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katamiaw

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Comme les plans Barre dans les années 70...

Barre un, Barre deux, Barre Toi...

Modifié par Dom Le Trappeur
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Ouvrez, ouvrez le parapluie bien grand...

Affaire du Carlton de Lille : la colère du PDG d'Eiffage

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/11/06/affaire-du-carlton-de-lille-la-colere-du-pdg-d-eiffage_1599639_3224.html#ens_id=1588607

Le patron du groupe de BTP Eiffage, Pierre Berger, indique, dans un entretien auJournal du dimanche, qu'à la suite d'un audit interne, les dépenses liées à l'affaire Carlton s'élevaient à 50 000 euros depuis 2009. "J"ai pris plusieurs décision", précise-t-il. "D'abord celle de mettre à pied David Roquet [directeur d'une filiale d'Eiffage employant 80 personnes dans le Pas-de-Calais] et d'engager sa procédure de licenciement. Puis j'ai demandé un audit interne dont j'ai eu les résultats en fin de semaine", a-t-il ajouté.

L'audit révèle, selon le PDG du groupe, que les dépenses d'Eiffage (voyages en train et avion, notes d'hôtels et restaurants) liées à des voyages à Paris et Washington, pour des parties fines auxquelles aurait participé DSK, s'élèvent "à ce jour à environ 50 000 euros". "Eiffage est victime du réseau que David Roquetentretenait avec l'argent de l'entreprise", souligne Pierre Berger. Pour lui, "Eiffage n'a aucune vocation à payer des prostituées !". Eiffage s'est porté partie civile dans l'enquête.

M. Roquet a été mis en examen le 14 octobre pour proxénétisme aggravé en bande organisée et écroué. Il a été mis à pied le 21 octobre par Eiffage, qui a porté plainte avec constitution de partie civile pour abus de biens sociaux trois jours plus tard. David Roquet assure que son entreprise était au courant et qu'elle l'utilisait comme bouc émissaire. "Il y a entre David Roquet et moi trois échelons hiérarchiques. Les échelons intermédiaires interrogés ont confirmé qu'ils ne savaient pas", dit au JDD le patron du groupe de travaux publics. "Il y a eu défaillance dans le contrôle de ses notes de frais et de ses dépenses", accuse Pierre Berger. "Les cosignataires qui ont visé ces dépenses litigieuses seront naturellement sanctionnés."

Pierre Berger affirme que le réseau entretenu par David Roquet dans la région n'a pas aidé l'entreprise à décrocher des marchés, notamment celui du futur stade de Lille. "Il gère une trentaine de millions sur les 14 milliards du groupe. C'est une activité locale. Il ne s'est jamais occupé du Grand Stade de Lille", explique Pierre Berger. Dans cette affaire de proxénétisme, huit personnes sont mises en examen - trois responsables de l'hôtel Carlton de Lille, trois entrepreneurs dont M.Roquet, un commissaire de police et un avocat lillois. Cinq sont incarcérées.

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http://www.20min.ch/...ucelle-18267992

Les petits secrets des politiciens français

Le généalogiste Jean-Louis Beaucarnot publie un ouvrage consacré aux femmes et hommes politiques français. On y découvre une foule d'informations inédites et surprenantes.

Lequel a fait changer son nom de famille, qui descend d’un bagnard, laquelle a tenté de décrocher une couronne de miss, lesquels ont des liens de parenté surprenants? Telles sont les questions auxquelles répond un généalogiste Jean-Louis Beaucarnot dans un ouvrage sur les femmes et les hommes politiques français.

Certains auraient préféré ne jamais voir l’ouvrage «Le Tout-politique» publié. Jean-Louis Beaucarnot, l’auteur de ce dernier, explore les origines de 89 personnalités publiques françaises. Personne n’est épargné.

De Letoquard à Montebourg

Nadine Morano, ministre chargée de l’apprentissage et de la formation professionnelle, est née Nadine Pucelle. En 1976, son père Michel a fait changer son nom de famille et celui de ses enfants en Pugelle. Son patronyme d’origine devait être plutôt lourd à porter pour ce conducteur de 38 tonnes. Nadine Morano porte désormais le nom de famille de son ex-époux. On apprend également que Madame la ministre a été majorette dans sa jeunesse.

