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Le Web des Cheminots

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Invité Gnafron 1er

Jacques Fouroux, le « Napoléon » du rugby français, disparaît un 17 décembre

Né le 24 juillet 1947, à Auch dans le département du Gers (France) et mort le 17 décembre 2005, dans cette même préfecture gersoise, Jacques Fouroux a été l’un des plus talentueux demis de mêlée de l’équipe de rugby du XV de France. En tant que joueur, il a notamment été 28 fois sélectionné en équipe de France (dont 21 sélections en tant que capitaine de 1972 à 1977) et décroché un Grand Chelem en 1977. En tant qu’entraîneur du XV de France, il a remporté à six reprises le Tournoi des Cinq nations en 1981, 1983, 1986, 1987, 1988 et 1989 (dont deux fois le Grand Chelem en 1981 et 1987) et a été finaliste de la première Coupe du monde de rugby en 1987.

Les événements , un 17 décembre :

- 2007 : Autorité Palestinienne, soutien massif de la communauté internationale à Paris

7,4 milliards de dollars d'aide.

- 2002 : Le franc n'est plus la monnaie nationale en France.

- 1996 : Prise d'otages de 700 personnes à la résidence de l'ambassadeur du Japon à Lima.

Leur libération intervient le 22 avril 1997 avec l'assaut des soldats péruviens bilan 17 morts

dont les 14 membres du commando.

- 1989 : Insurrection à Timisoara, début de la révolution roumaine.

- 1987 : Tchécoslovaquie: Gustave Husak, président de la République, quitte son poste de

secrétaire général du PC qu'il occupait depuis 1969.

- 1953 : Election de René Coty président de la République Française.

- 1948 : Création à Paris de la pièce de Paul Claudel "Le partage de midi".

- 1819 : Fondation de la République de Colombie par Simon Bolivar "Libertador".

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Invité Gnafron 1er

Anniversaire de la mort de Pierre Semard: le 7 Mars !Il était secrétaire général de la fédération CGT des cheminots .

Pierre Semard, né le 15 février 1887 à Bragny-sur-Saône (Saône-et-Loire) et mort fusillé par les Allemands le 7 mars 1942 à la prison d'Évreux (Eure) a été syndicaliste, secrétaire général de la Fédération des cheminots et dirigeant du PCF dont il fut secrétaire général de 1924 à 1928.

Enfance et Jeunesse

Fils d'un cantonnier des chemins de fer, et d'une garde-barrière du réseau PLM, Pierre Semard passe son enfance dans la campagne bourguignonne. Il commence à travailler en 1898, après avoir passé son certificat d'études, chez un notaire d'abord, puis chez de nombreux autres employeurs. En 1904, il se rend à Paris et exerce divers petits métiers : apprenti charcutier, vendeur de journaux, débardeur aux halles. En 1906, il retourne en Bourgogne, dans l'Yonne où il gagne sa vie comme charcutier et comme cuisinier. Il se rend ensuite à Lyon puis à Valence où il se fixe finalement en s'engageant pour trois ans dans l'armée. Il est promu au grade de brigadier. Bon danseur, il s'insère facilement dans la société locale. Il trouve également du temps pour lire et arrondit sa solde en gagnant des courses cyclistes. Il épouse une jeune valentinoise avant de revenir à la vie civile.

Il passe alors un examen pour entrer aux chemins de fer comme facteur aux écritures. En 1912, il entre au secrétariat du chef de gare de Valence. C'est là qu'il devient militant syndical.

Militant syndical

À la déclaration de guerre, en 1914, étant père de trois enfants, il est mobilisé sur place. Son engagement syndical lui vaut d'être muté du secrétariariat du chef de gare au service des trains. En 1917, il représente la section de Valence au premier congrés de l'union des syndicats du PLM qui se tient à Avignon. D'après Serge Wolikow, les fonctions qu'il avait exercées au secrétariat du chef de gare auraient freiné son accession aux responsabilités syndicales. Toujours mobilisé fin 1918, il est envoyé en Belgique.

Sa femme atteinte par la grippe espagnole meurt le 3 mars 1919. Le 13 août, Pierre Semard devient secrétaire général d'une Ligue de défense et d'action contre les mercantis et les spéculateurs nouvellement créée et qui regroupe des commerçants et artisans avec des ouvriers. Il reste avant tout le dirigeant des cheminots de la Drôme et déploie une activité militante de plus en plus intense en faveur des idées du syndicalisme révolutionnaire s'inspirant de la révolution française et de la jeune révolution russe.

