implantation de ce chemin de fer visait à désenclaver la frange sud de la Champagne pouilleuse en amenant aux bourgs les voyageurs et les marchandises les jours de foire ou de marché.

Du fait des retards de construction du pont sur la Seine à Nogent-sur-Seine, on débuta l'exploitation de Sens à Villeneuve-l'Archevêque en 1924, et c'est le tronçon de Saint-Maurice à Nogent-sur-Seine qui sera exploité en antenne une fois les travaux achevés en 1928.

A son extrémité ouest, la voie s'arrêtait à la station Sens-Ville, le long de l'actuel Boulevard de Verdun à Sens. Il avait été initialement prévu de rejoindre la gare CFD de Sens de l'autre côté de l'Yonne, à proximité de la gare de la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée. Plusieurs projets de prolongement furent proposés mais aucun ne sera réalisé et la ligne pris ainsi son terminus au milieu d'une zone alors non-urbanisée. Par contre, à Nogent-sur-Seine et à Villeneuve-l'Archevêque, la ligne se terminait dans les gares du PLM ce qui permettait des commodités de transbordement.

Un embranchement vers Sergines et Bray-sur-Seine a été un temps envisagé puis abandonné et, en définitive, le réseau à voie métrique du nord-Sénonais formé de la ligne de Sens à Villeneuve-l'Archevêque et de l'antenne Saint-Maurice - Nogent-sur-Seine restera isolé, sans être relié à un autre réseau de chemin de fer à voie métrique.

Exploitation[modifier]

La section de Sens à Villeneuve-l'Archevêque a été mise en service en 1924, et dès le début de l'année 1934 le service est transféré sur route.

La desserte de la section de Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes à Nogent-sur-Seine débuta en 1928 et s'acheva en 1938.

Matériel[modifier]

Matériel moteur[modifier]

Il semble qu'au plus 4 locomotives ont circulé régulièrement sur le réseau :

  • la Corpet-Louvet 130 T n°43
  • la Corpet-Louvet 030 T n°27 de 17 tonnes
  • la Pinguely2 de 17 tonnes
  • et enfin une autre machine (non-identifiée), apparemment de fabrication Pinguely.

La Corpet-Louvet43 est transférée à Laroche en 1933 alors que les machines n°2 et 27 étaient toujours stationnées à Saint-Maurice en 1939.

Destinés au trafic des voyageurs, deux autorails ont circulé sur le réseau nord-Sénonais :

Ces engins seront transférés aux réseaux CFD du sud de l'Yonne en 1933.

Pour la desserte de l'antenne Saint-Maurice - Nogent-sur-Seine à partir de 1933, deux autorails De Dion-Bouton JB2 sont acquis aux Tramways de l'Aude par l'intermédiaire de la Société Wolf à Paris (qui aurait récupérée en paiement la quatrième locomotive à vapeur Pinguely sus-citée.)

Matériel remorqué[modifier]

Le parc se composait de 14 voitures à voyageurs à 2 essieux, de 38 wagons à marchandises de types divers et de 2 wagons-grue.

Infrastructures[modifier]

Au printemps 1940, au cours de leur retraite, les troupes françaises font exploser le pont sur la Seine à Nogent-sur-Seine. Il ne sera jamais réparé.

Dès le début de l'occupation, la gare de Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes et ses débords sont transformés en camp de détention pour nomades.

En 1943, la majeure partie de la voie est déferrée et les rails sont récupérés par l'Organisation Todt.

Après-guerre, les remembrements successifs des parcelles agricoles et l'urbanisation (surtout aux abords des terminus de Sens et de Nogent-sur-Seine) feront disparaitre progressivement l'emprise de la voie.

Pourtant, au début du XXIème siècle subsistent encore de nombreux vestiges du réseau à voie métrique du nord-Sénonais. Les bâtiments voyageurs n'ont pas été démolis et servent d'habitations. Bien souvent, le château d'eau attenant a été conservé. La gare, abandonnée, de Courroy-La Chaume peut être visitée librement. L'emprise de la voie est encore nettement visible sur de longues sections comme le long de la départementale entre Thorigny-sur-Oreuse et Saint-Maurice-aux-Riches-Hommes. Par endroits, c'est un chemin vicinal qui emprunte la plate-forme de l'ancienne voie (vallée de l'Oreuse, forêt de Lancy, ...). On peut également voir un pont enjambant un fossé au lieu-dit Les Basses Selles, près de Fleurigny.

