[La Vie du Rail] Sujet Officiel

[Wessstcoast G'z]

Tiens, le DVD de Rail Passion est de retour!

bien sympa ce DVD mais la par exemple c'est sur le trajet entre PE et Luxembourg alors qu'il ya 2 ans il y eu celui sur le PE-Metz bref c'est de la redif sur les 3/4 du film....pareil pour les articles: encore un sur les essaies de l'AVE, sur la LGV PSE bref j'ai l'impression de lire le meme roman à chaque numéro!

[alex007]

Serait t' il possible un jour d' avoir certains ouvrages ou certains magazine (rail passion, historail, la vie du rail) au format epub ou pdf afin de pouvoir les lire sur un smartphone ou une tablette ?

Modifié 26 juin 2013 par alex007

[DIDIERD]

Serait t' il possible un jour d' avoir certains ouvrages ou certains magazine (rail passion, historail, la vie du rail) au format epub ou pdf afin de pouvoir les lire sur un smartphone ou une tablette ?

Ça existe pour Loco Revue

[LVDR_webmaster]

Bonjour, malheureusement nous avons pas encore prévu de passer à ce modèle de lecture faute de demande de la part de nos lecteurs face au coût que représente cet investissement (encore peu de lecteurs utilisent la tablette)

[LVDR_webmaster]

bien sympa ce DVD mais la par exemple c'est sur le trajet entre PE et Luxembourg alors qu'il ya 2 ans il y eu celui sur le PE-Metz bref c'est de la redif sur les 3/4 du film....pareil pour les articles: encore un sur les essaies de l'AVE, sur la LGV PSE bref j'ai l'impression de lire le meme roman à chaque numéro!

Réponse d'Olivier bertrand de Rail passion.

1/ Le DVD PE – Metz remonte non pas à 2 ans mais à 4 ans et le traitement du film de 2013 est différent, permettant notamment de découvrir le parcours luxembourgeois ;

2/ C'est le premier article substantiel que nous publions sur les essais de l’AVE ;

3/ Quand nous avons évoqué la LGV SE pour la dernière fois, c’était dans le cadre d’un hors-série sur les 30 ans du TGV et que cette fois-ci nous ne parlons pas de la ligne elle-même mais du matériel qui circule sur cette ligne, en l’occurrence les rames Sud-Est.

Il est donc parfaitement abusif de dire que nous nous répétons."

A bon entendeur...

Modifié 27 juin 2013 par LVDR_webmaster

[clicsouris]

Serait t' il possible un jour d' avoir certains ouvrages ou certains magazine (rail passion, historail, la vie du rail) au format epub ou pdf afin de pouvoir les lire sur un smartphone ou une tablette ?

Bonjour,

je remonte cette suggestion intéressante.

De la même manière, je trouve dommage que les anciens exemplaires de Rail Passion consultables en ligne avec l'abonnement "Rail pass" ne soient proposés que sur un lecteur en flash et non téléchargeables en PDF, comme, par exemple, sur les 2 CD d'archives (n°1 à 100 du magazine sur CDROM).

Peut-on espérer une évolution ?

[Pascal 45]

Décès de Pascal Grassart, journaliste à " La Vie du Rail " (MobiliCités - 09/12/2013)

Nous apprenons avec une grande tristesse la disparition de notre confrère Pascal Grassart. Diplomé de l'ESJ de Lille, grand reporter, rédacteur en chef adjoint, puis rédacteur en chef des éditions La Vie du Rail qu'il avait rejoint en 1991, après avoir été journaliste à Ouest France, Pascal n'avait que 56 ans ....

http://www.mobilicites.com/fr_actualites_disparition-du-journaliste-pascal-grassart_0_77_2947.html

[LVDR_webmaster]

Bonjour à tous. Nous sommes en train de préparer un papier et une annonce pour faire bien les choses. Sachez que nous sommes tous affecté par cette nouvelle pour ce collègue particulèrement apprécié de tous.

[Pascal 45]

Bonjour à tous. Nous sommes en train de préparer un papier et une annonce pour faire bien les choses. Sachez que nous sommes tous affecté par cette nouvelle pour ce collègue particulèrement apprécié de tous.

Sincères condoléances à toute sa famille, ses amis et collègues de travail.

[CRL COOL]

Triste nouvelle... Condoléances à sa famille, ses collègues de LVDR et ses amis.

