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Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

J'suis étonné que Sarko n'ait pas décidé d'inonder nos boîtes aux lettres électroniques de spam aux couleurs mpistes...

Bon j'vais à la plage 

j'espère ne pas être importuné par les d'jeunes propagandistes de l'ump...

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Les partis schtroumpf, au niveau local ça existe aussi... dans le genre "Ecomèze gagnant" sur le canton de Mèze, qui fait la guèguerre à Frêche et refile de la thune à Jeanjean (UMP) ou à l'autre là... zut. controleursncf

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ça pète de partout : Grenoble, Saint-Aignan ... Mais que fait notre très Cher président de la République ?

Modifié par Dom Le Trappeur
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Invité necroshine

ça pète de partout : Grenoble, Saint-Aignan ... Mais que fait notre très Cher président de la République ?

Il termine les finitions de son super avion afin de pouvoir fuir...

Sur l'ile d'Arros ???? controleursncf

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Après ça , il ne dira plus que les bretons du Cross sont des cons (1/5/2007) !

Tiens, le ministre des expulsions se marie... : http://www.nettali.net/Eric-Besson-se-marie-avec-sa-jeune.html avec une ressortissante tunisienne : Yasmine Tordjman, arrière petite-fille de Wassila Bourguiba, la femme de l’ancien président et père de l’indépendance tunisienne Habib Bourguiba. Elle est musulmane, mais on peut rassurer Marie-Claire etc, Besson ne se convertira pas à l'islam : http://www.elle.fr/elle/Societe/News/Eric-Besson-dement-vouloir-se-convertir-a-l-islam/(gid)/1146138

Ce qui les rapproche, ce serait plutôt leurs origines juives orientales communes... de Beyrouth pour Besson, du Maghreb pour Yasmine.

Cela dit, ça a du sel quand on sait que le systèlme Besson donne des ailes à ceci : http://www.stormfront.org/forum/t726010/ (et tout le forum dans le même genre)

La promise en question a été égratignée par Guillon et Bakchich, donc... et elle a un profil twitter. Voilà ce qu'on y lit :

@jegoun ma relation avec Eric est sincère, mon honneur est souillé par cette campagne de calomnie entretenue par Guillon, soi-disant comique

2:05 AM Nov 30th, 2009 via web en réponse à jegoun

@misspress Il faudrait aussi s'interroger sur la désinformation entretenue par les chroniqueurs et "humoristes"

1:55 AM Nov 30th, 2009 via web en réponse à misspress

.Eric et moi avons contacté notre avocat, les calomniateurs devrons rendre gorge !

1:53 AM Nov 30th, 2009 via web

Sans commentaires...

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L'organiste Jean Guillou refuse la Légion d'honneur

Par  LIBÉRATION.FR  

L'organiste et compositeur Jean Guillou, 80 ans, a fait savoir lundi qu'il refusait la Légion d'honneur, «à l'heure où la musique dite savante ou classique voit sa place diminuée par toutes les instances officielles».

«Découvrant avec stupeur son nom parmi la promotion du 14 juillet de la Légion d'honneur», le musicien, nommé chevalier, «a pris la décision de refuser cette distinction qu'il n'a jamais sollicitée», écrit dans un communiqué l'association «AUGURE-Autour de Jean Guillou», porte-parole de l'artiste.

«Il lui apparaît que sa dignité de musicien impose de repousser cet accessoire honorifique», poursuit cette association assurant la promotion de l'oeuvre et des activités de Jean Guillou, titulaire depuis 1963 du grand orgue de l'église Saint-Eustache à Paris.

Indépendance viscérale

«Son indépendance viscérale l'a toujours maintenu hors des circuits officiels, et l'ironie veut que l'Etat lui confère un brevet de reconnaissance à l'occasion de ses 80 ans, comme si son talent se trouvait majoré par ce chiffre rond», ajoute le texte signé par la présidente de l'association, la musicologue Sylviane Falcinelli.

«Mais la seule consécration qui vaille pour un artiste est la diffusion publique des fruits les plus innovants de son imagination: or on continue d'ignorer dans les cités françaises ses compétences organologiques - alors que l'Europe se couvre d'instruments originaux conçus par lui -, et les programmations des scènes nationales tardent à reconnaître la diversité de son oeuvre de compositeur, pourtant accueillie dans les grandes salles de concert étrangères», poursuit-on de même source.

Organiste mondialement connu, compositeur prolixe, inventeur d'instruments, longtemps pédagogue, Jean Guillou a fêté ses 80 ans en avril sans le moindre concert organisé en France en son honneur.