L'unique portion de voie ferrée n'ayant pas été déposée se réduit au passage à niveau de la gare de Courgenay, où l'on peut voir les rails traverser la route, noyés dans plusieurs couches de bitume.

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Invité necroshine

Granchette :

(je n'ai pu trouver de BV a cet endroit, peut etre etait-ce juste une halte, mais on devine l'ancienne plateforme)

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Cuy :

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Evry :

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Gisy les Nobles : le chateau d'eau préservé.

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La Pommeraie : je n'ai pas retrouvé le BV.

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La Chapelle sur Oreuse : Je n'ai pas retrouvé le BV, pourtant j'ai tourné dans ce village...

Modifié par necroshine
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Invité necroshine

Saint Martin sur Oreuse :

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Fleurigny :

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Thorigny sur Oreuse :

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Courroye - La Chaume : la particularité de cette gare est, qu'elle est totalement abandonnée, ouverte, et libre de visite...

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Invité necroshine

Vauluisant : Rien trouvé a cet endroit.

Lailly :

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Villeneuve l'Archeveque :

Pas trouvé de vestiges de la ligne métrique, mais elle rejoignait donc la ligne d'Orleans a Chalons sur Marne.

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Les Nozées : Rien trouvé non plus dans ce hameau.

Sognes :

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Plessis louptiere :

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Trainel :

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Invité necroshine

Route vers Nogent Sur Seine : La plateforme

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Surèlevée vu que la déclivité est prononcée...

post-5498-094384800 1295568094.jpg

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Je n'ai pu retrouver la Halte a Nogent, ni meme le vestige du pont sur la Seine détruit.

Nogent la Gare SNCF :

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Voila c'est fini,

en esperant ne pas trop vous avoir gavé avec ce petit photo reportage....

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Superbe!

Si tu en a d'autres en magasin...

Ce qui est intéressant c'est de voir comment les gares ont été aménagées aux goûts de chacun. Certaines ont bien gardé leur caractère ferroviaire, d'autres beaucoup moins...

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Invité necroshine

Superbe!

Si tu en a d'autres en magasin...

Ce qui est intéressant c'est de voir comment les gares ont été aménagées aux goûts de chacun. Certaines ont bien gardé leur caractère ferroviaire, d'autres beaucoup moins...

J'ai posté toutes les photos prises...

Certaines gares ont été tres joliment conservées oui....

72km de ligne, certaines gares ont été difficiles, tres difficiles a trouver dans les village, il a fallut pas mal tourner...

Mais a moto c'est un plaisir...

Modifié par necroshine
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  • 2 semaines plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

Granchette :

(je n'ai pu trouver de BV a cet endroit, peut etre etait-ce juste une halte, mais on devine l'ancienne plateforme)

Cuy :

Evry :

Gisy les Nobles : le chateau d'eau préservé.

La Pommeraie : je n'ai pas retrouvé le BV.

La Chapelle sur Oreuse : Je n'ai pas retrouvé le BV, pourtant j'ai tourné dans ce village...

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bonjour,

en ce qui concerne la Pommeraie, la photo (est un ancien relais) et ne représente pas le lieu de passage, le tacot passait en bas ou il y a, la maison de retraite, suivait le fond pour rejoindre la chapelle sur oreuse toujours dans le fond le BV se trouve vers l église, cela ne ressemble pas autres, elle est basse, je l'ai en photo.

