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Le Web des Cheminots

Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

bonjour

j'adore ce genre de rappel des faits du monde ,cela remet les pendule à l'heure et montre le décalage entre la com.et la réalité.

Espérons que la majorité des votants s'en rendront compte avant 2012

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6.325ème épisode...

Il y a donc maintenant deux enquêtes parallèles 

le Procureur  Courroye qui refuse de transmettre SON affaire à un juge d'instruction

la juge Isabelle Prévost-Desprez qui instruit dans le cadre d'un complément d'enquête demandé par le tribunal...

La fille de Liliane Bettencourt entendue par la juge Isabelle Prévost-Desprez

Le Point

La fille de Liliane Bettencourt a été entendue mardi par la juge Isabelle Prévost-Desprez, dans le cadre d'un complément d'information dans le procès pour "abus de faiblesse" intenté par Françoise Bettencourt-Meyers au photographe François-Marie Banier. 

Selon France Info, Françoise Bettencourt-Meyers a brossé, lors de cette audition, le portrait de François-Marie Banier, photographe proche de sa mère et qu'elle soupçonne d'abus de faiblesse. "François-Marie Banier est arrivé dans notre famille un peu comme un bouffon qui s'est transformé en confident. Puis le confident s'est transformé en Raspoutine", aurait-elle expliqué devant la magistrate. Selon le site, la fille unique de Liliane Bettencourt dénonce aussi la cupidité de l'homme de confiance de sa mère et ses demandes répétées pour obtenir de l'argent ou des bijoux. "Il voulait les bijoux de ma mère, il voulait son argent." Et d'insister : "Il m'a dénigrée, car j'étais malheureusement la seule personne qui pouvait le déranger." Selon elle, l'emprise de François-Marie Banier sur sa mère est toujours très forte. "C'est lui qui gère la maison désormais. Ma mère est isolée, on gère sa vie."

"Je n'ai payé personne pour faire un témoignage" (Françoise Bettencourt-Meyers)

Françoise Bettencourt-Meyers s'est aussi expliquée sur les 400.000 euros donnés en 2008 à Claire Thibout. L'ex-comptable de l'héritière de L'Oréal s'est retrouvée ces dernières semaines au centre de la tempête politique et médiatique qui s'est abattue sur le ministre du Travail, Éric Woerth, en évoquant un financement politique occulte. "Je n'ai payé personne pour faire un témoignage, je n'ai jamais versé d'argent à personne d'autre", s'est défendue Françoise Bettencourt-Meyer, toujours selon France Info. Cette dernière a ainsi évoqué la promesse faite à son père, André Bettencourt, mort en 2007. "J'ai respecté son voeu, il m'avait demandé de veiller sur elle et de penser à elle si elle était renvoyée", a insisté la fille de l'héritière de L'Oréal. Et elle a précisé : "C'est (Claire Thibout) qui m'a alertée, qui a subi toutes les pressions et qui a résisté."

Isabelle Prévost-Desprez, présidente de la 15e chambre du tribunal de Nanterre, s'est saisie, le 1er juillet, d'un supplément d'information sur les enregistrements secrets, dans l'affaire opposant Françoise Bettencourt-Meyers à François-Marie Banier, accusé d'abus de faiblesse sur la milliardaire. Amenée à se prononcer sur un appel du parquet de Nanterre, opposé à ce supplément d'information, la cour d'appel de Versailles a autorisé la juge, la semaine dernière, à mener sa propre enquête sur les enregistrements, limitée aux faits d'abus de faiblesse suggérés par les écoutes.

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ça frite dur...

Affaire Bettencourt: le bras de fer Courroye-Metzner

Par  LIBÉRATION.FR  

L’affaire Bettencourt sera-t-elle étouffée par le parquet qui refuse toujours d’ouvrir une information judiciaire? Le parquet est-il aux ordres de l’exécutif? Ce jeudi matin, très remonté contre Philippe Courroye et sa conduite du dossier, Me Olivier Metzner, l’avocat de Françoise Bettencourt-Meyers, s’en est pris, sur RTL, au procureur de Nanterre et à Nicolas Sarkozy. Comme en réponse, Courroye réplique dans une interview au Figaro. Explications sur cette passe d’armes.

«Ce qui est extraordinaire, c’est l’intrusion du pouvoir politique dans la justice. La justice doit être indépendante», a réclamé Me Metzner sur RTL. Egalement avocat de Dominique de Villepin dans l’affaire Clearstream, il accuse Sarkozy de récidive: «Le président de la République avait déjà démontré dans l’affaire Clearstream son immixtion permanente et là, on voit à nouveau qu’un Président prendrait la place des magistrats.»

L’avocat de la fille de Liliane Bettencourt, qui poursuit le photographe François-Marie Banier pour abus de faiblesse à l’encontre de la milliardaire, met surtout en cause le procureur Courroye, hiérarchiquement sous l’autorité de la chancellerie et qui n’a pas caché sa proximité avec le chef de l’Etat. «Pendant dix-huit mois, M. Courroye a considéré que ma plainte était recevable. Tout d’un coup, après ce que l’on sait être un rendez-vous à l’Elysée avec Patrick Ouart, conseiller de M. Sarkozy, il a changé d’attitude, il a freiné cette affaire, il a classé sans suite et il a annoncé ce classement un mois et demi avant à l’entourage de Liliane Bettencourt», a-t-il dénoncé. Episode révélé par les fameuses écoutes pirates chez Liliane Bettencourt.

«Tout cela relève du fantasme»

«Tout cela relève du fantasme», balaie Philippe Courroye dans le Figaro, qui justifie sa décision de classer la plainte «simplement pour des motifs juridiques». Il rappelle que l’héritière de L’Oréal a refusé de se soumettre aux expertises psychiatriques: «On peut le regretter, mais c’était son droit.»

Et le procureur de Nanterre de démentir un traitement du dossier au bénéfice du pouvoir: «Ceux qui connaissent mon caractère savent que je ne suis pas homme à céder aux pressions.»

Alors que Me Metzner voit dans la détermination de Courroye à «conserver l’enquête entre ses mains» sans la confier «à un juge indépendant» la preuve qu’il veut «étouffer l’affaire», l’intéressé s’agace. «On voudrait faire passer le parquet pur une institution servile qui n’appliquerait pas le droit», déplore-t-il, assurant que ses enquêtes «sont conduites avec une entière détermination, une totale sérénité, un souci de rigueur procédurale».

Répondant, au passage, à l’ancienne juge d’instrucion, l’eurodéputée (Europe Ecologie) Eva Joly, qui lui reproche d’être «aux ordres», il cingle: «Après avoir lu son interview dans Le Monde, je suis allé voir Le Lac des cygnes. Face à tant de beauté et de grâce, le fiel de Mme Joly s’est désintégré pour rejoindre les particules du néant.»

Mais interrogé sur son refus de transmettre les écoutes à la juge Isabelle Prévost-Desprez, il élude carrément: «Je ne souhaite pas répondre à cette question.»