Avant lui, Geneviève de Fontenay et Claude Monet

Jean Guillou n'est pas le premier à avoir refusé la Légion d'honneur, d'après Wikipédia. Il y a ceux qui, par humilité et souci d'indépendance, refusent la prestigieuse décoration. Ce fut le cas, début 2009, des journalistes politiques Françoise Fressoz (Le Monde) et Marie-Eve Malouines (France Info). Dans la même catégorie se classent les collaborateurs du Canard enchaîné.

L'horreur des honneurs en tout genre figure en bonne place parmi les motifs de refus. L'écrivain Marcel Aymé eut à ce propos les mots suivants: «[...] pour ne plus me trouver dans le cas d'avoir à refuser d'aussi désirables faveurs, ce qui me cause nécessairement une grande peine, je les prierais qu'ils voulussent bien, leur Légion d'honneur, se la carrer dans le train, comme aussi leurs plaisirs élyséens.»

L'énumération des réfractaires au ruban rouge pourrait être longue, si l'on en croit Wikipédia. On peut encore citer, pêle-mêle, Jean-Paul Sartre, Simone de Beauvoir, Emile Littré, Geneviève de Fontenay, Claude Monet, Maupassant, Maurice Ravel, Albert Camus, Brigitte Bardot, Pierre et Marie Curie, Catherine Deneuve, Jacques Prévert, Georges Brassens et Léo Ferré.

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Et pendant ce temps là, un enfant sur trois ne part pas en vacances...

Suite royale (rien à voir avec Ségolène...) , massages :

voyage ordinaire aux frais de la Pécresse

http://www.rue89.com/2010/07/19/suite-royale-massages-voyage-ordinaire-aux-frais-de-la-pecresse-159267

Un voyage d'affaires à l'étranger, cela coûte toujours très cher. Celui de Valérie Pécresse en Asie en juin 2008 ne fait pas exception. Mais certaines dépenses de la ministre et de son équipage soulèvent des questions. Nous les avons soumises au ministère, sans obtenir toutes les réponses que nous souhaitions.

Dans certains pays comme la Suède, il est très facile, pour tout citoyen, de vérifier les notes de frais des ministres et autres représentants de la collectivité. En France, la transparence est encore un concept « en devenir ».

C'était en juin 2008. A une autre époque… Juste avant la crise économique, un temps où les membres du gouvernement profitaient sans souci des petits et grands privilèges de la République. Les 13 et 15 juin, la ministre Valérie Pécresse représente la France, qui préside le G8 de la Science et de la Technologie, pour une réunion prévue à Okinawa au Japon.

Crown Suite pour deux nuits : 1 564 euros

Les organisateurs japonais ont prévu de transporter et d'héberger les délégations, sur la base de deux personnes, dans deux chambres ordinaires : la ministre et un « accompagnant », son conseiller diplomatique François Decoster.

Problème : le 13 juin, Valérie Pécresse débarque avec deux autres « accompagnants », un officier de sécurité et le conseiller presse, Jean-Marc Zakhia. Ce dernier confirme :

« Oui, nous étions quatre. Mais c'est normal pour un tel déplacement : l'officier de sécurité en fait toujours partie et deux conseillers, ce n'est pas énorme. »

Les dépenses vont bien être plus élevées que prévu.

La délégation a d'abord besoin de deux chambres supplémentaires, pour deux nuits, dans l'hôtel Okinawa Marriott Resort&Spa : 556 euros

Sans oublier le transport aéroport/hôtel pour les « accompagnants » supplémentaires (voitures et péage) : 452 euros

La ministre, elle, prend plus d'espace que prévu en s'installant dans la Crown Suite (la plus belle) : 1 564 euros les deux nuits.

Commentaire du cabinet de Valérie Pécresse :

« C'est l'ambassade qui s'est occupée du logement et du transport. Madame Pécresse n'a jamais demandé une chambre particulière, ni avant le voyage, ni à son arrivée à l'hôtel. Elle ne s'occupe pas de ce genre de chose. »

Deux massages pour la suite 1180

Dans les faux frais (348 euros), la facture de l'hôtel fait état d'un « マッサージ ». Comprenez un « massage » et même deux -un chaque jour- au bénéfice de la chambre 1180 (la chambre occupée par Valérie Pécresse), pour un total de 12 600 yens (75 euros). Ainsi qu'un coiffeur/maquilleur pour 10 500 yens (63 euros).