Autre nom de famille difficile à porter: Letoquard. Arnaud Montebourg a échappé de justesse à ce patronyme. En 1842, un bébé est déposé à l’hospice de la commune d’Autun. Cette année-là, les enfants trouvés recevront des noms de lieux normands. Le nouveau-né est ainsi baptisé Justin Montebourg. Le bébé abandonné précédent, quant à lui, a eu moins de chance: le patronyme qu’on lui a assigné était Letoquard. L’avenir politique du troisième homme des primaires socialistes auraient pu être bien différent suivant le nom choisi pour son aïeul.

Des cousins bien encombrants

Certains ancêtres de Nicolas Sarkozy vivaient près du lac du Bourget. Ils s’étaient installés dans la commune de Traize, sur le versant d’une colline. De l’autre côté du mont vivaient les aïeux de l'un de ses principaux rivaux, François Hollande.

Jean-Louis Borloo et Marine Le Pen seraient également des cousins éloignés. Le grand-père du centriste, Belge d’origine, s’est installé dans la région bretonne. Il a ensuite épousé une locale dont la famille est liée à celle de la présidente du Front National.

Dans l’ouvrage de Jean-Louis Beaucarnot, on apprend également qu’un ancêtre de DSK a fini sa vie au bagne après avoir tué un soldat. Dans sa prime jeunesse, Jean-Luc Mélenchon a été enfant de cœur. En 2009, il aurait suivi un régime protéiné à base d’œufs durs et de jambon blanc pour perdre quelques kilos. Quant à Eva Joly, écologiste et ancienne juge, elle a été candidate au titre de Miss Norvège en 1962. Elle a terminé troisième du concours.

Parcours, indiscrétions, anecdotes, signes astraux, étude des gestes et des signatures... Pour réaliser son livre, Jean-Louis Beaucarnot s’est entouré d’un journaliste, d’une graphologue, d’une morphopsychologue, d’un synergologue (étude des gestes) et d’une astrologue. Certains parmi les politiciens épinglés auraient probablement préféré que leurs secrets de famille restent profondément enfouis… au moins jusqu’en 2012.

Et moi j'ai un cousin africain dont l'arrière grand-pere etait un primate et pourtant je suis infoutu de monter dans un arbre comme quoi les arbres ont du bien changer ?

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Invité necroshine

http://www.impots-economie.com/combien-coute-rachida-dati/

La bataille entre François Fillon et Rachida Dati pour la 2ème circonscription de Paris vient d’entrer dans une nouvelle phase. Après les attaques de Rachida Dati contre François Fillon, le 1er ministre passe à l’offensive.

Les services de Fillon ont dressé le bilan de l’activité de Rachida Dati au Parlement européen, où elle a été élué en 2009. Bilan que résume une note éloquente, dûment remise à Fillon : » Indécence; mépris, dilettantisme. »

« Indécence« , parce que selon les statistiques du Parlement européen, Dati ne fait quasiment rien. La note, constituée d’une multitude de tableaux, explique que Rachida Dati a un taux de présence à Bruxelles de 59%. » Ce taux lui permet d’éviter les pénalités financières qui frappent les parlementaires absents à plus de la moitié des journées de session. »

Pour la présence lors des sessions plénières, Dati se classe au 73 ème rang sur 74 parlementaires français, et au 727ème rang sur 736 eurodéputés.

Ladite note relève cruellement: 22 interventions en plénière depuis juin 2009, la dernière remontant au 20 octobre 2010, un seul amendement, une seule question écrite à la Commission européenne. Et encore : 2 jours de présence seulement sur 31 en commission spéciale sur la crise financière, 0 jour de présence sur 15 au sein de la délégation interparlementaire pour les relations avec les USA, etc.

Tout ça n’empêche donc pas Rachida Dati de toucher ses indemnités. Les hommes de Matignon ont fait le calcul : avec 106 jours de travail en 26 mois et un salaire de 7 665 euros par mois, plus 4 202 euros de frais généraux, plus 298 euros par journée de présence, Dati gagne 3209 euros par journée de travail.

De plus, Rachida Dati témoigne d’un « mépris » souverain pour le Parlement de Strasbourg. « Les rares moments de présence en commission parlementaire sont presque exclusivement à Bruxelles« , relève la note des services de Fillon.

