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Le Web des Cheminots

Histoire des ateliers de Sotteville Quatre Mares


Messages recommandés

  • 3 semaines plus tard...
  • 2 semaines plus tard...

la 160 un monstre de puissance rester à l'état de proto

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150 P, tu voulais dire ?

il n'y a eu qu'une seule 160, c'est celle de Chapelon : la 160 A 1

Oui, tu as raison, 160A1, elle est en photo sur le site

Et un lien intéressant

http://www.del.gleize.net/160a1.html

Modifié par aldo500
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  • 2 années plus tard...
Le 22/12/2014 à 19:55, Montrouge Boy a dit :

Quatre-Mares pour les locomotives, car Sotteville est un dépôt et non un atelier... Mais ça reste dans le même secteur

En 1843, c'est l'arrivée du chemin de fer qui va donner à Sotteville sa raison de vivre : la construction de la ligne « Paris-Rouen » (il faut 3h30 pour faire le trajet) concentre à Sotteville des installations d'entretien, de réparation et de construction ferroviaire l'atelier de Quatre-Mares et l'atelier Buddicom, du nom de l’entrepreneur anglais William Buddicom créateur de l’usine construite aux Chartreux et dont la représentation de la locomotive éponyme figure dans l'ancien blason de la ville), et plus tard de triage.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sotteville-l%C3%A8s-Rouen

un peu HS

Les Ateliers de SOTTEVILLE - BUDDICOM- QUATRE MARES

extrait de http://www.gaqm.fr/Theme_1.html

Le transfert des ateliers en bordure de la voie ferrée s'effectue en décembre 1845. Ils sont érigés à Sotteville-lès-Rouen, sur l'emplacement d'une ancienne forge. Situés à deux kilomètres au sud de Rouen, ils couvrent alors une superficie de 12 hectares et demi dont plus de 4 sont occupés par des bâtiments couverts.

http://www.gaqm.fr/images/Buddicom001.jpg

Les Ateliers de Buddicom à la fin du 19ème siècle

Cette fois, Allcard & Buddicom reçoivent de la Compagnie du Havre la commande de la totalité de son matériel roulant, soit 32 locomotives, 110 voitures de 1ère, 2ème et 3ème classe et 336 fourgons, trucks et autres wagons.

Pourquoi “ Quatre Mares ”?

L‘engouement du public pour le chemin de fer en ce début de siècle, bat son plein. Les développements du transport et les améliorations techniques transforment progressivement les locomotives.

Un programme d’amélioration des ateliers est alors soumis le 31 mai 1912 à l’approbation du Ministre des Travaux Publics. Ce dernier met en évidence la nécessité impérieuse d’accroître la capacité de production des ateliers de réparation des machines et de les mettre notamment en mesure de recevoir un grand nombre de locomotives modernes de grandes dimensions.

Or, sur le Réseau, l’atelier des machines de Sotteville Buddicom est le seul susceptible de recevoir des locomotives de grandes dimensions. Cependant, il ne peut manutentionner les chaudières des machines Pacific qu’avec les plus grandes difficultés.

On ne peut cependant songer à une simple transformation de l’atelier des machines de Buddicom, car les emplacements dont il dispose sont insuffisants pour lui assurer la capacité de production nécessaire.

De plus, l’utilisation de ces emplacements est nécessaire pour l’agrandissement de l’atelier des voitures et wagons, également insuffisant.

La direction des Chemins de Fer de l’Etat est ainsi conduite à prévoir la construction d’un nouvel atelier dans le voisinage des ateliers de Buddicom.

Ils retiennent pour l’étude les ateliers d’Epernay construits en 1894 avec deux travées adjacentes de 156m,50 de longueur et de 18m,50 de largeur chacune, les ateliers de la Société Franco-Belge à Raismes construits en 1908 avec une travée de 96m sur 21m, les ateliers de la Société Cain à Denain possédant une travée de 150m sur 15m., les ateliers du P.O. de Tours construits en 1909 avec une travée de 156m sur 23m,900, les ateliers du Pensylvania Railroad à Altoona (U.S.A) possédant une travée de 123m sur 65m. et les ateliers de Blanc-Misseron construit en 1911 qui ont une travée de 96m sur 28m.

En suivant ces principes il est défini un projet en 1912 précisant la disposition géographique des divers bâtiments.

http://www.gaqm.fr/images/QM101.JPG

Projet de construction en 1912

 

les ingénieurs décident de donner comme nom de baptême aux ateliers celui du lieu dit sur lequel ils vont s'implanter, c’est à dire “ Les Ateliers de Quatre Mares ”. Mais pour beaucoup de personnes les nouveaux ateliers resteront longtemps confondus avec ceux de Buddicom dans leur dénomination c’est à dire “ Les Ateliers de Sotteville ”.

http://www.gaqm.fr/Themes.html

un superbe document sur quatre mare , avant / maintenant

Modifié par assouan
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  • 8 années plus tard...

C'est la petite histoire des ateliers Buddicom qui nous est contée , avant de devenir par la suite les Ateliers 231 . 

De la chaudronnerie de fer à l’Atelier 231, centre national des Arts de la Rue – Sotteville au fil du temps…

  • J'aime 1
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  • 9 mois plus tard...

La commémoration du 80ème anniversaire du bombardement de Sotteville Les Rouen, ( 19 avril 1944 ) a été marquée par des cérémonies et activités thématiques qui ont eu lieu du 20 au 24 avril . Les installations ferroviaires ont été fortement touchées par plusieurs raids aériens, principale cible de ceux-ci, mais hélas aussi les communes alentour ont subi de gros préjudices matériels et humains .

Les bombardements de la Seconde Guerre Mondiale, dont celui du 19 avril 1944 – Sotteville au fil du temps…

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