Dom Le Trappeur Publication: 24 mars 2011 Publication: 24 mars 2011 Les agents SNCF élisent leurs représentants du personnel http://fr.news.yahoo.com/64/20110324/tfr-les-agents-sncf-lisent-leurs-reprsen-a2f96e4.html 162 000 agents SNCF sont appelés à élire jusqu'à jeudi soir leursreprésentants du personnel, un scrutin qui ne devrait pas remettre encause la primauté de la CGT au sein de l'entreprise publique. Lors desdernières élections en 2009, la fédération CGT-Cheminots avait maintenuson rang de première organisation syndicale (39 %), loin devant l'UNSA(18 %), SUD-Rail (17 %) et la CFDT (11 %). Les cheminots éliront pourtrois ans leurs représentants aux 27 comités d'établissement existant àla SNCF (23 CE régionaux, 3 directions nationales et 1 CE Fret) etleurs délégués du personnel. Les résultats seront connus vendredi. Plus de deux tiers des agents voteront jeudisur leur lieu de travail, tandis que le dernier tiers aura voté parcorrespondance ou de manière électronique entre le 18 et le 24 mars.Depuis 2008, seuls les syndicats ayant comptabilisé au moins 10 % desvoix sur l'ensemble des comités d'établissement sont représentatifs auniveau de l'entreprise. A la SNCF, il sont quatre : CGT, UNSA, SUD-Railet CFDT-Fgaac. Un syndicat qui n'est pas représentatif au niveau d'uneentreprise ne peut plus négocier et signer des accords et dispose demoyens réduits pour fonctionner (heures de délégation syndicale,bureaux, etc.). Il y a deux ans, FO, la CFTC et la CFE-CGCn'avaient pas franchi la barre des 10 % : FO était néanmoins restéereprésentative dans 9 des 27 comités d'établissement SNCF et la CFTCdans cinq. Le groupe emploie un total de 235 000 salariés et a désormais un chiffre d'affaires qui dépasse les 30 milliards d'euros.
assouan Publication: 27 mars 2011 Publication: 27 mars 2011 J'ai raté le sujet sur les résultats ??? Elections SNCF: percée des syndicats réformistes mais la CGT reste en tête De Christine BERTRAND-NIELSEN et Céline SERRAT (AFP) – Il y a 2 jours PARIS — Les deux syndicats dits réformistes de la SNCF, l'Unsa et la CFDT, ont progressé lors des élections professionnelles, face à la CGT qui a enregistré un nouveau recul, mais reste encore de loin la première organisation au sein de l'entreprise. Unsa (21,4%) et CFDT (13,7%) dépassent à eux deux largement la barre des 30%, seuil nécessaire pour signer des accords sans l'appui d'une autre organisation. Leurs scores renforcent le pôle réformiste, un résultat qui ne peut que satisfaire la direction de la SNCF. Ils demeurent avec la CGT (37,3%) et SUD-Rail (17,3%) les syndicats représentatifs, autorisés à siéger autour de la table des négociations. SUD-Rail fait un peu moins bien qu'aux élections de 2009 (17,6%), mais demeure la troisième organisation syndicale. La plus forte progression revient à l'Unsa qui, avec une nouvelle percée de plus de trois points, conforte sa deuxième place. Le syndicat s'est félicité de ce "résultat historique" qui le positionne "très largement comme la première organisation syndicale réformiste à la SNCF". "C'est une prime à la négociation plutôt qu'à la radicalisation et un changement profond au sein de l'entreprise", s'est réjoui Marc Baucher, son secrétaire général. Pour lui, "les cheminots en ont marre des grèves à répétition". La part grandissante dans l'effectif des agents de maîtrises et cadres, qui dépassent désormais le collège "exécution" (ouvriers et employés), peut aussi expliquer en partie ce phénomène. La CFDT, alliée à la Fgaac (conducteurs autonomes), espérait atteindre 15% mais réalise 13,7%. Après un score décevant en 2009, elle reste toutefois avec l'Unsa