A quoi s’ajoute le « dilettantisme« : » Elle a renoncé à exercer son mandat européen aux alentours de mai 2010 pour les travaux en commission et d’ octobre 2010 pour les travaux en plénière« , insistent les services de Fillon.

Conclusion des conseillers de Fillon : » On peine à imaginer qu’il soit possible de faire campagne en juin 2012 sur le slogan « Je suis nulle à Bruxelles et à Strasbourg, élisez-moi à Paris ! »

Le Parlement européen est décidément rempli de députés fraudeurs qui, comme Rachida Dati, coûtent très cher aux contribuables ( voir Fraudeurs du Parlement européen).

source: le canard enchainé

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Plan Fillon : les nouvelles hausses d’impôts pèseront à 86% sur les ménages en 2013

http://bercy.blog.lemonde.fr/2011/11/07/plan-fillon-les-nouvelles-hausses-dimpots-peseront-a-86-sur-les-menages-en-2013/

Le plan d'équilibre des finances publiques, présenté lundi 7 novembre par François Fillon, prévoit 7,9 milliards d'euros de hausses d'impôts supplémentaires en 2013, dont 5 milliards pèseront directement sur les ménages et 6,8 milliards au total, en intégrant l'effet sur les consommateurs du relèvement des taux réduits de TVA.

La mesure qui rapporte le plus, est le gel en 2012 et 2013 du barème de l'impôt sur le revenu (IR), et partant de celui de l'impôt de solidarité sur la fortune (ISF), et des donations et successions. Ce gel rapportera 3,4 milliards d'euros en année pleine. Le barème applicable aux revenus des années 2011 et 2012 sera identique à celui des revenus de l'année 2010. En conséquence, les foyers fiscaux dont les revenus augmentent, seront pour une partie d'entre eux imposés davantage (dans la tranche supérieure).

Le relèvement de la TVA à taux réduit de 5,5% à 7% sur tous les produits, à l'exception des seuls produits de première nécessité (produits alimentaires, abonnements au gaz et à l'électricité ainsi qu'à des réseaux de fournitures d'énergie, équipements et services à destination des personnes handicapées), rapportera 1,8 milliard en année pleine. Le nouveau taux de 7% s'appliquera au secteur de l'hôtellerie-restauration mais aussi à la restauration rapide. Les augmentations de TVA pèsent in fine sur les consommateurs.

Les mesures de réduction des niches, dont le rendement sera d'1 milliard en 2013, concerneront aussi, pour l'essentiel, les ménages avec en particulier le coup de rabot transversal supplémentaire, la suppression en 2013 du dispositif Scellier sur les investissements locatifs, le recentrage du prêt à taux zéro (PTZ) sur le neuf et une diminution du crédit d'impôt développement durable.

Au nom de la réduction des écarts de taux d'imposition entre les revenus du travail et ceux du capital, le prélèvement forfaitaire libératoire sur les dividendes et les intérêts, mis en place en 2004 par la droite, est relevé de 19% à 24%. Matignon affirme que, pour les personnes les plus aisées, imposées jusque dans la dernière tranche du barème, les dividendes supporteront désormais le même niveau d'imposition, quelle que soit l'option choisie par le contribuable (prélèvement libératoire ou taxation au barème de l'IR).

Le montant de l'impôt sur les sociétés, qui est dû au titre de 2011 et de 2012 par les grandes entreprises réalisant un chiffre d'affaires supérieur à 250 millions d'euros, sera majoré de 5%. Le rendement de la mesure est estimé à 1,1 milliard soit 14% seulement du total des nouvelles hausses d'impôt prévues dans le deuxième plan Fillon pour 2011.

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Le grand complot... Zarbi, Zarbi...

Piratage de données : l'UMP porte plainte, les députés changent de téléphone

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/11/09/piratage-de-donnees-l-ump-porte-plainte-les-deputes-changent-de-telephone_1600949_823448.html#ens_id=1539438

Lui même victime, Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a qualifié mercredi 9 novembre d'"extrêmement grave" le piratage de données professionnelles et privées de députés UMP.