Explication du cabinet :

« Effectivement, ces extras figurent bien sur la facture. Dans le cas d'une dépense personnelle, soit c'est payé directement par la ministre, soit c'est remboursé a posteriori. C'est ce qui s'est passé, elle a remboursé les deux massages et le coiffeur. »

A la question de savoir si Rue89 peut consulter le bordereau de remboursement, le cabinet répond :

 »Il faut nous croire sur parole, mais je vous assure, vous vous trompez de client, ce n'est pas du tout son genre : il y a une séparation claire entre les choses. »

L'histoire ne s'arrête pas là. Comme l'a révélé le Canard Enchaîné, l'hôtel d'Okinawa a dû batailler quelques semaines pour se faire payer -via l'office du tourisme japonais-, car personne ne voulait prendre en charge le reliquat de l'escapade : 2 921 euros. Ni les Japonais, ni l'ambassade de France à Tokyo, ni l'ambassade du Japon à Paris, ni même le ministère…

Après quelques allers-retours, la douloureuse a finalement été réglée à l'automne 2008. Question : pourquoi la délégation n'avait-elle pas de quoi payer l'addition ? Simplement parce qu'elle est arrivée au Japon les poches vides.

Un hélicoptère russe pour visiter la baie d'Halong

La veille, Valérie Pécresse était au Vietnam. Une escale de 24 heures, les 11 et 12 juin, juste après une étape à Singapour, les 10 et 11 juin, où elle a inauguré un cargo du groupe Louis Dreyfus.

Arrivée mercredi soir à Hanoï, la ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche enchaîne jeudi matin trois rendez-vous protocolaires avec ses homologues, ainsi que l'indique son agenda officiel. Puis plus rien pour l'après-midi.

En fait, comme le raconte Franck Renaud dans son livre « Nos amis les Diplomates », elle profite de ce temps libre pour faire une virée en hélicoptère en baie d'Halong. Départ : 12h45, pour trois-quarts d'heure de vol. Retour : 17h45.

Officiellement, il s'agit d'effectuer une visite de terrain consacrée à la biodiversité, avec un spécialiste du sujet… en milieu forestier, pas en milieu marin. Or, les arbres sont rares sur les îlots de la baie d'Halong. La délégation, raconte Franck Renaud, compte une quinzaine de personnes. Entre les deux vols en hélico, l'équipage a surtout profité de la douceur locale pour déguster un plat de fruits de mer sur une jonque.

Ce genre de plaisirs est localement facturé 554 dollars (428 euros) par personne, y compris la location de l'hélicoptère russe de type MI17. Qui a payé la facture ? Réponse du cabinet :

« Je ne vous donnerai pas le coût de ce déplacement qui a été pris en charge par le ministère. Pour l'instant, la ligne “déplacement” est annuelle. Le jour où le détail sera demandé, nous le donnerons. »

Chiche, mais « demandé » par qui ? Pas par nous, visiblement.

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Le tourni...

Le vrai « job » de Florence Woerth chez Clymène

Les comptes de la société qui gère pour 436 millions d’euros de titres de placement de Liliane Bettencourt révèlent qu’il s’agit d’une pure machine à spéculer. L’épouse du ministre Éric Woerth était chargée, jusqu’à sa démission récente, de placer l’argent notamment dans les fameux « hedge funds ».

Beaucoup de questions se posent à la lecture des comptes de la société Clymène, que nous nous sommes procurés. Il apparaît clairement que cette holding, dont le directeur général est Patrice de Maistre et Liliane Bettencourt la présidente, a pour unique fonction de spéculer sur les marchés financiers, de faire de l’argent avec l’argent. Clymène, domiciliée à Neuilly, non loin de la résidence de la milliardaire, dispose d’un portefeuille de titres de placement évalué au bilan à 436 millions d’euros.

Des actifs « pourris »

Dans quoi ce pactole est-il placé ? Ni les rapports des commissaires aux comptes du cabinet britannique PricewatherhouseCoopers, ni le rapport d’activité signé par Liliane Bettencourt elle-même ne le précisent, mais ils lèvent un coin du voile. Dans la partie consacrée aux « principes et méthodes comptables », il est indiqué que des placements dans des fonds de private equity (capital-investissement) et de hedge funds (fonds spéculatifs) à haut rendement mais très risqués sont effectués. Dans quelles proportions ? Cela, on ne le sait pas. On peut seulement remarquer que l’importance des pertes affichées par Clymène en 2008 donne à penser que la société disposait d’importants actifs « pourris » à caractère spéculatif. Toutes les hypothèses sont permises et l’on peut même se demander, par exemple, si en 2009 la société n’a pas spéculé contre les titres de dette publique européenne, grecque notamment. Au total, les placements effectués ont permis cette année-là de dégager un résultat net de 20 millions d’euros contre une perte de 66 millions d’euros en 2008. Justement la fonction de Florence Woerth, embauchée chez Clymène en novembre 2007 par Patrice de Maistre à la demande d’Éric Woerth, l’actuel ministre du Travail, était de concourir à organiser ces placements afin d’en tirer le plus grand profit pour les intérêts de la fortune de Liliane Bettencourt.

