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Le Web des Cheminots

Actualités Politiques


katamiaw

Messages recommandés

Salut ,

UMP , ton univers (im)pitoyable :

http://www.france24....parti-politique

Je ne veux voir qu'une seule tête,

les oreilles dans le sens du vent

et le petit doigt sur la couture du pantalon...

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La population mondiale est de - Population of the world is

6 965 757 278 personnes

mercredi 10 août 2011 à 8 h 00 min et 04 s

140.204

Le décompte se poursuit...

La population mondiale est de - Population of the world is

6 971 252 089 personnes

samedi 3 septembre 2011

à 14 h 20 min et 29 s

(heure du pôle nord - north pole time )

  • On compte près de 200 000 habitants de plus chaque jour sur la planète
  • Nous assistons à 353 015 naissances par jour dans le monde
  • Il y a 158 857 décès chaque jour sur Terre

http://www.populationmondiale.com/

141.292

Modifié par Dom Le Trappeur
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Salut ,

Mémoire sélective :

Notre ami Jacques sait très bien coucher ses mémoires dans un livre , qu'il a peu

de temps fait paraitre , mais pour ce qui est du reste ...

http://www.lepost.fr/article/2011/09/04/2582270_chirac-a-perdu-une-carte-memoire.html

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La crise des ânes ...

Un homme de haute prestance, portant cravate se présenta un jour dans le village.

Monté sur une caisse, il cria à qui voulait l’entendre qu’il achèterait cash 100 euros l’unité tous les ânes qu’on lui proposerait.

Les paysans le trouvaient bien peu étrange mais son prix était très intéressant et ceux qui topaient avec lui repartaient le portefeuille rebondi, la mine réjouie.

Il acheta ainsi 50% des ânes du pays...

Il revint le lendemain et offrit cette fois 150 € par tête, et là encore une grande partie des habitants lui vendirent leurs bêtes.

Il acheta ainsi 50% des ânes restants du pays ...

Les jours suivants, il offrit 300 € et ceux qui ne l’avaient pas encore fait vendirent les derniers ânes existants.

Constatant qu’il n’en restait plus un seul, il fit savoir qu’il reviendrait en acheter 500 € dans huit jours et il quitta le village.

Le lendemain, il confia à son associé le troupeau qu’il venait d’acheter et l’envoya dans ce même village avec ordre de revendre les bêtes 400 € l’unité.

Face à la possibilité de faire un bénéfice de 100 € dès la semaine suivante, tous les villageois rachetèrent leur âne jusqu'à quatre fois le prix qu’ils l’avaient vendu et pour ce faire, tous empruntèrenau banquier.

Comme il fallait s’y attendre, les deux hommes d’affaire s’en allèrent prendre des vacances méritées dans un paradis fiscal

et tous les villageois se retrouvèrent avec des ânes sans valeur, endettés jusqu’au cou, ruinés.

Les malheureux tentèrent vainement de les revendre pour rembourser leur emprunt. Le cours de l’âne s’effondra.

Les animaux furent saisis puis loués à leurs précédents propriétaires par le banquier.

Celui-ci pourtant s’en alla pleurer auprès du maire en expliquant que s’il ne rentrait pas dans ses fonds, il serait ruiné lui aussi

et devrait exiger le remboursement immédiat de tous les prêts accordés à la commune.

Pour éviter ce désastre, le Maire, au lieu de donner de l’argent aux habitants du village pour qu’ils paient leurs dettes, le donna au banquier, ami intime et premier adjoint, soit dit en passant.

Or celui-ci, après avoir rétabli sa trésorerie, ne fit pas pour autant un trait sur les dettes des villageois ni sur celles de la commune et tous se trouvèrent proches du surendettement.

Voyant sa note en passe d’être dégradée et pris à la gorge par les taux d’intérêts, la commune demanda l’aide des communes voisines,

mais ces dernières lui répondirent qu’elles ne pouvaient en aucun cas l’aider car elles avaient connu les mêmes infortunes.

