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katamiaw

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"On ne sait pas d'où ça vient", "les données piratées ne sont pas les données du parti", a répété mercredi Jean-François Copé. "Est-ce que c'est le groupe à l'Assemblée nationale, l'Assemblée nationale ? Je n'ai pas d'autres éléments".

"C'est extrêmement grave", a jugé le député-maire de Meaux. "Cela pose vraiment le problème de la protection des données individuelles". "C'est inacceptable dans un grand pays moderne".

Le président du groupe UMP à l'Assemblée nationale, Christian Jacob, a "décidé deporter plainte contre X du chef de violation du secret des correspondances et vol de données informatiques, auprès du procureur de la République de Paris", indique un communiqué.

je ne crois pas à la piste de cyber-voyous surdoués à la sauce film d'Hollywood.

mon petit doigt me dit que cela vient de la chaîne de sous-traitant, sous-traitant, sous-traitant, sous-traitant où en bout de chaîne on peut trouver des petits mains payées au lance-pierre pour mettre à jour des données.

C'est affolant de voir que du confidentiel au départ peut pour d'obscure raison d'économie être divulgué à n' importe qui.

De même que penser d'une boite qui au lieu de faire confiance à son personnel de gardiennage pour protéger ses bâtiments sous-traite à un sous-traitant qui lui même sous-traite jusqu'à un clandestin qui possède un chien mais dont la boite ne peut même plus contrôler ses badges d'accréditation !

C'est la société qui est devenu folle pour économiser un sou pas besoin d'un scénario à James Bond pour cacher les failles d'un système améliorable à peu de frais (des emplois stables à statut par exemple génère un total dévouement à l'employeur)

Espérons que l'UMP trouve le courage de faire embaucher en nombre des informaticiens français à l'Assemblée Nationale, mais là je rêve car c'est remettre en cause un dogme et ce serait révolutionnaire pour ce mouvement populaire..

Modifié par 2D2
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combien de généraux et autres maréchaux morts pour la France ? à eux la médaille a nous la mitraille . gloire aux mutins qui avaient compris .

c'est du passé de nos jours les banquiers et les actionnaires ont remplacé nos vieilles badernes étoilés .

pourquoi ont ne fait pas de monument pour les morts de la guerre économique ?

salut et garde à vous J-C

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On est jamais mieux servi que par soi-même !

Après avoir nommé un des leur à la tête du gouvernement de la grêce (démocratie :Smiley_61: ) , on nomme un autre à la tête du gouvernement de l'Italie .

Mais qui ?

Un ancien commissaire européen -ayant travaillé pour la goldman sachs- ( eh oui , rien que ça!) , et l'ex vice président de la BCE........ :Smiley_55:

Des gens que l'on faire passer pour des sauveurs de l'humanité ....non , ok , j'y vais un peu fort là

Modifié par dav1077
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je ne crois pas à la piste de cyber-voyous surdoués à la sauce film d'Hollywood.

mon petit doigt me dit que cela vient de la chaîne de sous-traitant, sous-traitant, sous-traitant, sous-traitant où en bout de chaîne on peut trouver des petits mains payées au lance-pierre pour mettre à jour des données.

C'est affolant de voir que du confidentiel au départ peut pour d'obscure raison d'économie être divulgué à n' importe qui.

De même que penser d'une boite qui au lieu de faire confiance à son personnel de gardiennage pour protéger ses bâtiments sous-traite à un sous-traitant qui lui même sous-traite jusqu'à un clandestin qui possède un chien mais dont la boite ne peut même plus contrôler ses badges d'accréditation !

C'est la société qui est devenu folle pour économiser un sou pas besoin d'un scénario à James Bond pour cacher les failles d'un système améliorable à peu de frais (des emplois stables à statut par exemple génère un total dévouement à l'employeur)

Espérons que l'UMP trouve le courage de faire embaucher en nombre des informaticiens français à l'Assemblée Nationale, mais là je rêve car c'est remettre en cause un dogme et ce serait révolutionnaire pour ce mouvement populaire..