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Quel bordel, mais quel bordel ce pays !

Russie des années 90, les fonctionnaires sous voire pas du tout payés cumulent avec un p'tit boulot? Ben non, France :

http://www.rue89.com/rue69/2010/07/22/vendre-de-la-lingerie-ne-sied-pas-a-la-moralite-des-fonctionnaires-159515

Tiens, des jeunes "qui veulent bien dialoguer avec les médias"... et une p'tite fessée, ça leur ferait pas du bien???

http://www.rue89.com/2010/07/21/grenoble-encore-faut-il-savoir-de-quels-jeunes-on-parle-159451

Et le communautarisme idiot envahit maintenant la recherche... comme dans les années 30 d'ailleurs... et encore?

http://www.rue89.com/tribune-vaticinateur/2010/07/20/linvitation-dune-israelienne-fait-annuler-un-colloque-159415

Et les truands et autres "militants" de mes deux, s'expriment, pardon déversent leur lisier dans indymedia (avec accusations de racisme impicites, même pas les c* de dire vraiment leurs procédés de faux journaleux sortis du NKVD) ... comme quoi l'info "libre" porte-t-elle aussi des chaînes ?

http://grenoble.indymedia.org/2010-07-21-Un-cul-carre-pour-Le-Douaron ou http://grenoble.indymedia.org/2010-07-21-Recit-des-comparutions-immediates

Modifié par louis44
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Allez, c'est parti pour 10 ans de rigueur ! controleursncf : http://www.lesechos.fr/info/france/020679497269--nous-avons-devant-nous-dix-ans-de-rigueur-pour-resorber-la-dette-.htm

Mais ça sera toujours pour les mêmes !!!

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Dieu soit Loué...

Et hop une nouvelle bonne polémique...

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/loue-pub-pour-les-poulets-la-police-sur-les-dents-22-07-2010-997862.php

On savait qu'on ne pouvait plus rire de tout

maintenant on ne peut même plus sourire du tout...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Nouveaux épisodes la nuit dernière...

faut suivre

De maistre figurerait sur la liste des évadés fiscaux en Suisse ...

Reuters

http://fr.news.yahoo.com/4/20100723/tts-france-bettencourt-de-maistre-ca02f96.html

La banque Dexia aurait refusé un retrait de 500.000 euros à Liliane Bettencourt

de quoi me faire survivre 25 ans...

Au fait pourquoi faire ces 500.000 euros ? dévinez ?

http://fr.news.yahoo.com/76/20100723/tfr-la-banque-dexia-aurait-refus-un-retr-dbac7e9.html

Le procureur Courroye ne saisira pas le juge des tutelles

La maison est bien gardée

http://fr.news.yahoo.com/73/20100723/tfr-affaire-bettencourt-le-procureur-cou-0e31ec3.html

Le Point

Affaire Woerth-Bettencourt : les soupçons de financement politique illégal étayés

Le Monde

http://fr.news.yahoo.com/64/20100723/tpl-affaire-woerth-bettencourt-les-soupo-b4551a8.html

Tutelle pour Liliane Bettencourt ?

Bataille de chiffonniers sur un tapis de milliards d'euros...

pendant que le procureur enroule le dit tapis pour le planquer dans le placard ...

Le Post

http://fr.news.yahoo.com/63/20100723/tpl-toujours-pas-de-tutelle-pour-liliane-5cc6428.html

Michèle Alliot-Marie appelle à la "retenue"

Encore une qui aurait pu éviter de l'ouvrir...

mais comme elle l'ouvre, profitons en...

Le Point

http://fr.news.yahoo.com/73/20100722/tfr-affaire-bettencourt-michle-alliot-ma-0e31ec3.html

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L'autre affaire dont les médias parlent peu

mais qui démontre que nous sommes bien dans un système qu'on pourrait qualifier de clanique et mafieux...

Une veuve, des paradis fiscaux, des dons à l'UMP: c'est l'affaire… Wildenstein

Par  LIBÉRATION.FR  

Une affaire où il est (encore) question de grosses fortunes, de querelle de famille et de paradis fiscaux... Après le feuilleton Bettencourt qui n’en finit plus de malmener le ministre du Travail, Eric Woerth, la succession Wildenstein pourrait aussi embarrasser le pouvoir. Une information judiciaire a été ouverte à Paris à la suite d’une plainte avec constitution de partie civile de Sylvia Roth, la veuve du richissime collectionneur, Daniel Wildenstein, qui s’estime lésée par des fonds chargés de gérer la succession de son époux. C’est l’avocate de celle-ci, Me Claude Dumont-Beghi qui l’a annoncé, ce jeudi à l’AFP, confirmant une information du Canard Enchaîné.

L’information judiciaire pour «abus de confiance» a été confiée le 9 juillet au juge d’instruction du pôle financier du palais de justice de Paris, Guillaume Daieff.

«Comme dans l’affaire Bettencourt, l’administration fiscale est restée inerte»

L’affaire n’en est pourtant pas à son premier développement. Une première plainte, simple cette fois, avait été déposée en 2009 par l’avocate de Sylvia Roth, mais, explique-t-elle à l’AFP, «devant le manque d’empressement du parquet de Paris à ouvrir une enquête, nous avons déposé une plainte avec constitution de partie civile qui a débouché sur l’ouverture de cette information judiciaire».

En conflit ouvert avec les deux fils de son mari, la veuve de Daniel Wildenstein, décédé le 23 octobre 2001, leur reproche notamment d’avoir dissimulé une partie de l’immense fortune du père dans des trusts, ces structures opaques basées dans des paradis fiscaux - ici, il s’agirait de Guernesey, des îles Caïman et des Bahamas - et dont il est impossible de savoir qui sont les vrais propriétaires.

D’après le JDD, les investigations de Sylvia Roth et de Me Claude Dumont-Beghi auraient fait apparaître que la fortune de Daniel Wildenstein a ainsi été considérablement minimisée dans la déclaration faite au fisc lors du décès de Daniel Wildenstein: elle aurait été portée à 42 millions d’euros. Les Wildenstein, dont la galerie est à New York, forment la plus importante dynastie de marchands d’art au monde, qui a constitué depuis le XIXe siècle, un stock fabuleux de tableaux et leur fortune tournerait plutôt autour de quelque 4 milliards d’euros.

«Comme dans l’affaire Bettencourt, l’administration fiscale a été informée de l’existence de sociétés écrans. Comme dans l’affaire Bettencourt, la justice a pu constater l’évasion du patrimoine dans des sociétés étrangères et des trusts (...) Comme dans l’affaire Bettencourt, l’administration fiscale est restée totalement inerte à ce jour... », avait dénoncé le député (PS) Alain Vidalies, lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, le 6 juillet dernier.

Le fisc a, en effet, été alerté et l’avocate de la veuve avait adressé deux courriers en 2009 à Eric Woerth, alors ministre du Budget, dans lesquelles elle évoquait ces trusts. Sans réponse.