Sur les conseils avisés et désintéressés du banquier, toutes décidèrent de réduire leurs dépenses :

moins d’argent pour les écoles, pour les programmes sociaux, la voirie, la police municipale...

On repoussa l’âge de départ à la retraite, on supprima des postes d’employés communaux,

on baissa les salaires et parallèlement on augmenta les impôts.

C’était, disait-on, inévitable mais on promit de moraliser ce scandaleux commerce des ânes.

Cette bien triste histoire prend tout son sel,

quand on sait que le banquier et les deux escrocs sont frères et vivent ensemble sur une île des Bermudes, achetée à la sueur de leur front.

On les appelle les frères Marchés.

Très généreusement, ils ont promis de subventionner la campagne électorale des maires sortants.

Cette histoire n’est toutefois pas finie car on ignore ce que firent les villageois.

Et vous, qu’auriez-vous fait à leur place ?

Que ferez-vous ?

Pour nous retrouver tous sur la place du village

Samedi 15 octobre 2011

(Journée internationale des indignés)

Faites déjà passer cette histoire à votre voisin...

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Invité steakfrites

info palestine

J'ai envie de vomir. Et on laisse faire depuis 60 ans. Vivement que les gens se révoltent et qu'on leur botte le cul une bonne fois pour toute à ces israeliens qui commettent des crimes de guerre en toute impunité.

A quand le retour aux frontières légales de 48? (ce qui était déjà un vol en sois).,

Je dis BRAVO à la Turquie qui est un des seuls pays à oser leur tenir tête.

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Algues Vertes

Le rapport de l'INERIS sur la mort des sangliers...

http://www.ineris.fr...vertes-en-baie-

142270

Modifié par Dom Le Trappeur
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Sur 7 mois...

Déficit budgétaire de 86,6 milliards d'euros à fin juillet

http://fr.news.yahoo.com/déficit-budgétaire-86-6-milliards-deuros-à-fin-065809473.html

PARIS (Reuters) - Le déficit du budget de l'Etat français s'établit à 86,6 milliards d'euros à fin juillet contre 93,1 milliards un an plus tôt, selon les données publiées vendredi par le ministère du Budget.

L'évolution d'une année sur l'autre est marquée notamment par une dégradation de 10,9 milliards du solde des comptes spéciaux, liée principalement aux décaissements du prêt octroyé à la Grèce, explique le ministère dans un communiqué.

Le solde du budget général s'est parallèlement amélioré de 17,4 milliards d'euros.

Au 31 juillet, les dépenses totales (budget général et prélèvements sur recettes) atteignent 219,7 milliards d'euros, soit 16,4 milliards de moins qu'à la même date l'année dernière.

"Hors charge de la dette, la progression de la dépense à fin juillet est globalement conforme à la prévision de la loi de finances", précise le ministère.

Les recettes du budget général (nettes des remboursements et dégrèvements) s'établissent à 160,6 milliards d'euros contre 159,7 milliards un an auparavant.

Les recettes fiscales augmentent de 3,4 milliards d'une année sur l'autre.

Marc Angrand, édité par Jean-Michel Bélot

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Pas mal la transition entre le massacre de palestiniens par les collons israeliens et le nombre de mort chez les sangliers....

C'est la loi de l'actualité

mais cela ne veut pas dire que je me désintéresse de ton sujet...

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Comme pour l'amiante en quelque sorte...

Marées vertes. Déjà en 1911 à Belfast

http://www.letelegra...011-1423583.php

Les marées vertes ne datent pas d'aujourd'hui, ni des années 1970.

Dans un livre de 1920, le professeur bordelais CamilleSauvageau évoque une étude de 1911

qui fait état de hauts cordons d'ulves en décomposition dans la baie de... Belfast (Irlande du Nord).

Modifié par Dom Le Trappeur
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Où l'on apprend que les cadres sont des privilégiés

par rapport aux autres salariés discriminés...

par contre un peu étonnant que 1 salarié sur 5 soit cadre...

