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Le groupe ABRF (fabrication et maintenance de wagons de fret) en procédure de sauvegarde


Pascal 45

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Il y a deux ans, Arnaud Montebourg avait dit à Force ouvrière : les gars d’ABRF ? C’est pas dur à sauver », se souvient Gilbert, 57 ans.

Sa femme, 54 ans, bosse chez Trelleborg à Carquefou : « Quatre-vingt-quinze licenciements là-bas. Il est où Montebourg ?

C'est bien là notre problème commun en France, le vécu douloureux dans la métropole et l'aire économique nantaise, la ville de JM Ayrault, 1er ministre pendant 2 ans: que de la communication, pas de perspectives industrielles.

Et Montebourg, le moulin à vent médiatique qui rassure les parisiens...

Et je ne voudrai pas dire, mais il y a encore des gens qui croient ce que disent les politicards de tous bord concernant le sauvetage d'entreprises, l'histoire des hauts fourneaux n'a vacciné personne, on dirait.

Modifié par ADC01
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Construire est une chose.. entretenir une autre..

Un gros Pool de wagons chez les EF est justement entretenu via les ABRF sites de Chateaubriant et St Denis...

Pas grave, on n'entretiendra plus les wagons... et roule, ma Pool... :Smiley_50:

Fabrice

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Le plus souvent, et même quand il y a un repreneur interessé, celui-ci préfère attendre la liquidation de l'entreprise en difficulté. Ca lui évite de reprendre les dettes, il rembauche qui il veut, ça donne du grain à moudre au tribunal de commerce et lors de la vente aux enchères, certains en profitent pour racheter le patrimoine à un prix dérisoire... Je peux paraître cynique, mais c'est malheureusement comme cela que ça se passe. :(

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Le plus souvent, et même quand il y a un repreneur interessé, celui-ci préfère attendre la liquidation de l'entreprise en difficulté. Ca lui évite de reprendre les dettes, il rembauche qui il veut, ça donne du grain à moudre au tribunal de commerce et lors de la vente aux enchères, certains en profitent pour racheter le patrimoine à un prix dérisoire... Je peux paraître cynique, mais c'est malheureusement comme cela que ça se passe. :(

Eh oui tu as hélas raison....dans le monde cynique des affaires, c 'est ainsi que ça se passe......

Moi ce qui m'étonne là dedans , comme le disait autrement ADC01 c 'est la crédulité des gens prêts à se raccrocher à n'importe quels bobards....

Au lieu de ne lire que des revues people style machin ou truc..ils feraient mieux de lire un tant soit peu la presse économique pour tenter de comprendre les mécanismes qui régissent la vie des entreprises...ça leur éviteraient de gober n'importe quoi....!

et parfois de se donner les moyens de quitter le navire avant qu'il ne sombre définitivement......même si dans les faits c 'est facile à dire qu'à faire. au moins ça évite d'avoir eu l'impression de se faire enfler à son insu ....!

Mais bon on ne va refaire le monde ! :Smiley_04:

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Pour avoir visité le site, c'est un sacré complexe doté d'un outil incroyable. il y a plusieurs bâtiments, séparant les activité neuves (principalement des portes autos) des activité de rénovations ( tout ce qui roule même le STSI ). Il y avait même une "machine à laver" pour les wagons avant mise en peinture. Bref Châteaubriant va se lever avec une sacré gueule de bois demain.

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L activité grosse maintenance et renovation se font helas plutot en Roumanie que dans les ateliers français.

A priori pour un problème de coût.

C est la cause de la disparition des ateliers Français.

Ce qui pourrait les sauver, c est peut etre la réactivité d equipes mobiles qui interviendrait rapidement pour eviter le blocage des wagons des jours, voir des semaines,tres peu le font...

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Et puis, les besoins en wagons neufs sont moindre suite au déclin du transport par rail.

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Il y a deux ans, Arnaud Montebourg avait dit à Force ouvrière : les gars d’ABRF ? C’est pas dur à sauver », se souvient Gilbert, 57 ans.

