capelanbrest Publication: 3 janvier 2012 Publication: 3 janvier 2012 Vu ce jour sur Ouest France..... Une lame de cutter dans la boîte de bœuf bourguignon ! [vidéo] Des Angevins ont retrouvé une lame de cutter dans une conserve de bœuf bourguignon.© Photo : Frank Dubray / Ouest-France Le 31 décembre 2011, un couple du Ponts-de-Cé, près d’Angers, dans le Maine-et-Loire, s’apprêtait à déguster un bœuf bourguignon, provenant d’une boîte de conserve William-Saurin, quand l’époux, 70 ans, est tombé sur une lame industrielle, de type lame de cutter, de 6 cm sur 1,5 cm. La lèvre coupée, il a dû être soigné puis vacciné en urgence. « J’ai eu l’impression d’avoir un os dans la bouche… » Le bœuf bourguignon avait mijoté pendant sept minutes dans la casserole. Ce 31 décembre 2011, vers midi et demi, Christian Vest et son épouse Éliane, qui vivent aux Ponts-de-Cé (49), passent à table. « Au bout de quelques minutes, j’ai eu l’impression d’avoir un os dans la bouche, raconte l’époux. Et puis, un goût de sang comme si je m’étais coupé. Je recrache : c’était une lame de cutter de 6 cm sur 1,5 cm. » Une expertise en référé La lèvre supérieure coupée, Christian appelle le Samu qui lui conseille de se rendre à la maison médicale la plus proche. « Le médecin a préféré me vacciner en urgence, au cas où la lame était infectée. Une vraie galère : à Angers, une seule pharmacie possédait le vaccin qu’il me fallait ! » Le couple prévient ensuite le service consommateurs de William-Saurin. « Ils voulaient qu’on leur retourne la lame, mais pas question ! Pour que la preuve disparaisse… » Leur avocat, Emmanuel Ludot, spécialiste dans les affaires alimentaires, va demander une expertise en référé, avant la fin de la semaine. « En matière de droit à la consommation, la charge de la preuve est inversée. C’est à la société de prouver que la lame ne pouvait pas se trouver dans la boîte de conserve. » En avril 2011, Me Ludot a déjà fait condamner l’industriel Jean-Caby à 24 000 € pour un caillou trouvé dans une saucisse. « Dans ce type d’affaire, l’attestation des témoins est capitale. Ici, l’épouse a tout vu. C’est à la société de voir si elle veut aller au procès… » Le lot retiré de la vente Les boîtes du lot concerné ont été retirées de la vente dans le magasin Intermarché des Ponts-de-Cé, où le produit a été acheté. Leur avocat demande une expertise en référé. Quant au fabricant, il trouve cette découverte « très étonnante » : Gilles Montrichard, responsable presse à William-Saurin, assure que le process de fabrication, sur le site de Lagny-sur-Marne, ne présente aucune faille. « Les produits sont passés au scanner à différents niveaux de la chaîne. C’est la première fois, sur des centaines de millions de boîtes produites, qu’on retrouve une lame de cutter ! » Il est trop tôt pour dire si la société va dédommager les clients. À Angers, on se souvient d’un autre corps étranger qui avait défrayé la chronique en août 2011 : une dent humaine trouvée dans un steak haché vendu chez Carrefour. Une enquête judiciaire est toujours en cours et celle qui l’a découverte n’a, pour l’instant, rien touché. Éliane et Christian Vest peuvent au moins avoir une satisfaction : « Au magasin, ils nous ont remboursé le prix de la boîte : 2 € ! » Arnaud WAJDZIK. Ouest-France
mikado43 Publication: 6 janvier 2012 Publication: 6 janvier 2012 je connaissais l'expression : sucer des galets, mais pas: boufer des lames sinon a par la lame le reste de la boite était egal a la production de W-S que l'on peut définir par : "MAIS C'EST DE LA MERDE" et en bouzin je m'y connais 25 ans de sacquettes les boites je les toutes déguster et elles ce valen toutes ce qui est grave dans cette histoire c'est le reveillon au WHISKAS !
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