Le statut de cadre à la française est menacé par des juges d'Angers

http://www.ouest-france.fr/ofdernmin_-Le-statut-de-cadre-a-la-francaise-est-menace-par-des-juges-d-Angers_6346-1985480-fils-tous_filDMA.Htm

Le statut de cadre, spécificité française, est-il en train de vivre ses derniers jours ? La cour d’appel d’Angers doit trancher le 8 novembre sur la demande d’un ancien salarié d’une entreprise de graines et semences à Angers, après avoir examiné, jeudi, ce dossier.

Licencié en février 2008, il réclame un manque à gagner de 30 000 € d’indemnités non perçues après 13 ans d’ancienneté. Motif ? Sa convention collective opère une distinction en matière de versement d’indemnités de licenciement. « Un simple salarié touche deux fois moins qu’un cadre ! », explique celui qui fut directeur commercial avant d’être licencié. « Dicrimination catégorielle », crie son avocat du barreau d'Angers, Fabrice Vaugoyeau, qui a plaidé jeudi devant la chambre sociale de la cour d’appel d’Angers.

En France, près d’un salarié sur cinq est cadre. Si la décision des juges angevins est favorable au salarié, c’est l’existence même de ce statut, spécificité française, qui est remise en cause. Quid des avantages qui vont avec, comme le 13e mois, les congés supplémentaires, les indemnités de licenciement… ? « Ils deviendraient contraires à l’égalité de traitement entre les salariés. »

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Sur le Blog de Jean-Luc Mélenchon

Europe, fonderie du Poitou, Onze septembre, suite de l'enquête sur un sondage édifiant de "Harris interactive" publié par " Le Parisien",

Le 11 septembre n'était pas seul ?

Je note que le compteur de lectures des notes précédentes continue de progresser après la publication d'une nouvelle note. De même que toutes les autres entrées de ce blog. Donc je me sens autorisé à ne pas trop me soucier des longueurs que j'inflige aux lecteurs assidus. Je prends une nouvelle fois la liberté de rappeler que la diffusion des idées que j'exprime, si vous le souhaitez, peut être facilitée par votre aide en proposant cette adresse à qui vous voulez grâce a l'inscription sur la liste du "petit courrier du blog".

Dans cette note il est question de l'impasse en Europe. Puis des 11 septembre de ma mémoire. Et après ça je parle de la "Fonderie du Poitou" où je vais me rendre. Puis du sondage bidon de" Harris interactive" publié par le journal "le Parisien". Comme promis, nous avons démarré l'action, non pas en général, mais sur un cas particulier dont on va voir qu'il est très significatif d'une situation. En tous cas les premiers pas de l'enquête vont vous en apprendre de bien bonnes ! Puissent-elles vous rendre moins crédules. Le tandem sondeur en ligne qui raconte n'importe quoi et rédacteurs de journaux qui avalent tout sans vérifier leur source donne un cocktail très dangereux pour la liberté de conscience...

http :// www . cheminots.net.fr

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Le nouveau feuilleton de la rentrée...

Chirac, Villepin dans le collimateur, Sarkozy pas très loin...

et quelques autres...

Argent occulte et valises de billets...

Diplomatie parallèles,

Centrafric

Robert Bourgi, vétéran de la Françafrique

http://www.lemonde.fr/afrique/article/2009/08/29/robert-bourgi-veteran-de-la-francafrique_1233308_3212.html#ens_id=1569975

Robert Bourgi aurait versé "20 millions de dollars" à MM. Chirac et Villepin

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/09/11/dominique-de-villepin-et-jacques-chirac-mis-en-cause-dans-des-operations-de-financement-occulte_1570662_3224.html#ens_id=1569975

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Et pendant ce temps là...