Découvert par une agence de veille et relevé par Rue89, ce piratage concerne près d'un millier de cadres de la majorité dont Christian Jacob, Michèle Alliot-Marie, Marie-Anne Montchamp et M.Copé, qui a indiqué avoir reçu "des centaines et centaines de messages d'injures, d'insultes à caractère très diversifié" et précisé qu'il allait "dans une heure, changer de numéro de portable".

Selon Rue89, qui a décidé de ne pas indiquer le lien du site concerné, "quatre fichiers texte ont été mis en ligne samedi 5 novembre et comportent un grand nombre de données sensibles : numéros de téléphone fixe et portable, numéros de téléphone prioritaires, nom, adresse et numéros de téléphone de leurs suppléants, nombre d'enfants, année de naissance du cadet et de l'aîné des enfants, adresses personnelles et professionnelles".

Ces fichiers comportent également des renseignements sur la formation universitaire suivie par les intéressés ou les langues étrangères qu'ils pratiquent. Les renseignements semblent beaucoup plus détaillés et personnels pour les élus que pour les collaborateurs de cabinets, au vu de ces fichiers.

Le ou les responsables de ce piratage ont laissé un message de revendication sur le serveur piraté de l'UMP, relayé par Rue89 : "A tous les gardés à vue des banlieues karcherisées, aux manifestants battus, aux journalistes espionnés, aux demandeurs d'asile ignorés et matraqués, aux Roms stigmatisés, à toutes les victimes de l'UMP, nous vous livrons les coordonnées de l'UMP. Œil pour œil, dent pour dent."

L'UMP VA PORTER PLAINTE CONTRE X

Mardi, dans un communiqué, l'UMP a affirmé que ce document n'était pas un de ses fichiers, indiquant que les données ne correspondaient pas à celles collectées par le parti. "On ne sait pas d'où ça vient", "les données piratées ne sont pas les données du parti", a répété mercredi Jean-François Copé. "Est-ce que c'est le groupe à l'Assemblée nationale, l'Assemblée nationale ? Je n'ai pas d'autres éléments".

"C'est extrêmement grave", a jugé le député-maire de Meaux. "Cela pose vraiment le problème de la protection des données individuelles". "C'est inacceptable dans un grand pays moderne".

Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob, a "décidé deporter plainte contre X du chef de violation du secret des correspondances et vol de données informatiques, auprès du procureur de la République de Paris", indique un communiqué.

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Invité Gnafron 1er

Le grand complot... Zarbi, Zarbi...

Piratage de données : l'UMP porte plainte, les députés changent de téléphone

http://www.lemonde.f...#ens_id=1539438

Lui même victime, Jean-François Copé, secrétaire général de l'UMP, a qualifié mercredi 9 novembre d'"extrêmement grave" le piratage de données professionnelles et privées de députés UMP.

Découvert par une agence de veille et relevé par Rue89, ce piratage concerne près d'un millier de cadres de la majorité dont Christian Jacob, Michèle Alliot-Marie, Marie-Anne Montchamp et M.Copé, qui a indiqué avoir reçu "des centaines et centaines de messages d'injures, d'insultes à caractère très diversifié" et précisé qu'il allait "dans une heure, changer de numéro de portable".

Selon Rue89, qui a décidé de ne pas indiquer le lien du site concerné, "quatre fichiers texte ont été mis en ligne samedi 5 novembre et comportent un grand nombre de données sensibles : numéros de téléphone fixe et portable, numéros de téléphone prioritaires, nom, adresse et numéros de téléphone de leurs suppléants, nombre d'enfants, année de naissance du cadet et de l'aîné des enfants, adresses personnelles et professionnelles".

Ces fichiers comportent également des renseignements sur la formation universitaire suivie par les intéressés ou les langues étrangères qu'ils pratiquent. Les renseignements semblent beaucoup plus détaillés et personnels pour les élus que pour les collaborateurs de cabinets, au vu de ces fichiers.

Le ou les responsables de ce piratage ont laissé un message de revendication sur le serveur piraté de l'UMP, relayé par Rue89 : "A tous les gardés à vue des banlieues karcherisées, aux manifestants battus, aux journalistes espionnés, aux demandeurs d'asile ignorés et matraqués, aux Roms stigmatisés, à toutes les victimes de l'UMP, nous vous livrons les coordonnées de l'UMP. Œil pour œil, dent pour dent."