Ce n'est qu'à partir de 1920 que Pierre Semard commence à jouer un rôle national. Il est l'un des rares dirigeants du syndicat de l'union PLM à exprimer des doutes sur les nationalisations comme mot d'ordre mobilisateur. Révoqué des PLM pour fait de grève, il épouse en secondes noces une ancienne employée des PLM également révoquée. Il devient alors gérant de la coopérative des cheminots pour subvenir aux besoins de sa famille.

Bien vite cependant, l'activité syndicale l'accapare et l'amène à Paris l'année suivante. Il se situe dans le camp des minoritaires, révolutionnaires, contre les réformistes. Au printemps 1921, les minoritaires dominent le syndicat du Réseau PLM, et Pierre Semard, secrétaire à la propagande du syndicat, dénonçant les menaces d'exclusion brandies par la direction de la CGT, déclare « si les minoritaires d'aujourd'hui deviennent les majoritaires de demain, ils n'excluront pas leurs camarades minoritaires ». En Juin 1921, Pierre Semard est élu secrétaire général de la Fédération des cheminots, qui est dans une période particulièrement mouvementée puisque les syndicats qui avaient refusé de reconnaître le nouveau changement de majorité en faveur des révolutionnaires ont quitté la Fédération.

Pierre Semard joue alors un rôle de première importance dans la fondation de la CGTU. Il intervient dans La Vie Ouvrière pour affirmer des conceptions syndicalistes révolutionnaires antibureaucratiques et dénoncer la centralisation bureaucratique. Il réclame la restauration de l'ancien rôle des bourses. En décembre 1921, il signe la motion Mayoux hostile au contrôle du parti sur l'activité syndicale.

Lors du Ier congrès de la CGTU, à Saint-Étienne, en juin 1922, il prend la parole comme membre de la tendance Monmousseau, défendant une position centriste : il plaide pour l'adhésion à une Internationale révolutionnaire, jugeant que la CGTU ne peut pas rester isolée dans le monde, mais il refuse fermement la liaison avec le parti communiste et propose que la CGTU entre dans l'ISR pour y défendre son point de vue.

syndicalisme

De 1932 à 1939, on s'interroge sur la nature des responsabilités de Semard au sein du parti français, mais surtout au sein de l'Internationale. Il réside quelque temps à Moscou en tant que membre du secrétariat international du PCF, et il s'y occupe des questions paysannes.

À l'automne 1933, Semard renoue avec le syndicalisme : le bureau confédéral décide, en accord avec l'ISR, de l'affecter à la Fédération des cheminots qui l'élit secrétaire général le 26 juin 1934. Lors du congrès de fusion entre la CGT et la CGTU, le 24 novembre 1935, il est élu au secrétariat de la fédération réunifiée comme secrétaire général aux côtés de Jarrigion qui représente les ex-confédérés.

En juin 1936, alors que les cheminots n'étaient pas entrés dans la grève, il fait partie de la délégation syndicale qui rencontre Léon Blum et les ministres concernés. Le gouvernement promet d'intervenir auprès des compagnies pour l'octroi de 21 jours de congé, les 40 heures, les conventions collectives et la réintégration des révoqués de 1920. En contrepartie, la direction fédérale s'engage à éviter une occupation des chemins de fer.

Au nom de la CGT, Semard se prononce en faveur de la nationalisation. Lorsque la SNCF est créée, il est un des quatre administrateurs issus de la représentation syndicale. Malgré ses multiples responsabilités il se rend souvent sur la frontière espagnole pour s'occuper de l'acheminement de l'aide matérielle à la République espagnole.

Il souhaite explicitement que la force syndicale puisse éviter d'en venir à la grève générale des chemins de fer dont il rappelle les risques qu'elle comportait. À ceux qui critiquent la participation des secrétaires fédéraux aux instances de la SNCF, Semard oppose la nécessité d'une représentation du personnel agissant sur mandat de l'organisation syndicale.

Au lendemain de la grève du 30 novembre 1938, il est révoqué du conseil d'administration pour avoir signé des tracts qui appelaient à la grève. Le conseil de discipline le rétrograde au rang d'employé aux écritures.