l'un des gagnants de cette élection, en enregistrant deux points de plus. Avec 37,3% des voix, la CGT-Cheminots, qui en comptait quasiment 47% en 2004, poursuit sa légère érosion (-1,9 points en 2011, -0,8 en 2009 et -3,9 en 2006). Selon son porte-parole Thierry Nier, ce "léger tassement" de la CGT signifie que certains agents ont choisi de se tourner "vers des organisations plus consensuelles". La CGT met également en avant un "contexte de recomposition syndicale" avec un report des voix CFTC "vers le pôle réformiste". La centrale chrétienne s'écroule en passant de 5,4 à 1%. L'organisation conserve "une position incontournable", fait toutefois valoir M. Nier. Quelque 121.000 cheminots ont voté, soit un taux de participation de 73%, similaire à 2009. Ces élections se sont déroulées après une année 2010 marquée par deux conflits majeurs: 15 jours en avril puis, dans un cadre interprofessionnel, de nouveau 15 jours en octobre sur les retraites. Le conflit d'avril, auquel n'avaient pris part ni l'Unsa ni la CFDT, avait débouché sur peu de mesures concrètes, le PDG Guillaume Pepy ayant tenu tête aux grévistes en affirmant que "la négociation doit rapporter plus que la grève". Les autres syndicats en lice (FO, CFE-CGC et CFTC) n'ont à nouveau pas franchi la barre des 10% nécessaires pour être représentatifs au niveau national à la SNCF. FO a toutefois recueilli 8,5% des voix et la CFE-CGC 0,4%. Pour Eric Falempin, secrétaire général de FO, malgré une légère progression (0,6 point), "ce n'est pas suffisant". FO sera néanmoins représentatif dans 8 des 27 comités d'établissements de la SNCF. La CFDT et Unsa "vont devoir prendre leur responsabilités. C'est intéressant, parce que pendant deux ans, il n'y a eu aucune négociation dans l'entreprise", a-t-il commenté. http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5gzv6whjXb33fOG_YDA1dwVbI8ELA?docId=CNG.01a97d582d8f3687c796e47d12e2a72a.1c1
Dom Le Trappeur Publication: 28 mars 2011 Auteur Publication: 28 mars 2011 J'ai raté le sujet sur les résultats ??? Elections SNCF: percée des syndicats réformistes mais la CGT reste en tête De Christine BERTRAND-NIELSEN et Céline SERRAT (AFP) – Il y a 2 jours PARIS — Les deux syndicats dits réformistes de la SNCF, l'Unsa et la CFDT, ont progressé lors des élections professionnelles, face à la CGT qui a enregistré un nouveau recul, mais reste encore de loin la première organisation au sein de l'entreprise. Unsa (21,4%) et CFDT (13,7%) dépassent à eux deux largement la barre des 30%, seuil nécessaire pour signer des accords sans l'appui d'une autre organisation. Leurs scores renforcent le pôle réformiste, un résultat qui ne peut que satisfaire la direction de la SNCF. Ils demeurent avec la CGT (37,3%) et SUD-Rail (17,3%) les syndicats représentatifs, autorisés à siéger autour de la table des négociations. SUD-Rail fait un peu moins bien qu'aux élections de 2009 (17,6%), mais demeure la troisième organisation syndicale. La plus forte progression revient à l'Unsa qui, avec une nouvelle percée de plus de trois points, conforte sa deuxième place. Le syndicat s'est félicité de ce "résultat historique" qui le positionne "très largement comme la première organisation syndicale réformiste à la SNCF". "C'est une prime à la négociation plutôt qu'à la radicalisation et un changement profond au sein de l'entreprise", s'est réjoui Marc Baucher, son secrétaire général. Pour lui, "les cheminots en ont marre des grèves à répétition". La part grandissante dans l'effectif des agents de maîtrises et cadres, qui dépassent désormais le collège "exécution" (ouvriers et employés), peut aussi expliquer en partie