Les Bourses asiatiques et l'euro accusent le coup

Dans le sillage des places asiatiques, les Bourses européennes plongeaient lundi matin dès l'ouverture, entraînées dans le rouge par les valeurs bancaires, alors que le G7 n'est pas parvenu à calmer les angoisses des marchés qui avaient déjà vécu une journée de panique vendredi.

http://www.lemonde.f...#ens_id=1268560

La Société Générale annonce un plan d’économies

Soumise à une forte pression en Bourse, où son cours a perdu 58% depuis juillet, la Société Générale a annoncé lundi un plan d’économies, avec suppression d’emplois à la clef, et une accélération de ses cessions d’actifs indésirables, tout en écartant une augmentation de capital.

http://www.liberation.fr/economie/01012359327-la-societe-generale-annonce-un-plan-d-economies

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Chaque jour dans le monde,

plus de 6 300 décès sont liés au travail

soit 2.300.000 par an...

et 317 millions de travailleurs sont blessés chaque année sur leur lieu de travail,

soit une moyenne de 850 000 accidents quotidiens,

Santé et sécurité au travail : "Nous ne devons pas baisser la garde"

http://www.lemonde.f...#ens_id=1571230

ISTANBUL, ENVOYÉ SPÉCIAL - Eviter que la santé des salariés ne fasse les frais de la croissance économique, tel est le souhait exprimé par le 19e Congrès mondial sur la sécurité et la santé au travail qui se tient à Istanbul du 11 au 16 septembre. "Il est inacceptable que la croissance économique et le développement puissent amenerla résignation concernant la sécurité et la santé au travail, nous ne devons pasbaisser la garde", a insisté, lors de la séance inaugurale, dimanche 11 septembre,Assane Diop, directeur de la protection sociale à l'Organisation internationale du travail (OIT), organisateur de ce congrès avec l'Association internationale de la sécurité sociale (AISS).

Chaque jour dans le monde, plus de 6 300 décès sont liés au travail et 317 millions de travailleurs sont blessés chaque année sur leur lieu de travail, soit une moyenne de 850 000 accidents quotidiens, entraînant des arrêts de travail d'au moins quatre jours. Dans son rapport présenté lundi 12 septembre, l'OIT pointe l'augmentation des décès liés aux accidents et aux maladies professionnelles entre 2003 et 2008. Si le nombre d'accidents mortels a baissé, ce sont les maladies mortelles qui ont augmenté, passant de 1,95 million de décès à 2,02 millions en cinq ans. "Durant mon discours d'une dizaine de minutes, près de cinquante travailleurs auront péri au travail", s'est ému le ministre du travail et de la protection sociale turc, Faruk Celik.

"UN OUTIL POUR LA PRODUCTIVITÉ"

Signe de l'investissement important (matériel et financier) du gouvernement hôte dans la tenue du congrès, signe surtout de la volonté turque d'apparaître comme une puissance économique responsable et soucieuse du bien-être des salariés, le premier ministre, Recep Tayyip Erdogan est venu saluer les quelque 3 000 spécialistes, chercheurs, représentants des gouvernements - dont de nombreux ministres -, représentants des associations d'employeurs et des syndicats. Blâmant "le passé du capitalisme", M. Erdogan a inscrit son pays dans le club des puissances économiques qui compteront demain. "Notre objectif est d'être dans les dix premières économies du monde, nous avons créé 1,5 million d'emplois en un an, et nous devons considérer la sécurité et la santé au travail comme un outil pour la productivité, un atout pour l'économie", a-t-il déclaré à la tribune du congrès.

C'est l'argument principal avancé par les organisateurs de la réunion d'Istanbul. Les accidents, les maladies coûtent cher. Dans une étude publiée pour le congrès, l'AISS a démontré que l'impact de l'accroissement des dépenses en prévention diminuait les coûts d'exploitation dans 50 % des cas, que cela les augmentait dans 25 % des cas et qu'ils restaient constants dans les 25 % restants. L'"amélioration de la motivation des salariés", "la prévention des perturbations", "l'amélioration de l'image de l'entreprise" sont les avantages les plus signalés. Selon l'AISS, "les entreprises peuvent espérer un retour potentiel de 2,20 euros pour chaque euro investi dans la prévention, par année et par salarié".