Tu ne croyais pas si bien dire...

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On est jamais mieux servi que par soi-même !

Après avoir nommé un des leur à la tête du gouvernement de la grêce (démocratie :Smiley_61: ) , on nomme un autre à la tête du gouvernement de l'Italie .

Mais qui ?

Un ancien commissaire européen -ayant travaillé pour la goldman sachs- ( eh oui , rien que ça!) , et l'ex vice président de la BCE........ :Smiley_55:

Des gens que l'on faire passer pour des sauveurs de l'humanité ....non , ok , j'y vais un peu fort là

Non Non, tu es encore en dessous de la vérité...

Goldman Sachs, le trait d'union entre Mario Draghi, Mario Monti et Lucas Papadémos

http://www.lemonde.fr/europe/article/2011/11/14/goldman-sachs-le-trait-d-union-entre-mario-draghi-mario-monti-et-lucas-papademos_1603675_3214.html#ens_id=1603680

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Avis de tempête ! ça souffle... du vent dans les voiles !

Hollande traité de «capitaine de pédalo» : le PS contre-attaque

Mais coule...

http://www.liberation.fr/politiques/01012371469-hollande-traite-de-capitaine-de-pedalo-le-ps-contre-attaque

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Invité Gnafron 1er

Budget sécu 2012 : le "contre-projet" du Sénat adopté

Le texte adopté dans la nuit de lundi à mardi a été largement remanié par des sénateurs majoritairement à gauche : il ne tient pas compte des nouvelles mesures d'austérité du plan Fillon.

Adopté, mais déjà caduc. Le Sénat, à majorité de gauche, a voté dans la nuit de lundi à mardi le projet de financement de la Sécurité sociale pour 2012. Le texte du PLFSS, sur lequel ont planché les sénateurs pendant une bonne semaine et tel qu'il a été voté à l'Assemblée le 2 novembre, ne tient pas compte de la nouvelle prévision de croissance ramenée de 1,75 à 1%, pas plus que des nouvelles mesures d'austérité annoncées le 7 novembre par François Fillon. Un PLFSS rectificatif, tenant compte du nouveau serrage de vis, doit être présenté le 23 novembre au Conseil des ministres, pour être soumis le 5 décembre à l'Assemblée nationale et ensuite au Sénat. Il inclura en particulier une progression des dépenses de l'assurance maladie (Ondam) ramenée à 2,5% au lieu des 2,8% initialement prévus (la hausse initiale était de 171,8 milliards d'euros). Pour le ministre de la Santé Xavier Bertrand, la mise en œuvre de ce nouvel objectif représente 500 millions d'euros d'économies à trouver, dont la plus grande partie - 290 millions - sera réalisée par des baisses de prix sur les médicaments.

En attendant, la nouvelle majorité de gauche au Sénat a patiemment détricoté le projet de loi initial, le remplaçant par une batterie de mesures dessinant le programme de la gauche avec, à la clef, une diminution du déficit du régime général. Alors que le gouvernement prévoyait une réduction de la dette d'environ 10 milliards pour 2012, au final, avec les propositions de la gauche votées en séance, cette réduction devrait atteindre 13 milliards. Cette amélioration est principalement due à la suppression par la majorité sénatoriale de gauche du dispositif d'exonération des heures supplémentaires prévu dans la loi Tepa de 2007. Avec la seule abrogation de cette mesure, l'une des plus emblématiques du quinquennat de Nicolas Sarkozy, ce serait 4,5 milliards d'euros économisés pour les caisses de l'Etat, dont 2,9 milliards pour la Sécu, ont fait valoir les socialistes.

