raggalove Publication: 5 février 2011 Partager Publication: 5 février 2011 La vigilance et l’action collective sont plus que jamais à l’ordre du jour quand on constate les conséquences que produisent les options libérales en matière de gestion de l’entreprise qui affectent grandement au quotidien l’efficience du service Public et les conditions de travail des cheminots. La séquence des dernières intempéries a été révélatrice de ce point de vue. Oui, je maintiens que sur mandat de l’Elysée, Guillaume PEPY oeuvre au démantèlement de l’entreprise publique, donc de l’EPIC, en le fondant dans un groupe de transport et de logistique qui a vocation à devenir privé demain. Le budget 2011 du groupe SNCF en fournit d’ailleurs de nouveaux éléments. L’EPIC SNCF, notre entreprise, est dilué, atrophié, affaibli. On s’en sert comme une banque pour financer la croissance externe, notamment le développement des filiales du groupe GEODIS et l’achat d’entreprises à l’étranger ou la prise de participations capitalistiques dans d’autres. Ce sont les mêmes potions que l’on nous administre que dans de grandes entreprises publiques qui ont vu ces dernières années leur statut modifié et ont subi des privatisations partielles ou complètes au nom du dogme libéral et de la concurrence libre et non faussée avec les douloureuses et dramatiques conséquences que l’on a déploré à FRANCE TELECOM et maintenant à la Poste ! Les cheminots avec la CGT ont intérêt à ne rien lâcher sur ce que doit être une grande entreprise publique de Service Public et sur la préservation et l’amélioration de leur statut et des conditions sociales qui s’y attachent. 002 fevrier 2011 liaison trains.pdf courrier sud du 04.02.11.pdf Lien vers le commentaire
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