L'UMP VA PORTER PLAINTE CONTRE X

Mardi, dans un communiqué, l'UMP a affirmé que ce document n'était pas un de ses fichiers, indiquant que les données ne correspondaient pas à celles collectées par le parti. "On ne sait pas d'où ça vient", "les données piratées ne sont pas les données du parti", a répété mercredi Jean-François Copé. "Est-ce que c'est le groupe à l'Assemblée nationale, l'Assemblée nationale ? Je n'ai pas d'autres éléments".

"C'est extrêmement grave", a jugé le député-maire de Meaux. "Cela pose vraiment le problème de la protection des données individuelles". "C'est inacceptable dans un grand pays moderne".

Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob, a "décidé deporter plainte contre X du chef de violation du secret des correspondances et vol de données informatiques, auprès du procureur de la République de Paris", indique un communiqué.

Si ça se trouve , ça vient ....de ...? Oui , par là !

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Encore mieux qu'un vendredi 13...

VENDREDI – Que se passera-t-il le 11/11/2011 à 11 h 11 ?

et 11 secondes...

http://bigbrowser.blog.lemonde.fr/2011/11/09/111111-le-11-novembre-met-les-esoteriques-dans-tous-leurs-etats/

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Et en plus, à l'Ump, ils courbent le dos pour se faire fouetter...

Données piratées, l’UMP sort le fouet !

http://www.humanite.fr/politique/donnees-piratees-l’ump-sort-le-fouet-483380

Depuis quelques jours trainent sur Internet quatre fichiers comprenant des informations personnelles de plusieurs centaines de députés, sénateurs et autres personnalités de l’UMP. La réaction, sans nuance, ne s’est pas fait attendre : répression.

Après avoir tenté en vain de nous faire croire que le problème venait de l’Assemblée Nationale, malgré la présence dans ces listes des sénateurs, ministres, députés européens et de divers assistantes du gouvernement, l’UMP a du ce mercredi concéder sa faute. La fuite vient bel et bien de ses rangs. Des hackers facétieux auraient profité d’une faille de sécurité, ou d’une erreur humaine, sur les serveurs de l’UMP, pour publier du contenu confidentiel.

« Une atteinte à la Nation qui rappelle l’urgence de mieux protéger les droits et libertés sur internet » titre sur son blog la députée UMP Muriel Marland-Militello qui en profite pour réclamer un durcissement de la loi à l’encontre des « cyber-voyous ». Et si on regarde dans l’absurde arsenal législatif existant, on se rend compte que la loi Hadopi 2 exige que toute connexion Internet soit sécurisée sous peine de délit de « négligence caractérisée ». Délit qui doit se constater, comme aujourd’hui par exemple.

On comprend que les victimes UMP soient contrariées par cette publication. Il est même possible que David Douillet ait reçu quelques blagues par SMS, sur son mobile personnel. Mais plutôt que de réfléchir à la sécurité de leurs données d’un côté, tout en réalisant l’inopérance de certains textes de loi existants (comme justement le délit de négligence caractérisé), l’UMP nous ressort son couplet sur le filtrage du Web. Et pas de remise en question sur la sécurité des serveurs ; ni de réflexion sur les raisons pour lesquelles l’arsenal existant ne marche pas. Non, il faut punir, la répression avant tout, "afin de tuer dans l’œuf la terreur que des cyber-voyous pourraient répandre dans notre société grâce à leur savoir informatique" se justifie Muriel Marland-Militello. Ca évite d’essayer de comprendre un dossier un peu technique.

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Morts pour la France...

Chair à Canon...

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/guerre-de-14-18-retrouvez-vos-morts-pour-la-france-07-11-2011-1491303.php

130.000 morts bretons. Un breton mobilisé sur cinq -22% contre 17% pour l'ensemble de la France- n'est pas revenu du front. Pourquoi tant de morts bretons ? Roger Laouénan, historien, livre un début de réponse : « Dans cette guerre de tranchées le Breton était vraiment l’archétype du soldat qui était recherché. On peut dire qu’il était fait pour cette guerre,

un homme de la terre qui avait l’habitude de vivre presque dans la terre, par tous les temps, pas exigeant, solide et en plus de ça têtu mais aussi discipliné et pas revendicatif. » Bref, de la « chair à canon idéale ». Qui s’est bien battue, d'abord pour son lopin de terre, ensuite pour l'honneur et la patrie.