Réunion députés-sénateurs déjà vouée à l'échec

Parallèlement, les sénateurs ont relevé de 8 à 11% le forfait social qui taxe les sommes versées par l'employeur au titre de l'intéressement (gain attendu: 1,2 milliard d'euros) et augmenté de 0,5% le prélèvement social sur les revenus du capital (gain attendu: 500 millions d'euros). Ils ont aussi voté pour un accroissement de la taxation sur les retraites chapeaux, les stock-options et les bonus des traders. Sur leur lancée, ils ont aussi supprimé le doublement de la taxation des complémentaires de santé (de 3,5 à 7%). Cette mesure, censée rapporter 1,1 milliard d'euros et votée à l'Assemblée, avait provoqué l'ire de la gauche, la Mutualité française menaçant de répercuter la hausse sur les patients avec une augmentation moyenne des tarifs des mutuelles de 4,7%.

De même, le Sénat a voté contre le projet du gouvernement de faire passer l'indemnisation journalière de l'arrêt maladie de 50% du salaire brut à 60% du salaire net, qui avait provoqué un tollé jusque dans les rangs des députés UMP. Ils ont aussi décidé le maintien de la revalorisation des prestations familiales au 1er janvier, contre l'avis du gouvernement qui voulait la faire intervenir au 1er avril pour économiser quelque 130 millions d'euros. Une commission mixte paritaire se réunira dès mercredi pour tenter de trouver un compromis entre les deux versions du texte votées à l'Assemblée et au Sénat mais, selon toute vraisemblance, cette CMP se soldera par un échec.

C'est donc le texte sénatorial qui viendra en discussion pour une seconde lecture, le 21 novembre, à l'Assemblée. Nul doute que la majorité de droite n'aura de cesse que de rétablir sa première version du texte. Après une seconde lecture au Sénat qui sera repoussée par la majorité de gauche, le dernier mot reviendra, en tout état de cause, à l'Assemblée. La suppression du dispositif Scellier à la fin 2012 adoptée par les députés

La suppression à la fin 2012 du dispositif "Scellier", avantage fiscal pour les investisseurs achetant des logements neufs pour les louer, a été adoptée lundi soir à l'Assemblée nationale, qui a voté dans le projet de budget 2012 cette mesure du nouveau plan de rigueur Fillon. Initialement, le projet de loi de finances prévoyait de prolonger ce dispositif jusqu'au 31 décembre 2015 en métropole et jusqu'au 31 décembre 2017 dans les départements d'Outre-mer. La suppression du Scellier en métropole et en Outre-mer à la fin 2012 par amendement gouvernemental s'inscrit dans la poursuite de la réduction des niches fiscales annoncée il y a une semaine par le Premier ministre François Fillon face à la révision en baisse des prévisions de croissance. Par ailleurs, le délai d'achèvement des logements bénéficiant de l'avantage fiscal sera porté de 24 à 30 mois pour des logements acquis en l'état futur d'achèvement, souvent des logements collectifs.

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On est jamais mieux servi que par soi-même !

Après avoir nommé un des leur à la tête du gouvernement de la grêce (démocratie :Smiley_61: ) , on nomme un autre à la tête du gouvernement de l'Italie .

Mais qui ?

Un ancien commissaire européen -ayant travaillé pour la goldman sachs- ( eh oui , rien que ça!) , et l'ex vice président de la BCE........ :Smiley_55:

Des gens que l'on faire passer pour des sauveurs de l'humanité ....non , ok , j'y vais un peu fort là

Je pensais être seul à chauffer du ciboulot... ouf, on est déjà deux....

Fabrice

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Invité necroshine

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/213182;dette-publique-et-loi-rothschild-le-silence-des-medias.html

Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias

LE PLUS. On parle beaucoup de crise et de dette en ce moment, mais de quelle manière ? Le journaliste Olivier Bonnet reproche aux médias de relayer la théorie libérale, sans s'interroger sur des étapes fondamentales comme celle de la loi Pompidou-Giscard en 1973.

C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123).

D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France".

