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katamiaw

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Invité necroshine

J'ai trouvé ca comme vidéo :

http://www.dailymotion.com/video/xmez4y_la-droite-creuse-la-dette-c-est-vous-qui-payez-la-note_news#from=embediframe

Modifié par necroshine
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Je sais ...t'inquiète .Mais certains intéllos me gonflent .Ils passent leurs temps aux masturbations intellectuelles mais pendant ce temps , la roue tourne et ................????

Je me rapelle de mon grand père quand on a construit les 1er HLM dans son quartier .Il vivait dans un baraquement en bois datant des années 20 dont on cherchait à le virer . ...alors que ces logements n'étaient pas encore "livrés

" .Messieurs , allez y vivre 6 mois et vous m'en direz des nouvelles ." C'était sa philosophie .Si tu veux être sûr qu'un "truc " soit bon , tu le fais essayer par son créateur....comme les 1er avions .Maintenant , ils pondent et les autres testent .

J'invite tous ces intellos à s'appliquer toutes leurs théories .....mais pendant ce temps ? Il se passe quoi ?

Quand Clémenceau ne savait quoi faire , il créait une commission .....il avait compris !Eux en plus dicertent , écrivent .....mais le populo subit pendant ce temps .

je suis bien d'accord avec toi Marc

mais cela fait 50 ans que j'entends ça...

que faits divers après faits divers, crimes après crimes

les politicards de droite et les médias nous râbaches le même discours

sauf qu'il est de plus en plus fascisant, extrémiste

sans jamais apporter la bonne solution

et qu'il y a toujours pire que l'évènement précédent

pourquoi ? pour faire peur, et mener une politique de la peur

car dans le même temps, ils continuent de casser, de détruire les services de l'Etat

de pressurer les personnels : police, gendarmerie, justice, éducateurs spécialisés, services pénitenciers, Education nationale,

hôpitaux, etc...

mais à priorir ça marche puisque 53% des citoyens votent pour eux

et si ce ne sont pas eux ce sont leurs sosies de la gauche sociale-démocrate (la gauche molle quoi...)

Et là c'est encore bien parti pour un tour comme en 2002 ou 2007

le moindre faits divers, crimes et hop la droite saute à deux pieds dedans

comme si ils n'étaient pas au pouvoir depuis dix ans,

comme si les gens n'avaient aucune mémoire

confondant la réalité et les fictions qu'ils ingurgitent jour après jour.

Absence de sens critique...

Manifestement ça fonctionne encore et toujours !

et pas seulement pour les crimes de sang...

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Invité Gnafron 1er

je suis bien d'accord avec toi Marc

mais cela fait 50 ans que j'entends ça...

que faits divers après faits divers, crimes après crimes

les politicards de droite et les médias nous râbaches le même discours

sauf qu'il est de plus en plus fascisant, extrémiste

sans jamais apporter la bonne solution

et qu'il y a toujours pire que l'évènement précédent

pourquoi ? pour faire peur, et mener une politique de la peur

car dans le même temps, ils continuent de casser, de détruire les services de l'Etat

de pressurer les personnels : police, gendarmerie, justice, éducateurs spécialisés, services pénitenciers, Education nationale,

hôpitaux, etc...

mais à priorir ça marche puisque 53% des citoyens votent pour eux

et si ce ne sont pas eux ce sont leurs sosies de la gauche sociale-démocrate (la gauche molle quoi...)

Et là c'est encore bien parti pour un tour comme en 2002 ou 2007

le moindre faits divers, crimes et hop la droite saute à deux pieds dedans

comme si ils n'étaient pas au pouvoir depuis dix ans,

comme si les gens n'avaient aucune mémoire

confondant la réalité et les fictions qu'ils ingurgitent jour après jour.

Absence de sens critique...

Manifestement ça fonctionne encore et toujours !

et pas seulement pour les crimes de sang...

La droite s'en fout ...on est un nombre certain à le savoir ......Enfin , j'espère !

l'extrême droite ...si elle a l'occasion, elle recrute (re) dans les rangs des délinquantsde tous poils !

La gauche molle , elle est noyée ....

