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Le Web des Cheminots

Si les syndicats appellent à la grêve pour le CPE, feraient vous grêve?  

54 membres ont voté

  1. 1.

    • oui
      10
    • non
      34
    • sans opinion, je suivrai le troupeau: BBBBêêêê...
      1
  2. 2.

    • Oui, totalement
      7
    • Non, mais comme d'habitude je ferai grêve pour ne pas être "embêté"
      2
    • Non, et je ne me ferai plus prendre dans ces grêves fourrent tout stupides
      33
    • sans opinion, je suivrai le troupeau: BBBBêêêê...
      3


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Invité ioda ou sybic
Publication:

Fabrice à raison il saggit de nouvel ordre mondial mais le problème est je pense, que nos gouverneur sont les multinatonales et non les politiques que faire??? grosse question!! bigbisous

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Publication:

Fabrice à raison il saggit de nouvel ordre mondial mais le problème est je pense, que nos gouverneur sont les multinatonales et non les politiques que faire??? grosse question!! okok

S'il te plait , je préfére dire que nous sommes déjà deux à penser la même chose, et surtout pas que j'ai raison, parceque tu as surement des idées que je ne connais pas d'avance. lotrela

les politiques, eux, savent tout d'avance, on leur a dit dans leur hautes écoles qu'ils avaient le savoir sur toutes choses. Et ça marche, la preuve lotrelalotrelanonmais

Moi, je préfére la discute, et c'est pour ça que je tape l'incruste sur ce forum. okok

Fabrice

Publication:

les politiques, eux, savent tout d'avance, on leur a dit dans leur hautes écoles qu'ils avaient le savoir sur toutes choses. Et ça marche, la preuve okoklotrelalotrela

Elles doivent être trop haute leurs écoles...le cerveau a du manquer d'oxygène pendant trop longtemps.... okok

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Et voilà quelques remarques sur le CPE trouvées sur le site de LCI.

le 28/03/2006 à 19h41

Toujours et toujours la banlieue qui pose problème.... vivement 2007

Philippe, Paris

le 28/03/2006 à 19h35

Apprenez l'anglais, mes chers étudiants, le modèle français est devenu ce qu'il ne faut pas faire. Bah, au moins il reste un modèle

Petros, Athènes

le 28/03/2006 à 17h52

Ceux qui manifestent aujourd´hui dans la rue,sont nos chomeurs de demain>

René, Sao Paulo Brésil

le 28/03/2006 à 17h49

Ras le bol de cette prise d'otage permanente de la part des 10% de syndiqués(planqués) que compte notre pays. ils cultivent l'art de la paresse et nous empêchent d'aller de l'avant!!!

Stéphane, Paris

le 28/03/2006 à 17h48

Bien d'accord avec Alexandre. Si on m'offrait un CNE aujourd'hui (j'ai 40 ans), je le prendrais et je n'irai pas pleurnicher dans la rue. Bon Courage.

Sylvain, Antibes

le 28/03/2006 à 17h42

Crachez crachez.....à vous lire vous avez la solution, mais non !! juste bon à critiquer, à pleurer sur son sort et à s'inquiétez du regard des voisins !! Pauvre France....tu t'en sortiras pas avec ceux là, mais sûrement plus grâce à ceux qui sont dans la rue !!!

La Fille, Paris

le 28/03/2006 à 16h54

Les jeunes qui defilent n'ont n'ont aucune idee de la realite du marche du travail. Je suis stagiaire depuis 2 ans, diplome BAC+5 d'une ecole de commerce apres une prepa. J'ai eu le malheur de tout faire pour m'en sortir, d'etre bon a l'ecole et de vouloir faire ce qu'on me vendait comme etant la voie royale. Les politiques ne semblent interesse que par ceux qui n'ont pas de diplomes... Je bosse de 7h du matin a 19h le soir pour un quart de smic en raquettant mes parents pour survivre. Un CPE... j'aurais paye pour en avoir un... Des Stages, des stages, des stages... il n'y a plus que ca dans les entreprises pour les jeunes. Ceux qui defilent s'en apercevront dans qq annees... et ils regretteront le CPE... Car si on avait fait un pas vers les entreprises, on pourrait surement leur demander de faire un effort sur les milliers de stagiaires qui travaillent gratuitement a faire les esclaves...

Alexandre, Paris

le 28/03/2006 à 16h47

Moi, un nanti !!!! Avec un compte perpétuellement dans le rouge... Ou sont-ils ces nantis ? Au gouvernement et dans les élites politiques, puisque d'après eux le revenu mensuel moyen par couple en france est de 4000 euros ( alors que le revenu médian est de 950 euros... Soit des couples de 4 personnes...)

Fabien, Le Havre

le 28/03/2006 à 16h43

Les grèves ras le bol les jeunes reprenez les cours,grace aux syndicats vous allez faire frapper et vol.