Les sapinières c'était juste une halte

Vauluisant la halte une cabane le long de la ferme à été démontée en 1967 ou1968 il faut que je retrouve mes notes

J'ai une vue d'avion sur Lailly et il y a encore un endroit bien visible ou il passait pour rejoindre Villeneuve l 'archeveque vers les silos Soufflet. Lieu ou se trouve le terminus j'ai une carte postale, la maison est toujours habitée.

la photos avant la gare de Villeneuve represente le batiment ou se trouvait les pompes pour alimenter en eu les train de la ligne Orléans Chalons

La ligne métrique ne rejoignait l'autre qu'en biais et seulement vers le terminus

A ST maurice aux riches hommes il y a encore un réservoir et les hangards ou les machines étaient entretenues.

c'est sympa comme reportage

Sylvette

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Invité necroshine

Merci en tout cas pour ces précisions,

a l'occasion, j'essaierai de faire un tour pour retrouver le BV manquant...

Moi qui cherchait les batiments de même architecture...

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Invité necroshine

Salut JackV,

pour la petite hitoire, j'etais tombé sur la gare de Sognes au hasard d'un tour a moto....

Je trouvais que cela ressemblait a un ex BV,

j'avais donc pris quelques photos et, le soir meme,

je suis venu me renseigner sur le net.... Puis IGS4, m'a bien aidé egalement....

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Salut JackV,

pour la petite hitoire, j'etais tombé sur la gare de Sognes au hasard d'un tour a moto....

Je trouvais que cela ressemblait a un ex BV,

j'avais donc pris quelques photos et, le soir meme,

je suis venu me renseigner sur le net.... Puis IGS4, m'a bien aidé egalement....

Bonjour,

J'ai fait le même "pèlerinage" que vous (en voiture) et je peux ajouter la photo des WC garantis d'époque de la gare de SOGNES. Je fais des recherches sur cette ligne et j'ai des photos qui complètent les vôtres, ainsi que quelques copies de documents anciens.

Je cherche aussi des documents sur la gare de SENS-EST de la ligne de Sens à Troyes. Auriez-vous quelque chose ?

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bonjour,

en ce qui concerne la Pommeraie, la photo (est un ancien relais) et ne représente pas le lieu de passage, le tacot passait en bas ou il y a, la maison de retraite, suivait le fond pour rejoindre la chapelle sur oreuse toujours dans le fond le BV se trouve vers l église, cela ne ressemble pas autres, elle est basse, je l'ai en photo.

Les sapinières c'était juste une halte

Vauluisant la halte une cabane le long de la ferme à été démontée en 1967 ou1968 il faut que je retrouve mes notes

J'ai une vue d'avion sur Lailly et il y a encore un endroit bien visible ou il passait pour rejoindre Villeneuve l 'archeveque vers les silos Soufflet. Lieu ou se trouve le terminus j'ai une carte postale, la maison est toujours habitée.

la photos avant la gare de Villeneuve represente le batiment ou se trouvait les pompes pour alimenter en eu les train de la ligne Orléans Chalons

La ligne métrique ne rejoignait l'autre qu'en biais et seulement vers le terminus

A ST maurice aux riches hommes il y a encore un réservoir et les hangards ou les machines étaient entretenues.

c'est sympa comme reportage

Sylvette

Bonjour,

Je vois que je ne suis pas la seule à m'intéresser à cette ligne et si vous pouviez me montrer la photo d'avion sur Lailly et celle du BV bas de la Pommeraie ce serait gentil. Moi j'ai un certain nombre de documents sur cette ligne à votre disposition. Mais si vous aviez des images anciennes de la gare de Sens-Ville ce serait génial car c'est introuvable, alors qu'on trouve assez facilement d'autres gares de cette ligne.

Je cherche aussi des documents sur la gare de Sens-Est de la ligne Sens-Troyes. Vous auriez cela ?

Cordialement.

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Invité necroshine

Bonjour,

Je vois que je ne suis pas la seule à m'intéresser à cette ligne et si vous pouviez me montrer la photo d'avion sur Lailly et celle du BV bas de la Pommeraie ce serait gentil. Moi j'ai un certain nombre de documents sur cette ligne à votre disposition. Mais si vous aviez des images anciennes de la gare de Sens-Ville ce serait génial car c'est introuvable, alors qu'on trouve assez facilement d'autres gares de cette ligne.