Concrètement, rappelant plusieurs catastrophes survenues dernièrement, Assane Diop a regretté que la santé et la sécurité ne soient pas plus mises en avant."Certains événements particulièrement dramatiques, comme l'accident de Fukushima qui s'est produit cette année au Japon, ou celui survenu l'an dernier sur le site minier de Pike River en Nouvelle-Zélande, ont été fortement médiatisés. Mais la plupart des lésions, maladies ou décès d'origine professionnelle passent inaperçus", a-t-il dit. L'accident survenu lundi sur le site nucléaire de Marcoule, en France, qui a fait un mort et plusieurs blessés chez les salariés, pourrait renforcerla détermination des congressistes français.

Rémi Barroux

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Le Programme politique, économique et social

du Font de Gauche

Article Libération

Mélenchon propose le smic à 1700 euros et un salaire maximum

http://www.liberation.fr/politiques/01012359413-melenchon-propose-le-smic-a-1700-euros-et-un-salaire-maximum

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A plusieurs niveaux de lectures... A vous de voir...

L'Europe fait un cadeau aux vieux chanteurs

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-L-Europe-fait-un-cadeau-aux-vieux-chanteurs-_3639-1989704_actu.Htm

Sheila, Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Françoise Hardy, Mick Jagger et Paul McCartney... Tous peuvent dire merci à l'Europe. Car après une décision du Conseil et du Parlement européens, prise lundi, ils vont pouvoir gagner un peu plus de sous. Les maisons de disques aussi vont en profiter. Explications.

« Droits voisins aux droits d'auteur »

Dans les années 1980, ces droits ont été accordés aux artistes-interprètes et aux « producteurs de phonogrammes ». En clair, une partie du prix du disque leur revient. À l'origine, ces droits - à ne pas confondre avec les droits d'auteurs touchés par le ou les créateurs d'une chanson - couraient pendant cinquante ans après la première diffusion de la chanson (sortie sur disque).

Depuis quelques années, représentants des maisons de disques et des interprètes faisaient campagne auprès des politiques pour que cette durée soit allongée. Bruxelles vient de leur donner satisfaction : les droits voisins ont été portés à soixante-dix ans. Ceux d'un titre sorti en 1962 s'arrêteront donc en 2032 au lieu de 2012. Pour peu que les États membres de l'Union transposent la directive dans les deux ans.

Les chanteurs aussi vieillissent...

Argument principal des partisans de la mesure : chanteurs et chanteuses ont commencé leur carrière tôt. Et cinquante ans, c'est vite passé... Frédéric Mitterrand, ministre de la Culture, a rappelé que la France était en pointe sur ce dossier.

Il s'est félicité de son adoption dans un communiqué : « Il apporte une réponse indispensable à l'allongement de l'espérance de vie et au désavantage dont souffraient les artistes interprètes européens de la musique, leurs confrères américains bénéficiant, par exemple, d'une protection de 95 ans. »

Qui va en profiter le plus ?

On imagine un vieux chanteur oublié, dans une maison de retraite, recevant son chèque. Mais l'allongement va surtout profiter aux gros vendeurs d'autrefois... et à leurs maisons de disques, touchées par la baisse des recettes (encore 5,7 % au premier semestre).

Quant aux acheteurs, ils devront continuer d'acheter ces vieilles chansons sans bénéficier d'une éventuelle baisse de prix découlant de l'arrêt des droits. C'est ce que dénonce, dans un communiqué, Monique Goyens, directrice générale du Bureau européen des unions de consommateurs (Beuc) : « Cette décision ne sert qu'une poignée d'artistes vieillissants et va entraîner des coûts supplémentaires pour les acheteurs. »

En termes plus diplomatiques, plusieurs pays opposés à l'allongement comme la Suède, l'Autriche, les Pays-Bas et la Belgique, ne disent pas autre chose. « Il semble que cette mesure bénéficiera principalement aux producteurs de disques, et non aux artistes-interprètes [...] et qu'elle entraînera des charges financières et administratives supplémentaires pour les entreprises, les organismes de radiodiffusion et les consommateurs », peut-on lire dans l'argumentaire de la Belgique.

