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katamiaw

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Dom trappeur a laissé passé un sujet pour cause de fêtes pascales sans doute cestachierhelpsosobigbisous

Jeux en ligne: Quand Sarkozy & Copé légifèrent en urgence pour la bande du Fouquet's

Un article du Post :

http://www.lepost.fr/article/2010/04/03/20...-fouquet-s.html

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Bon.... s'il revient, ce serait avec les radicaux de gauche ...

Après tout, un homme politique de plus ce n'est pas gênant puisque son poids est encadré par la démocratie.

Celui-ci en plus, est loin d'être le plus pire... tant qu'il ne se mêle plus de gestion d'entreprises ...

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Bon.... s'il revient, ce serait avec les radicaux de gauche ...

Après tout, un homme politique de plus ce n'est pas gênant puisque son poids est encadré par la démocratie.

Celui-ci en plus, est loin d'être le plus pire... tant qu'il ne se mêle plus de gestion d'entreprises ...

Hello,

Ou il revient pour la "réforme" des retraites et ... cestachier

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Invité Gnafron 1er

Hello,

Ou il revient pour la "réforme" des retraites et ... cestachier

Et si la NASA a besoin d'un cobaye pour Vénus , est-il candidat ?Ce serait une bonne idée !

!

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Invité necroshine

D'après un document du ministère des finances que le Journal du Dimanche s'est procuré, le gouvernement estime qu'il lui faudra trouver entre 15 et 20 milliards d'euros par an pour financer les retraites des fonctionnaires dans les années à venir.D'après ce document, le gouvernement étudierait principalement la piste d'une hausse des cotisations salariales, et de leur alignement sur le secteur privé. "Le régime des fonctionnaires est peu lisible et les différences de calcul avec le privé sont souvent perçues comme injustes", estime Denis Jacquat, le député qui suit le dossier au sein du groupe UMP, cité par le JDD.

Les principaux syndicats et organisations patronales doivent être reçues par le ministre du travail Eric Woerth le 12 avril pour débuter une vaste concertation sur le financment des retraites.

Le Monde.fr

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Et si la NASA a besoin d'un cobaye pour Vénus , est-il candidat ?Ce serait une bonne idée !

!

Ils sont Venus, il sont tous là .... dès qu'ils ont entendu ce cri, elle va mourir l'UUUèmpé-é-é cestachier

Modifié par michael02
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"Le régime des fonctionnaires est peu lisible et les différences de calcul avec le privé sont souvent perçues comme injustes", estime Denis Jacquat, le député qui suit le dossier au sein du groupe UMP, cité par le JDD.

Alors que le régime de retraite des parlementaires est complètement soutenu par tout le monde cestachier

Modifié par michael02
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En parlant des Fonctionnaires ....

Déjà être gendarme et poète, ça ne doit pas être donné à tout le monde...

Libération 4 avril 2010

http://www.libeorleans.fr/libe/2010/04/un-...e-suspendu.html

Un gendarme poète et solidaire suspendu

Un gendarme en poste dans la région centre a été «suspendu pour une durée non précisée» cette semaine pour avoir écrit un poème en soutien à son collègue Jean-Hugues Matelly.

Ce dernier avait été radié sur décision du chef de l'état pour avoir critiqué le rapprochement police-gendarmerie au sein du ministère de l'Intérieur.

L'adjudant A. a écrit fin mars un poème titré «Il pleut sous nos képis» publié par l'Association de défense des droits des militaires (Adefdromil)

qui revendique 1.500 adhérents et plaide pour plus de liberté d'expression des militaires.

Le gendarme y défend avec vigueur Jean-Hugues Matelly et raille le chef de l'Etat.

L’un des passages de ce poème fait rimer «Je sens bien (les) larmes chaudes sous mon képi» avec «comme si sur moi Sarkozy faisait pipi».

Selon l'Adefdromil, l'auteur a été identifié et une procédure disciplinaire a été engagée à son encontre.