Autour de ma commune , pas mal de petites villes à gauche-gauche . Les maires commençent à se rendre compte (et se libèrent un peu depuis "Guérin ", l'ancien Maire de Vénissieux ) que la politique* qu'ils ont pu mener n'est pas TOUTE la solution même si elle doit faire parti de l'arsenal à mettre en oeuvre .

D'ailleurs, chez moi , j'ai eu l'occasion derniérement de participer à une manif , organiser par la VRAIE gauche sur des problèmes de sécurité et d'assiter à plusieurs réunions du conseil municipal et donc ainsi de discuter avec des élus . Hé bien , j'apprècie que le discours évolue ."Certains " en prennent conscience ."Ils " commencent à écouter les habitants ....

Précision intérréssante :

- droite inexistante ou presque lors de ces rassemblements , eux qui aboient contamment sur ce Maire

- Fn absent ...

- depuis ces manifestations ....on ne voit plus trop les + grands "trous du cul"..... pourtant le commissariat ne s'est pas agrandi .sauf qu'il semblerait que leur travail ait évolué ......C'est étonnant ! Sans les appeller , ils sont là ....Plutôt que de menacer , le citoyen lambda qui s'est garé un peu "border-line" pour une course de 5mn.....ils tournent avec médor , vont voir les commerçants , et font dégager (voir embarquent ) "les gaillards " qui emmerdent les nanas qui se baladent près des magasins etc ....

Et sur la peur :

-quand tu es sportif, 50 ans , que tu fais 1m80 pour 80 kgs et quand tu as 80 balais, que tu marche lentement , , voûté et qu'on te bouscule sur le marché ...pour "marqué un territoire "....tu n'as pas le même sentiment par rapport à ce sentiment de peur. On met un flic derrière chaque papy , chaque mamy ?Ou on fait peur aux trous du cul ....?

Je sais , c'est basique mais c'est le quotidien de beaucoup .

* salle de sport quasi gratuite , MJC gratuite , club de sport , spectacle à prix réduit , Tram pour qlq centimes symboliques (ils s'en foutent , ils roulent dans des beaux carosses ) , toutes ces activités encadrées avec du personnel formés... etc.....et j'en passe.Bref , des très gros moyens .....pour un résultat bien loin de celui espéré .Les chiffres annonçés par l'équipe municipale

sont colossaux............curieusement , les gens présents ....eux paient tout , excepté bibliothéque .Donc , il n'y a pas qu'une question de moyens mis en oeuvre .Elle envisage une redistribution de ce budget !Bien sûr , c'est local .Mais , dans combien d'endroits où les municipalités mettent le paquet pour quel résultats ?

Modifié par Gnafron 1er
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je suis bien d'accord avec toi Marc

mais cela fait 50 ans que j'entends ça...

que faits divers après faits divers, crimes après crimes

les politicards de droite et les médias nous râbaches le même discours

sauf qu'il est de plus en plus fascisant, extrémiste

sans jamais apporter la bonne solution

et qu'il y a toujours pire que l'évènement précédent

pourquoi ? pour faire peur, et mener une politique de la peur

car dans le même temps, ils continuent de casser, de détruire les services de l'Etat

de pressurer les personnels : police, gendarmerie, justice, éducateurs spécialisés, services pénitenciers, Education nationale,

hôpitaux, etc...

mais à priorir ça marche puisque 53% des citoyens votent pour eux

et si ce ne sont pas eux ce sont leurs sosies de la gauche sociale-démocrate (la gauche molle quoi...)

Et là c'est encore bien parti pour un tour comme en 2002 ou 2007

le moindre faits divers, crimes et hop la droite saute à deux pieds dedans

comme si ils n'étaient pas au pouvoir depuis dix ans,

comme si les gens n'avaient aucune mémoire

confondant la réalité et les fictions qu'ils ingurgitent jour après jour.

Absence de sens critique...

Manifestement ça fonctionne encore et toujours !

et pas seulement pour les crimes de sang...

tout a fait d'accord

et voici un extrait du monde

Après le meurtre d'Agnès,

un "déferlement sauvage" ?

Le meurtre de la jeune Agnès, 13 ans, par un lycéen de 17 ans, déjà mis en cause pour viol dans une précédente affaire, donne lieu à une polémique nationale. Responsables politiques, spécialistes en tout genre, journalistes... Tous se sont emparés de cette affaire spectaculaire.