La Seconde Guerre mondiale

À la suite du Pacte germano-soviétique, l'unité du Bureau fédéral de la CGT vole en éclats et les ex-confédérés (CGT) décident, le 25 septembre, d'exclure Semard et ses camarades des fonctions dirigeantes. Pierre Semard est, une fois encore, incarcéré à la Santé par le juge d'instruction militaire sous l'inculpation de détournement de fonds et d'infraction au décret du 26 septembre 1939 concernant la dissolution du PC. En dépit du témoignage favorable de M. Bloch, ingénieur en chef du matériel à la SNCF, il est condamné à trois ans de prison. Le 20 mai, il est évacué et incarcéré à Bourges. Il met à profit son emprisonnement pour écrire et entretenir une correspondance abondante avec sa femme et ses enfants, notamment sa fille Yvette. Il reste très attentif aux problèmes de sa famille. Sa femme est arrêtée en août 1941, puis sa fille Yvette, au début de 1942.

Au début 1942, Semard est transféré de Bourges au camp d'internement de Gaillon où il se retrouve avec les détenus de droit commun. Le 6 mars, on l'envoie à la prison d'Évreux. Il est fusillé comme otage le lendemain à la demande des autorités allemandes.

Il est inhumé au cimetière du Père-Lachaise, à Paris.

Vidéo de l'enterrement de Pierre Semard

A la 21 éme seconde , un policier qui salue le cercueil du militant !

http://www.ina.fr/histoire-et-conflits/seconde-guerre-mondiale/video/AFE86003025/un-cheminot-parmi-les-autres.fr.html

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bonjour

ce 18 c'est l'anniversaire de

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Invité Gnafron 1er

Le 19/12 est l'anniversaire de l'invention du phonographe :

Thomas Edison invente le phonographe

Le 19 décembre 1877, l’inventeur américain Thomas Edison (1847-1931) dépose le brevet du premier phonographe. Désormais, enregistrer des sons et les retranscrire n’est plus une utopie et va permettre à toutes les musiques d’accéder à toutes les oreilles. Grâce au progrès de la technique, la révolution sociale est une nouvelle fois en marche.

Ce qui permet à chaque Boukistanais d'écouter leur hymne national qui est un grand moment de la culture internationale :

http://www.dailymotion.com/video/x2t7bg_annie-cordy-tata-yoyo_music

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Invité Gnafron 1er

Le 20 Décembre 1974

Naissance... de la loi IVG

Après une longue procédure législative et des débats très vifs, le projet de loi Veil sur l’interruption volontaire de grossesse est adopté le 20 décembre, par 277 voix contre 192 à l’Assemblée nationale et 185 voix contre 88 au Sénat.

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Invité Gnafron 1er

22 décembre 1894 : la Conseil de guerre condamne Dreyfus à la déportation.

05dreyfus.jpgAprès trois jours de débat tenus en huis clos, le Conseil de guerre de Paris a rendu son verdict: il condamne le capitaine Dreyfus à la peine la plus lourde en cette sorte d'affaire militaire: la déportation à perpétuité en Guyane, à l'Ile du Diable, assortie de la dégradation. Le jugement est formulé en ces termes: "Alfred Dreyfus, coupable d'avoir, en 1894 à Paris, livré à une puissance étrangère ou à ses agents un certain nombre de renseignements secrets ou confidentiels intéressant la défense nationale, et d'avoir ainsi entretenu des intelligences avec cette puissance, pour lui procurer les moyens de commettre des hostilités ou d'entreprendre la guerre contre la France". Le procès Dreyfus est clos. Mais l'affaire ne fait que commencer. L'une des plus grandes erreurs judiciaires de la IIIe République vient d'être commise. Signe d'un antisémitisme qui ne demande qu'à se révéler, elle va déchirer la France. Alfred Dreyfus, juif, est accusé de haute trahison sur des preuves fallacieuses, fragiles, qui vont bientôt s'avérer avoir été fabriquées de toutes pièces par de puissants membres du service de contre-espionnage. Mais de nombreuses années seront nécessaires avant que l'innocence de Dreyfus ne soit publiquement reconnue et pour que son honneur, bafoué le 5 janvier 1895 au cours de sa dégradation dans la cour de l'Ecole militaire, soit retrouvé.

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Le couple Ceaucescou exécuté le 25/12/1989 :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolae_Ceau%C8%99escu

Pour le 25 , je ne parlerai de la naissance de Jésus car elle est fausse .Il est né bien avant l'an "O" .Sa date fut fixée au 4éme siècle de notre ére .C'est pour cela que pour ne rien louper , il faut prendre des dates encadrantes , Par exemple commencer le 15/12 jusqu'au 15/01 .Au mois , l'esprit n'est pas trahi ...vvohaurf !