Autre aspect notable qui ressort des comptes, c’est l’importance des salaires versés. En 2008, les rémunérations brutes des cinq salariés de l’entreprise se sont élevées à 1,5 million d’euros, soit une moyenne par personne de 300 000 euros par an et de 25 000 euros par mois. En 2009, la masse salariale versée a reculé, tombant à 462 346 euros, une chute qui s’explique probablement par une réduction de l’effectif de la société, effectif qui, cette année-là, n’a pas été précisé.

Une vraie vache à fric

Clymène cependant n’est qu’une dépendance réduite de l’empire Bettencourt. Elle est la filiale d’une société bien plus importante : Téthys. Cette holding, domiciliée dans le 8e arrondissement de Paris, également dirigée par Patrice de Maistre, assisté cependant par Jean-Pierre Meyers, mari de Françoise Bettencourt, la fille des Bettencourt, rassemble les titres de participation de Liliane et Françoise Bettencourt au sein du numéro 1 mondial des cosmétiques, L’Oréal. Téthys, c’est en 2009 1,1 milliard d’euros de titres de participation, 118,5 millions d’euros de valeurs mobilières de placement, aucune dette financière, 2,3 millions d’euros de salaires bruts annuels versés à trois salariés.

Depuis cinq ans, Téthys a dégagé plus de 700 millions d’euros de bénéfices : 86 en 2004, 112 en 2006, 145 en 2007, 192 en 2008, 180 millions d’euros en 2009. La société est une vraie vache à fric. Elle n’a pourtant aucune activité, son chiffre d’affaires dépasse à peine les 300 000 euros, tout est tiré de la finance : 267 millions d’euros de produits financiers de participation, 4 millions d’euros d’intérêts sur les prêts accordés à Clymène, près de 10 millions d’euros de gains de change et 485 000 euros de produits de cessions de titres de placement, soit un total de 281,5 millions d’euros de produits financiers ! D’où vient cette manne ? 267 millions d’euros sont des dividendes versés en rémunération de parts du capital de L’Oréal possédées par la famille Bettencourt au titre de l’exercice 2008. Téthys SAS contrôle 18,2 % du capital de la multinationale. En effet, plus de 90 % du patrimoine réel réévalué de la société est constitué de ces titres. Une précision encore, le montant des jetons de présence que se sont votés les membres du conseil de surveillance pour 2010 est de 71 000 euros. Une bonne année tout de même !

L’examen des comptes officiels de Clymène et de Téthys confirme une chose très importante quant au rôle joué par Florence Woerth dans la nébuleuse Bettencourt : contrairement à ce qui a été affirmé, déclaré, imprimé, sa fonction jusqu’à sa démission récente et forcée n’a pas consisté à gérer d’une façon générale la fortune de Liliane Bettencourt. Son rôle était plus précis. Il s’agissait pour elle de faire fructifier ce capital par tous les moyens offerts par les marchés financiers. En bon français, cela s’appelle de la spéculation sur titres.

Pierre Ivorra

http://www.humanite.fr/18_07_2010-le-vrai-%C2%AB%C2%A0job%C2%A0%C2%BB-de-florence-woerth-chez-clym%C3%A8ne-450002

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Je crois que nous ne sommes pas au bout de nos surprises...

Au service de « Madame », un as de l’argent et surtout de l’entregent

Descendant d’un contre-révolutionnaire et mari de l’ex-femme de Bernard Arnault, Patrice de Maistre gère les «petits cadeaux» de Liliane Bettencourt... Et ses affaires à lui !

Descendant du fameux contre-révolutionnaire Joseph de Maistre – « Il y a dans la Révolution française un caractère satanique qui le distingue de tout ce qu’on a vu et peut-être de tout ce qu’on verra », affirmait-il, par exemple, en 1797 –, Patrice de Maistre vient, bien malgré lui, de réussir à se faire un prénom. Directeur des fonds gérant la faramineuse fortune de Liliane Bettencourt après avoir été longtemps chargé d’auditer les comptes de L’Oréal au cabinet Deloitte, et patron de ses « bonnes œuvres » à la Fondation Bettencourt-Schueller, l’homme de l’ombre est devenu, après le piratage et la révélation par Mediapart et le Point de ses conversations avec la richissime héritière, l’une des vedettes du feuilleton Bettencourt-Woerth. Un invisible, soucieux de discrétion, qui, la semaine dernière, a fini en garde à vue sous les feux de la rampe (lire page 4).