Contraint d'emprunter aux banques privées

En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Depuis l'application de ce principe, la finance et son infime oligarchie donnent la pleine mesure de leur asservissement des peuples, en une spirale exponentielle d'accroissement des inégalités.

Le pouvoir est désormais aux mains des créanciers privés, qui l'exercent au bénéfice exclusif d'intérêts particuliers, quand la puissance publique a renoncé à son devoir de protéger l'intérêt général. La démocratie, étymologiquement pouvoir du peuple, est morte. On le voit en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, en France...

Qui gouverne ? "La troïka" - Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne - resserrant toujours davantage son emprise jusqu'à l'étranglement des peuples. Et l'on pérore sans fin sur les plateaux de télévisions, sur les ondes et dans les colonnes de la presse sur "l'insupportable fardeau de la dette", "la France en faillite", "les nécessaires sacrifices", que "nous ne pouvons pas continuer à vivre au-dessus de nos moyens" et que, d'ailleurs, "les Français l'ont compris".

Silence médiatique

Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Bien sûr, mais relayée par le silence complice des médias. Et c'est ainsi que s'imposent dans l'opinion les apparentes évidences biaisées qui prétendent l'austérité inéluctable, contre la justice et l'intelligence. Deux ans d'austérité en Grèce déjà, pour quel résultat ?

Avec toujours la même justification simpliste et manipulatrice, résumée par la question posée par un journaliste d'Europe 1 à Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle : "Mais comment des pays européens endettés peuvent-ils faire autrement pour réduire leurs déficits ?"

"Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts", résume Mai68.org. Faisons la soustraction : sans les intérêts illégitimes encaissés par les banksters financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d'euros - au lieu de 1327,1 milliards ! Un escroc peut-il rêver pareil butin ? Et personne ne dénonce jamais ce scandale absolu ! A part Mélenchon et l'extrême droite - qui ne le fait que par opportunisme, étant entendu qu'elle a toujours été au service zélé du capitalisme libéral et ne remettra donc jamais en cause son empire...

Mais les éminents confrères ? Les Calvi, Barbier, Demorand, Joffrin, Apathie, Bourdin, Pujadas ou qui savons-nous encore ? Ceci ressemble bien à une omerta. Et à une honteuse trahison de leur mission d'informer.

  • J'adore 1
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Invité Gnafron 1er

http://leplus.nouvel...des-medias.html

Dette publique et "loi Rothschild" : le silence des médias

LE PLUS. On parle beaucoup de crise et de dette en ce moment, mais de quelle manière ? Le journaliste Olivier Bonnet reproche aux médias de relayer la théorie libérale, sans s'interroger sur des étapes fondamentales comme celle de la loi Pompidou-Giscard en 1973.

C'est le point aveugle du débat : la dette publique est une escroquerie ! En cause, la loi Pompidou-Giscard de 1973 sur la Banque de France, dite "loi Rothschild", du nom de la banque dont était issu le président français, étendue et confortée ensuite au niveau de l'Union européenne par les traités de Maastricht (article 104) et Lisbonne (article 123).

D'une seule phrase découle l'absolue spoliation dont est victime 99% de la population : "Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la banque de France".

Contraint d'emprunter aux banques privées

En clair et pour faire simple, la Banque de France a désormais interdiction de faire crédit à l’État, le condamnant à se financer en empruntant, contre intérêts, aux banques privées, au lieu de continuer à emprunter sans intérêt auprès de la banque de France qui lui appartient. Depuis l'application de ce principe, la finance et son infime oligarchie donnent la pleine mesure de leur asservissement des peuples, en une spirale exponentielle d'accroissement des inégalités.

Le pouvoir est désormais aux mains des créanciers privés, qui l'exercent au bénéfice exclusif d'intérêts particuliers, quand la puissance publique a renoncé à son devoir de protéger l'intérêt général. La démocratie, étymologiquement pouvoir du peuple, est morte. On le voit en Grèce, en Irlande, au Portugal, en Espagne, en Italie, en France...