Cet "incendie médiatique" est-il justifié ? Non, estime le sociologue Laurent Mucchielli sur son blog. En effet, rappelle-t-il, la fréquence annuelle de ces cas dramatiques est comprise entre 0 et 1 par an à l'échelle de la France entière. "Dès lors, si l'on comprend bien l'émotion déclenchée par cette affaire, l'on voit mal quel problème de société il faudrait en déduire, ni quelle réforme pénale ou psychiatrique il serait urgent d'adopter."

Pour Lubin, qui tient un Journal d'école sur Internet, c'en est trop. Les politiciens et les médias qui, en pleine période préélectorale, "se livrent à une exploitation éhontée de la mort d'une collégienne en Haute-Loire" sont des "charognards", écrit-il. "Il y a quand même quelque chose d'effrayant devant ce déferlement sauvage et sans retenue, qui accompagne régulièrement les informations de ce type et qui n'a rien à voir, ou pas grand-chose, avec l'expression de la compassion."

Compassion. Manuel Valls, l'un des piliers de l'équipe du candidat socialiste à la présidentielle, François Hollande, a pourtant exprimé la sienne lors d'une interview accordée à Europe 1 et reprise sur son blog. Pour le maire d'Evry, "il faut parler de ces sujets" car "nous voulons tous savoir, comprendre ce qui s'est passé". Ce drame pose une "question légitime : ce crime aurait-il pu être évité ? C'est la seule question. Il faut une enquête pour savoir ce qui a dysfonctionné au niveau de la justice et de l'éducation nationale".

http://abonnes.lemonde.fr/web/newsletter/0,30-0,62-1608109@60-41@45-2,0.html

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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/11/23/pourquoi-sortir-des-35-heures-n-est-pas-si-facile_1607990_1471069.html#ens_id=1607996&xtor=RSS-3208

Pourquoi "sortir des 35 heures" n'est pas si facile

Les 35 heures, encore et toujours. Lors de sa première convention de synthèse destinée à présenter son programme économique, l'UMP a relancé la question du temps de travail en France. Le parti envisage désormais de "sortir des 35 heures". Mais il se garde de toucher à la durée légale du travail, et favorise plutôt des négociations branche par branche sur le temps de travail.

Un détricotage de plus pour une loi emblématique déjà largement écornée, onze ans après sa mise en place par Martine Aubry et le gouvernement Jospin, en 2000. Mais dont la suppression paraît paradoxalement complexe à organiser.

- Un temps de travail effectif largement au-delà des 35 heures. Si la durée légale du travail reste, en France, de 35 heures, la durée effectivement travaillée par les gens employés à temps plein est supérieure.En 2008, selon Eurostat, le nombre moyen d'heures travaillées par semaine en France était de 41 pour les personnes employées à temps plein, ce qui place notre pays très légèrement sous la moyenne européenne (41,5 heures), mais au dessus du Danemark (40,2) ou de l'Irlande (40). La durée pour l'Allemagne est de 41,7 heures.

Cette durée du travail s'accompagne en France d'une productivité horaire qui reste parmi les meilleures au monde : selon le centre d'analyse stratégique du gouvernement (PDF), la France occupait le 4e rang mondial en productivité par tête en 2010, même si la croissance de cette productivité a quelque peu ralenti, avec 1,4 % en moyenne entre 2000 et 2007. Elle n'en reste pas moins supérieure à celle de l'Allemagne, notre principal partenaire européen.

L'Allemagne, justement, c'est trop peu souvent rappelé, a tendance ces dernières années à... baisser la durée légale du travail, en ayant recours plus massivement qu'en France au temps partiel : 21,7 % de sa poulation active y sont employés à temps partiel en 2010, contre 13,6 % en France, selon l'OCDE. Si on intègre le temps partiel dans le calcul du temps de travail, la durée annuelle moyenne s'élève pour la France à 1 559 heures, contre seulement 1 432 pour l'Allemagne, selon l'Insee.

Face à la crise, certaines entreprises françaises ont d'ailleurs tendance à recourir au chômage partiel, relancé depuis 2008, notamment au sein de la filière automobile. En clair, au "travailler moins" plutôt qu'au "travailler plus". Dans ce contexte, une hausse de la durée légale ne semble pas indispensable.