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Invité Gnafron 1er

27 décembre 1945

Suite à la conférence monétaire et financière des Nations Unies de Bretton Woods en juillet 1944, le Fonds Monétaire International est créé pour reconstruire l'Europe dans un premier temps, puis pour assurer un développement harmonieux dans le monde. L'Organisation internationale sera homologuée par l'ONU en novembre 1947. Son siège sera établit à Washington. Elle est composée de 182 pays membres qui veillent à la stabilité et la liberté des échanges en accordant des prêts aux pays se trouvant dans l'obligation d'assainir ou de relever leur économie. Dans le même temps une autre organisation voit le jour, la BanqueInternationale pour la Reconstruction et le Développement (BIRD) également appelée Banque Mondiale. Elle fonctionnera en binôme avec le FMI.

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  • 2 semaines plus tard...
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Anniversaire avec un mois de retard.

6 /12/1986 :Mort de Malik Oussekine

L’affaire Malik Oussekine est une bavure policière française très médiatisée qui a causé la mort d'un étudiant, Malik Oussekine, le6 décembre 1986 à Paris, après une manifestation étudiante contre le projet de réforme universitaire du ministre Alain Devaquet. À la suite de cette affaire le ministre Alain Devaquet fut contraint à la démission. C'est Robert Pandraud ministre délégué à la Sécurité auprès de Charles Pasqua qui remit en pratique les voltigeurs.

Malik Oussekine était un jeune homme de vingt-deux ans, étudiant à l’École supérieure des professions immobilières

Contexte

Depuis le 25 novembre 1986, étudiants et lycéens manifestaient contre le projet Devaquet. De graves affrontements avec la police avaient lieu en marge des manifestations, faisant des dizaines de blessés.

Le 6 décembre 1986, après une manifestation, des étudiants occupaient la Sorbonne. L'université est évacuée dans le calme, mais quelques étudiants tentent d’élever une barricade à l’angle de la rue Monsieur-le-Prince et de la rue de Vaugirard dans le 6e arrondissement de Paris. Immédiatement, une équipe de voltigeurs motocyclistes est envoyée sur place. Les voltigeurs sont des policiers montés à deux sur une moto tout-terrain. L’un conduit, l’autre est armé d’une matraque. Ils ont comme mission de « nettoyer » les rues après les manifestations en pourchassant les « casseurs ».

Les faits

En arrivant dans le Quartier latin, les voltigeurs prennent en chasse les jeunes présumés « casseurs » qu’ils croisent. Malik Oussekine, apparemment étranger au mouvement étudiant, sortait de son club de jazz. Il est minuit. Des voltigeurs le remarquent et se lancent à sa poursuite. Malik Oussekine court, il croise un homme qui rentre chez lui. Celui-ci, fonctionnaire des finances, laisse l’étudiant entrer dans le hall de son immeuble. Ce dernier se croit à l’abri, mais les policiers qui l’ont suivi entrent à leur tour. Selon le fonctionnaire des finances, seul témoin des faits, les voltigeurs « se sont précipités sur le type réfugié au fond et l’ont frappé avec une violence incroyable. Il est tombé, ils ont continué à frapper à coups de matraque et de pieds dans le ventre et dans le dos »1.

Peu après, le Samu arrive sur place, apporte les premiers soins à Malik Oussekine et le transporte à l’hôpital Cochin, où il décède. Selon les médecins, l’étudiant meurt autant des suites du passage à tabac par la police que de sa déficience rénale (inconnue des médecins urgentistes et des policiers). Le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua et le ministre délégué, chargé de la sécurité, Robert Pandraud, suscitent alors des controverses en ne condamnant pas l’action de la police ce soir-là. Dans un entretien au journal Le Monde, Robert Pandraud déclare : « si j'avais un fils sous dialyse je l'empêcherais de faire le con dans la nuit. (...) Ce n'était pas le héros des étudiants français qu'on a dit. »

220px-Plaque_Malik_Oussekine.JPG

magnify-clip.pngPlaque commémorative sur le trottoir devant le 20 de la rue Monsieur-le-Prince.