Qui gouverne ? "La troïka" - Union européenne, Fonds monétaire international et Banque centrale européenne - resserrant toujours davantage son emprise jusqu'à l'étranglement des peuples. Et l'on pérore sans fin sur les plateaux de télévisions, sur les ondes et dans les colonnes de la presse sur "l'insupportable fardeau de la dette", "la France en faillite", "les nécessaires sacrifices", que "nous ne pouvons pas continuer à vivre au-dessus de nos moyens" et que, d'ailleurs, "les Français l'ont compris".

Silence médiatique

Inlassable propagande des conservateurs-libéraux ? Bien sûr, mais relayée par le silence complice des médias. Et c'est ainsi que s'imposent dans l'opinion les apparentes évidences biaisées qui prétendent l'austérité inéluctable, contre la justice et l'intelligence. Deux ans d'austérité en Grèce déjà, pour quel résultat ?

Avec toujours la même justification simpliste et manipulatrice, résumée par la question posée par un journaliste d'Europe 1 à Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à la présidentielle : "Mais comment des pays européens endettés peuvent-ils faire autrement pour réduire leurs déficits ?"

"Ainsi, entre 1980 et 2008, la dette a augmenté de 1088 milliards d’euros et nous avons payé 1306 milliards d’euros d’intérêts", résume Mai68.org. Faisons la soustraction : sans les intérêts illégitimes encaissés par les banksters financiers privés, la dette publique française se serait élevée, fin 2008, à 21,4 milliards d'euros - au lieu de 1327,1 milliards ! Un escroc peut-il rêver pareil butin ? Et personne ne dénonce jamais ce scandale absolu ! A part Mélenchon et l'extrême droite - qui ne le fait que par opportunisme, étant entendu qu'elle a toujours été au service zélé du capitalisme libéral et ne remettra donc jamais en cause son empire...

Mais les éminents confrères ? Les Calvi, Barbier, Demorand, Joffrin, Apathie, Bourdin, Pujadas ou qui savons-nous encore ? Ceci ressemble bien à une omerta. Et à une honteuse trahison de leur mission d'informer.

Je ne sais plus où .....mais qlq'un a déjà mis ce genre de sujet sur la loi " Rotschild " . Mais c'est bon de le rappeller .

D'ailleurs , Pompom* n'a pas proposé cette loi quand il était ministre de De gaulle ....Le "Grand Charles "l'aurait renvoyé vite fait dans les cordes ! wouharf

*Séquence souvenir : " Pompidou des sous .."....ça rimait bien !

Juste en passant , "ils " ont ensuite appliqué cette règle aux "pékins moyens " que nous sommes .En effet , les crédits COFIDIS , COFINOGA , FIDEM et j'en passent .....sont exactement la même chose . Au lieu que ce soit "ton" banquier habituel qui te prête à des taux normaux , ce sont des organismes "autres " qui t'arnaquent .

Que fait un banquier quand tu es dans la mouisse ? Il essaie de te refiler une de "ses merdes "....ainsi "ils" se gavent plus mais t'enfoncent encore plus .

Modifié par Gnafron 1er
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Avant cette loi, les états faisaient tourner la planche à billets sans limites, se mettant de fait en dette avec eux mêmes.

La monnaie se retrouvait dévaluée périodiquement afin de la faire revenir en phase avec ce qu'elle valait après que l'état en ait produit à la tonne.

En empruntant auprès d'organismes financiers, ils se forçaient à se limiter car là il fallait rembourser.

Ca, c'était l'idée de départ. On voit aujourd'hui ce qu'elle a donné car comme en toute chose, l'humain ne sait qu'abuser et aller jusqu'au fond du troue avant de se dire qu'il a abusé.

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et si Mélenchon faisait +10%, le PS+Vert moins de 10% ?

Un truc de chiffonne: le PS et les Verts sont d'accord sur le nucléaire, la poursuite de Flamenville et l'aéroport de Nantes:

donc les Verts d'Eva Joly ne représente plus rien, N.Hulot fait plus écolo car négocier des sièges de députés contre une centrale nucléaire, faut vraiment nous prendre pour des c..s.