- 21 milliards d'euros par an d'allègements de charge. Le débat sur le coût de la mise en place des 35 heures continue de diviser les économistes. Mais une chose est certaine : les allègements de charge consentis aux entreprises en échange de la réforme sont toujours en place, et pèsent sur les finances publiques.

Depuis 1993, la loi prévoit des allègements de cotisations sociales sur les bas salaires. En 1998, puis en 2002, ils ont été étendus pour les entreprises qui réduisaient leur temps de travail. En 2003, la loi Fillon a fusionné ces aides et unifié les allègements de charge, qui ne sont plus, depuis 2007, directement imputables aux 35 heures, ce qui rend complexe le projet de l'UMP de moduler les baisses de charges pour inciter les entreprises à augmenter le temps de travail, comme l'a relevé le blog "Les dessous du social" du Figaro.fr.

D'autant que la loi TEPA a instauré, en 2007, la défiscalisation des heures supplémentaires. Une mesure destinée – déjà – à finir de "détricoter" les 35 heures en incitant les salariés à travailler plus, sans que leurs entreprises aient pour cela à payer de charges supplémentaires.

Au total, selon une réponse du ministère de l'emploi au député UMP du Gard Jean-Marc Roubaud, les allégements de charge cumulés représentent, en 2010, 21,87 milliards d'euros de manque à gagner pour l'Etat, soit quatre fois plus que la TVA à 5,5 % pour les travaux dans des logements de particuliers, qui est la niche fiscale la plus coûteuse.

La fin des 35 heures, si souvent villipendées, signifierait la fin de ces allègements de charge, et représente un risque de surcoût énorme pour les entreprises. Ainsi qu'une perte de pouvoir d'achat potentielle pour les salariés qui effectuent des heures supplémentaires

- Des heures supplémentaires difficiles à supprimer. Autre question d'importance, celle des heures supplémentaires, encouragées par la loi TEPA. Selon la direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques (Dares), les salariés des entreprises de plus de 10 salariés ont déclaré en moyenne 10,1 heures supplémentaires au premier semestre 2011.

Selon un rapport parlementaire de juillet, le gain moyen par salarié est d'environ 500 euros par an, pour 9,2 millions de salariés sur un total de 23,6 millions. Un gain faible compte tenu du coût de la mesure (4,5 milliards d'euros). Mais un gain tout de même, qui disparaîtrait si les 35 heures étaient supprimées et la durée du travail ramenée à 37 heures, puisque les deux heures actuellement "supplémentaires" ne le seraient plus.

Quant aux entreprises, comme le note Le Figaro.fr, elles auraient peu à gagner à l'opération, puisqu'elles sont aujourd'hui totalement défiscalisées sur les heures travaillées au-delà des 35 légales. Un relèvement du seuil légal les amènerait finalement à payer des charges sur les heures au-delà de ce seuil, même si elles n'auraient plus à majorer de 25 % le salaire de ces heures supp', comme actuellement.

- Des millions de jours de RTT accumulés dans la fonction publique. Dernière question, et non des moindres : que faire des millions d'heures accumulées dans la fonction publique depuis des années et non payées ? Le Parisien publie mercredi 23 novembre des chiffres alarmants sur l'hôpital : en 2002 avait été instauré un compte épargne temps (CET) destiné à "capitaliser" les RTT des personnes ne pouvant passer aux 35 heures effectives.

Ce compte permettait de conserver son solde de jours non pris d'une année sur l'autre. Mais dans certains métiers, et en premier lieu à l'hôpital, le manque de personnel a conduit à une accumulation de jours non pris : 2 millions, selon les chiffres communiqués au Parisien. Or le CET arrive à échéance en 2012. Les hôpitaux n'ont pas la trésorerie pour régler les 600 à 700 millions d'euros dûs aux personnels hospitaliers.

Le ministère envisage donc de prolonger le CET au-delà de 2012, en le limitant (à 60 jours, contre 200 aujourd'hui), et de permettre dans certains cas d'aménager des fins de carrière à temps partiel, comme le rappelle Le Figaro. Mais le cas de l'hôpital n'est pas unique : de la police aux collectivités territoriales, nombre de professions sont dans le même cas.