Et dire que ces andouilles continent à vendre de l'espoir, vous avez dit FN ???? Vous vous en étonnez encore...

http://www.entreprises.ouest-france.fr/node/144268

Jeudi 8 mai 2014:

Aux Ateliers bretons de réalisation ferroviaire Industries (ABRFI) de Châteaubriant, le processus judiciaire arrive à son terme et la situation est ubuesque. La liquidation judiciaire de cette entreprise de 81 salariés en grande difficulté apparaît inéluctable. Même s'ils ne se font plus d'illusions, les représentants du personnel des deux filiales du groupe AORF (1), devenu exsangue, ont néanmoins rendez-vous lundi 12 mai, à 10 h, au tribunal de commerce d'Orléans : « Le PDG a déposé, hier, une Déclaration de cessation de paiement (DCP). Soit le tribunal prononce la liquidation, soit il revient à un redressement, à condition qu'il y ait une trésorerie saine et des perspectives, ce qui n'est pas le cas », selon Willy Delanoë, délégué FO aux ABRF. Hier, le conseil régional s'est fendu d'un communiqué de presse plutôt... étonnant : « La Région regrette le dépôt de bilan annoncé par les ABRFI à Châteaubriant [...] Nous regrettons que le sauvetage, auquel nous avions apporté, avec l'État, notre soutien, n'ait pas été possible, compte tenu de la grave crise de gouvernance au sein de la direction de l'entreprise », écrit Gilles Bontemps, vice-président, injoignable hier soir, tout comme l'étaient les dirigeants et l'actionnaire majoritaire des ABRF.

Une certitude : les salariés sont en chômage partiel depuis des mois. Ils en ont marre et c'est peu de le dire. Créée en 1970, ABRFI, spécialisée dans la construction, la transformation et la maintenance de wagons de fret, faisait l'objet d'un plan de continuation depuis septembre 2013. Depuis également plusieurs mois, le contexte devenait pathétique : le PDG avait été révoqué et une incroyable guéguerre à la tête du groupe surajoutait à sa fragilité. Un bon de commande de 100 wagons (900 000 €) du groupe Millet devait remettre la société castelbriantaise sur les rails, mais le contrat s'est envolé. Yves Daniel, député PS de la 6e circonscription, « dépité » et « écoeuré », fustige « le travail de sape » d'un actionnaire qui a « tout fait pour couler la boîte ». Ce que tout le monde pense à Châteaubriant.

http://www.ouest-france.fr/chateaubriant-sans-repreneur-lentreprise-abrf-ferme-2564857

Vendredi 23 mai 2014 :

Placés en liquidation judiciaire le 12 mai, les Ateliers bretons de réalisation ferroviaire Industries à Châteaubriant (Loire-Atlantique), ont fermé ce vendredi 23 mai.

Aucun repreneur ne s'est manifesté avant 17 h, ultimatum fixé par le tribunal de commerce d'Orléans. Quatre-vingts salariés sont licenciés et pourraient recevoir leur lettre d'ici un mois. Ce fleuron industriel était spécialisé dans la construction, la transformation et la maintenance de wagons de fret depuis 1970.

La date butoir concernant la reprise de l'actif (terrain, bâti et matériel) a été fixée au 20 juin. Actionnaires de cette entreprise ; certains salariés ont perdu jusqu'à 100 000 €.

http://www.entreprises.ouest-france.fr/article/chateaubriant-sans-repreneur-abrf-ferme-23-05-2014-146738

Samedi 24 mai 2014 :

Nous avons la douleur de vous faire part du décès économique et industriel des Ateliers bretons de réalisation ferroviaire Industries. Aucun repreneur ne s’est manifesté hier, à 17 h, ultimatum fixé par le tribunal de commerce d’Orléans (Loiret), qui avait placé l’entreprise en liquidation judiciaire douze jours plus tôt. Les ABRFI vont donc fermer. C’était écrit depuis longtemps. Quid de l’actif ? Que valent le terrain (11 ha), le bâti (23 000 m) et le matériel ? « Qui, avant le 20 juin, va reprendre une boîte qui ne fonctionne plus ? », se lamentait, hier soir, Willy Delanoë, représentant du personnel. Les lettres de licenciement pourraient être envoyées dans quatre semaines.

« Merlin nous a bien endormis »

« On est blasé, dégoûté, révolté ! » « On nous a pris pour des guignols ! » Les salariés des ABRF accusent l’actionnaire majoritaire et historique, Jean-Luc Remondeau : « Je fermerai les ABRF, disait-il, et j’en ferai une porcherie… » L’épitaphe, elle, est pour l’ex PDG, Éric Vinassac : « Il nous a bien endormis Merlin (son surnom). Il a dit le 13 mai qu’il se battrait pour nous afin qu’on ait une bonne prime… Tu parles ! »

Hier, 23 mai, c’était le jour des 57 ans de Louis, l’un des 80 salariés de ce fleuron européen spécialisé, depuis 1970, dans la construction de porte-autos, la transformation et la maintenance de wagons de marchandises. Les derniers wagons céréaliers en révision ont quitté la gare en début d’après-midi, une couronne de fleurs posée dessus. Une ambiance de fin d’année scolaire flottait dans l’atelier « centre essieux » : se séparer, quand on sait qu’on ne se verra plus, est un déchirement : « Dernière fois qu’on mange ensemble, les gars. » Noël, 57 ans, dont trente-six aux ABRF, « de l’or dans les mains », répond aux questions de la télé.