En apprenant la nouvelle, le ministre délégué chargé de la recherche et de l'enseignement supérieur, Alain Devaquet politiquement déjà fragilisé, décide de démissionner. En outre, cette mort et les importantes manifestations contraignent le Premier ministre, Jacques Chirac, à retirer le projet Devaquet, le 8 décembre. En réponse à cette affaire, le bataillon des voltigeurs sera dissous.

Malik Oussekine est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Le 10 décembre 1986, une série de manifestations silencieuses, qui rassemble 400 000 personnes à Paris et un million dans toute la France,[réf. nécessaire] et 400 000 personnes selon l'AFP, 3 lui rend hommage.

Les deux voltigeurs directement impliqués dans sa mort passent en jugement pour « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ils sont condamnés le28 janvier 1990 à deux et cinq ans de prison avec sursis. En interne, leur administration les sanctionne par des mesures disciplinaires de deuxième et quatrième groupe. Celui qui était âgé de cinquante-trois ans au moment des faits écope du niveau de sanction le plus sévère, celui du quatrième groupe, soit la mise en retraite d'office. Le second est sanctionné par un déplacement d'office (sanction de deuxième groupe).

En 2006, David Assouline, un des leaders du mouvement étudiant contre Devaquet, devenu sénateur de Paris et conseiller municipal de Paris, propose un vœu au Conseil de Paris pour faire déposer une plaque commémorative sur les lieux du drame. Le 6 décembre 2006, cette plaque a été inaugurée en présence de la famille de Malik Oussekine et du maire de Paris, Bertrand Delanoë. Des critiques sont émises en raison du texte, qui ne précise pas que sa mort est due à des policiers.

En mémoire à Malik Oussekine, un amphithéâtre de l'université de Rennes 2 porte son nom, ainsi qu'une place d'Ivry-sur-Seine, une rue deGivors et de Varennes-sur-Seine.

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Invité Gnafron 1er

Quelques 6 Janvier ...................

06/01/1745

Naissance de Jacques-Étienne Montgolfier à Vidalon-lès-Annonay (07), qui inventa, avec son frère Jospeh, la montgolfière.

06/01/1852

Décès de Louis Braille (1809-1852), inventeur de l'écriture en relief pour les aveugles.

06/01/1934

Première ligne ferroviaire électrifiée entre Anvers et Bruxelles.

06/01/1950

La Grande-Bretagne reconnaît la Chine populaire.

06/01/1959

Ordonnance prolongeant la scolarité jusqu'à 16 ans

06/01/1961

Le «oui» l'emporte en France dans le référendum sur l'autodétermination de l'Algérie.

06/01/1975

L'ORTF laisse la place à trois chaînes de télévisions (TF1, Antenne 2 et FR3).

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9 Janvier 1873: Décès de Napoéon III

Napoléon III, neveu de l'empereur Napoléon 1er, disparaît un 9 janvier

Né le 20 avril 1808, à Paris (capitale de la France) et mort le 9 janvier 1873, à Chislehurst dans le Kent (Royaume-Uni), Charles Louis Napoléon Bonaparte, dit Louis-Napoléon Bonaparte, a été le premier président de la République française du 20 décembre 1848 au 2/12

1852. Egalement coprince d’Andorre du 20 décembre 1848 au 4 septembre 1870 (officiellement, le 1er mars 1871), il a de plus été empereur des Français sous le nom de Napoléon III du 2/12- 1852 au 4 Septembre 1870 (officiellement, le 1er mars 1871).

Fils de Louis Bonaparte (1778-1846), frère de Napoléon 1er (1769-1821) et roi de Hollande (1806-1810), et d’Hortense de Beauharnais, fille naturelle de l’impératrice Joséphine (1763-1814) et adoptive de l’empereur, il était le neveu et le petit-fils par lien d’adoption de celui qui fut le maître de la France et d’une grande partie de l’Europe du 18 mai 1804 au 6 avril 1814 et du 20 mars au 22 juin 1815. Durant son règne, Napoléon III s’est notamment attaché à moderniser la France tant sur le plan industriel que structurel. A Paris, par exemple, il est à l’origine des aménagements mis en place par le préfet Haussmann.

Après la défaite de Sedan lors de la guerre franco-prussienne de 1870, la République est proclamée le 4 septembre (quelque 48 heures plus tard seulement). Un temps maintenu en captivité, Louis-Napoléon Bonaparte est ensuite contraint à l’exil et part pour l’Angleterre où il va s’éteindre le 9 janvier 1873.