La direction générale de la gendarmerie nationale (DGGN) a indiqué qu'une enquête «de commandement» a été diligentée contre ce «militaire auteur» d'un «écrit outrageant». Un «dossier disciplinaire est en cours d'instruction» à son encontre et il fait l'objet d'une «suspension administrative», a-t-elle confirmé.

Libération reproduit, ici, le texte incriminé dans son intégralité:

«IL PLEUT SOUS NOS KÉPIS !

Il faisait beau alors, le jour où j’ai signé!


Je me souviens comme j’étais fier de m’engager,


D’être formé à ce métier par mes aînés…

Du bon droit je voulais être le soldat,


Dans le respect des traditions et des hommes.


Du citoyen, à tout faire je serai l’homme!

De ma personne alors, j’ai donné sans compter.


Ma famille dans cette voie s’est trouvée liée.


Mes devoirs étaient les siens sans qu’elle ait signé…

Nos Gradés, nos Officiers étaient nos modèles.


Ils savaient nous motiver et nous ordonner.


Alors nous étions soudés, unis et fidèles…

Nous savions des sacrifices la juste raison,


Et étions tous reconnus “Servants de la Nation !”


De la France, la plus noble et vieille Institution.

Un nouveau Roy fût nommé, et tout a changé.


Diviser pour mieux régner, tel était son but !


Il y parvint bien, précipitant la chute !

Pour ce faire, il choisit bien parmi les nôtres,


Ceux d’entre eux les plus vénaux, les moins fidèles,


Leur fit tant miroiter, qu’il furent ses “apôtres”.

Ces vendus et parjures aujourd’hui, ont ourdi


D’enterrer sans coup férir notre belle histoire…


De nous taire ils nous ordonnent, arguant: “Tout est dit !”

L’un des nôtres osa parler sans démériter,


se faisant ainsi le râle de notre douleur…


Il fût vite éliminé par ces fossoyeurs !

Aujourd’hui, Sainte Geneviève saigne et pleure,


Je sens bien ses larmes chaudes sous mon képi,


Comme si sur moi SARKOZY faisait son pipi…

Soldats nous sommes, et c’est debout que nous mourrons.


Et à l’instar de CAMBRONNE, “MERDE” nous dirons.


Nous briserons nos armes, mais nous taire “Pas question !”

Nous ne sommes que des hommes, soldats mais citoyens,


Et nos voix dans l’urne pèsent bien pour un scrutin…


Qu’on les entende ensuite, d’étonnant n’a rien.

Nous taire il ne faut point, surtout si c’est la fin !


Au pays des Droits de l’Homme, on dénie les miens.


Fidèle, loyal je suis, muet je ne suis point.

Même si tout est fini, que prévue est la fin,


Nous n’irons au sépulcre qu’après avoir tout dit.


Geneviève, Chère Patronne, Il pleut sous nos képis !

Adjudant A.

Dédié au Chef d’Escadron Jean-Hugues MATELLY»

Le chef d'escadron (commandant) Jean-Hugues Matelly, 44 ans, s'était exprimé publiquement en tant que chercheur du CNRS, fin 2008, pour critiquer le rapprochement police-gendarmerie au sein du ministère de l'Intérieur, effectif depuis le 1er janvier 2009.

Il a été radié des cadres le 25 mars par un décret du président de la République pour «manquement grave» à son obligation de réserve à laquelle sont strictement astreints les militaires.

Les gendarmes sont de statut militaire et ne peuvent se syndiquer contrairement aux policiers relevant du civil.

L'Adefdromil ajoute, sur son site internet, qu'une vidéo en soutien à Jean-Hugues Matelly ayant circulé sur Youtube - dont elle publie les dialogues - serait également dans le collimateur de la hiérarchie de la gendarmerie.

Il s'agit d'un pastiche du film «La Chute» qui raconte les derniers jours d'Adolf Hitler. Pour la DDGN, il «n'est pas établi» que ce soit l'oeuvre d'un gendarme.

Mourad Guichard (avec AFP / photo: Reuters)

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La vidéo en question :

http://www.youtube.com/watch?v=1ms5NsTDwyk

Si elle l'oeuvre d'un gendarme, ça va barder pour son matricule.