Donateurs fortunés de l’UMP

Comme le rappelait Alain Vidalies, il se trouve que le fils du collectionneur, Guy Wildenstein, a su soigner son carnet d’adresses. Membre du très privé «Premier Cercle», qui réunit, sous la présidence d’Eric Woerth, les donateurs fortunés de l’UMP -ceux qui versent de 3.000 à 7.500 euros chaque année au parti présidentiel-, on a pu l’apercevoir en janvier 2007, à une réunion du Premier Cercle, présidée par le trésorier de l’UMP. Le Monde détaille ses liens avec le pouvoir: Guy Wildenstein, qui habite aux Etats-Unis, est membre fondateur de l’UMP, conseiller à l’Assemblée des Français de l’étranger, et Nicolas Sarkozy le consulte réguilèrement. Il a été élevé au grade de commandeur de la légion d’honneur en janvier 2009, sur la liste du Quai d’Orsay.

L’ouverture de cette information judiciaire permettra-t-elle de relancer cette affaire qui traîne depuis neuf ans? En juin dernier, la cour d’appel de Paris avait débouté en juin Sylvia Roth, qui réclamait 50 millions d’euros «en réparation de ses préjudices matériel et moral» et l’avait condamnée à verser, pour procédure abusive, à chacun des deux fils Wildenstein et à la veuve d’un troisième fils décédé, la somme de 50.000 euros au titre des dommages et intérêts.

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Et moi qui ai pissé je ne sais combien de fois contre des wagons, locos et autres poteaux...

(non non jamais contre un poteau caténaire...)

Jusqu'où notre pays va-t-il tomber...?

Lyon. Pipi d'enfant sanctionné : la mairie souhaite classer l'affaire

                  23 juillet 2010 à 08h54 Le Télégramme

La police municipale de Lyon a infligé une contravention à une fillette pour "miction sur la voie publique". Eléonore, 3 ans et demi, urinait sous un arbre, raconte Le Progrès (édition papier). Son père a immédiatement contesté la sanction. La municipalité souhaite désormais classer l'affaire dans un souci d'apaisement.

La scène se déroule dans le parc de la Tête d'Or à Lyon. Un père se promène avec sa fille quand celle-ci est prise d'une envie pressante. Lui, se déplace avec des béquilles suite à une opération chirurgicale récente. Il n'a pas le temps de la conduire aux toilettes. Alors l'enfant se résout à faire pipi contre arbre. 

"Je ne supporte pas ce genre de comportement"

Une équipe de la police municipale de Lyon passe par là à vélo. "Je ne supporte pas ce genre de comportement", déclare l'un des agents. Le père de famille rétorque : "moi je ne supporte pas une telle agressivité pour un simple pipi d'enfant". Il tente d'expliquer sa position, avance son handicap passager et la présence d'un camion devant les toilettes comme explications. Rien n'y fait.

Sous un arbre ou face à un restaurant ?

Le policier dresse une contravention de troisième classe pour "miction sur la voie publique". Pour un simple pipi de jeune fille, cachée sous un arbre, un peu dur. Mais la mairie de Lyon, interrogée par l'AFP, précise que la scène se serait déroulée en face d'un restaurant et non en pleine nature ce qui expliquerait la réponse donnée par ses agents.

La mairie recule

Le père, accessoirement maître de conférence en droit public, a contesté cette contravention. Il pourrait être amené à s'expliquer devant le tribunal de police et se voir infliger une amende allant de 38 à 480 €. Mais la mairie de Lyon devant l'emballement médiatique souhaite classer l'affaire. La balle est dans le camp du ministère public, qui décidera ou pas, de l'opportunité de poursuites éventuelles.           

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ça se passe comme ça dans la finance....

totalement déconnecté des réalités...

A rapprocher du boulot de Mme Woerth pour la Dame Bettencourt ... 1 smic toutes les minutes dans son porte monnaie...

Il faut faire fructifier les fonds...

Le spéculateur «Chocolate Finger» fait flamber le cacao

Le Journal des Finances JDF

http://www.jdf.com/m...er-le-cacao.php

Modifié par Dom Le Trappeur
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bonjour

avez vous remarqué que dans les infos tele les affaires Bettencourt Woerth passent vers la fin en deuxiéme partie,avant on nous abreuve avec toutes les conneries insignifiantes...l'opération, déminage est en cours..

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bonjour

la suite dans Marianne et le monde

Les nouvelles révélations de Marianne et du Point.fr dans l'affaire Bettencourt contredisent plusieurs points de la défense du ministre du travail.

Plusieurs rencontres entre Patrice de Maistre et Eric Woerth. C'est ce qu'affirme Marianne sur la foi des agendas de Claire Thibout, l'ancienne comptable de Liliane Bettencourt et de Patrice de Maistre, saisis par la police. Libération avait déjà fait état de plusieurs rencontres entre les deux hommes. Eric Woerth avait commencé par nier toute relation, affirmant d'abord ne pas le connaître. Puis il a dû admettre lui avoir remis la légion d'honneur, en novembre 2009. Enfin, Libération avait publié des extraits de l'agenda de Patrice de Maistre qui mentionnaient une dizaine de rencontres au total, dont des dîners en couple au domicile des Bettencourt.

De Maistre sur la liste des évadés fiscaux. Selon Le Point.fr, Patrice de Maistre possède un compte en Suisse, vide et inactif depuis 1997. Il n'a fait l'objet d'aucune poursuite, mais son nom figurait sur la liste des 3 000 évadés fiscaux obtenue par Bercy, affirme l'hebdomadaire. Une liste brandie par Eric Woerth, qui demandait, dans une interview au Journal du Dimanche le 29 août 2009, que ces contribuables "se dénoncent" sans quoi son ministère saisirait la justice. Le compte de Patrice de Maistre étant vide, on peut imaginer que Bercy n'en faisait pas une cible d'enquête prioritaire dans une liste comportant de très gros montants. Néanmoins, la chronologie joue contre le ministre : ses services possédaient cette liste en août. Or, il a remis la légion d'honneur à Patrice de Maistre en novembre de la même année.

Une enveloppe remise à Eric Woerth. Une entrée pose en particulier question : au 18 janvier 2007, la comptable note un rendez-vous avec le gestionnaire de fonds pour "donner enveloppe qui donnera à Patrice". Et le lendemain, 19 janvier, Patrice de Maistre indique dans son agenda un rendez-vous dans un "café" avec Eric Woerth. Claire Thibout a détaillé à Mediapart, mais aussi à la police, un système où des hommes politiques venaient chez les Bettencourt récupérer des "enveloppes" d'argent liquide, avant de se rétracter partiellement, tout en maintenant en partie ses accusations. Dénoncées comme fantaisistes, ces récits d'enveloppes d'argent liquide se retrouvent donc dans ses carnets. Et la proximité des dates entre la remise d'enveloppe de Claire Thibout à Patrice de Maistre et le rendez-vous de celui-ci avec Eric Woerth peut interpeller.