[Pascal 45]

Hommage de Vincent Lalu, directeur de la publication, à Pascal Grassart (La Vie du Rail - 10/12/2013)

Pascal Grassart, notre confrère et ami, rédacteur en chef de La vie du rail s'est éteint le samedi 07 décembre 2013. Vincent Lalu, directeur de la publication, lui rend hommage ...

http://www.ville-rail-transports.com/content/18901-disparition-de-pascal-grassart-r%C3%A9dacteur-en-chef-de-la-vie-du-rail

[CRL COOL]

Publication de l'intégralité de l'hommage rendu par Monsieur Vincent Lalu, avec l'aimable autorisation de la revue compte tenue de la nature exceptionnelle de l'article

Ce sont d’abord ses journalistes qui font qu’un journal est indépendant et respecté. Pascal Grassart, rédacteur en chef de La Vie du Rail, mort à 56 ans d’un cancer, faisait partie de ces journalistes qui construisent, jour après jour, la réputation d’un journal.

Il était à la charnière de tous les conflits, à l’écoute des uns et des autres, arbitrant sans trancher, écoutant sans juger, respectable et respecté par tous durant ces 22 années passées sur le front d’une des entreprises où se construit, jour après jour, le rapport de forces entre les partenaires sociaux.

Il était entré dans l’hebdomadaire des cheminots le 1er avril 1991 et avait commencé par y diriger le service des correspondants, tâche ingrate s’il en fut, où son expérience de la presse régionale (deLa Manche Libre à Ouest-France) l’avait aidé à y évoluer comme un poisson dans l’eau.

C’est cette facilité, cette aisance relationnelle qui ont permis à Pascal Grassart de devenir très rapidement un interlocuteur incontournable à la fois de la direction de la SNCF et des syndicats. Une oreille attentive et fidèle qui respectait ses sources et encore plus ses lecteurs.

« Je souhaite, me disait-il dans sa lettre de motivation, élargir mes horizons et faire profiter, si possible, La Vie du Rail de mes expériences précédentes. […] Dans cette presse spécialisée où les contacts, le côté humain, la volonté de rencontre et de découverte, en même temps que la rigueur due aux interlocuteurs réguliers, correspondent à mes attentes de journaliste. »

Et il appliqua ce programme à la lettre, puisant dans l’expérience acquise dans la chronique agricole au mensuel Jeunes Agriculteurs et à Ouest-France, l’inspiration d’une carrière commencée à la radio au sortir de l’École supérieure de journalisme de Lille (l’une des meilleures de France.)

À La Vie du Rail, Pascal devint chef un peu malgré lui. (Il arrive toujours un moment où l’expérience et les compétences poussent ce genre d’homme en première ligne.)

Mais son emploi préféré était le terrain, les contacts, les reportages qui sont la matière première du journalisme, le lieu de l’écoute et de la curiosité.

Il avait ce talent rare qui est de toujours s’identifier à l’autre pour en mieux comprendre les ressorts. Cette formidable empathie qui lui valait la confiance de ceux qui l’informaient. Ainsi possédait-il deux qualités qui ont parfois du mal à cohabiter dans notre métier. Il était un excellent journaliste en même temps qu’un être d’une gentillesse extrême. Deux raisons supplémentaires pour avoir du mal à se faire à l’idée de son absence.

Vincent LALU

Une célébration aura lieu le jeudi 12 décembre à 15 heures en l'église Saint-Martin, 45 rue de la République à Meudon, suivie de l'inhumation au cimetière de Trivaux à Meudon (Hauts-de-Seine).

[Invité jackv]

un compte rendu du congrés CGT cheminots à Poitiers..pour la suite il faut acheter la VDR..

Edit Roukmoute : suppression du scan.

Modifié 19 décembre 2013 par Roukmoute

[Invité]

belle coquille qui démontre le vertige des chiffres:

"au moins faudrait-il effacer la dette historique de quelques 15 à 17 millions qui date de la construction des LGV"

Milliards! la dette, c'est 40 Milliards€.

En retirer 17 Milliards, c'est ridicule et revient à donner un suppositoire à un cancéreux: celui lui rendra temporairement le sourire !

Si c'est vraiment 17 millions € et pas une coquille, alors on peut croire au père Noël UMPS + l'IFRAP qui trouveront un moyen pour offrir si peu afin d'avoir la jouissance à court terme de voir le piège se refermer sur l'EPIC^3 coulé par 39,983 Milliards de dette non solvable.