Mémoire des hommes

Rechercher des informations sur les morts de 14/18

http://www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr/spip.php?page=base_recherche&_Base=MPF1418&_Action=1&lang=fr

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Invité Gnafron 1er

Morts pour la France...

Chair à Canon...

http://www.letelegra...011-1491303.php

130.000 morts bretons. Un breton mobilisé sur cinq -22% contre 17% pour l'ensemble de la France- n'est pas revenu du front. Pourquoi tant de morts bretons ? Roger Laouénan, historien, livre un début de réponse : « Dans cette guerre de tranchées le Breton était vraiment l’archétype du soldat qui était recherché. On peut dire qu’il était fait pour cette guerre,

un homme de la terre qui avait l’habitude de vivre presque dans la terre, par tous les temps, pas exigeant, solide et en plus de ça têtu mais aussi discipliné et pas revendicatif. » Bref, de la « chair à canon idéale ». Qui s’est bien battue, d'abord pour son lopin de terre, ensuite pour l'honneur et la patrie.

Mémoire des hommes

Rechercher des informations sur les morts de 14/18

http://www.memoirede...ction=1&lang=fr

Mais au fait l'étincelle qui a mis le feu aux poudre ?

....................l'assassinat de l'Archiduc machin chose .Quel rapport avec la France ?

Les têtes couronnées étaient -elles dans les tranchées avec les rats et autres bestioles en guise de repas ?

Non , elles continuaient à se goinfrer ....comme des cochons .

le peuple se doit d'être patriote ...mais pas elles !

Un "copier - coller "

Lazare Ponticelli, le dernier poilu français

lemonde_source.png | 12.03.08 |

Il était, en France, le dernier ancien combattant de 14-18, l'ultime rescapé parmi les 8,5 millions d'hommes mobilisés en bleu horizon. Le der des der. Lazare Ponticelli est mort, mercredi 12 mars, au Kremlin-Bicêtre, à l'âge de 110 ans.

Ce survivant nous reliait physiquement à des photos défraîchies de pioupious en capote, les bandes molletières tire-bouchonnées sur les brodequins, à des images tournées à la manivelle d'hommes hirsutes, le regard vide, enterrés vivants dans les tranchées. Avec sa disparition, la première guerre mondiale s'enfonce un peu plus dans les brumes du passé.

Tant qu'il l'a pu, le vieil homme aura témoigné sur le conflit, encore et encore, même quand ne sortait plus de sa bouche qu'un filet de voix à peine intelligible. Alors que beaucoup de vétérans s'étaient claquemurés dans le silence pour ne pas avoir à raconter l'horreur, Lazare Ponticelli avait choisi de dire l'indicible. Il assumait ce devoir pour ceux qui n'avaient pas eu la chance de s'en tirer.

"Tous ces jeunes tués, je ne peux pas les oublier. Quel gâchis !" Alors, pour eux et pour la gloriole, Lazare ouvrait aux solliciteurs sa petite maison acquise dans les années 1920, au Kremlin-Bicêtre. Au milieu des meubles patinés, les histoires de cet homme qui avait fréquenté trois siècles étaient une remontée dans le temps. C'était aussi une leçon d'humanisme apprise en enfer.

Ses souvenirs de la vie quotidienne d'un simple soldat, d'un poilu, préservaient de l'oubli ou, pire, de la réécriture dogmatique. S'y mêlaient sens du devoir, écœurement, obéissance, héroïsme, révolte, fraternité. Ses bribes remontant au hasard de la mémoire résumaient les contradictions qui traversaient les combattants, emportés sans toujours comprendre, broyés par des événements qui les dépassaient.

Il nous parlait d'eux, ses camarades, et des autres, en face, pas si mauvais bougres, finalement. La narration semblait mécanique. Mais une larme surgissait sur le rebord des yeux et roulait lentement sur la joue. Elle remontait de quatre-vingt-dix ans.

Parfois, le narrateur prenait des licences avec la chronologie. Les scènes s'embrouillaient. De quoi faire tiquer les historiens. Mais fallait-il prendre ces souvenirs au pied de la lettre ? N'était-ce pas plutôt l'esprit qui comptait ? L'accumulation d'anecdotes formaient la geste du poilu, racontée par le dernier d'entre eux.