Je cherche aussi des documents sur la gare de Sens-Est de la ligne Sens-Troyes. Vous auriez cela ?

Cordialement.

N'hesitez pas tous 2 a poster les infos sur cette ligne dans ce sujet,

et toi Bouly, n'hesite pas a ouvrir un sujet sur Sens - Est ,

Nos historiens te trouverons surement qualque chose..

Modifié par necroshine
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Pour rester dans la même région, quelqu'un aurait-il des infos sur la ligne Villeneuve-l'Archevèque - Joigny et son embranchement Brion - Laroche-Migennes ?

A-t-elle été construite et exploitée, ou est-elle restée à l'état de projet ?

Elle figure sur la carte Taride n°70 que je crois datée des années 1920, mais n'est pas sur la Michelin n°61 de 1935. Déjà déposée ?

A priori, le tracé était le suivant :

Départ de Villeneuve vers l'est, traversée de la ligne Sens - Troyes à Bagneaux, bref passage dans l'Aube à Rigny le Ferron (D54) puis retour dans l'Yonne (D30).

Desserte de Fournaudin, Vaudeurs, Arces et Dilo, passage à proximité des Etangs de St Ange, puis probablement en accotement de la D47 jusqu'à Joigny via Bussy en Othe et Brion.

L'embranchement Brion - Laroche devait probablement longer la D233.

Cette ligne aurait permis d'aller de Nogent sur Seine ou de Château-Landon à Toucy ou L'Isle Angely par le réseau secondaire (3 jours !!).

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Pour rester dans la même région, quelqu'un aurait-il des infos sur la ligne Villeneuve-l'Archevèque - Joigny et son embranchement Brion - Laroche-Migennes ?

A-t-elle été construite et exploitée, ou est-elle restée à l'état de projet ?

Elle figure sur la carte Taride n°70 que je crois datée des années 1920, mais n'est pas sur la Michelin n°61 de 1935. Déjà déposée ?

A priori, le tracé était le suivant :

Départ de Villeneuve vers l'est, traversée de la ligne Sens - Troyes à Bagneaux, bref passage dans l'Aube à Rigny le Ferron (D54) puis retour dans l'Yonne (D30).

Desserte de Fournaudin, Vaudeurs, Arces et Dilo, passage à proximité des Etangs de St Ange, puis probablement en accotement de la D47 jusqu'à Joigny via Bussy en Othe et Brion.

L'embranchement Brion - Laroche devait probablement longer la D233.

Cette ligne aurait permis d'aller de Nogent sur Seine ou de Château-Landon à Toucy ou L'Isle Angely par le réseau secondaire (3 jours !!).

En PJ la carte du tracé prévu. Et pour tout savoir (ou presque) voir le site de la commune de LOOZE (Yonne) ou looze.free.fr/notre_histoire/histoire_du_tacot.

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Pour rester dans la même région, quelqu'un aurait-il des infos sur la ligne Villeneuve-l'Archevèque - Joigny et son embranchement Brion - Laroche-Migennes ?

A-t-elle été construite et exploitée, ou est-elle restée à l'état de projet ?

Elle figure sur la carte Taride n°70 que je crois datée des années 1920, mais n'est pas sur la Michelin n°61 de 1935. Déjà déposée ?

A priori, le tracé était le suivant :

Départ de Villeneuve vers l'est, traversée de la ligne Sens - Troyes à Bagneaux, bref passage dans l'Aube à Rigny le Ferron (D54) puis retour dans l'Yonne (D30).

Desserte de Fournaudin, Vaudeurs, Arces et Dilo, passage à proximité des Etangs de St Ange, puis probablement en accotement de la D47 jusqu'à Joigny via Bussy en Othe et Brion.

L'embranchement Brion - Laroche devait probablement longer la D233.

Cette ligne aurait permis d'aller de Nogent sur Seine ou de Château-Landon à Toucy ou L'Isle Angely par le réseau secondaire (3 jours !!).

Je complète ma réponse avec la carte des CF de l'Yonne où on voit le tracé en pointillé de cette ligne projetée.

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