Si les 35 heures sont en grande partie "détricotées" dans les faits, elles sont désormais ancrées dans la société et dans la loi. Au point qu'en "sortir" comme le promet l'UMP semble difficile. Selon Le Point, le chef de l'Etat aurait accueilli avec scepticisme la proposition de son parti, notamment du point de vue financier.

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D'après La Fontaine -d'après Anne Roumanoff -

Un renard rusé prénommé Nicolas sur une basse-cour régnait.

Mais il était contesté: «Il ne fait pas rentrer assez de blé,

Nous n’avons plus de grains à picorer, se lamentaient les animaux affamés.

— Je fais de mon mieux, répondait Nicolas.

Sans moi, ça serait pire, croyez-moi.

Il y a une énorme crise mondiale

Ne l’oubliez pas, c’est infernal. »

Beaucoup d’animaux voraces rêvaient pourtant de prendre sa place.

A gauche, la vache Martine et la pintade Ségolène

Crurent, un temps, pouvoir devenir reines.

Mais ce fut le pigeon François qui leur fit la nique.

Aidé, malgré lui, par le cochon Dominique,

Qui manqua d’aller à l’abattoir,

Pour avoir culbuté une grande poule noire.

Mais la pire ennemie du roi Nicolas et du pigeon François

Était la fille d’un loup borgne qui avait échoué à devenir roi.

Cette louve à la voix rauque et à la chevelure blonde

Se faisait passer pour une brebis aux yeux du monde.

Elle répétait comme une litanie: «Il faut plus de poulets

Pour renvoyer chez eux les animaux étrangers,

Sans eux, nous serions tellement plus heureux.»

Certains moutons l’écoutaient béats:

«Bêê, elle dit tout haut ce que nous pensons tout bas.»

Poutou l'Ourson, Le Cheval de labours Mélenchon et la taupe Eva

Faisaient de leur mieux pour éradiquer la terrible maladie

Répandue par la louve déguisée en brebis

Qui avait pour nom haine et démagogie.

Hélas ! à six mois des élections,

Personne ne sait encore pour de bon

Qui de la farce sera le dindon.

Trop vrai et tellement réelle :sad: ...

Mais en conclusion, quelle peut être la projection (d'avenir) :sleep: ???

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humour

ben voyons avec nos sous il peut dépenser sans compter et ensuite nous demander a nous de faire des économies Enfoiré

comme dirait Coluche

A+ pas

Garcimore

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Courageux ce texte de cet ancien administrateur....

je retiens ces citations de Robespierre...

1 -

Jusqu'ici l'art de gouverner n' a été que de dépouiller le grand nombre au profit du petit nombre, et la législation le moyen de réduire ces attentats en système....

2 -

Jamais les maux de la société ne viennent du peuple, mais du gouvernement.

Nos hommes politiques devraient bien s'en inspirer, toutes obédiences confondues....

Comme quoi nous les donneurs de leçons, en matière de démocratie, (et pas que...) ferions bien de balayer devant notre porte!

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Un noeud de 147 sociétés au coeur de l'économie mondiale

http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/11/28/un-noeud-de-147-societes-au-coeur-de-l-economie-mondiale_1609929_3234.html

Qui contrôle l'économie mondiale ?

Trois ans après le déclenchement de la crise consécutive à la faillite de Lehman Brothers, au moment où Etats et marchés s'affrontent autour des dettes souveraines et où les opinions désignent le système financier comme coupable de tous leurs maux, la question mérite d'être posée.

Trois chercheurs suisses, Stefania Vitali, James B. Glattfelder et Stefano Battiston(Ecole polytechnique fédérale de Zurich), spécialistes des réseaux complexes, ont entrepris d'y répondre par une étude pluridisciplinaire - physique, mathématique et économie - de la détention du capital des 43 000 plus grandes entreprises mondiales.

Les résultats ont été publiés le 26 octobre par la revue scientifique en ligne américaine PlosOne. Mais leur papier, qui circule sur le Net depuis juillet, a déjà suscité une forte polémique.

147 FIRMES CONTRÔLENT 40% DE LA VALEUR TOTALE

L'une de leurs conclusions est en effet que les participations de 737 firmes dans les autres entreprises du réseau leur permettent de contrôler 80 % de la valeur (mesurée par le chiffre d'affaires) de la totalité du réseau. Et que 147 firmes contrôlent 40 % de cette valeur totale.