« C’était LA bonne boîte ! »

José, Thierry, Louis… Ils sont dix. Les autres ont été invités à rester chez eux en ce jour de deuil. Debout, bras croisés, tête basse, ils ont fait griller des saucisses. Il reste de la tarte aux fraises. Pas d’élu, pas de PDG, pas d’actionnaire, pas de Castelbriantais… Personne à leur chevet. « Quand les 300 salariés de Castel Viandes manifestaient pour défendre leur entreprise (février 2013), le premier en tête du cortège avec son écharpe, c’était le maire. Il y a deux ans, Arnaud Montebourg avait dit à Force ouvrière : les gars d’ABRF ? C’est pas dur à sauver », se souvient Gilbert, 57 ans. Sa femme, 54 ans, bosse chez Trelleborg à Carquefou : « Quatre-vingt-quinze licenciements là-bas. Il est où Montebourg ? Jusqu’à la fin, les gars des ABRF ont fait le boulot par respect vis-à-vis des clients, par amour d’une boîte dans laquelle on s’est bien marré ! Au bout de dix ans d’ancienneté, on pouvait gagner 1 500 € nets. Dans une ville comme Châteaubriant, ça permet de vivre bien. Les ABRF, c’était LA bonne boîte. » Philippe, surnommé le baron, entre dans l’atelier. Un dernier calembour de ses copains : « Barons-nous ! »

Misérable une fois de plus, un coup de com pour UN, le pole emploi pour les autres ! Et dire que ça joue le héros en voulant nationaliser certaines entreprises... Bande de lâche.

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Il y a deux ans, Arnaud Montebourg avait dit à Force ouvrière : les gars d’ABRF ? C’est pas dur à sauver », se souvient Gilbert, 57 ans.

Sa femme, 54 ans, bosse chez Trelleborg à Carquefou : « Quatre-vingt-quinze licenciements là-bas. Il est où Montebourg ?

C'est bien là notre problème commun en France, le vécu douloureux dans la métropole et l'aire économique nantaise, la ville de JM Ayrault, 1er ministre pendant 2 ans: que de la communication, pas de perspectives industrielles.

Et Montebourg, le moulin à vent médiatique qui rassure les parisiens...

ABRF et bientôt le chantier naval de St Nazaire si on conserve le cap industriel donné depuis 2000 par l'UMP au pouvoir et que le PS gère avec autant de talent.

ABRF: et-qu'on a encre besoin de construire des wagons en France?

oui.

Alors c'est stratégique de conserver le savoir faire et la connerie de nos Zôms politiques français est immense.

Il n'y a pas eu des commandes récentes de plusieurs paquebots ?

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Il n'y a pas eu des commandes récentes de plusieurs paquebots ?

il y a la grosse commande de 4 mini paquebot Viking qui a avorté à cause des élections présidentielles: l'équipe de Sarkozy était en vacances et personne n'a pris l'engagement d'assurer le financement de cette commande.

C'est le chantier italien soutenu par le gouvernement italien qui a récupéré cette commande de 4 Vicking.

Il y a eu un sacré combat contre les ouvriers de St Nazaire pour qu'ils cèdent en avantages acquis (prime et repos) afin d'obtenir la commande MSC de 2 paquebots (confirmés) + 2 options puis 1 option au final.

Le souci est que le bureau d'étude du chantier semblait mis de côté et on a décalqué l'ancienne génération par paresse intellectuelle.

Le chantier italien a joué sur l'architecture navale innovante pour barboter amicalement 2 paquebots plus modernes.

Il y a une commande de ferry Brittany, région Bretagne (réuni d'avance) oblige, avec une propulsion innovante à gaz.

Mais les Pays de Loire méprisent et font chier les bretons, j'ai un sacré doute sur cette commande.

Il y a à ce jour la construction du géant Oasis pour RCCL et un autre à venir.