SI on a la volonté de refaire démarrer le secteur ferroviaire français, son industrie moribonde, ses potentielles exportations, c'est 40Milliards que l'Etat doit reprendre, moins de 1,5% de la dette nationale, c'est à dire rien.

Modifié 17 décembre 2013 par 2D2

[alex007]

A quand une baisse des prix des articles sur la boutique de la vie du Rail ?

Autant avant internet les livres et les revues permettaient de rester en contact avec l' actualité ferroviaire. Mais aujourd'hui avec Wikipédia(même s' il y a de très grosses bêtises), les forums, les blogs et les réseaux sociaux (Facebook) il est devenu plus simple et gratuit d' accéder à la culture ferroviaire.

Donc le prix des livres (sauf quelque rares livres) ne se justifie plus. C' est plutôt réservé à des collectionneurs.

Par exemple quand je vois le prix du bouquin sur les caravelles à 60€ je prends peur. Qu' est ce que ce livre apporte de plus par rapport a ce que on peut trouver comme info sur les caravelles ou par rapport au numéro hors série de Rail Passion ?

Et j' attends toujours le Blu-ray sur l' histoire du RER ou du tramway en France en full HD 1080p. Et a un prix raisonnable si possible.

[aldo500]

Ah oui mais un livre, c'est un livre.

[cyclodocus]

une livre une livre

et un euro un euro

[Invité]

J'ai récemment mis 55 euros sans trop me poser de questions pour "Les Chemins de Fer Industriels" (B. Collardey & P. Etiévant, ed.LVDR) trouvé par hasard chez Cultura à Ste Geneviève-des-Bois (91).

L'avantage du livre sur internet, c'est que dans 50 ou 100 ans on pourra toujours le consulter, le relire, alors que rien ne dit que Wikipédia (pour reprendre ce seul exemple) existera encore dans un an, ou que les standards informatiques de 2020 permettront de voir les textes (ne parlons pas des images) postées aujourd'hui.

[clicsouris]

Mais aujourd'hui avec Wikipédia (même s' il y a de très grosses bêtises)

Hmmm, certes, il en restera toujours (là comme ailleurs), mais quand même, de gros progrès ont été fait ces dernières années, du moins dans le domaine ferroviaire.

Quant au livre, certes, internet aura peut-être disparu et on pourra le lire dans cent ans (encore faut-il que nos descendants sachent encore lire, ce qui n'est pas gagné avec l'enseignement actuel), mais un livre, c'est fragile, et les souris aiment se faire les dents...

Modifié 19 décembre 2013 par clicsouris

[Invité]

J'ai récemment mis 55 euros sans trop me poser de questions pour "Les Chemins de Fer Industriels" (B. Collardey & P. Etiévant, ed.LVDR) trouvé par hasard chez Cultura à Ste Geneviève-des-Bois (91).

L'avantage du livre sur internet, c'est que dans 50 ou 100 ans on pourra toujours le consulter, le relire, alors que rien ne dit que Wikipédia (pour reprendre ce seul exemple) existera encore dans un an, ou que les standards informatiques de 2020 permettront de voir les textes (ne parlons pas des images) postées aujourd'hui.

tu poses le vrai problème de la culture numérique.

50/100 ans pour un livre?

tu peux rajouter des décennies sans problème.

pour le support numérique, on a un gros problème identifié par les professionnels depuis les années 1980 !

Tu peux toujours sauvegarder dans un fichier sur un support, personne ne peut te garantir et, en étant honnête, il sera impossible de lire ton support dans 10 ans.

Ainsi en a été dès les années 1980 avec les disquettes 8", 5", 3,5"; puis les cd dont la face argentée se dégrade en 1 décennie.

Et évidemment DVD et Blue-Ray qui ne décolle pas.

Ne parlons pas des bandes magnétiques diverses et variées de la VHS, Betamax, 8" pour les sauvegardes.

J'ai pour le fun en ma possession, un vieux disque laser réinscriptible Sony (700Mo) dont Sony garantissait 25 ans de durée de vie minimum.

Ok, c'est bien mais que représente stratégiquement aujourd'hui les 700Mo de données perso archivé du serveur de 1997 et avec quoi pourrai-je le lire (lecteur spécial scsi) ?