Puis arrive la vague DSK, dont beaucoup de copains du PS "oublie" un détail, le fameux feu nucléaire promis par qlq1

pour rappel et on voit l'actuel résultat, un futur suicide avant la relance du procès aux USA

http://www.20minutes...as-strauss-kahn

Nos voisins suisses nous informe mieux, sur le futur divorce pour éviter que sa fortune personnelle ne tombe dans les poches de la victime.

http://www.tdg.ch/ac...-dsk-2011-11-14

Si le procés US démarre 3 mois avant les présidentielles, NS1er va laminer le PS-pédalo en rappelant ces points, cet ex-candidat si représentatif des français, ces pseudo-écolos nouveau clergé médiatique prêt à tout faire pour une place de député.

Le seul candidat de gauche capable de faire +10% vient d'être Mélenchon si ce dernier continue à enfoncer le PS-pédalo.

Modifié par 2D2
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A noter qu'il n'y a eu aucune négociation engagée entre le PS et le Front de Gauche sur la question des Circonscriptions,

le Front de Gauche veut un débat transparent sur le programme politique, économique et social,

Hollande refuse toujours un débat contradictoire avec Mélenchon qui le propose et Poutou, Joly

Le PS et Europe Ecologie-les Verts concluent un accord a minima

PARIS (Reuters) - Socialistes et écologistes français ont conclu mardi un accord a minima pour les élections présidentielle et législatives de 2012 laissant de côté la question de la sortie du nucléaire faute de compromis.

Ce projet d'accord "pas de compromis, mais de conviction" selon l'expression de la première secrétaire du PS Martine Aubry, a été entériné par le PS réuni en Bureau national, en l'absence du candidat François Hollande.

Europe Ecologie-Les Verts (EELV) se prononcera samedi lors d'un conseil fédéral.

"Cet accord est l'aboutissement d'un travail approfondi et respectueux entre le Parti socialiste et les Verts. La confiance entre nous est encore renforcée", a dit Martine Aubry, reconnaissant toutefois que le nucléaire était "un point de friction".

Selon l'accord entériné au PS, 10% des circonscriptions, c'est-à-dire 60 environ, sont réservées aux Verts, qui ont l'assurance d'avoir au minimum un groupe à l'Assemblée nationale, soit 15 élus.

Entre 15% et 20% des députés, soit une centaine de sièges, seront désignés par la proportionnelle, répondant ainsi à une demande des écologistes. Parité et diversité seront encouragés, de même que le non cumul des mandats. "Là dessus, je serai intraitable", a dit Martine Aubry.

A la sortie du Bureau national, le maire de Lyon Gérard Collomb a fait part de ses réserves sur la répartition des circonscriptions tout comme son collègue Bertrand Delanoë, qui s'est élevé par avance contre tout "parachutage" à Paris, visant sans la citer la secrétaire nationale d'EELV Cécile Duflot.

"C'est partout difficile mais il faut savoir ce qu'on veut", a tranché Martine Aubry face à ces réticences.

La première secrétaire a précisé que l'accord ne contenait "aucune phrase qui dise que (les écologistes) ne participent pas au gouvernement".

Le dialogue est en revanche rompu avec le Front de gauche.

"On ne peut pas parler de notre candidat à la présidentielle comme cela a été fait et venir ensuite négocier des circonscriptions", a dit Martine Aubry, dénonçant les "propos peu amènes" de Jean-Luc Mélenchon, qui a traité ce week-end François Hollande de "capitaine de pédalo" dans la crise.

"MARCHANDAGE", DIT FILLON

Dans l'après-midi, Cécile Duflot avait salué "un accord ambitieux et en même temps qui prend en compte un certain nombre de désaccords".