Dans les conversations avec Liliane Bettencourt enregistrées clandestinement par l’ex-majordome employé par la milliardaire et versées au dossier, Patrice de Maistre apparaît comme un as de la spéculation financière et de l’évasion fiscale, mais surtout comme un pilier du gratin du gotha. Membre du très sélect Jockey Club et de l’Automobile Club de France, il fréquente du beau monde : après un premier mariage avec la fille d’un industriel français exploitant forestier au Gabon, il épouse en secondes noces Anne Dewavrin, héritière d’une grande famille du textile du Nord et première femme de Bernard Arnault, le patron de LVMH ; il joue au golf avec Lindsay Owen-Jones, le PDG de L’Oréal qui, en 2003, l’introduira auprès de Liliane Bettencourt ; il chasse avec Robert Peugeot, PDG de la holding familiale qui détient les actifs familiaux de PSA. Comme le démontrent les enregistrements pirates ainsi que les premières auditions par la brigade financière, Patrice de Maistre n’hésite pas à verser son écot à l’UMP. « Je pense que c’est bien, c’est pas cher et ils apprécient », argumente-t-il ainsi au côté de Liliane Bettencourt afin d’encourager ses dons.

Côté affaires, le nom de Patrice de Maistre apparaît dans une dizaine de holdings toutes liées au « conseil financier » et aux « services financiers ». Au-delà d’Eugenia, dans un premier temps, puis surtout de Clymène et de Tethys qui gèrent la fortune de Liliane Bettencourt, le gentleman-farmer, propriétaire d’une chasse en Sologne et d’un voilier –  un peu petit, visiblement, puisqu’il a tenté ces derniers mois de s’en faire offrir un autre par Liliane Bettencourt  –, investit, d’après le Point, une partie de ses revenus annuels (il a touché 2,2 millions d’euros d’honoraires l’année dernière), dans sa petite affaire personnelle, Brinon Investissement, avec quelques amis gabonais et quelques figures de la Françafrique. Décoré de la Légion d’honneur par Éric Woerth lui-même, le 23 janvier 2008, et présenté dans le discours ministériel, de manière pour le moins piquante vu son ancêtre, comme incarnant la « synthèse si souhaitable pour notre pays entre l’Ancien Régime et la Révolution », Patrice de Maistre incarne surtout aujourd’hui une véritable collusion entre le capitalisme d’État financiarisé et le pouvoir sarkozyste.

Thomas Lemahieu

http://www.humanite.fr/18_07_2010-au-service-de-%C2%AB%C2%A0madame%C2%A0%C2%BB-un-de-l%E2%80%99argent-et-surtout-de-l%E2%80%99entregent-450004

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Boutefeux hier à St-Aignan...

Hortefeux: "Nous enregistrons des résultats spectaculaires dans la lutte contre la délinquance"

http://www.lepost.fr/article/2010/07/19/2157412_brice-hortefeux-nous-enregistrons-des-resultats-spectaculaires-de-lutte-contre-la-delinquance.html#xtor=AL-235

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Con de Boutefeux, va ! Il est pire que Jospin ! pascontent

ça pète de partout, les minorités cassent tout partout, l'Etat (qui n'est pas respectable) n'est pas foutu de se faire respecter... c'est pas bon tout ça revoltages

Voir ici COMMENT Sarko et Cie sont "efficaces à Grenoble... mdrmdr

Modifié par louis44
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Retraites : le travail est tellement bâclé que même un député UMP gueule... c'est dire : http://www.rue89.com/2010/07/19/reforme-des-retraites-quid-de-la-transparence-du-travail-parlementaire-159279

Je cite le corps de l'article de Rue 89 :

L'examen des amendements en commission fait partie du processus officiel d'élaboration de la loi, et depuis la réforme du règlement, c'est même devenu une étape essentielle puisque c'est le texte de la commission qui est examiné dans l'hémicycle. Des décisions importantes y sont prises : la preuve, c'est que dorénavant les ministres sont présents en commission, alors qu'ils ne l'étaient pas auparavant.

Il est absolument anormal que cela se fasse à huis clos, surtout sur un texte aussi important que celui de la réforme des retraites (et ce d'autant plus que le compte-rendu intégral des débat sera en ligne dans deux jours sur le site de l'Assemblée nationale). Pourquoi ne pas étendre ce raisonnement à la séance publique et interdire désormais l'accès du public aux séances publiques, afin que les députés soient plus directs et plus naturels.

Lors des débats sur la réforme du règlement de l'Assemblée, j'avais déposé des amendements visant à rendre les séances en commission publiques de plein droit. Je n'avais malheureusement pas été suivi. Le rapporteur avait jugé suffisant qu'on laisse le bureau de la commission décider d'ouvrir ou non les réunions de commission.

On voit ce que cela donne : des présidents de commissions qui décident le huis clos pour le confort des députés ou des auditionnés, au mépris de la transparence qui devraient présider aux travaux parlementaires, alors qu'il est très simple de retransmettre EN DIRECT la vidéo des débats en commission sur le site de l'Assemblée nationale

Con-ster-nant... désolé, je dis ça souvent maintenant...

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Au moment de l'affaire Bettencourt et au même moment

où Franck Ribéry et Karim Benzéma sont mis en garde à vue...