Trop bon, ce n'est qu'une carricature, et pourquoi donc les bleus n'aurraient t'ils pas le droit de se faire entendre? ( les kakis aussi )

Sarko et consort démentellent tout le public, l'armée y compris. que va t'il rester de notre pays à la fin de son reigne royaliste? un pays de banques? ! n'est pas la suisse qui veut ( et encore moins les USA ). Casse toi pauve .....!

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Un drôle d'affaire...

sur Rue89

Lors d'une manif anti-carcérale

Loi contre les bandes : cent dix manifestants arrêtés… pour rien

http://www.rue89.com/2010/04/04/loi-contre...our-rien-145794

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Sujet d'actualité

Est-il interdit de critiquer les journalistes...

http://www.agoravox.fr/actualites/medias/a...iquer-les-72796

Sur le blog de Mélenchon

http://www.cheminots.net.fr/2010/03/u...ue-un-mecreant/

L'interview de Mélenchon par le stagiaire de science-po...

http://www.lepost.fr/article/2010/03/30/20...tml#xtor=AL-235

La suite :

Jean-Luc Mélenchon est en forme...

où on en apprend de biens bonnes

C'est long mais ça vaut son pesant...

Mince! Les cloches sont de retour!

http://www.cheminots.net.fr/2010/04/m...tour/#more-2779

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Journalisme et médiacratie : un nouveau clergé

http://www.agoravox.fr/actualites/medias/a...cratie-un-72843

Je vous conseille d'aller jusqu'à la conclusion de l'article...

Étonnant...

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Je comprends (et je les combat) que ceux là soutiennent un système libéral anti-social

mais les autres ?

Le bouclier fiscal a coûté 586 millions d'euros à l'Etat en 2009

au bénéfice de 16.350 contribuables

Reuters

Le bouclier fiscal a coûté environ 586 millions d'euros à l'Etat en 2009, au bénéfice de 16.350 contribuables,

selon des chiffres provisoires communiqués par le ministre du Budget, François Baroin.

Ce montant pourrait au final atteindre 650 à 700 millions d'euros et le nombre de bénéficiaires s'élever à près de 20.000, a ensuite précisé François Baroin à des journalistes.

Le bouclier fiscal, critiqué à gauche mais aussi à droite, limite à 50% des revenus d'un contribuable le montant de ses impôts directs.

Son niveau a été abaissé de 60% à 50% et les contributions sociales (CSG et CRDS) ont été intégrées dans son calcul juste après l'élection de Nicolas Sarkozy en 2007.

Parmi les bénéficiaires du bouclier l'an dernier, 8.675 personnes non assujetties à l'Impôt de solidarité sur la fortune (ISF) ont touché au total environ 5,5 millions d'euros, selon les chiffres du ministère transmis à Reuters par un député.

Ceci signifie que seul 1% des sommes remboursées dans le cadre du bouclier l'ont été à des contribuables modestes, ont souligné des députés socialistes, après une audition de François Baroin par la commission des Finances de l'Assemblée nationale.

"Il apparaît clairement à l'issue de cette audition que le bouclier fiscal ne protège pas les revenus du travail mais les revenus de la rente et du patrimoine", a dit à des journalistes le président de la commission, le socialiste Jérôme Cahuzac.

Le Parti socialiste a déposé mardi une proposition de loi supprimant le bouclier fiscal, sans grand espoir d'obtenir gain de cause, le gouvernement voulant le maintenir, au nom de la stabilité fiscale.

"C'est un débat symbolique, politique", a dit François Baroin à des journalistes. "Puisque nous sommes dans le symbole et que nous avons besoin de recul, on souhaite une stabilité fiscale", a-t-il ajouté.

Le ministre du Budget a précisé qu'il était encore difficile de dire si le bouclier avait permis le retour en France de contribuables qui s'étaient expatriés pour des raisons fiscales.