Une somme de 500 000 euros. Selon Marianne, Liliane Bettencourt avait demandé fin 2006 un retrait d'un demi-million d'euros en liquide auprès de la banque Dexia. L'établissement avait refusé, "craignant sans doute d'avoir à se justifier devant Tracfin, l'organisme chargé de la lutte contre les mouvements illicites de capitaux", écrit l'hebdomadaire. On ne connaît pas l'usage que l'héritière de L'Oréal souhaitait faire de cette somme. Mais cette révélation renforce les allégations de Claire Thibout, qui a évoqué auprès de Mediapart un financement illégal de la campagne de Nicolas Sarkozy en janvier 2007. Des accusations qualifiées par Eric Woerth et par l'Elysée de mensongères et calomnieuses. Les agendas de la comptable et du gestionnaire de fortune viennent pourtant renforcer les soupçons.

Malgré la contre-offensive élyséenne, Eric Woerth n'en a décidément pas fini avec l'affaire Bettencourt. Mercredi 21 juillet déjà, Patrice de Maistre avait expliqué aux policiers qu'il avait rencontré Eric Woerth "deux ou trois fois en 2007", et que ce dernier lui avait "demandé de recevoir sa femme et ce pour essayer de la conseiller sur sa carrière alors, me disait-il, qu'elle n'était pas entièrement satisfaite", contredisant les déclarations du ministre, qui affirmait jusqu'ici n'être pas intervenu pour faire embaucher son épouse. Eric Woerth, qui a demandé à être entendu, devrait s'expliquer dans les jours qui viennent devant la police sur l'affaire.

Modifié par jackv
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Et pendant ce temps... ça sent l'arnaque à plein nez...

Accord signé chez General Motors à Strasbourg

    Trois des syndicats de l'ex-usine General Motors de Strasbourg, dont la CFDT, majoritaire, ont signé vendredi l'accord sur une réduction des coûts de 10% après une ultime concession de la direction, a-t-on appris de source syndicale.

    General Motors, qui prévoit de racheter son ancienne usine de boîtes de vitesses automatiques pour un euro symbolique, garantit aux 1.150 salariés le même plan social en cas de revente du site que dans l'hypothèse d'une liquidation d'ici 2013.

    "On a désormais un maximum de garanties. On a fait notre boulot", a dit à Reuters Thierry Stachel, délégué syndical de la CFTC qui a signé l'accord avec FO et la CFDT.

    La CGT a en revanche campé sur son refus.

    "La direction nous a toujours dit qu'elle ne pouvait pas garantir la pérennité du site", a dit son secrétaire, Roland Robert, pour qui le constructeur cherche seulement "la paix sociale".

    Ce refus laisse planer une incertitude sur la décision finale du groupe de Detroit, General Motors ayant dit souhaiter la signature des quatre syndicats.

    L'accord prévoit un gel des salaires pendant deux ans, un renoncement à l'intéressement durant trois années et la suppression de six des seize jours de RTT contre la promesse du groupe de poursuivre la fabrication de boîtes de vitesses automatiques sur le site jusqu'en 2020.

    Les investissements pour de nouveaux produits ne seraient toutefois lancés qu'à partir de 2013.

    Si GM décidait à cette date de fermer ou de vendre son usine, les salariés bénéficieraient du plan social déjà négocié lors de précédentes vagues de suppressions d'emplois et se verraient rembourser les efforts salariaux consentis dans le cadre de l'accord.

    Le personnel, consulté par référendum en début de semaine, a approuvé le projet à une majorité de 70%.

    Le site alsacien, qui avait été mis en vente en 2008 par General Motors, fait aujourd'hui partie de Motors Liquidation Company, la société qui gère les actifs en déshérence de l'ex-numéro un mondial de l'automobile après sa mise en faillite pendant quarante jours en 2009.

    Gilbert Reilhac, édité par Gérard Bon

    Modifié par Dom Le Trappeur
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    UMP : soupçons de fraudes massives chez les Jeunes pop'

    http://www.rue89.com/2010/07/23/ump-soupcons-de-fraudes-massives-chez-les-jeunes-pop-159709

    Même entre eux, ça se frite...

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    UMP : soupçons de fraudes massives chez les Jeunes pop'

    http://www.rue89.com/2010/07/23/ump-soupcons-de-fraudes-massives-chez-les-jeunes-pop-159709

    Même entre eux, ça se frite...

    Frédéric Lefebvre a sûrement des explications : http://www.lepost.fr/article/2010/07/22/2161223_frederic-lefebvre-se-rend-t-il-compte-du-mal-qu-il-fait-a-la-droite.html

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    Aprés le père le fils

    Jean Sarkozy bientôt député ? Le fils du chef de l'Etat, âgé de 23 ans, n'a jamais fait mystère de ses ambitions politiques. Mais celles-ci pourraient se concrétiser plus vite que prévu, du fait de la nomination très contestée d'André Santini, député UMP des Hauts-de-Seine, à la tête de la présidence du conseil de surveillance de la Société du Grand Paris.

    M. Santini vient de renoncer à son siège de conseiller régional. Selon Le Figaro, il devrait en revanche conserver son siège de député, mais ne pas se représenter aux prochaines législatives. Frédéric Lefebvre, le porte-parole de l'UMP, avait bénéficié de 2007 à juin 2009 de son siège de député en tant que suppléant. Il paraît donc envisageable qu'il brigue la circonscription. "A condition, bien sûr, que Jean Sarkozy ne tente pas de s'implanter dans la circonscription promise par le maire d'Issy-les-Moulineaux au porte-parole de l'UMP", note Le Figaro.

    Le porte-parole du parti présidentiel pourrait-il se retrouver en concurrence avec le fils du président ? Interrogé vendredi sur RTL à propos de cette rumeur, Patrick Devedjian, président du conseil général des Hauts-de-Seine (un poste que briguait également Jean Sarkozy), n'a ni confirmé, ni démenti : "Ce sont des supputations, je ne peux pas vous répondre", s'est-il contenté de lancer.

    "UNE VOCATION INALTÉRABLE"

    Comme le rappelle Rue89, Jean Sarkozy avait expliqué, à la suite de ses déboires pour la direction de l'établissement public d'aménagement de la Défense (EPAD) : "Dans les années à venir, j'aurai l'occasion de me présenter devant les électeurs. J'ai la passion de l'engagement public en moi, c'est une vocation qui n'a pas été altérée parce qu'elle est inaltérable." Il parlait alors de la présidence du conseil général.

    Depuis, le contexte général a incité l'Elysée à lui demander de ne plus faire de vagues. Interrogée par 20minutes.fr, Isabelle Balkany, qui suit de près la carrière de Jean Sarkozy, évoque également des "supputations". Mais rappelle que "si par hasard il se présentait, ce serait une élection et non une transmission". Argument déjà utilisé lors de l'affaire de l'EPAD.