Alain GUYOT.

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Déjà qu'il s'était tiré un coup de fusil dans le pied...

Présidentielle 2012. Gayssot : "Hollande est le seul à pouvoir battre Sarkozy"

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/presidentielle-2012-gayssot-hollande-est-le-seul-a-pouvoir-battre-sarkozy-14-09-2011-1430167.php

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Dommage que le journaliste du Monde ne puisse pas éviter les petites piques (personnelles)

du type "ex-sénateur PS", "le financement reste assez flou" etc...

Mélenchon défend son projet 2012 face à "la crise de nombrilisme" du PS

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/09/16/melenchon-defend-son-projet-2012-face-a-la-crise-de-nombrilisme-du-ps_1573631_823448.html

Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle, a défendu vendredi 16 septembre son projet pour 2012 au premier jour de la Fête de L'Humanité, ironisant sur "la crise de nombrilisme" des candidats à la primaire du PS qui se complaisent dans leur "huis clos".

A quelques mois de la présidentielle, le cru 2011 de ce traditionnel rendez-vous politique revêt une tonalité particulière pour le tout jeune Front de gauche, qui réunit depuis 2009 le Parti de gauche (PG), le Parti communiste français (PCF) et la Gauche unitaire (GU).

"Les camarades socialistes n'ont pas pris la mesure du moment", "il ne s'agit pas d'être le major de la promo de l'ENA mais de tirer ce pays de l'impasse dans laquelle il est en passe d'être embourbé", a dit l'ex-sénateur PS en marge de l'inauguration du stand du Front de gauche, au côté du secrétaire national du PCF,Pierre Laurent.

SUR LA DETTE, "NOUS SOMMES DANS UNE LOGIQUE D'AUGMENTATION DES RECETTES"

Réitérant son "offre publique de débat" du NPA au PS, l'eurodéputé a appelé à"scotcher le débat sur du contenu" alors que "pour l'instant le PS est plutôt dans des questions plus formelles de personnes".

Car "le monde ne se résume pas à ce huis clos d'hier soir", a ajouté le coprésident du Parti de gauche, en allusion au débat des candidats à la primaire socialiste, qui a eu lieu jeudi soir. Il y a des "questions à mettre sur la table" : augmentation des salaires, retraites, changement de République ou sortie du traité de Lisbonne.

Sur la dette, les socialistes sont "dans une logique de compression des dépenses et d'austérité, nous sommes dans une logique d'augmentation des recettes", assure-t-il, appelant à "ne pas être résigné" car "on peut changer la vie".

"Je les adjure de comprendre : il ne suffit pas de paraître beau et intelligent, il faut avoir des propositions" sur l'augmentation des salaires, la santé, l'éducation, a-t-il martelé alors que sont attendus samedi, en ordre dispersé dans les allées de la Fête de L'Huma, Ségolène Royal, Martine Aubry ou Arnaud Montebourg.

"L'ÉCONOMIE, C'EST DE LA PLOMBERIE !"

Smic à 1 700 euros, titularisation des 800 000 précaires de la Fonction publique, salaire maximum (écart de 1 à 20 entre le plus bas et le plus haut salaire), retraite à 60 ans à taux plein, "plan d'urgence" de construction de 200 000 logements publics sociaux par an pendant cinq ans, recrutements dans l'éducation, la police, relocalisation des activités, pôle public de l'énergie, etc.

Mais le financement reste assez flou. Réponse de M. Mélenchon : "La question du chiffrage a toujours été pour moi un sujet d'ébahissement", "l'économie, c'est de la plomberie !", lance-t-il, estimant notamment que la taxation des revenus du capital comme ceux du travail permettrait de rapporter 100 milliards d'euros.