<<Dom : Pourtant le nombre n'étant pas élevé ça devrait être assez facile de vérifier rapidement...>>

"On a besoin de recul et c'est bien parce qu'on a besoin de recul qu'on a besoin de stabilité", a-t-il poursuivi.

En 2008, année où le bouclier a été abaissé à 50%, environ 800 contribuables assujettis à l'ISF ont quitté le pays et environ 300 expatriés fiscaux sont rentrés en France, selon les chiffres transmis aux journalistes par les députés.

Ils ont également précisé que la part du coût du bouclier fiscal liée à l'inclusion de la CSG et de la CRDS s'était élevée l'an dernier à 179 millions d'euros.

Jean-Baptiste Vey

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Dom Trappeur n'a pas encore évoqué l'affaire des rumeurs sur le couple sarkozy.

Voilà qui nous étonne. lotrela

A moins que................................................................

Dom a les chocottes ? lotrela lotrela

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Dom Trappeur n'a pas encore évoqué l'affaire des rumeurs sur le couple sarkozy.

Voilà qui nous étonne. :Smiley_66:

A moins que................................................................

Dom a les chocottes ? lotrelalotrela

Carla a tout dit aujourd'hui... Tu n'as pas écouté ?

et moi j'adore Carla (quand elle chante...)

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D'ailleurs l'analyse de l'attitude d'une partie des médias sur l'affaire Mélenchon vaut pour Carla mais aussi pour l'affaire du TGV Le Mans

et pour plein d'autres affaires ...

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et c'est le figaro qui le dit !

Plus de 110 000 chômeurs testés sans être payés ,bientôt on sera fier de travailler pour rien ! on aura du travail ,quoi !

http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2010/04...etre-payes-.php

pour mémoire lotrela

http://www.bide-et-musique.com/song/444.html

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On a perdu

C'est pô grave...magouillons...

[

Les députés UMP veulent la fin des triangulaires

Le Figaro...

Par Jean-Baptiste Garat

08/04/2010 |

Législatives : plus de 200 députés ont déjà signé une proposition de loi prévoyant le maintien des deux seuls candidats en tête.

La question est un classique des lendemains de défaite électorale. Et la majorité, après la déroute des régionales, n'y coupe pas. Faut-il modifier les modes de scrutin ? À commencer par celui des prochaines législatives ?

Les premiers concernés, les députés, ont vite fait leurs comptes. Selon les modes de calcul, la prise en compte des résultats au premier ou au second tour des régionales, l'ancien ou le nouveau découpage des circonscriptions, sans oublier leur état d'esprit du moment, les estimations sont au mieux alarmistes ou pire catastrophiques pour l'UMP et ses alliés.

Au groupe, on constate que les listes de la majorité n'ont totalisé plus de 50% au second tour des régionales que dans 28 circonscriptions, après redécoupage. À l'UMP, d'autres estiment qu'un quart des 317 députés du parti présidentiel sont aujourd'hui menacés. Un calcul qui se rapproche de celui de l'Observatoire de la vie politique, qui évalue qu'environ 80 sièges basculeraient à gauche.

La crainte des députés est de voir des triangulaires fatales se multiplier avec le Front national, comme aux législatives de 1997. Aux régionales, le parti de Jean-Marie Le Pen a contraint la majorité à 12 triangulaires. Pas étonnant dès lors que deux députés de l'UMP, élus des régions où le FN a réalisé ses meilleurs scores (Provence-Alpes-Côte d'Azur et Nord - Pas-de-Calais), se préparent à déposer chacun une proposition de loi visant à interdire les triangulaires. Éric Ciotti (Alpes-Maritimes) et Christian Vanneste (Nord) avancent que la légitimité d'un élu doit reposer sur une majorité absolue. Une initiative approuvée par les radicaux qui souhaitent « que seuls les deux candidats ou les deux listes arrivés en tête au premier tour d'une élection puissent participer au second ».