De plus, l'ampleur des participations croisées entre ces 147 firmes, dont les trois quarts appartiennent au secteur financier, leur permet de se contrôlermutuellement, ce qui en fait une "super-entité économique dans le réseau global des grandes sociétés", disent les auteurs.

Il n'en a pas fallu plus pour que nombre de médias et de blogueurs voient dans ces travaux la preuve scientifique de l'existence d'un "syndicat caché" de la finance, contrôlant l'ensemble de l'économie. Mais certains économistes estiment que les auteurs confondent détention d'actions et contrôle, ce qui ne se vérifie que dans le cas d'une détention majoritaire.

Ils affirment aussi que les établissements financiers montrés du doigt ne sont que des intermédiaires, gérants, et non propriétaires, des actions qui appartiennent aux simples épargnants.

Ce à quoi les auteurs rétorquent qu'ils ne dénoncent aucun complot, mais le risque systémique et le potentiel de collusion représentés par la forte concentration des détentions d'actions.

OBJECTIONS

Les objections des économistes portent sur plusieurs points. David Thesmar, professeur de finance à HEC, ou Eric Savitz, éditorialiste au journal Forbes, rappellent que nombre de grandes firmes sont contrôlées par les Etats ou par les familles fondatrices.

L'étude "Corporate Ownership around the World" (The Journal of Finance, R. La Porta, F. Lopez-de-Silanes et A. Shleifer, avril 1999) montre que ces deux schémas de détention sont majoritaires dans les vingt plus grandes sociétés des vingt-sept pays les plus riches.

Même minoritaires, les dynasties entrepreneuriales s'assurent le contrôle via une pyramide de holdings ou des droits de vote multiples. En revanche, les gérants de fonds mutuels et de fonds d'épargne ne participent pas, la plupart du temps, à la gestion des sociétés, sauf éventuellement là où ils sont majoritaires ou lorsqu'une crise grave se produit.

Les auteurs répondent avoir fait "tourner" trois modèles affectant des poids plus ou moins importants à la détention de participations minoritaires ou indirectes, et obtiennent dans tous les cas des résultats proches quant au poids des 147 firmes "centrales" qu'ils ont détecté.

Ce résultat global est d'ailleurs confirmé, expliquent-ils, par nombre d'exemples où des actionnaires indirects ou minoritaires exercent une forte influence sur les décisions de gestion au sein des firmes, l'influence étant la capacité, même sans droits de vote ou sans majorité, à s'opposer à la coalition d'autres partenaires au sein des conseils d'administration.

POUVOIR D'INFLUENCE PLUS QUE COMPLOT

Ils assurent avoir mis en évidence, avec la forte interconnexion des principaux détenteurs de capitaux, non pas un complot destiné à s'assurer le contrôle des entreprises, mais un pouvoir d'influence potentiel qui peut être ou non exercé par le représentant des actionnaires, selon leur choix. "Notre principal message est le suivant, explique James Glattfelder : nous ne pouvons pas exclure que les principaux détenteurs de capitaux que nous avons identifiés à l'échelle mondiale exercent leur pouvoir potentiel, formellement ou de façon informelle."

Autre objection des économistes, les fonds de pension mutualisés, les banques et institutions gestionnaires de fonds d'épargne "hébergent" les actions détenues par les fonctionnaires californiens ou la veuve de Carpentras, et les placent le plus souvent dans des fonds indiciels dont la composition favorise, par construction, l'investissement des grandes entreprises.

La forte concentration du réseau de détention ne reflète donc pas le contrôle des entreprises par la finance, mais le fonctionnement des marchés financiers : les investisseurs, pour minimiser le risque, préfèrent suivre le flux des investissements déjà réalisés.

La concentration de l'activité financière autour de quelques acteurs est donc "naturelle", puisqu'elle permet de limiter les coûts de transaction, de renforcer la confiance mutuelle et les intérêts communs, de partager les risques et de bloquerles prises de contrôle "inamicales".