"C'est la volonté partagée de faire preuve de responsabilité et aussi de travailler à des positions solidaires parlementaires de 2012 à 2017", a-t-elle ajouté en marge d'une réunion du conseil régional d'Ile-de-France.

Selon l'un des principaux négociateurs socialistes, Bruno Le Roux, "chacun sort de là avec la constatation de divergences qui n'obère en rien ni le débat ni le rassemblement possible".

Résistant à la pression verte, François Hollande n'a pas transigé sur sa volonté de réduire de 75% à 50% la part du nucléaire dans la production d'électricité française à l'horizon 2025. Il consent à la fermeture de certaines centrales vétustes au sein du parc de 58 réacteurs de France, mais refuse la sortie du nucléaire voulue par la candidate d'EELV Eva Joly.

Cette réduction entraînera à l'horizon 2025 la fermeture de 24 réacteurs, a expliqué un dirigeant écologiste.

Le PS a également refusé de céder sur la principale demande programmatique des écologistes : l'abandon du projet de réacteur nucléaire "EPR" de troisième génération, en cours de construction à Flamanville dans la Manche.

"Terminer le chantier de l'EPR permettra de fermer les vieilles centrales", a fait valoir la députée PS Aurélie Filippetti.

Mais pour Greenpeace, qui a manifesté devant le siège du PS, "L'EPR sûr n'existe pas."

"C'est potentiellement le plus dangereux au monde car c'est le plus puissant, alimenté avec le combustible le plus chaud", a dit une porte-parole tandis que des militants étendaient un calicot disant: "M. Hollande changez l'avenir, stoppez le nucléaire".

Aucun accord n'a non plus été conclu sur l'arrêt de la construction du futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes (Loire-Atlantique), dont EELV ne veut pas.

A l'Assemblée, le Premier ministre François Fillon a dénoncé le "marchandage" des socialistes sur le nucléaire.

"Vous avez choisi de sacrifier l'un des rares avantages compétitifs de la France par rapport aux autres pays européens, l'un des domaines d'excellence de l'industrie française et de son rayonnement dans le monde", a-t-il dit lors des questions au gouvernement.

Avec Thierry Lévêque, édité par Gérard Bon

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Petites phrases...

Cohn-Bendit : "Hollande est en train de se ségoléniser"

http://www.lemonde.f...#ens_id=1402952

Pour ceux qui se faisait des illusions sur Montebourg...

Arnaud Montebourg se veut un allié offensif de François Hollande

http://www.lemonde.f...#ens_id=1402952

Duflot assure que EELV "n'a pas cédé" face au PS

http://www.lemonde.f...257_823448.html

Les principaux points de l'accord PS-EELV

http://www.lemonde.f...266_823448.html

Accord a minima entre PS et écologistes

http://www.liberatio...dans-la-journee

Modifié par Dom Le Trappeur
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Distribution de claques...

Accord EELV/PS. Clash à gauche, inquiétudes à droite

http://www.letelegramme.com/ig/generales/france-monde/france/accord-eelv-ps-clash-a-gauche-inquietudes-a-droite-16-11-2011-1501396.php

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"Les véritables fraudeurs ne sont pas les bénéficiaires des prestations sociales"

http://www.lemonde.fr/idees/article/2011/11/16/les-veritables-fraudeurs-ne-sont-pas-les-beneficiaires-des-prestations-sociales_1604677_3232.html#ens_id=1563976

Arrêt maladie : quelles sont les différences entre public et privé ?

http://www.lemonde.fr/societe/article/2011/11/16/arret-maladie-quelles-sont-les-differences-entre-public-et-prive_1604427_3224.html#ens_id=1563976

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N'oublions pas qu'en fin de course ce sont tous les abonnés d'EDF

donc vous et moi...

qui payont la pub...sur le prix du KW/h

Et comme dit l'autre y'a qu'la vérité qui blesse...