Au gouvernement, ces propositions sont reçues avec circonspection. Le ministre de l'Intérieur, Brice Hortefeux, assure avoir «entendu ceux qui plaident pour une harmonisation des scrutins sur celui de la présidentielle». Le secrétaire d'État à l'Intérieur, Alain Marleix, se dit, «à titre personnel, favorable au scrutin majoritaire à deux tours secs, avec deux candidats seulement au second tour». De toutes façons, explique-t-on Place Beauvau, «si les parlementaires le veulent, ils n'ont pas besoin de nous». Et pour cause : la proposition de loi d'Éric Ciotti aurait d'ailleurs déjà reçu plus de 200 signatures.

Hortefeux et Marleix prennent cependant bien soin de relativiser les estimations qui surgissent çà et là. Selon les calculs de la Place Beauvau à partir des régionales, aucun candidat arrivé troisième ne pourrait se qualifier au second faute de réunir les 12,5% des inscrits nécessaires, en raison du fort taux d'abstention.

« Commençons déjà par le faire pour les territoriales »

«N'essayons pas une fois encore d'aller trop vite», prévient cependant le président du comité de la majorité, Jean-Claude Gaudin, qui ne souhaite pas que l'on touche au mode de scrutin pour 2012. «Casser un thermomètre pour ne plus sentir la température est une mauvaise idée, explique pour sa part le président du Nouveau Centre, Hervé Morin. On ne lutte pas contre un mouvement en empêchant les triangulaires.»

La question des triangulaires pourrait s'inviter dans l'autre débat électoral : celui qui concerne le mode de scrutin des futurs conseillers territoriaux pour lequel la gouvernement a présenté un système majoritaire à un tour avec une dose de proportionnelle. «Avec ce mode de scrutin, nous aurions gagné une, voire deux régions de plus, mais pas à la Réunion», pointe-t-on à l'UMP. «Les Hauts-de-Seine auraient basculé à gauche, c'est certain», calcule un autre. Le Parlement pourrait préférer à ce mode de scrutin un plus classique : deux tours, comme pour les cantonales aujourd'hui. Avec ou sans triangulaire ? «Je ne sais pas, concède Gaudin, mais si on devait les interdire, commençons déjà par le faire pour les territoriales avant de tirer des plans sur la comète.»

Modifié par Dom-trappeur
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Sur Libération.fr

Bouclier fiscal : une tranche d’intox

Quand il ne reste plus d’arguments pour défendre une mesure, autant en inventer

http://www.liberation.fr/economie/01016290...tranche-d-intox

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Jean-Luc Mélenchon bouscule ses alliés du Front de gauche

et pousse ses pions pour 2012

LEMONDE | 09.04.10 | 14h31 •

Avec le Front de gauche - l'alliance qu'il a passée avec les communistes et les amis de Christian Picquet de la Gauche unitaire -, Jean-Luc Mélenchon sait qu'il a réussi à exister à la gauche du PS. Mais tout cela va trop lentement. "Je suis trop petit pour bouger seul et trop gros pour me taire", lance-t-il.

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M. Mélenchon veut débattre du rôle des médias

Jean-Luc Mélenchon vient s'expliquer sur sa vision du journalisme au Centre formation des journalistes (CFJ) à Paris. Une semaine après s'être emporté contre un étudiant de l'école de journalisme de Science-Po, qui l'interrogeait sur un sujet qu'il jugeait inopportun - le député européen avait invectivé la profession en parlant de "métier pourri" et de "sale corporation voyeuriste", et traité son interlocuteur de "petite cervelle" dans une séquence qui fait florès sur Internet -, M. Mélenchon veut "débattre du rôle des médias".

La rencontre a lieu vendredi 9 avril, à l'invitation du directeur du CFJ, Christophe Deloire, et il s'en dit "enchanté".

M. Deloire avait entendu le président du Parti de gauche lors d'un débat à l'ENA à Strasbourg, en octobre 2009, et avait été intéressé par les critiques formulées. "Il a commencé par dire aux 400 journalistes présents "je vous hais" et "vous êtes une ruse de l'histoire" et finit une heure plus tard sous les ovations. Dans ce qu'il dit, il y a quelque chose à entendre pour notre profession", dit-il pour expliquer l'invitation dans la prestigieuse école.