Il y a parfois des rapprochements sensibles

La légalité de la garde à vue devant le Conseil constitutionnel

    Les avocats français ont soutenu mardi devant le Conseil constitutionnel une demande d'invalidation du régime de la garde à vue policière, un mode d'interrogatoire coercitif banalisé ces dernières années.  

    Saisi d'une "question prioritaire de constitutionnalité", une nouvelle procédure qui lui permet pour la première fois d'annuler ou de modifier des textes en vigueur, le Conseil a mis sa décision en délibéré au 30 juillet.

    Dix avocats venus symboliquement de toute la France ont plaidé en audience publique devant huit membres du Conseil, où ne siégeaient pas les anciens présidents de la République Valéry Giscard d'Estaing ou Jacques Chirac, membres de droit.

    Invoquant notamment le "droit à la liberté individuelle et à une procédure juste et équitable", les avocats demandent l'annulation de six articles du code de procédure pénale.

    La garde à vue, procédure policière coercitive avec fouille à nu possible, placement en cellule et menottes s'est banalisée ces dernières années en France, avec 900.000 utilisations par an par si l'on compte les affaires d'infraction routière.

    Elle peut durer jusqu'à 48 heures, et même quatre jours en matière de terrorisme et de trafic de drogue.

    L'avocat a un accès limité à son client au début de la garde à vue mais n'a pas accès au dossier et ne peut l'assister lors des interrogatoires.

    Selon les avocats, la garde à vue devrait être placée sous le contrôle d'un magistrat indépendant et non du procureur ou de la police comme actuellement. Le défenseur devrait avoir accès au dossier et pouvoir assister aux interrogatoires.

    Ils demandent par ailleurs la suppression des régimes dérogatoires visant le terrorisme et le trafic de drogue.

    François Seners, un fonctionnaire représentant le gouvernement, a répondu qu'à ses yeux la législation française était conforme à la Constitution et au droit européen.

    Le gouvernement prépare actuellement une réforme de la garde à vue créant un accès limité au dossier et aux interrogatoires pour l'avocat et un régime d'interrogatoire plus léger pour les petits délits.

    Thierry Lévêque, édité par Yves Clarisse

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    Et Hop c'est reparti pour un tour...

    Bettencourt aurait reçu 100 milllions d'Euros grâce au bouclier fiscal

      L'héritière de L'Oréal Liliane Bettencourt s'est fait rembourser 100 millions d'euros en quatre ans au titre du "bouclier fiscal",

      écrit le Canard enchaîné dans son édition de mercredi. 

      L'hebdomadaire satirique cite Pascal Wilhelm, l'avocat du gestionnaire de fortune de la milliardaire, Patrice de Maistre.

      Selon le Canard enchaîné, les premiers remboursements sont intervenus en 2007 avec la création du "bouclier fiscal" par le Premier ministre d'alors, Dominique de Villepin. Le remboursement s'est élevé à 30 millions d'euros pour la seule année 2008.

      Le "bouclier fiscal" permet à tout contribuable dont les contributions directes excèdent 50% des revenus déclarés au fisc après déduction de réclamer un remboursement.

      Elizabeth Pineau, édité par Yves Clarisse

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      bonjour

      Eric Woerth est "très impatient" d'être entendu par le parquet de Nanterre. Je le comprends : un rendez-vous avec des amis de mes amis, et je ne tiens plus en place.

      (le monde, H. Le tellier)

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      C'est dans l'air sur les événements à St Aignan (Onzain, Thésée etc.) et à Grenoble :

      - les policiers grenoblois étaient il y a 20 ans 120 de plus pour 20 000 habitants de moins; cherchez l'erreur.

      - les policiers grenoblois n'ont pas de budget en décembre pour acheter des pneus neige... du coup ils vont à pince et ne font que le centre-ville (déjà assez étendu comme ça)

      - les policiers grenoblois n'auront plus de quoi mettre de l'essence dans leur voitures en septembre... pas de budget.

      Super pour un état policier !

      et en avant marche pour les autres scoops de la France de Hortefeux :

      - A Caen il n'y a la nuit qu'une seule voiture en patrouille pour toute l'agglo (400 000 habitants); deux policiers pour tout ce monde, n'est ce pas peu?

      - A Mantes la police locale a du faire en cinq ans avec une diminution de postes égale à l'augmentation des effectifs depuis 20 ans pour endiguer le Val Fourré... du coup le Val Fourré est calmé, mais pour les Mureaux, les flics ont lâché prise... trop loin, trop violent... et quand il y a un pépin, il faut se taper 30 bornes sur la RN 13 pour y aller... autant dire une heure, même avec son et gyro.

      - A Nantes la police fait dans le plus faible taux d'élucidation de France... normal, y a déjà pas les effectifs pour attraper, alors pour élucider...

      Etc.