    Le fait est que Jean Sarkozy ne peut tenter l'aventure de la députation dans son fief de Neuilly, dont il est conseiller général : Jean-Christophe Fromantin, maire divers droite de la ville et adversaire déclaré du fils du chef de l'État, a fait savoir qu'il se présenterait. La circonscription d'André Santini pourrait donc s'avérer une solution de repli utile. A condition que le fils du chef de l'État en ait les ambitions et les moyens politiques, dans un département où rivalités et guerres intestines au sein de l'UMP sont le lot quotidien.

    extrait le monde

    Modifié par jackv
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    Des représentants CGT "sequestrés" dans leurs locaux...

    Incidents à GM Strasbourg après la signature de l'accord

     Gilbert Reilhac

      La signature d'un accord de reprise de l'ex-usine General Motors de Strasbourg a provoqué vendredi des incidents sur le site, une partie des salariés se retournant contre la CGT. 

      Trois des quatre syndicats, dont la CFDT, majoritaire, ont signé l'accord sur une réduction des coûts de 10% après une ultime concession de la direction mais la CGT a campé sur son refus de parapher le projet, accusant la direction de vouloir acheter la "paix sociale".

      General Motors, qui prévoit de racheter son ancienne usine de boîtes de vitesses automatiques pour un euro symbolique, garantit aux 1.150 salariés le même plan social en cas de revente du site que dans l'hypothèse d'une liquidation d'ici 2013.

      Mais l'annonce de la reprise du site par General Motors pourrait être remise en cause par le refus de signer de la CGT qui a déclenché un mouvement de colère.

      Selon la CGT, certains de ses représentants ont été séquestrés dans l'usine. "La direction a envoyé ses sbires pour séquestrer les élus de la CGT et les obliger à signer", a rapporté Menouba Arbouche, déléguée CGT qui n'était plus présente sur le site au moment des faits.

      Jean-Marc Ruhland, secrétaire du comité d'entreprise et de la CFDT, a évoqué au contraire un mouvement spontané d'environ 400 personnes.

      "A 14h30, tous les salariés de l'entreprise, bureaux, cadres et gens des ateliers se sont massés devant les locaux de la CGT et ont crié des slogans 'CGT démission'", a-t-il expliqué.

      "En 35 ans d'entreprise, c'est la première fois que je vois des salariés arrêter le travail pour s'en prendre à une organisation syndicale", a-t-il ajouté.

      La police a été appelée sur les lieux.

      LE MOINS MAUVAIS ACCORD POSSIBLE?

      Les trois syndicats signataires, CFDT, FO et CFTC, estiment avoir obtenu le moins mauvais accord possible pour assurer la pérennité du site.

      Le personnel, consulté par référendum en début de semaine, a approuvé à une majorité de 70% le projet qui prévoit un gel des salaires pendant deux ans, un renoncement à l'intéressement durant trois années et la suppression de six des seize jours de RTT contre la promesse du groupe de poursuivre la fabrication de boîtes de vitesses automatiques jusqu'en 2020.

      "On a désormais un maximum de garanties. On a fait notre boulot", a dit Thierry Stachel, délégué syndical de la CFTC.

      Mais les concessions de dernière minute n'ont pas fait bouger la CGT qui avait bénéficié d'un courant de sympathie et suscité des débrayages dans l'usine en début de semaine quand la direction souhaitait durcir les termes de l'accord.

      "La direction nous a toujours dit qu'elle ne pouvait pas garantir la pérennité du site", a dit son secrétaire, Roland Robert, pour qui le constructeur cherche seulement "la paix sociale".

      La direction française a rappelé dans un communiqué que le groupe de Detroit souhaitait la signature des quatre syndicats, afin d'avoir la garantie que l'accord ne serait pas dénoncé en cas de renversement de majorité au comité d'entreprise.

      "Cette condition n'est donc pas remplie", écrit la direction dans un communiqué. "Ce sera à General Motors Company de se prononcer sur le maintien de son offre"

      Selon le projet d'accord, les investissements pour de nouveaux produits ne seraient lancés qu'à partir de 2013.

      Si GM décidait à cette date de fermer ou de vendre son usine, les salariés bénéficieraient du plan social déjà négocié lors de précédentes vagues de suppressions d'emplois et se verraient rembourser les efforts salariaux consentis dans le cadre de l'accord.

      Le site alsacien, qui avait été mis en vente en 2008 par General Motors, fait aujourd'hui partie de Motors Liquidation Company, la société qui gère les actifs en déshérence de l'ex-numéro un mondial de l'automobile après sa mise en faillite pendant quarante jours en 2009.

      Édité par Gérard Bon

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      Invité JLChauvin

      Des représentants CGT "sequestrés" dans leurs locaux...

      Incidents à GM Strasbourg après la signature de l'accord

      rtra1.jpg Gilbert Reilhac La signature d'un accord de reprise de l'ex-usine General Motors de Strasbourg a provoqué vendredi des incidents sur le site, une partie des salariés se retournant contre la CGT.

      Trois des quatre syndicats, dont la CFDT, majoritaire, ont signé l'accord sur une réduction des coûts de 10% après une ultime concession de la direction mais la CGT a campé sur son refus de parapher le projet, accusant la direction de vouloir acheter la "paix sociale".

      General Motors, qui prévoit de racheter son ancienne usine de boîtes de vitesses automatiques pour un euro symbolique, garantit aux 1.150 salariés le même plan social en cas de revente du site que dans l'hypothèse d'une liquidation d'ici 2013.

      Mais l'annonce de la reprise du site par General Motors pourrait être remise en cause par le refus de signer de la CGT qui a déclenché un mouvement de colère.

      Selon la CGT, certains de ses représentants ont été séquestrés dans l'usine. "La direction a envoyé ses sbires pour séquestrer les élus de la CGT et les obliger à signer", a rapporté Menouba Arbouche, déléguée CGT qui n'était plus présente sur le site au moment des faits.

      Jean-Marc Ruhland, secrétaire du comité d'entreprise et de la CFDT, a évoqué au contraire un mouvement spontané d'environ 400 personnes.

      "A 14h30, tous les salariés de l'entreprise, bureaux, cadres et gens des ateliers se sont massés devant les locaux de la CGT et ont crié des slogans 'CGT démission'", a-t-il expliqué.

      "En 35 ans d'entreprise, c'est la première fois que je vois des salariés arrêter le travail pour s'en prendre à une organisation syndicale", a-t-il ajouté.

      La police a été appelée sur les lieux.

      LE MOINS MAUVAIS ACCORD POSSIBLE?

      Les trois syndicats signataires, CFDT, FO et CFTC, estiment avoir obtenu le moins mauvais accord possible pour assurer la pérennité du site.

      Le personnel, consulté par référendum en début de semaine, a approuvé à une majorité de 70% le projet qui prévoit un gel des salaires pendant deux ans, un renoncement à l'intéressement durant trois années et la suppression de six des seize jours de RTT contre la promesse du groupe de poursuivre la fabrication de boîtes de vitesses automatiques jusqu'en 2020.