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De fait, de cette drôle d'alliance aux régionales, les médias auront surtout retenu le nom de Mélenchon. Au point de confondre le sigle de son parti - le Parti de gauche (PG) - avec celui du Front de gauche.

C'est lui, l'ancien socialiste, qu'on invite sur les plateaux de télévision, pas Marie-George Buffet et encore moins Pierre Laurent, le numéro deux du PCF. La direction communiste a beau se féliciter des résultats "globalement positifs" obtenus lors des régionales, sans lui, le Parti communiste serait au plus bas.

Mais Jean-Luc Mélenchon sait aussi que, sans le PCF, le Front de gauche n'existerait pas. Et son petit parti - quelque 5 000 militants - non plus. Alors, il pousse des coups de gueule, multiplie les propositions. Pour faire encore "bouger les communistes".

Pour lui, le Front de gauche doit franchir une deuxième étape. "On a fait nos preuves comme cartel d'organisations mais cela ne peut plus durer comme ça", explique le député européen. Il veut discuter d'un projet et d'un commandement commun pour la présidentielle, dit-il. Et tout ça dans un "paquet" qu'il propose à ses amis communistes, afin de présenter ensemble des candidats aux cantonales, aux législatives et un seul à la présidentielle. "Je ne veux plus un truc de petits pas", prévient-il.

Stratégie de la lenteur

Las, le PCF, lui, préfère avancer doucement. Si Mme Buffet n'a pas dit non à une éventuelle candidature commune en 2012, elle a repoussé la discussion en 2011... après le congrès des communistes qui se tiendra en juin. La numéro un du PCF rétorque qu'au lieu de parler de personne elle préfère penser "projet" en organisant des "assises". "Il faut traiter les échéances quand elles viennent", insiste encore la numéro un du PCF. Le temps de la présidentielle viendra mais pas avant un an.

Une stratégie de la lenteur qui agace au plus haut point le député européen. "Tout le monde sait qu'un candidat communiste ne fera pas de score. Si on réussit les régionales, c'est parce que c'est le Front de gauche", râle M. Mélenchon qui pense que, pour "entraîner l'électorat", il est le meilleur. Il rappelle qu'un sondage Ifop pour Sud-Ouest (réalisé les 25 et 26 mars auprès de 855 personnes) le donne à 6 % des intentions de vote à la présidentielle, devant Olivier Besancenot, porte-parole du NPA. "C'est pas mal pour un début", sourit-il. Ajoutant : "Je fais confiance à l'idée de l'évidence", sourit-il.

Pour lui, il suffit d'"être clair" : "On veut être le recours à gauche ? alors il faut se battre pour ça et ne pas dire qu'on prépare un gouvernement rose-rouge-vert !", dit-il en pestant contre les "ambiguïtés" du PCF vis-à-vis du PS. L'élection présidentielle étant la mère de toutes les batailles - "un candidat doit avoir un projet pour gouverner sinon il n'existe pas", argumente son bras droit François Delapierre -, il faut en être et la préparer.

Le PG réfléchit donc déjà aux parrainages, au budget et au type de campagne. En le disant tranquillement, l'ancien socialiste cherche à bousculer encore. "Je veux obliger les communistes à trancher à leur congrès", prévient-il.

Bousculer sans braquer, l'équilibre est délicat. "On respecte le temps des communistes qui ont un congrès qui va peser. Et puis ni Marie-George ni Pierre Laurent n'ont dit qu'il fallait un candidat communiste...", remarque-t-on au PG. Alors le "camarade Jean-Luc" espère.

En attendant, il vient de lancer une nouvelle idée : la possibilité d'adhésions directes au Front de gauche, en dehors des trois organisations qui le composent et de leur rigidité. Un peu à l'image d'Europe Ecologie. Le PCF traîne des pieds ?

Qu'importe ! M. Mélenchon joue la stratégie du contournement. "C'est de la bombe atomique", s'amuse-t-il.