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6 /12/1986 :Mort de Malik Oussekine

L’affaire Malik Oussekine est une bavure policière française très médiatisée qui a causé la mort d'un étudiant, Malik Oussekine, le6 décembre 1986 à Paris, après une manifestation étudiante contre le projet de réforme universitaire du ministre Alain Devaquet. À la suite de cette affaire le ministre Alain Devaquet fut contraint à la démission. C'est Robert Pandraud ministre délégué à la Sécurité auprès de Charles Pasqua qui remit en pratique les voltigeurs.

Malik Oussekine était un jeune homme de vingt-deux ans, étudiant à l’École supérieure des professions immobilières

Contexte

Depuis le 25 novembre 1986, étudiants et lycéens manifestaient contre le projet Devaquet. De graves affrontements avec la police avaient lieu en marge des manifestations, faisant des dizaines de blessés.

Le 6 décembre 1986, après une manifestation, des étudiants occupaient la Sorbonne. L'université est évacuée dans le calme, mais quelques étudiants tentent d’élever une barricade à l’angle de la rue Monsieur-le-Prince et de la rue de Vaugirard dans le 6e arrondissement de Paris. Immédiatement, une équipe de voltigeurs motocyclistes est envoyée sur place. Les voltigeurs sont des policiers montés à deux sur une moto tout-terrain. L’un conduit, l’autre est armé d’une matraque. Ils ont comme mission de « nettoyer » les rues après les manifestations en pourchassant les « casseurs ».

Les faits

En arrivant dans le Quartier latin, les voltigeurs prennent en chasse les jeunes présumés « casseurs » qu’ils croisent. Malik Oussekine, apparemment étranger au mouvement étudiant, sortait de son club de jazz. Il est minuit. Des voltigeurs le remarquent et se lancent à sa poursuite. Malik Oussekine court, il croise un homme qui rentre chez lui. Celui-ci, fonctionnaire des finances, laisse l’étudiant entrer dans le hall de son immeuble. Ce dernier se croit à l’abri, mais les policiers qui l’ont suivi entrent à leur tour. Selon le fonctionnaire des finances, seul témoin des faits, les voltigeurs « se sont précipités sur le type réfugié au fond et l’ont frappé avec une violence incroyable. Il est tombé, ils ont continué à frapper à coups de matraque et de pieds dans le ventre et dans le dos »1.

Peu après, le Samu arrive sur place, apporte les premiers soins à Malik Oussekine et le transporte à l’hôpital Cochin, où il décède. Selon les médecins, l’étudiant meurt autant des suites du passage à tabac par la police que de sa déficience rénale (inconnue des médecins urgentistes et des policiers). Le ministre de l’Intérieur Charles Pasqua et le ministre délégué, chargé de la sécurité, Robert Pandraud, suscitent alors des controverses en ne condamnant pas l’action de la police ce soir-là. Dans un entretien au journal Le Monde, Robert Pandraud déclare : « si j'avais un fils sous dialyse je l'empêcherais de faire le con dans la nuit. (...) Ce n'était pas le héros des étudiants français qu'on a dit. »

Plaque commémorative sur le trottoir devant le 20 de la rue Monsieur-le-Prince.

En apprenant la nouvelle, le ministre délégué chargé de la recherche et de l'enseignement supérieur, Alain Devaquet politiquement déjà fragilisé, décide de démissionner. En outre, cette mort et les importantes manifestations contraignent le Premier ministre, Jacques Chirac, à retirer le projet Devaquet, le 8 décembre. En réponse à cette affaire, le bataillon des voltigeurs sera dissous.

Malik Oussekine est enterré au cimetière du Père-Lachaise à Paris. Le 10 décembre 1986, une série de manifestations silencieuses, qui rassemble 400 000 personnes à Paris et un million dans toute la France,[réf. nécessaire] et 400 000 personnes selon l'AFP, 3 lui rend hommage.

Les deux voltigeurs directement impliqués dans sa mort passent en jugement pour « coups et blessures ayant entraîné la mort sans intention de la donner ». Ils sont condamnés le28 janvier 1990 à deux et cinq ans de prison avec sursis. En interne, leur administration les sanctionne par des mesures disciplinaires de deuxième et quatrième groupe. Celui qui était âgé de cinquante-trois ans au moment des faits écope du niveau de sanction le plus sévère, celui du quatrième groupe, soit la mise en retraite d'office. Le second est sanctionné par un déplacement d'office (sanction de deuxième groupe).