ACCORD SUR LES LÉGISLATIVES SIGNÉ

A ses côtés, Pierre Laurent semblait se féliciter : "Toutes les conditions sont rassemblées pour un Front de gauche uni dans la fête et la campagne", "il n'y a aucune ombre au tableau". Un accord sur les législatives a notamment été signé vendredi pour 2012 entre partenaires du FG.

Sur 525 circonscriptions métropolitaines, 400 sont finalement réservées au PCF, 94 au PG, 22 à Gauche unitaire et 9 à des divers gauche, après de "longues"discussions selon Pierre Laurent. Une petite quinzaine de circonscriptions sont encore en débat localement.

Un accord qui tombe à pic, le jour où le PG a failli déposer six listes dissidentes en Ile-de-France aux sénatoriales face aux listes d'union de la gauche, lui qui déplorait d'être exclu du Sénat, où il compte deux sénateurs (élus sous l'étiquette PS).

Finalement il n'y aura qu'une liste dissidente PG dans les Hauts-de-Seine, déposée à la toute dernière minute en préfecture vendredi.

"Chaque parti avait des gestes à faire", a dit à l'AFP Eric Coquerel (PG), satisfait que le Parti de gauche ait obtenu du PCF des "circonscriptions importantes gagnables" aux législatives, comme la 10e de l'Essonne, la 3e du Val-de-Marne, la 3e du Var ou la 3e d'Ardèche.

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C'est pour quand des cheminots qui posent à poil ? :blush:

http://www.rue89.com...entendre-222245

Ça a été fait , c'était les " dieux de la gare " , au profit de l'ONCF !

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Un ouvrier de l'automobile pour succéder aux candidatures d'Olivier Besancenot.

Philippe Poutou, candidat candide du NPA (Libération du 3 août)

jeudi 4 août 2011 L’ouvrier, rodé au terrain syndical mais peu au fait des codes du monde politique, avoue ses peurs face à l’enjeu de 2012.

Philippe Poutou n’est pas un homme craintif. Pour mesurer sa peur panique il faut l’écouter souffler comme un aveu libérateur : «J’ai la trouille vous savez ! La trouille de ne pas bien faire, de décevoir les copains.» Elu candidat du Nouveau Parti anticapitaliste à la présidentielle par la conférence nationale du parti, le 25 juin, cet ouvrier automobile et secrétaire CGT se retrouve en terra incognita. Successeur anonyme du très médiatique Olivier Besancenot, représentant d’un parti en ruines, et pas vraiment prophète en son pays. Certains pensent au NPA qu’«il n’a pas la carrure». «Il y en a beaucoup qui se demandent : pourquoi se compliquer la vie en mettant quelqu’un qui va se gameller ?», rapporte-t-il. Lui-même n’est pas sûr de la réponse.

Il reçoit dans le local du NPA bordelais au cœur du quartier Victoire. Chemise en coton côtelée, jean, baskets, cheveux gris-blanc et visage avenant, il porte bien ses 44 ans, dont quinze à l’usine Ford de Blanquefort (Gironde) comme réparateur de machines-outils. Salaire : 1 700 euros.

«Tous postiers».

Philippe Poutou, c’est l’histoire d’un mec presque normal. L’homme qui malgré sa peur est monté au front quand tous ceux qui auraient dû aller à la présidentielle se sont défilés. Besancenot, le candidat naturel, en premier. Le parti s’est ensuite déchiré entre ceux, minoritaires, qui étaient partisans de discuter avec le Front de Gauche de Mélenchon, et le courant majoritaire, hostile au ralliement. Poutou est de cette dernière obédience. «On nous appelle la branche sectaire, mais c’est juste qu’il y a de véritables différences idéologiques qui justifient qu’on ne fasse pas de candidature commune.»