ce phénomène. La CFDT, alliée à la Fgaac (conducteurs autonomes), espérait atteindre 15% mais réalise 13,7%. Après un score décevant en 2009, elle reste toutefois avec l'Unsa l'un des gagnants de cette élection, en enregistrant deux points de plus. Avec 37,3% des voix, la CGT-Cheminots, qui en comptait quasiment 47% en 2004, poursuit sa légère érosion (-1,9 points en 2011, -0,8 en 2009 et -3,9 en 2006). Selon son porte-parole Thierry Nier, ce "léger tassement" de la CGT signifie que certains agents ont choisi de se tourner "vers des organisations plus consensuelles". La CGT met également en avant un "contexte de recomposition syndicale" avec un report des voix CFTC "vers le pôle réformiste". La centrale chrétienne s'écroule en passant de 5,4 à 1%. L'organisation conserve "une position incontournable", fait toutefois valoir M. Nier. Quelque 121.000 cheminots ont voté, soit un taux de participation de 73%, similaire à 2009. Ces élections se sont déroulées après une année 2010 marquée par deux conflits majeurs: 15 jours en avril puis, dans un cadre interprofessionnel, de nouveau 15 jours en octobre sur les retraites. Le conflit d'avril, auquel n'avaient pris part ni l'Unsa ni la CFDT, avait débouché sur peu de mesures concrètes, le PDG Guillaume Pepy ayant tenu tête aux grévistes en affirmant que "la négociation doit rapporter plus que la grève". Les autres syndicats en lice (FO, CFE-CGC et CFTC) n'ont à nouveau pas franchi la barre des 10% nécessaires pour être représentatifs au niveau national à la SNCF. FO a toutefois recueilli 8,5% des voix et la CFE-CGC 0,4%. Pour Eric Falempin, secrétaire général de FO, malgré une légère progression (0,6 point), "ce n'est pas suffisant". FO sera néanmoins représentatif dans 8 des 27 comités d'établissements de la SNCF. La CFDT et Unsa "vont devoir prendre leur responsabilités. C'est intéressant, parce que pendant deux ans, il n'y a eu aucune négociation dans l'entreprise", a-t-il commenté. http://www.google.co...47d12e2a72a.1c1 Etonnant...non ?
luxemburg Publication: 28 mars 2011 Publication: 28 mars 2011 UNSA et CFDT en s'associant vont pouvoir signer des accords. CGT et SUD en s'associant vont pouvoir les démoncer. Les quatres OS representatives vont devoir prendre leur responsabilités...
Roukmoute Publication: 28 mars 2011 Publication: 28 mars 2011 En tout cas, les élections m'auront permis d'apprendre l'existence de "First" ! koiquesse
Invité Publication: 28 mars 2011 Publication: 28 mars 2011 En tout cas, les élections m'auront permis d'apprendre l'existence de "First" ! L'existence de FiRST avait été signalée sur ce forum il y a quelques semaines par un fichier pdf.
CRL COOL Publication: 28 mars 2011 Publication: 28 mars 2011 Le doc officiel de la comm SNCF: CP15 elections 2011.pdf
Dom Le Trappeur Publication: 29 mars 2011 Auteur Publication: 29 mars 2011 UNSA et CFDT en s'associant vont pouvoir signer des accords. CGT et SUD en s'associant vont pouvoir les démoncer. Les quatres OS representatives vont devoir prendre leur responsabilités... C'est le rapprochement des deux déclarations qui est intéressant... Guillaume Pepy ayant tenu tête aux grévistes en affirmant que "la négociation doit rapporter plus que la grève". Pour Eric Falempin, secrétaire général de FO, La CFDT et Unsa "vont devoir prendre leur responsabilités. C'est intéressant, parce que pendant deux ans, il n'y a eu aucune négociation dans l'entreprise", a-t-il commenté Donc... quand il n'y a pas de négociations, qu'est-ce qu'on fait ? Question posée tant pour les différentes OS que pour la direction...
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