      "On a désormais un maximum de garanties. On a fait notre boulot", a dit Thierry Stachel, délégué syndical de la CFTC.

      Mais les concessions de dernière minute n'ont pas fait bouger la CGT qui avait bénéficié d'un courant de sympathie et suscité des débrayages dans l'usine en début de semaine quand la direction souhaitait durcir les termes de l'accord.

      "La direction nous a toujours dit qu'elle ne pouvait pas garantir la pérennité du site", a dit son secrétaire, Roland Robert, pour qui le constructeur cherche seulement "la paix sociale".

      La direction française a rappelé dans un communiqué que le groupe de Detroit souhaitait la signature des quatre syndicats, afin d'avoir la garantie que l'accord ne serait pas dénoncé en cas de renversement de majorité au comité d'entreprise.

      "Cette condition n'est donc pas remplie", écrit la direction dans un communiqué. "Ce sera à General Motors Company de se prononcer sur le maintien de son offre"

      Selon le projet d'accord, les investissements pour de nouveaux produits ne seraient lancés qu'à partir de 2013.

      Si GM décidait à cette date de fermer ou de vendre son usine, les salariés bénéficieraient du plan social déjà négocié lors de précédentes vagues de suppressions d'emplois et se verraient rembourser les efforts salariaux consentis dans le cadre de l'accord.

      Le site alsacien, qui avait été mis en vente en 2008 par General Motors, fait aujourd'hui partie de Motors Liquidation Company, la société qui gère les actifs en déshérence de l'ex-numéro un mondial de l'automobile après sa mise en faillite pendant quarante jours en 2009.

      Édité par Gérard Bon

      Ça sent le gaz pour pas mal de monde, l'addition risque d'être lourde pour toutes les anguilles et autres gagne-petit...

      Mais bon, à force de prendre les gens pour des cons... il finissent vraiment par le devenir, con, et pas qu'un peu!

      Qui vivra verra.

      :sad:

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      Pour GM : c'est clair. D'ailleurs les grandes entreprises, qui veulent se faire aimer des gens (campagne de com 2007), si elles cesseraient de truander les aides, guigner les subventions publiques, marchander les CCI, menacer les mairies, escroquer les travailleurs en leur faisant travailler X + y heures en leur payant à coups de pieds X - y etc... réussiraient surement mieux là où de couteux affichages et des pubs ont échoué...

      http://www.rue89.com/2010/07/23/ump-soupcons-de-fraudes-massives-chez-les-jeunes-pop-159709

      ça ne m'étonne pas du tout; je connais du monde dans cette organisation, l'an dernier ça a été exactement pareil, avec Louis-Alexandre Osinski contre Lancar; et cette année ce sera pareil... On ne perd pas une équipe qui perd... :sad:

      D'ailleurs à Paris "on" décide que Lancar est prolongé pour un an, et après les éléctions doivent l'entériner...

      Suite...

      Liliane souffle...

      http://www.liberation.fr/societe/0101648413-affaire-bettencourt-courroye-refuse-de-saisir-un-juge-des-tutelles

      L’héritière de L’Oréal a évidemment accueilli la décision du parquet de Nanterre avec «grande satisfaction et soulagement». «J’aimerais pouvoir croire que cet acharnement va s’arrêter», réagit Liliane Bettencourt, dans un communiqué. «L’exposition de ma vie privée, de celles de mes proches et les accusations odieuses que je lis chaque matin ne sont rien face à la violence qui m’est faite par ceux qui souhaitent me mettre sous clé et me priver de ma liberté et donc de ma vie», attaque celle qui devrait être prochainement entendue dans le cadre d’une enquête préliminaire.

      Et d’ajouter à l’adresse de sa fille, avec laquelle elle entretient des rapports exécrables: «Comme mon père l’a fait pour moi, j’ai assuré la fortune de ma fille et de ses enfants en leur transmettant l’ensemble de la participation dans L’Oréal et l’essentiel de nos biens familiaux. [...] Que ma fille ait la décence d’attendre le jour de ma mort pour savoir ce que j’aurais librement décidé dans mon tout dernier testament

      Et l'avocat de la fille gueule :

      Me Olivier Metzner, l’avocat de Françoise Bettencourt-Meyers, la fille de Liliane Bettencourt, a accusé le parquet de Nanterre de ne pas faire face à ses obligations concernant la protection de la milliardaire.

      «Le code de procédure pénale, sans qu’il soit besoin d’un certificat médical, impose au parquet de saisir le juge des tutelles qui, lui, doit décider s’il y a lieu ou pas de mesures de protection», a-t-il déclaré à France Info.Pour Me Metzner, «le parquet a peur que le juge des tutelles étant saisi, ordonne une expertise, et que celle-ci aboutisse à constater ce que nous prétendons depuis longtemps, l’état de faiblesse de Liliane Bettencourt».

      Un magistrat s'engage

      Le magistrat Philippe Bilger, avocat général près la cour d'appel de Paris, a estimé vendredi 23 juillet dans un entretien à l'AFP "inconcevable" que le parquet de Nanterre n'ouvre pas à terme une information judiciaire dans l'affaire Bettencourt.
      Modifié par louis44
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      Saint-Aignan (41), le vandalisme impardonnable...

      http://www.libeorleans.fr/libe/2010/07/condamn%C3%A9-pour-soustraction-de-viennoiseries.html

      Sego ne répond plus...

      L'info de Libé (que vive les comm's) : http://www.liberation.fr/politiques/06022204-reaction-sur-segolene-standardiste:sortBy-lastCommented:page-1:target-2275824#2275824

      J'apelle, je tombe sur un répondeur classique... j'apelle le gardien, en pleine récéption. Réaction "mais elle n'a jamais répondu au téléphone, notre présidente !"

      Encore une intox?

      La réponse de la bachelote aux bacheliers...

      http://www.liberation.fr/vous/0101648500-la-vente-de-tabac-aux-mineurs-est-interdite

      Flûte alors... déjà qu'on m'emm... moi qui suis majeur pour que j'aille acheter aux repris de justice (ou futurs repris de justice, bonnets d'âne, échappés du bagne) qui me servent de voisinage "djeuns" des bouteilles, maintenant, on va m'emm. pour des crapots ! heureusement qu'il y a le shit... nonmais :sad:

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      Et si la Démocratie restait à réinventer...

      La «République irréprochable» de Sarkozy n’est pas pour demain

      Par PAUL CASSIA Professeur à l’école de droit de la Sorbonne (Paris-I)  

      Candidat à l’élection présidentielle, Nicolas Sarkozy s’était engagé à rendre la République irréprochable. L’importante révision constitutionnelle adoptée le 23 juillet 2008 devait permettre d’atteindre cet objectif sur le terrain juridique. Mais, si elle comporte des éléments bienvenus, comme par exemple l’obligation faite au gouvernement de présenter une étude d’impact lors de la présentation d’un projet de loi, la révision, pour l’essentiel, a conduit au mieux à un statu quo, au pire à un recul.