Le plus dur, c’est de parler au nom de ce parti divisé, alors qu’il n’appartenait même pas à la direction. Il se lance dans une diatribe : «On n’était pas d’accord…» mais s’interrompt très vite. «Quand je dis "on" en parlant du NPA, c’est toujours compliqué, il y a des nuances»… Difficile d’assumer le «on», quand on est pas sûr du «je».Candidat par défaut donc.

«Hollande, quand vous le voyez, il est persuadé d’être destiné à ça. Royal, elle entend des voix». Lui avoue ne «jamais» avoir vraiment eu envie d’y aller. Mais Poutou n’est pas du genre à se défausser. Il a appris la persévérance en presque trente ans de militantisme politique et en quatre ans de luttes syndicales acharnées. Fils d’un facteur et d’une ex-dactylo devenue mère au foyer, il a un frère et deux sœurs. «Tous postiers», sourit celui qui a raté le concours. «A la maison en 1981, c’était la fête quand Mitterrand a gagné.» Lui, qui se dit «anar vers 15-16 ans», adhère à Lutte ouvrière à 18 ans. Mais il quitte le parti après 1995, quand une grande partie de la section de Bordeaux se fait virer. Il rejoint la LCR en 2000.

Il se révèle en leader syndical lors du combat pour empêcher la fermeture de l’usine Ford de Blanquefort entre 2007 et 2011. «Il fallait aller parler aux caméras, les copains m’ont poussé.» En mai dernier, les employés ont obtenu la préservation de 950 postes sur le site.

Malgré cet apprentissage, Philippe Poutou a encore du travail pour apprendre les codes du monde politique. Il a la candeur d’un nouveau-né médiatique.«J’ai fait une interview à la radio, c’est la galère. J’ai la crainte de ne pas avoir le bon argumentaire.» La peur encore.

Le candidat du NPA espère compter sur l’expérience de Besancenot. Mais pour l’instant celui-ci se contente de quelques conseils téléphoniques.«C’est sympa de sa part, moi, je ne voulais pas le déranger.» Bon camarade, le facteur lui a soufflé le soir de son élection : «Maintenant, c’est toi qui es dans la merde.» Il ne peut même plus fumer pour se déstresser. Il se trouve qu’il a arrêté le jour où Ghesquière et Taponier se sont fait enlever. «J’avais le compteur à la télé qui me disait combien de jours j’avais tenu.»

Sur le fond, il a commencé un travail de fiches. «Il y a plein de sujets où je ne connais pas grand-chose. Je suis plus à l’aise sur les inégalités au travail, la répartition des richesses, l’interdiction des licenciements.» Bref, tout ce qui touche à son expérience syndicale.

Volant.

D’ailleurs la langue de Philippe Poutou ne se délie vraiment que quand il parle de cette usine Ford aux teintes jaunes et bleues, semblable aux entrepôts Ikea. Il avoue l’aimer. «L’usine, ce n’est pas que l’exploitation au travail, c’est aussi tous les copains avec qui on passe des moments géniaux.» Il a d’ailleurs décidé qu’il continuerait à travailler pendant la campagne. Pour ne pas se couper de son milieu. Quatre jours à l’usine et un jour pour aller à Paris. «Ça me fait chier de devoir aller voir le patron pour négocier ça avec lui. Eux, ils aimeraient bien que je parte tout court.» Il ne roule d’ailleurs même pas en Ford (mais en Peugeot) pour ne «pas voir le logo du patron sur le volant».

Lorsqu’il ne travaille pas, Philippe Poutou s’occupe des jeunes enfants de sa compagne. «Quand ils sont couchés, on regarde des films sur l’ordi.» Le téléchargement ? «Illégal bien sûr. On échange les films avec les potes.»Il profite de ses vacances pour préparer le meeting de l’université d’été, le lancement de sa campagne.«Parler à la tribune, c’est ce qui me terrifie le plus. Je ne sais pas faire ça.» La peur toujours.

Nicolas Chapuis, envoyé spécial à Bordeaux.[/quote]

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