"Il est normal que les flux financiers passent tous par un petit nombre d'établissements, dans la mesure où ceux-ci détiennent les instruments de financement que tous les investisseurs utilisent", note aussi Carlo Altomonte, professeur d'économie à l'université Bocconi.

Même si le fonctionnement "naturel" du marché a conduit à une telle concentration,"ce qui est naturel n'est pas forcément bon pour l'économie et pour la société", répond Stefano Battiston, pour qui les conséquences réelles de la concentration qu'ils ont mise en évidence restent à examiner.

"Notre travail a montré, pour la première fois à l'échelle mondiale, l'existence d'une "super-entité" au sein du réseau mondial des grandes entreprises (...). Cette découverte soulève au moins deux questions (...) fondamentales pour la compréhension du fonctionnement de notre économie : premièrement, quelles sont les implications pour la stabilité financière mondiale ? (...) Deuxièmement, quelles sont les implications pour la concurrence sur les marchés ?", écrivent les auteurs.

De nombreuses études ont montré le risque que fait peser sur un système la défaillance d'un de ses "points-clés", et la faillite de Lehman Brothers en a été l'illustration la plus forte. Le propos des auteurs est ainsi d'élargir, explique James Glattfelder, la problématique du too big to fail (trop gros pour faire faillite) à celle detoo connected to fail (trop connecté pour faire faillite).

"Dans une économie où la chaîne d'approvisionnement est mondialisée, la défaillance d'une usine japonaise noyée par le tsunami a bloqué la production mondiale d'automobiles, observe Carlo Altomonte. Nous devons penser ce système non plus sous le signe du "just in time" (juste à temps), mais sous celui du "just in case" (au cas où)."

Les travaux de Vitali, Glattfelder et Battiston montrent qu'il en est de même pour l'ensemble de l'économie mondiale : celle-ci présente, en particulier au sein de l'industrie financière, des "points-clés" dont il serait imprudent de méconnaîtrel'importance.

"96 % du marché des produits dérivés est contrôlé par trois institutions bancaires. Dans l'industrie, cela suffirait à déclencher une enquête de la Commission européenne sur les risques de collusion. L'interconnexion entre les acteurs interdit de croire que les marchés dérivés n'étant qu'une petite partie des marchés financiers, cela n'aurait guère d'importance", poursuit M. Altamonte.

John Drifill, professeur de macroéconomie à l'université de Londres, cité par The New Scientist, note que le nombre de 147 firmes au coeur du système suffit àgarantir l'absence de collusion.

"Il est tout à fait possible que l'existence d'un tel réseau crée de la compétition et de la stabilité financière, reconnaît Stefano Battiston. Nous ne disons pas que ce n'est certainement pas le cas. Mais nous disons seulement que, étant donné ce que l'on sait désormais, il serait bien de le vérifier..."

Antoine Reverchon

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Invité Gnafron 1er

Bjr RC ,Ouvre ton lien et Clique sur "le siècle "...une belle brochette mais nos représentants sont représentés ! wouharf !

Modifié par Gnafron 1er
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Bjr RC ,Ouvre ton lien et Clique sur "le siècle "...une belle brochette mais nos représentants sont représentés ! wouharf !

Je connais ce site par coeur, mais ne le porte pas dans ce même coeur! hic! le sciècle, la cafette de l'ENA????

Modifié par Rail cassé
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C'est marrant, il n'y a rien sur Le Monde, Libération, Yahoo à ce sujet pour l'instant ?

C'est quand même une bombe cette déclaration...

Réaction d'Eric Coquerel, conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon, aux propos de F. Hollande

http://www.humanite....-de-f.-hollande

Hollande tire une balle dans le pied de la gauche

En déclarant que François Bayrou pourrait devenir son ministre,

François Hollande tire une balle dans le pied de la gauche en vue de l'élection présidentielle.

François Hollande n'a rien appris des défaites précédentes du PS et notamment de celle de 2007. La gauche ne peut pas gagner les élections sur le seul ressort de l’anti-sarkozysme. Elle doit proposer un projet qui soit une alternative claire au système qui entraîne aujourd’hui les peuples dans la faillite.

Un tel projet est absolument incompatible avec celui de François Bayrou qui propose notamment une hausse de deux points de la TVA et un plan de rigueur de 100 milliards d'euros dont 50 milliards d'euros de coupes dans les dépenses de l'Etat et de la Sécurité Sociale. Aucune majorité de gauche n'est possible sur une telle base. Et la promesse d'une austérité de gauche est l'assurance d'une nouvelle défaite.