Chaque 11 novembre, Lazare allait à pied au monument aux morts du Kremlin-Bicêtre, râlait contre les discours ampoulés, emphatiques, "toujours trop longs". Il se rendait aussi dans les écoles à 100 ans passés et martelait la même supplique."Aux enfants, je leur dis et je leur répète : ne faites pas la guerre."

La vie de Lazare Ponticelli était exemplaire pour bien plus que cette parenthèse terrible de quatre ans. C'était aussi l'histoire d'un émigré italien illettré, enfant de rien devenu patron d'une multinationale. Le parcours d'un "Rital" qui voulait absolument se battre pour cette France qui l'avait toléré, puis renié, enfin reconnu sur le tard comme un des siens.

"J'AI VOULU DÉFENDRE LA FRANCE PARCE QU'ELLE M'AVAIT DONNÉ À MANGER"

Lazare fut longtemps Lazzaro, né le 7 décembre 1897, à Bettola, en Emilie Romagne. Il est issu d'une famille pauvre de sept enfants. Un frère puis son père meurent en 1903. La mère abandonne la famille qui se disperse. La sœur aînée emmène une partie de la fratrie "au paradis", là où il y a du travail, en France. Trop jeune, Lazare reste en Italie. Il est confié à une marâtre.

A 9 ans, n'ayant aucune nouvelle des siens, Lazare décide de partir à son tour. Il prend le train pour Paris, débarque gare de Lyon sans parler un mot de français, ne sachant ni lire ni écrire. Il erre trois jours dans la salle des pas perdus, est recueilli par une famille italienne qui le prend en pitié et l'héberge quelques mois.

Lazare devient ramoneur et crieur de journaux. Dès la déclaration de guerre, trichant sur son âge, l'Italien s'engage. Il intègre le premier régiment de marche de la légion étrangère de Sidi Bel Abbes, y retrouve par hasard son frère Céleste. "J'ai voulu défendre la France parce qu'elle m'avait donné à manger", explique Lazare. Après un mois d'instruction, il est envoyé au front, sous les ordres d'un descendant de Garibaldi.

Il participe à la confusion des premiers mois. Son premier fait d'arme est d'avoir, alors qu'il était de garde, blessé un général au mollet. Il assiste à l'hécatombe, soigne son frère, blessé au combat. Le régiment perd un quart de ses effectifs en trois semaines. "Au début, nous savions à peine nous battre et nous n'avions presque pas de munitions. Chaque fois que l'un d'entre nous mourait, on se taisait et on attendait son tour." Il crapahute dans la guerre de mouvement (Soissons, Vitry-le-François, l'Argonne), survit à la pagaille. Puis il creuse les premières tranchées d'un conflit qui s'organise pour durer.

Lazare Ponticelli aimait raconter ce jour où un homme s'était retrouvé blessé dans le no man's land qui séparait les lignes. Les brancardiers n'osaient s'aventurersous le feu. "Il hurlait : Venez me chercher, j'ai la jambe coupée. Je n'en pouvais plus. J'y suis allé avec une pince. Je suis d'abord tombé sur un Allemand, le bras en bandoulière. Il m'a fait deux avec ses doigts. J'ai compris qu'il avait deux enfants. Je l'ai pris et je l'ai emmené vers les lignes allemandes. Quand ils se sont mis à tirer, il leur a crié d'arrêter. Je l'ai laissé près de sa tranchée. Il m'a remercié. Je suis reparti en arrière, près du blessé français. Il serrait les dents. Je l'ai tiré jusqu'à nos lignes, avec sa jambe de travers. Il m'a embrassé et m'a dit : Merci pour mes quatre enfants. Je n'ai jamais pu savoir ce qu'il était devenu."

En 1915, Lazare se bat du côté de Verdun lorsque l'Italie, le 24 mai, se range aux côtés des Alliés. Un officier le fait rechercher dans les tranchées. "Tous les Italiens devaient retourner se battre chez eux." Le légionnaire proteste, souhaite rester. "Je pensais que m'être battu pour la France avait fait de moi un Français." Déception."Ils m'ont dit : Il faut vous en aller ." Il est démobilisé de force, rentre à Paris, se cache six semaines, tente de se réengager dans l'armée française, est finalement transféré entre deux gendarmes à Turin.