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      Invité necroshine

      Source : le monde.fr

      Lorsque Nicolas Sarkozy s'empare à nouveau du thème de l'insécurité, il le fait d'abord dans le vocabulaire. Suite aux émeutes du quartier de La Villeneuve, à Grenoble, le chef de l'Etat s'est montré martial en conseil des ministres, mercredi 21 juillet. Il a annoncé son intention de mener "une véritable guerre" contre "les trafiquants". Une rhétorique percutante, destinée à marquer l'opinion. Mais gare à la répétition. Cette "guerre" est en effet loin d'être la première. Depuis 2002, Nicolas Sarkozy a déjà ouvert de nombreuses hostilités.

      Dès son arrivée au ministère de l'intérieur, le futur chef de l'Etat se présente en guerrier. Le 27 juin 2002, il réunit 2 000 cadres de police pour les mobiliser : "Nous devons et nous allons renverser la tendance. Nous devons et nous allons faire reculer la délinquance", promet-il, expliquant aux forces de l'ordre : "Nous allons gagner la guerre contre l'insécurité."

      GUERRE À OUTRANCE

      Le 24 octobre 2002, le ministre de l'intérieur récidive. En visite dans un quartier de Strasbourg où des véhicules ont été incendiés, il annonce des actions coups de poing, avec la nomination de policiers supplémentaires "pour aller chercher les délinquants là où ils se trouvent". Car "il faut qu'on leur mène la guerre".

      Le 14 février 2003, auditionné devant la commission sénatoriale de lutte contre les drogues illicites, Nicolas Sarkozy répète : "Il est évident que pour l'usage des drogues parmi nos concitoyens, la guerre aux trafiquants doit se poursuivre". Les délinquants ne sont pas les seuls ennemis. Le 1er juillet 2003, la "guerre est déclarée" contre les chauffards routiers, comme le titre Le Parisien.

      SUR TOUS LES FRONTS Elu président, Nicolas Sarkozy peut élargir le champ de bataille. Il la déclare en premier lieu aux même ennemis qu'en 2002 : les délinquants. Le 8 février 2008, il promet ainsi : "Dès demain, c'est une guerre sans merci qui sera engagée à l'endroit des trafics et des trafiquants et j'en assumerai pleinement la responsabilité, les conditions de mise en œuvre, le suivi des résultats".

      L'année suivante, la bataille se poursuit. En déplacement à Gagny, en Seine-Saint-Denis, Nicolas Sarkozy "déclare la guerre aux bandes violentes", titre le quotidien Metro le 18 mars 2009. Le chef de l'Etat promet que "ce ne sont pas les bandes qui vont triompher de la République".

      En septembre, la guerre se poursuit, mais se déplace sur un autre terrain, celui de l'éducation. Nicolas Sarkozy déclare cette fois, le 29 septembre 2009, son intention de livrer une "guerre sans merci contre le décrochage scolaire".

      Mais la mère de toutes les guerre, celle contre la délinquance, ne connaît pas de trêve. Lors d'un discours en hommage à Aurélie Fouquet, policière tuée en service à Villiers-le-Bel, le 26 mai 2010, le chef de l'Etat répète : "La France s'est engagée dans une guerre sans merci contre la criminalité." Une guerre qui dure depuis huit ans, et ne semble pas terminée.

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      Invité necroshine

      Source : le monde.fr

      De Darcos à Santini, comment l'Elysée recase les anciens ministres

      Missions, présidences d'organisme, représentations diplomatiques... Depuis 2007, les ministres qui ont quitté le gouvernement n'ont pas souvent eu l'occasion de pointer au chômage. Quitte parfois à déclencher des polémiques, comme c'est le cas pour André Santini, qui devrait prendre, mercredi 21 juillet, la présidence du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris.André Santini au Grand Paris. Secrétaire d'Etat à la fonction publique de juin 2007 à juin 2009, il est débarqué du fait de sa mise en examen dans l'affaire de la fondation Hamon, une fondation d'art contemporain dont la création est entachée d'infractions financières présumées. Mais il ne reste pas inactif : en plus de récupérer son siège de député – occupé jusque là par Frédéric Lefebvre –, le maire d'Issy-les-Moulineaux et conseiller régional continue à présider le syndicat des eaux d'Ile-de-France (Sedif). Mais c'est surtout la fonction qu'il s'apprête à occuper de président du conseil de surveillance de la Société pour le Grand Paris qui fait polémique, à gauche comme à droite. Pour contourner la limite d'âge fixée à 65 ans, André Santini a en effet bénéficié d'une dérogation, celle-là même qui avait été refusée à Patrick Devedjian pour la présidence de l'EPAD, un temps briguée par le fils du chef de l'Etat, Jean Sarkozy.