      Le Congrès. La nouvelle possibilité reconnue au président de la République de s’exprimer devant le Parlement réuni en congrès à Versailles n’a été utilisée qu’à une seule occasion, le 22 juin 2009, au demeurant fort onéreuse pour les finances de l’Etat. Elle a offert le spectacle déplorable de parlementaires contraints à écouter le président de la République discourant en majesté, et quittant les lieux à l’issue de son propos sans qu’il soit permis de débattre avec lui. En dépit de la manière dont on l’a présenté, ce «discours du Trône» n’est de nature à engager ni la responsabilité intellectuelle, ni la responsabilité morale du président de la République.

      Nominations. Le droit de regard des parlementaires sur le pouvoir de nomination à des emplois publics par le président de la République relève du leurre ou de la supercherie. Il faut que plus des trois cinquièmes des membres des commissions compétentes de chaque assemblée s’opposent au choix présidentiel pour que celui-ci ne soit pas retenu. Peut-on sérieusement considérer que l’opposition participe au contrôle des nominations, le veto étant subordonné à l’agrément de la majorité ?

      Droits de l’opposition. Le mal dénommé «droit de tirage», permet à chaque groupe de l’opposition, une fois par session, de demander la création d’une commission d’enquête… à condition que la majorité parlementaire le veuille bien ! Fin 2009, celle-ci avait déjà réussi le tour de force d’éviter la création, à la demande des députés socialistes, d’une commission d’enquête sur les sondages commandés et financés par l’Elysée. Une nouvelle partie de poker menteur est en cours autour d’une éventuelle commission d’enquête sur l’affaire «Woerth-Bettencourt» souhaitée par les députés socialistes. Le président de l’Assemblée nationale l’a estimée recevable début juillet avant que - quelle surprise - le bureau de l’Assemblée nationale renvoie sa décision à septembre.

      Parachute doré. Désormais, les parlementaires accédant à une fonction gouvernementale peuvent, lorsqu’ils la quittent, retrouver leur fauteuil au Palais-Bourbon, comme sous la IVe République. Il n’est pas indifférent que le secrétaire général de l’UMP et ancien ministre du Travail ait été le premier bénéficiaire de cette disposition. En juillet 2010, un secrétaire d’Etat jugé indigne d’exercer ses fonctions ministérielles pour être soupçonné d’avoir utilisé l’argent public à des fins personnelles est en mesure de retrouver malgré cela sa fonction de représentant du peuple français…

      Le défenseur des droits. Existe-t-il une intention plus louable que celle tendant à créer un défenseur des droits, sur le modèle de l’ombudsman nordique ? Sauf qu’en pratique, cette création s’accompagnera, sous le prétexte d’éviter les «doublons», de la suppression probable, à court ou moyen terme, d’institutions aussi indispensables que le médiateur de la République, le contrôleur général des lieux de privation des libertés, la Commission nationale de déontologie et de sécurité, le défenseur des enfants… Comment croire qu’une seule et même personne parviendra à assumer une tâche déjà si péniblement et insuffisamment accomplie par les actuelles autorités indépendantes ?

      Référendum d’initiative populaire. Inutile de s’attarder sur une disposition bien mal nommée, désormais prévue à l’article 11 de la Constitution française. Outre que ce texte nécessite une loi organique dont l’adoption n’est même pas envisagée, sa mise en œuvre pratique serait si compliquée et resterait à ce point sous le contrôle des parlementaires de bout en bout, qu’elle ne pourrait qu’engendrer déceptions et frustrations dans le corps électoral.

      Saisine du conseil constitutionnel. L’article 61-1 de la Constitution reconnaît désormais à toute personne intéressée la possiblité de contester une disposition législative au regard des droits et libertés contenus dans la Constitution. Pour l’instant, il a surtout débouché sur une mésentente majeure entre la Cour de cassation d’une part, et le Conseil constitutionnel et le Conseil d’Etat de l’autre. Cette usine à gaz contentieuse n’aurait pas dû être instituée sans que le Conseil constitutionnel, autrement composé, ait été transformé en Cour constitutionnelle au sein de laquelle n’auraient pu siéger des parlementaires ou les anciens présidents de la République. Au demeurant, même sans l’article 61-1, les juridictions françaises, qui peuvent depuis plusieurs décennies vérifier si une loi est compatible avec un traité international, auraient fini par se reconnaître compétentes pour vérifier la conformité des lois à la Constitution.

      On ne voit donc toujours pas poindre l’horizon de la «République irréprochable». D’autres mesures auraient pu parvenir à cette fin, dont voici quelques exemples : interdire tout cumul des mandats ; pour les parlementaires, leur interdire en outre d’exercer une fonction privée, telle celle d’avocat, députés et sénateurs disposant déjà d’une tribune suffisamment médiatique ; interdire aux membres du gouvernement de détenir un mandat électoral, afin qu’ils puissent se concentrer sur une tâche à elle seule hors du commun ; assurer la pleine indépendance de la justice, soit en «fonctionnarisant» le parquet et en redonnant toute sa place au juge d’instruction, soit en supprimant ce dernier et en coupant le cordon ombilical qui lie les parquetiers au ministère de la justice et aux conseillers de la présidence de la République, comme l’illustre une nouvelle fois hélas l’affaire «Woerth-Bettencourt».

      A ces conditions seulement, le régime républicain pourra retrouver l’exigence morale qu’il semble avoir perdue de vue, et arracher la collectivité des citoyens à la désolation ou à l’indifférence face à ceux qui nous gouvernement.

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      Ça sent le gaz pour pas mal de monde, l'addition risque d'être lourde pour toutes les anguilles et autres gagne-petit...

      Mais bon, à force de prendre les gens pour des cons... il finissent vraiment par le devenir, con, et pas qu'un peu!

      Qui vivra verra.

      okok

      Ben c'est vrai aussi ...

      En 2002 , 52% des électeurs ont placé Notre Bon Prince Sarko à la Présidence de la République...

      l... es autres devraient (savoir) la fermer . Point barre.

      Quoi ? ...70% des Français ne font pas confiance à Sarko ? Quoi... Qu'est-ce que vous dites ? Où est le problème ?

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      Pas 52, Dom, mais 53 %...

      Et si j'avais été voter, j'aurai été parmi eux... si,si

      (ce que j'avais pu être con! revoltages )

      Les Buralistes pas prévenus, Bachelot fait l'affaire des belges... ça s'apelle la Construction européenne !

      http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Armentieres/actualite/Secteur_Armentieres/2010/07/24/article_pas-de-tabac-avant-18-ans-d-armentieres.shtml

      Nul n'est censé ignorer la loi... Et pourtant ! Le relèvement de l'âge légal de la première clope est inscrit dans la loi « Hôpital, patients, santé, territoires » de juillet 2009, mais le décret d'application a tardé à sortir. Il a été publié au Journal officiel il y a deux mois, mais en toute discrétion. Daniel Zak est buraliste à Armentières depuis vingt et un ans. Jeudi, en ouvrant son courrier, il a découvert avec surprise une affichette à coller sur sa caisse, glissée dans le magazine de la Confédération des buralistes : « Interdiction de vente de tabac aux mineurs de moins de 18 ans ». « C'est fou, tout de même, on n'a même pas reçu un courrier officiel, rien ! Je n'étais absolument pas au courant ! », s'exclame Daniel, encore stupéfait.