Sylvia Zappi

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Sophie de Menton ...Ethic ... ça ne vous rappelle rien les cheminots .... ?

Medef : Sophie de Menthon candidate ?

Par Marc Landré le 10 avril 2010 18h42 | Réagir

EXCLUSIVITE "LES DESSOUS DU SOCIAL"

PLUS LA DATE LIMITE de dépôt des candidatures (1er mai) approche, plus les rumeurs sur les supposés prétendants au poste de patron des patrons s'accélèrent. Geoffroy Roux de Bézieux hors jeu - il a annoncé ce samedi 10 avril dans une interview au Figaro qu'il ne se lancerait pas cette année dans la course à la présidence du Medef -, voici que deux nouveaux noms sont miraculeusement sortis du chapeau pour donner du fil à retordre à Laurence Parisot, quasiment assurée de se succéder à elle-même le 1er juillet, et pimenter la dernière ligne droite avant la deadline. "Les dessous du social" font le point sur ces supposées candidatures à J-20.

Contrairement à ce qu'annoncait vendredi le site d'informations Wansquare, Bruno Grandjean, le PDG de Redex, n'aurait aucune intention de se lancer dans la course la semaine prochaine et ne serait pas soutenu implicitement par Yvon Jacob, le président de la Fédération des industries mécaniques. "Il n'a jamais eu l'intention de se présenter, m'a certifié ce samedi même l'un de ses proches conseillers en qui j'ai une totale confiance pour le connaitre depuis très longtemps. Il a la capacité de jouer un rôle dans l'univers patronal mais il n'est absolument pas candidat à la présidence du Medef." Vendredi, c'était Yvon Jacob lui-même qui me répondait ne pas être au courant de cette candidature et surtout ne pas la soutenir, même implicitement. "Si c'est vrai, c'est une initiative personnelle que je ne soutiens pas", m'a affirmé le candidat malheureux à la présidence du Medef en 2005. Donc exit aussi Bruno Grandjean.

Parallèlement, la rumeur dit depuis vendredi que Sophie de Menthon, la très médiatique et blonde présidente d'Ethic va très prochainement se lancer dans la course et concurrencer Laurence Parisot. Pas moins de trois personnes m'ont appelé en 24 heures pour me demander si je croyais à cette candidature pas vraiment surprenante. On sait que Sophie de Menthon ne porte pas dans son coeur l'actuelle présidente du Medef et qu'elle fourmille d'idées pour réveiller une organisation qu'elle estime mal conduite. Elle a d'ailleurs organisée il y a quelques semaines un colloque prospectif où se sont succédés tous les meilleurs ennemis de Laurence Parisot à la tribune. La présidente d'Ethic avait elle-même claqué la porte du comité éthique du Medef il y a un peu plus d'un an car elle était en désaccord avec la manière dont la réflexion sur la rémunération des grands patrons était menée. Et bien j'ai contacté Sophie de Menthon pour savoir si elle comptait ou non se présenter. Voici sa réponse. La présidente d'Ethic se dit "très sollicitée" et m'a assuré n'avoir "absolument pas pris de décision". Elle n'infirme donc pas la rumeur. Tout juste confirme-t-elle donc être intéressée par le poste et réfléchir à la possibilité de se présenter. Fin du suspense dans les jours qui viennent...

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* EXCLUSIF

Modifié par Dom-trappeur
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Sophie de Menton ...Ethic ... ça ne vous rappelle rien les cheminots .... ?

Medef : Sophie de Menthon candidate ?

Par Marc Landré le 10 avril 2010 18h42 | Réagir

EXCLUSIVITE "LES DESSOUS DU SOCIAL"

Et bein !!!

C'est son mouvement "Ethic" qui n'en a que le nom qui avait balancé le fameux mail diffamatoire envers les cheminots si je ne m'abuse....

La SNCF avait mis ça dans les mains de la justice, qui n'a pas l'air pressée.....

Si elle arrive à la tête du MEDEF, ça promet.

Il n'y à qu'a l'entendre sur RMC. :blush:

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