Martine, Mulhouse

le 28/03/2006 à 16h42

Au boulot pauvre France !!!!!!

Vincent, Pologne

Voilà le vrai point de vue des Français.

Le reste n'est que du bla bla politique pour les élections: Les jeunes tous les syndicats s'en tapent.

La seule chose que veulent les syndicats c'est se servir des moutons pour avoir la laine le reste...

Chaud du Manche ne fournira pas les tondeuses

revoltages

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Pour faire plaisir à CDM...

Tout va bien

Sur

http://www.vousnousils.fr/

ouvrir la page "dépêches de l'éducation"

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Dépêche AFP

Raz-de-marée "historique" anti-CPE: entre 1 et 3 millions de manifestants

Entre 1 et 3 million de manifestants ont défilé toutes générations confondues partout en France mardi contre le CPE, dans des cortèges parfois émaillés d'incidents, un raz-de-marée sans précédent face auquel Dominique de Villepin est resté inébranlable.

En début de soirée, les secrétaires généraux des cinq confédérations syndicales ont adressé une lettre commune à Jacques Chirac, demandant une nouvelle délibération du Parlement sur la loi égalité des chances "excluant l'article relatif au CPE".

Les chiffres de la police -- qui a comptabilisé 1,06 million de manifestants dans 250 cortèges --, ou ceux des syndicats attestent que la participation aux cortèges a été mardi deux fois supérieure à celle observée le 18 mars (de 500.000 à 1,5 million de personnes).

"Historique", selon Bernard Thibault (CGT), "du jamais vu sous la Ve République", pour Jean-Claude Mailly (FO)... l'intersyndicale, qui se fait le point dès mercredi a jugé "impensable" que le Premier ministre "reste arc-bouté sur sa décision" après cette déferlante.

Dominique de Villepin a pourtant affiché sa fermeté à l'Assemblée nationale, regrettant que les syndicats aient "refusé la main tendue" de son invitation à le rencontrer mercredi à Matignon.

"Villepin, ta période d'essai est terminée", "Villepin, t'entends rien"... les slogans des manifestants ont eu pour cible privilégiée le Premier ministre, accusé de "jouer le pourrissement" après deux mois de conflit.

A Paris, entre 92.000 et 700.000 personnes (contre 80.000 à 350.000 le 18 mars) ont défilé dans un cortège dense et tendu, où étaient présents les leaders syndicaux et de l'opposition.

Alors que 4.000 policiers et gendarmes étaient mobilisés pour sécuriser le défilé parisien, des incidents ont éclaté dès le début de la manifestation.

Des heurts sporadiques se sont produit en fin de journée place de la République, en fin de manifestation. Un policier a été blessé par le jet d'une fusée.

Des incidents ont également éclaté à Caen, Rennes, Grenoble, Toulouse, Dijon et Rouen, la police faisant état de quelque interpellations en France.

A Marseille, entre 28.000 et 250.000 personnes ont défilé sans incident. Ils étaient de 31.000 à 100.000 à Bordeaux, de 42.000 à 70.000 à Nantes, de 30 à 50.000 à Rennes.

Alors qu'une soixantaine d'universités et de nombreux lycées demeurent touchés par le mouvement, la journée d'action a donné lieu pour la première fois à des milliers d'arrêts de travail.

Transports urbains, ferroviaires, aériens ont été perturbés dans l'ensemble de l'Hexagone mais sans paralysie.

La journée a affecté l'école, avec une participation à la grève allant de 27,28% (non enseignants) à 42,72% (professeurs des écoles), mais aussi le secteur public (Fonction publique, ANPE, Poste, EDF, Gaz de France) et le secteur privé (télécoms, banque, métallurgie avec 740 arrêts de travail).

Alors que la décision du Conseil constitutionnel sur le CPE, saisi par la gauche, est attendue jeudi, François Hollande (PS) en a appelé "à la responsabilité" des "plus hautes autorités de l'Etat.

Bernard Thibault (CGT), François Chérèque (CFDT), Jean-Claude Mailly (FO), Jean-Louis Walter (CFE-CGC) et Jacques Voisin (CFTC) ont écrit ensemble au président Chirac pour demander que le Parlement vote "une nouvelle délibération de la loi égalité des chances excluant l'article relatif au CPE".

Ils y voient "la condition nécessaire" à "l'ouverture rapide du dialogue social" qui "est actuellement bloqué".

Nicolas Sarkozy, qui s'est rendu dans la soirée place de la République au moment où la police évacuait les derniers manifestatnts, s'est prononcé, lui, pour une "non application du CPE" le temps d'ouvrir des négociations, tandis que le Parti radical -- co-dirigé par le ministre de l'Emploi, Jean-Louis Borloo -- a réclamé "une deuxième lecture au Parlement de l'article concernant le CPE".

Invité
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