"JE TIRE SUR TOI MAIS JE NE TE CONNAIS MÊME PAS. SI SEULEMENT TU M'AVAIS FAIT DU MAL"

Il enfile à regret l'uniforme italien, intègre les chasseurs alpins, se retrouve dans le Tyrol, enterré dans la neige face aux lignes autrichiennes. Ses compagnons parlent couramment l'allemand. Les deux camps s'envoient des messages avec un élastique puis sympathisent. "Ils nous donnaient du tabac et nous des boules de pain. Personne ne tirait plus."

Les hommes organisent même des patrouilles communes. La farce dure trois semaines, manque de se terminer devant un conseil de guerre. "L'état-major nous a déplacés dans une zone plus dure." En 1916, il est sur le Monte Cucco, qui sera le théâtre d'une terrible bataille l'année suivante. Les hommes multiplient les assauts stériles et dévastateurs, affrontent les gaz sans masque.

Lazare reste plus de deux jours derrière sa mitrailleuse. Des éclats d'obus lui grêlent le visage. Aveuglé par son sang, il parvient à bloquer des Autrichiens qui se sont réfugiés dans une caverne. Sa section fait deux cents prisonniers. Le héros blessé est envoyé à l'arrière. Il est opéré sans anesthésie, des hommes le maintiennent cloué sur la table d'opération pendant que le chirurgien creuse la plaie et la badigeonne d'alcool.

Ses faits d'arme valent à Lazare une citation mais également un dégoût absolu de cette guerre. "Je tire sur toi mais je ne te connais même pas. Si seulement tu m'avais fait du mal." La révoltante absurdité des combats est traversée d'infimes moments de bonté dont la rareté fait la valeur.

"Mon meilleur souvenir en Italie, ce sont les lettres que ma marraine de guerre, une porteuse de lait que j'avais rencontrée avant de partir au front, m'envoyait. Ne sachant à l'époque ni lire, ni écrire, ce sont des copains qui m'aidaient àcorrespondre avec elle." Après quelques semaines de convalescence à Naples, Lazare est renvoyé en 1918 sur le front, vers Montello, où il apprend l'Armistice. Autrichiens et Italiens, "tous les gars levaient les bras en l'air".

Lazare est contraint de rester sous l'uniforme italien. Il apprend par hasard la mort d'une de ses sœurs, Catherine, victime de la grippe espagnole. En 1920, l'armée italienne souhaite le démobiliser. Il refuse : il veut l'être sous l'uniforme français, avec lequel il a commencé la guerre, ce qui lui permettra de revenir légalement dans ce pays. Il lui faut à nouveau se battre, cette fois contre l'absurde administration. Il obtient finalement gain de cause. Il revient à Paris, avec cinq francs en poche.

Il redevient ouvrier. Avec Céleste et un autre frère, Bonfils, il monte une entreprise de ramonage et de chaudronnerie. Il se marie en 1923 avec une Française, Clara, dont il a trois enfants. Lazare n'obtiendra la nationalité française qu'en 1939, à la veille de la déclaration de guerre. Il veut encore se battre mais est jugé inapte au service parce que trop âgé. Il traverse sans déshonneur l'Occupation.

Après la Libération, sa société Ponticelli frères continue de prospérer. Elle se diversifie, notamment dans les travaux publics et l'extraction pétrolière, prend une stature internationale. Le groupe a aujourd'hui un chiffre d'affaires de 480 millions d'euros et emploie 3800salariés. Lazare Ponticelli en abandonnera progressivement les rênes dans les années 1960.

Il lui restait à honorer la promesse faite à ses camarades des tranchées. "Quand nous montions à l'assaut, nous nous disions : Si je meurs, tu penseras à moi. " Ne jamais les oublier : le dernier rescapé aura respecté jusqu'au bout ce serment.

Ne parlons pas de ces Africains débarqués de force......ils n'ont jamais fait du bouquin .Ils défendaient quel pays .Dans leurs contrées , savaient-ils ce qu'était un Archiduc ? Ils s'en battaient les cacahuètes ........!

Modifié par Gnafron 1er
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