En 2006, David Assouline, un des leaders du mouvement étudiant contre Devaquet, devenu sénateur de Paris et conseiller municipal de Paris, propose un vœu au Conseil de Paris pour faire déposer une plaque commémorative sur les lieux du drame. Le 6 décembre 2006, cette plaque a été inaugurée en présence de la famille de Malik Oussekine et du maire de Paris, Bertrand Delanoë. Des critiques sont émises en raison du texte, qui ne précise pas que sa mort est due à des policiers.

En mémoire à Malik Oussekine, un amphithéâtre de l'université de Rennes 2 porte son nom, ainsi qu'une place d'Ivry-sur-Seine, une rue deGivors et de Varennes-sur-Seine.

Ma première manif! ( j'avais 15 ans )! CRS " .. "

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Invité Gnafron 1er

Il y a une toute petite erreur, ou plutôt un petit mensonge des autorités mais ce n'est pas bien grave.

Bjr Aldo .Ne nous laisse pas dans le doute .....dis nous ce qui cloche .

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Invité Gnafron 1er

Date importante qui a influençé notre vie ......J'ai loupé il y a 2 jours : anniversaire d'un décret Napolénien instaurant l'indépendance sucrière de la France .

Napoléon 1er et les betteraves.....

La canne à sucre était la principale source de sucre au début du 19 esiècle. C’est le blocus continental qui devait donner une

impulsion déterminante au sucre de betterave. Le 21 novembre 1806, jour où Napoléon annonça le blocus continental

et interdit ainsi l’entrée des ports du continent européen aux bateaux anglais,a été une date décisive pour l’économie

sucrière dans le monde entier. Dès 1806,le sucre de canne avait pratiquement

disparu des échoppes européennes Le sucre, le «sel doux» comme on l’appelait autrefois, était encore un article de luxe

pour nos ancêtres. Au moment du blocus continental, le prix augmenta jusqu’à 180 marks-or par kilo.

En 1811, des scientifiques français présentaient deux pains de sucre issus de la

betterave. Napoléon fut tellement impressionné qu’il décréta que 32 000 hectares de terres devaient immédiatement

être dédiés à la culture de la betterave et qu’il subventionna la construction de sucreries. Quarante sucreries virent ainsi le

jour en quelques années, essentiellement dans le nord de la France, mais aussi en Allemagne, en Autriche, en Russie et au

Danemark.A la fin du blocus continental, le sucre de canne réapparut et plusieurs pays stoppèrent la production de betterave. En revanche, le gouvernement français soutenait le développement de meilleures

variétés et de meilleures techniques d’extraction. C’est ainsi que le sucre de betterave devint une culture rentable.

Des hauts et des bas ont marqué l’industrie de la betterave. Mais aujourd’hui,l’Europe a une production annuelle de

120 millions de tonnes de betteraves, qui produisent à leur tour 16 millions de tonnes de sucre blanc. Il fallut attendre

1892 pour voir l’industrie du sucre de betterave prendre définitivement son essor grâce aux progrès de la phylogéné-

tique et aux améliorations de la technique de production du sucre, développement qui s’est poursuivi jusqu’à nos

jours. Les betteraves couvrent actuellement environ 40% des besoins mondiaux en sucre.

La France et l’Allemagne sont encore les premiers producteurs, mais tous les pays européens, excepté le Luxembourg, cultivent la betterave. Presque 90% du sucre consommé en Europe est local, une proportion qui eût été impensable il y a deux

siècles.

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Invité Gnafron 1er

Quelques 13 Janvier

2000

Au Portugal, arrestation de Sid Ahmed Rezala soupçonné dans l'affaire des meutres des trains de nuit en France.

1995

Le Vatican suspend Mgr Gaillot de ses fonctions d'évêque d'Évreux suite à ses initiatives jugées trop médiatiques.

[commentaire perso :du moins officiellement ]

1982

Une ordonnance institue la semaine de 39 heures.

1982

Une ordonnance institue la cinquième semaine de congés payés.

Modifié par Gnafron 1er
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Quelques 13 Janvier

1982

Une ordonnance institue la semaine de 39 heures.

1982

Une ordonnance institue la cinquième semaine de congés payés.

c’était beau, on été jeune...c'est après que cela c'est gâté...

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Invité Gnafron 1er

c’était beau, on été jeune...c'est après que cela c'est gâté...

Ce qui est pris ...et pris .Et tant mieux ...même si ça n'a duré que 2 ans !

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