      Depuis 2003, les buralistes étaient tenus de refuser un paquet de cigarette aux moins de 16 ans. L'âge légal est donc relevé de deux ans. « Ça va m'obliger à faire quoi, moi ? À demander les cartes d'identité de tout le monde ! poursuit Daniel. Entre une jeune fille de 17 ans et une de 20, il est souvent impossible de faire la différence. » Si la perspective de perdre des clients l'inquiète ? « À ce niveau-là, ça ne va pas changer grand-chose... » Pourtant, Armentières est à deux pas de la Belgique, où la vente de tabac est encore interdite qu'aux moins de 16 ans.

      [...]

      » Direction Ploegsteert, à cinq kilomètres de là, de l'autre côté de la frontière. Sur quelques centaines de mètres, des dizaines de magasins en enfilade. Beaucoup de tabacs, évidemment, dont celui de Cécile et Natascha. « Faire passer l'interdiction de 16 à 18 ans en France ne va pas nous amener de nouveaux clients. Le jeune de 17 ans, il n'a pas le permis. Il va pas faire vingt minutes à pied pour payer ses clopes un euro moins cher ! », estime Cécile. Dans ce commerce, 90 % de la clientèle est française. « Ceux qui viennent jusqu'ici acheter leurs cigarettes le font parce qu'en Belgique, c'est moins cher. En général, ce sont de gros fumeurs, poursuit Natascha. Des adultes, pas des gosses. » Des gosses qui fument, il y en a pourtant, à Armentières comme ailleurs. Et Ploegsteert, ils connaissent. Jason, 17 ans, n'a pas attendu que la nouvelle loi passe pour aller se ravitailler en Belgique : « Qu'on ne puisse plus acheter de clopes en France si on n'a pas 18 ans ? Je m'en fiche. Je vais déjà au Bizet (B), à pied ou à vélo. C'est moins cher. » À côté de lui, Samira, une cigarette aux lèvres. La jeune fille a l'air d'une femme, mais elle n'a que 16 ans. « Moi aussi je vais au Bizet, en voiture avec ma soeur, explique-t-elle.

      Et même si je veux en acheter ici, elle y va pour moi. Elle a 21 ans ! » •

      Sarko prix Nobel de Physique 2010, 2011 et jusqu'en 2052 : il a inventé le mouvement perpétuel !

      Lire ici : http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Metropole_Lilloise/actualite/Secteur_Metropole_Lilloise/2010/07/24/article_l-elysee-veut-demanteler-les-campements.shtml

      et ici le compte-rendu d'une expérience passée : http://www.saintdenismaville.com/index.php?post/2010/06/17/Campements-Roms-Porte-de-porte-de-Paris-D%C3%A9mant%C3%A8lement-en-cours

      et ici (comms) : http://www.saintdenismaville.com/index.php?post/2010/07/23/M%C3%A9diapart-Roms-du-Hanul-%3A-le-maire-et-les-%C3%A9lus-de-Saint-Denis-interpel%C3%A9s

      Pas ... triste et sans issue...

      Modifié par louis44
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      Autre pays, autres moeurs :

      La plage des catalans transformée en centre de sécu estival... la modernisation des services publics continue !

      http://www.laprovence.com/article/region/marseille-va-t-on-pointer-a-lentree-de-la-plage-des-catalans

      Après la BAC, la BAB s'attaque à la pétanque... les marseillais en révolte !

      http://www.laprovence.com/article/region/martigues-une-brigade-anti-bruit-pour-lutter-contre-le-tapage-nocturne

      L'exil fiscal frappe même au pays de la lavande et du soleil...

      http://www.laprovence.com/article/om-a-la-une/leurope-courtise-ben-arfa

      Le progrès souffle sur les Arnavaux : toutes les bactéries marseillaises éliminées d'un coup !

      http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/incendie-dans-une-usine-de-fongicide-aux-arnavaux

      Chicane sur la place chicanette... que va dire l'Elysée ?

      http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/un-mort-et-cinq-blesses-pour-une-console-de-jeux

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      Cheuz nous, dans le Pas de Calais breton... Laisse tomber mon gars !

      http://www.lefigaro.fr/politique/2010/07/23/01002-20100723ARTFIG00560-sarkozy-a-la-reconquete-de-son-electorat-populaire.php

      Au moment de prendre la parole devant trois cents ouvriers regroupés au pied du dernier navire en construction -un bâtiment militaire commandé par la Marine nationale dans le cadre du plan de relance- Nicolas Sarkozy ne boude pas son plaisir. L'occasion est trop belle pour lui de mettre en valeur -preuves à l'appui- l'efficacité de son volontarisme industriel. «Quand je suis venu en 2008, il n'y avait plus une commande, le chiffre d'affaires était divisé par deux et plus personne ne croyait à la construction navale», rappelle-t-il micro en main, juché sur une petite tribune sans pupitre ni l'habituel drapeau tricolore, au milieu d'ouvriers casqués et en bleu de travail. Le tout dans une mise en scène très soignée par les communicants de l'Élysée. «On n'est plus un grand pays si on ne sait plus fabriquer des bateaux, des avions, des voitures, des trains. Si on ferme les chantiers, le savoir-faire ouvrier, c'est mort!», poursuit-il retrouvant les accents de sa campagne de 2007 quand il évoquait la mémoire de Jean Jaurès pour mieux séduire les classes populaires.

      Nicolas Sarkozy rappelle ensuite qu'il a fait le choix risqué d'entrer dans le capital (à hauteur de 33%) dans STX. Que l'État a également offert les garanties bancaires à l'armateur italien pour lui permettre de trouver les financements. «On va faire de votre entreprise un fleuron», promet-il en tentant de haranguer son auditoire. Nicolas Sarkozy, qui avait rencontré un peu plus tôt les représentants syndicaux de STX, a aussi évoqué la réforme des retraites. «Moi, je veux terminer mon mandat avec ce dossier réglé. Je comprends que c'est plus facile de dire aux gens “vous travaillerez moins” que de leur dire “vous allez travailler plus”. Votre métier est dur, le mien aussi. Mais je le fais !», a-t-il insisté en promettant, une nouvelle fois, qu'il ferait des propositions aux syndicats pour prendre en compte la pénibilité et les conséquences de l'amiante. Dans l'assistance, les ouvriers ont accueilli avec soulagement les commandes. «C'est ce qu'on veut entendre. Ce qui compte ce sont les commandes, pas les paroles», se réjouit Fabrice, un ouvrier de 42 ans, moins convaincu en revanche par les arguments présidentiels sur la réforme des retraites.

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