Une solution serait la course en avant vers le nuage, le fameux Cloud.

En espérant que l'hébergeur ne prennent pas la fuite du jour au lendemain: ce serait le plus gros casse de l'humanité.

[aldo500]

un livre coûte cher à l'unité pour des petit tirages.

Le nombre d'amateurs des livres sur les trains est assez réduit.

Je serais surpris que ces bouquins tirent à plus de 3000 exemplaires

[LVDR_webmaster]

Bonjour à tous !

Merci pour ces réponses qui expliquent parfaitement l'intérêt aujourd'hui j'acheter un livre aussi spécialisé que ceux de La Vie du Rail. Cette réfléxion peut s'appliquer selon moi à tout. En effet, l'usage d'internet nous a habitué à la gratuité, mais à quel prix ! Perte flagrante de qualité et de la précision des sources, disparition de la rareté (Nos photos sont exlusives et se trouvent nulle part ailleurs), ephémerité manifeste des contenus, et comme cela a été exposé plus haut, disparition à long terme de notre patrimoine culturel ferroviaire.

En effet, nos livres dépassent rarement les 3000 tirages, nos prix sont déjà fortement resserrés, nous ne sommes pas gallimard, et ne traitons pas de sujets pour le grand publique. A part quelques livres, nous avons tenté l'expérience, que nous tirons à plus fort tirage et dont nous baissons la qualité (couverture souple, moins de contenus) afin d'attirer le grand publique sur des sujets ferroviaires plus généralistes et porté sur la nostalgie, nos livres restent solides, rédigés par de réels spécialistes dont nous finançons les recherches, des photos uniques que vous ne trouverez nul part ailleurs, et surtout, imprimées et légendées avec une rédaction du contexte si forte et prenante que cela donne aux photos une toute autre dimension. Les photos sur internet, on les voit, les trouve jolies, et on les zappe. Elles ne s'impriment plus dans notre esprit comme le fait un ouvrage que l'on tient avec soit, partout et surtout dans ses souvenirs, un livre donne de la valeur au contenu, l'usage d'internet, fortement récréatif, ne donne pas au contenu cette hauteur.

Sachez, que nos prix ont toujours été à ce niveau, les habitudes elles ont changé, affaiblissant plus encore les éditeurs avec ces nouveaux usages et des acteurs tels qu'Amazon, qui au prix de la dignité et de la santé de ses salariés, et avec des techniques commerciales à perte, détruisent radicalement et progressivement toutes les sociétés d'éditions et les librairies.

Prendre conscience de cela en tant que consomateur, c'est défendre le patrimoine dont vous êtes vous même les rares spécialistes et garants pour sa survie.

Soit dit en passant, si vous êtes en retard pour vos cadeaux de Noël, la boutique à Saint-Lazare est ouverte tout le weekend, samedi et Dimanche jusqu'à 20 h.

Bonnes fêtes à vous !

[Invité Fabr]

En réponse à la gratuité ( sic) apparente de l'information, je reponds qu'il faut toujours payer les journalistes qui effectuent leur travail...

Soit c'est le peuple qui le fait, et de part la richesse cumulée, on garanti indépendance et respect des opinions..

Soit ce seront d'autres, qui feront alors les choix à notre place...

Il existe une certaine presse "gratuite", "forte" de son succés facile....

Autant vous dire que " je la lit d'un derrière distrait.."

Fabrice

[aldo500]

Il faut savoir que le livre, ça ne rapporte pas beaucoup et l'édition est un métier à risques.

Les marges y sont faibles contrairement à ce qu'on pourrait croire.

[cc27001]

Le livre est un objet (parfois d'art, de collection), wikipedia est une bibliothèque virtuelle. Ce n'est pas la même chose.

Auparavant, pour étoffer ses connaissances, soit on achetait un livre qui représentait à la fois l'objet et la source de connaissance, soit on allait consulter l'ouvrage dans une bibliothèque pour n'en tirer que la connaissance. Désormais cette connaissance est à portée de souris gratuitement.... Reste l'objet livre.

J'aime les beaux livres, j'ai acheté pas mal de bouquins aux éditions Vdr, mais je comprends aussi le grand public qui s'adapte rapidement aux nouvelles technologies, avec tous les avantages : rapidité, virtualité, gratuité, et peu d'inconvénients.

Je crois qu'il existe le même problème dans le milieu de la photographie.