Face à cette sinistre "danse du centre", François Hollande doit répondre au Front de Gauche. Au lieu de sommer tout le monde de se rallier à lui, il doit dire clairement s'il veut discuter avec le Modem ou le Front de Gauche. Car c'est l'un ou l'autre. Ce ne sera en aucun cas les deux. Tribord et bâbord en même temps cela ne donne pas un cap mais l’échouage assuré.

Face à cette dérive centriste, le seul bulletin assurant une politique de gauche le 22 avril et le 6 mai sera celui de Jean-Luc Mélenchon.

Eric Coquerel

conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon

animateur du Front de gauche

Modifié par Dom Le Trappeur
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Faut quand même faire une recherche pour tomber dessus...

Hollande tend la main à Bayrou, sous conditions

http://fr.news.yahoo.com/hollande-tend-la-main-à-bayrou-sous-conditions-121626738.html

Hollande prêt à accueillir Bayrou dans son gouvernement en cas de victoire

http://fr.news.yahoo.com/hollande-prêt-à-accueillir-bayrou-gouvernement-cas-victoire-081557493.html

et dans le même temps...

François Hollande prend ses distances avec l'accord PS-EELV

http://fr.news.yahoo.com/françois-hollande-prend-ses-distances-avec-laccord-ps-142455550.html

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Invité Gnafron 1er

C'est marrant, il n'y a rien sur Le Monde, Libération, Yahoo à ce sujet pour l'instant ?

C'est quand même une bombe cette déclaration...

Réaction d'Eric Coquerel, conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon, aux propos de F. Hollande

http://www.humanite....-de-f.-hollande

Hollande tire une balle dans le pied de la gauche

En déclarant que François Bayrou pourrait devenir son ministre,

François Hollande tire une balle dans le pied de la gauche en vue de l'élection présidentielle.

François Hollande n'a rien appris des défaites précédentes du PS et notamment de celle de 2007. La gauche ne peut pas gagner les élections sur le seul ressort de l’anti-sarkozysme. Elle doit proposer un projet qui soit une alternative claire au système qui entraîne aujourd’hui les peuples dans la faillite.

Un tel projet est absolument incompatible avec celui de François Bayrou qui propose notamment une hausse de deux points de la TVA et un plan de rigueur de 100 milliards d'euros dont 50 milliards d'euros de coupes dans les dépenses de l'Etat et de la Sécurité Sociale. Aucune majorité de gauche n'est possible sur une telle base. Et la promesse d'une austérité de gauche est l'assurance d'une nouvelle défaite.

Face à cette sinistre "danse du centre", François Hollande doit répondre au Front de Gauche. Au lieu de sommer tout le monde de se rallier à lui, il doit dire clairement s'il veut discuter avec le Modem ou le Front de Gauche. Car c'est l'un ou l'autre. Ce ne sera en aucun cas les deux. Tribord et bâbord en même temps cela ne donne pas un cap mais l’échouage assuré.

Face à cette dérive centriste, le seul bulletin assurant une politique de gauche le 22 avril et le 6 mai sera celui de Jean-Luc Mélenchon.

Eric Coquerel

conseiller spécial de Jean-Luc Mélenchon

animateur du Front de gauche

J'étais sur le point de mettre qlq chose là dessus ( Hollande -Bayrou ) .Si tel est le cas (accord PS Modem ) , pas la peine d'aller au 2 éme tour......ce sera une cohabition " centre gôche - centre droiche " !

En plus , 6 mois avant . On peut discuter du bien fondé de la démarche de S .R entre les 2 tours en 2007 mais en étant large d'esprit on pouvait comprendre .Mais là , cela signifie :

- qu'il part perdant ....donc , c'est bien un mou des genoux (je suis poli , wouharf)

- il fait en sorte de ne pas être dépendant des voix du Front de gauche donc les écarte d'emblée .

- et il dit aux écolos = je vous enfile .....il trouveras tjrs un Brice Turcmachin pour prendre un porte feuille !

C'est répugnan !

Modifié par Gnafron 1er
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