      L'agence culturelle de Xavier Darcos. Longtemps cité comme "premier ministrable", l'ex-ministre du travail subit un sérieux revers après les régionales de mars 2010. Il paye son mauvais score en région Aquitaine d'une éviction brutale du gouvernement. Mais là encore, l'Elysée s'occupe de sa reconversion. Le 10 juin, Xavier Darcos est nommé par décret "ambassadeur chargé de mission pour l'action culturelle extérieure de la France". Le 21 juillet, Bernard Kouchner installe officiellement l'ex-ministre à la tête de l'agence de promotion de la culture française à l'étranger ou "Institut français", un nouvel organisme qui succède à CulturesFrance, qui se chargeait du rayonnement culturel international. La mission de la nouvelle agence, désormais établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC), devrait être étendue à la promotion du savoir, des idées, de la formation et de l'enseignement du français à l'étranger.

      La chère mission de Christine Boutin. Débarquée du gouvernement en juin 2009, Christine Boutin utilise sa liberté de parole pour distiller des critiques à l'encontre de ses ex-collègues du gouvernement. Elle refuse un poste d'ambassadeur au Vatican, mais finit par accepter, en décembre 2009, une mission sur "les conséquences sociales de la mondialisation". Ses critiques contre le gouvernement cessent, mais une polémique naît quelques mois plus tard lorsque Le Canard Echaîné révèle qu'elle touche 9 500 euros mensuels pour son travail, en plus de sa retraite d'ancienne parlementaire. Mme Boutin finit par accepter d'effectuer sa mission à titre gracieux, et s'emploie depuis à communiquer sur le bien-fondé de son travail.

      Yves Jégo et la "marque France". Autre victime du remaniement de juin 2009, l'ancien secrétaire d'Etat à l'outre-mer paye sa gestion du mouvement de protestation en Guadeloupe et en Martinique début 2009. Son éviction, qui se déroule selon lui de façon cavalière, l'oblige à reprendre son poste de député. Mais il n'est pas oublié de l'Elysée, qui lui confie une mission sur "le label Made in France". L'ex-secrétaire d'Etat doit réfléchir aux manières de faire acheter des produits français. Durant la polémique autour de Christine Boutin, il se désolidarise de son ex-collègue en expliquant ne pas être rémunéré pour son activité. Il se contente de ses indemnités de parlementaire et de maire, "8.165 euros bruts par mois", précise-t-il à Europe 1. Yves Jégo, par ailleurs élu régional (il conserve son siège en attendant le verdict des recours en annulation du scrutin déposés par le FN) a rendu un rapport le 6 mai reprenant les conclusions de sa mission.

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      Révoltant, mais classique... il serait de mauvaise foi de prétendre que seule la droite recase ses fidèles... Tonton l'a aussi fait, et abondamment... Et non sans scandales...

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      Invité necroshine

      Révoltant, mais classique... il serait de mauvaise foi de prétendre que seule la droite recase ses fidèles... Tonton l'a aussi fait, et abondamment... Et non sans scandales...

      C'est clair mais qd tu vois les recaser, ca les conforte dans le role de cumulars a outrance...

      André Santini, avec tout le respect que je lui doit, il n'a plus d'age ce mec,

      il peut prendre sa retraite..... sa femme doit etre une peste pour qu'il continue encore a bosser !!! mdrmdr

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      C'est la crise...

      Mais pas pour tout le monde...

      Les recettes de l'ISF en légère hausse en 2010

        Le nombre de déclarations pour l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) et les recettes pour 2010 sont en légère augmentation par rapport à 2009, selon un premier bilan publié mercredi par le ministère du Budget. 

        Au début du mois de juillet 2010, le nombre de déclarations concernant l'ISF est de 562.000, contre 539.000 à la même date l'an dernier, précise le ministère sur son site.

        Le montant de l'impôt total déclaré s'élève cette année à 3,29 milliards d'euros contre 3,13 milliards à la même époque en 2009.

        Parallèlement, les réductions d'impôts prévues par la loi en faveur du travail, de lemploi et du pouvoir d'achat progressent avec 140.043 réductions pour investissement dans une PME ou pour don à un organisme d'intérêt général.

        Elles ont généré un montant total de réductions d'impôts de 838 millions d'euros (102.000 réductions et 718 millions d'euros en 2009).

        "Ainsi, grâce à ce mécanisme d'incitation fiscale, plus de 1,1 milliards d'euros ont été investis dans les fonds propres des PME", selon le ministère.

        Gérard Bon

        562.000 foyers/déclarations sur 30 millions à peu près...

        soit 2%...

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        Nicolas Sarkozy, huit ans de "déclarations de guerre"

        Le Monde

        http://www.lemonde.fr/politique/article/2010/07/21/nicolas-sarkozy-huit-ans-de-declarations-de-guerre_1390764_823448.html#ens_id=1389094

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