Je croise les doigts pour l'aménagements des cabines car sans la boite qui a fait faillite il y a moins de 6 mois, je ne sais pas où sont actuellement les compétences, les artistes ouvriers capables de rivaliser avec les meilleurs chantier du monde (si, si, visiter un paquebot classe Splendida, c'est fabuleux pour un HLM sur mer).

Et les avocats américains sont intrétables et rapaces si retards...

Il manque du sang neuf, des ouvriers/techniciens valorisés par leur travail et tranquille pour 10 ans à St Nazaire;

il manque pas mal de neurones dans les bureaux d'études: propulsion azipod, ligne incluant le post-Concordia, ...

Et comme STX Finlande interresse le gouvernement allemand par l'intermédiaire du chantier Meyer Werf. D'ailleurs le dernier Mein Schiff 3 AIDA sort de STX Finlande avec une ligne rajeunie et semble l'épreuve de passage de l'apprenti devant son futur patron.

Bon, que fait Montebourg?

Que décide Hollande?

Auront-ils le courage d'imiter les politiques italiens qui emmerdent l'Europe ou plutôt annoncent la couleur et l'Europe avalise sans critique?

Ce qui est possible politiquement en Italie ou en Allemagne semble interdit aux français quand on entend les médias bien pensants et les Zôms politiques au pouvoir.

Le seule solution, faire sauter le verrou de la clique parisienne et parler des régions à régions dans une Europe fédérale en paix.

Et pas besoin de Marine Le pen pour arriver à ce résultat...

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Le seule solution, faire sauter le verrou de la clique parisienne et parler des régions à régions dans une Europe fédérale en paix.

Et pas besoin de Marine Le pen pour arriver à ce résultat...

Aie, pour faire comprendre ça...

Tu n'y songes pas, ça leurs casseraient beaucoup de privilèges, partager leurs pouvoir et devront jouer le jeu de la démocratie...

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Et dire que ces andouilles continent à vendre de l'espoir, vous avez dit FN ???? Vous vous en étonnez encore...

.

Certaines recettes, à dose infinitesimale, sont medicaments, puis deviennent poison lorsque l'on force......

Attention en ce cas à ne pas mourrir guerri...

Puisque je ressort mes citations de grand père, en v'là une autre:

Tout flatteur vit aux depends de ceux qui l'ecoutent.....en matière de flatterie de caniveau, pas de pb, ils maitrisent au F Haine...

Fabrice

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  • 1 mois plus tard...

ABRF : la société-sœur à Orléans a été reprise (Breizh-info - 25/06/2014)

Le dernier élément de l’ancien groupe AORF, dont faisaient partie les Ateliers Bretons de Réalisation Ferroviaire (ABRF) à Châteaubriant, ont été repris. Comme c’était prévisible depuis des années, c’est le transporteur Millet qui se porte repreneur, dans la limite de 49 emplois sur 77 ...

http://www.breizh-info.com/13829/actualite-economique/abrf-societe-soeur-orleans-ete-reprise/

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Mode "Théorie du complot jacobin ourdi pour exterminer les Bretons".

Millet voulait sauver les 77 emplois mais JM Ayrault a donné ordre de ne garder que les 49 salariés qui ont moins de 5% de sang breton dans les veines. Les 28 autres seront conduits dans un camp d'extermination une porcherie industrielle pour y être rapidement gazés par du zyclon B les émanations de méthane.

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merci pour tes sarcasmes.

Cela me fait plaisir.

Kenavo

NB: jacobin? mais connais-tu au moins l'histoire de la république française?

à l'origine des jacobins, des avocats rennais, pas de parisiens hautains.

Modifié par 2D2
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SDHF Saint-Denis-de-l'Hôtel (45) repris par l'équipementier ferroviaire Millet (L'Usine Nouvelle - 16/07/2014)

Le tribunal de commerce d'Orléans (Loiret) vient d’approuver, mercredi 16 juillet 2014, la reprise de SDHF basée à Saint-Denis-de-l'Hôtel (45) par le fabricant de wagons de marchandises Millet ...

http://www.usinenouvelle.com/article/sdhf-ex-aorf-repris-par-l-equipementier-ferroviaire-millet.N274904

http://www.larep.fr/loiret/actualite/pays/loire-sologne/2014/07/16/un-repreneur-pour-sdh-ferroviaire_11082506.html

SDHF est un ITE de la gare de Saint-Denis-Jargeau (45) desservie depuis la gare des Aubrais (45)

Modifié par Pascal 45
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