En colère sur l'EPR, ( le PDG Proglio - encore lui d') EDF annule ses pubs dans «La Tribune»

http://www.liberation.fr/medias/01012371947-en-colere-sur-l-epr-edf-annule-ses-pubs-dans-la-tribune

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J'aime bien ce commentaire suite à l'article de presse ci-dessus

"Liberté de la Presse...

Pour faire taire un journal, on coupe le robinet de la publicité,

quand le journal ne dépend pas des recettes publicitaires comme Charlie, on l'incendie. "

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Accord irréaliste et irresponsable PS / EELV,

fin du service public de l’électricité (CGT Mines Énergie)

Les partis politiques sont légitimes pour s’exprimer sur les questions énergétiques, tout comme les organisations syndicales. La FNME-CGT souhaite donner son point de vue.

L’accord conclu hier entre le PS et EELV est très bien résumé « Le secteur de l'énergie reviendra au sein du grand Ministère du Développement Durable ». Exit l’Industrie, le secteur sera sacrifié pour privilégier une production locale ( !?), les défauts (excusez l’euphémisme) de la libéralisation seront corrigés et l’entreprise EDF sera désintégrée en cassant la cohérence de l’intégration verticale, qui est le meilleur optimum technico économique, en séparant les réseaux de transport et de distribution des activités de production et de commercialisation.

Ajoutons à cela, l’arrêt du Nucléaire (ne nous voilons pas la face, c’est ce que signifie l’arrêt de tout nouveau projet rajouté à la fermeture de 24 réacteurs – dont l’arrêt immédiat de Fessenheim - plus la mise en cause du retraitement) qui fragilisera l’équilibre Production/Consommation et notre indépendance énergétique.

Le bilan économique, écologique, social, de ces décisions, si elles étaient mises en œuvre dans une échéance aussi courte, serait désastreux. Qui paiera les coûts de ces décisions ? Le prix de l’électricité en sera doublé, pénalisant fortement les usagers et notre industrie. Nous ne pouvons penser que ce vaste gâchis industriel serait la balance de quelques postes de députés.

Le secteur énergétique mérite autre chose qu’un vulgaire marchandage électoral. Nous continuerons à réclamer un vrai débat ouvert et transparent sur le sujet, prenant en compte la réponse aux besoins et les contraintes posées par le réchauffement climatique.

Nous regrettons que ceux qui, à juste titre, critiquent la manière non démocratique des décisions prises par le passé, utilisent les mêmes méthodes qu’ils condamnent pour tenter d’imposer des décisions en dehors de tout débat contradictoire.

Nous réitérons notre demande de débat public et démocratique afin que chacun puisse sereinement et objectivement se forger un avis sur la question.

La situation économique et sociale de notre pays mérite bien autre chose qu’un accord de coin de table de quelque parti que ce soit. Les emplois créés dans des filières d’énergies renouvelables et ceux existant dans la filière nucléaire doivent s’additionner et non s’opposer. Les salariés refusent de servir de monnaie d’échange dans un débat politicien qui ne servira in fine qu’à nourrir les extrêmes.

Communiqué de la Fédération CGT Mines Énergie

le 16/11/2011

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Dans le droit fil de l'article précédent...

C'est bien parti pour faire de l'électricité...

Voila qu'Areva intervient directement auprès du PS sur le texte de l'accord PS-EELV...

Accord EELV-PS: une tambouille électorale très radioactive

http://www.humanite.fr/politique/accord-eelv-ps-une-tambouille-electorale-tres-radioactive-483794

Un passage biffé sous l'amicale pression d'Areva, des circonscriptions "gagnables" laissées aux candidats d'EELV qui font plus que débat localement au PS. L'accord électoral trouvé mercredi entre le Parti socialiste et Europe écologie les Verts en vue des présidentielles et de législatives de 2012 n'est peut-être pas tout à fait clôt. Les soubresauts de cette cuisine électorale envoient aux oubliettes tout débat de fond.

Lobbying actif du groupe Areva

Areva a jeté volontairement de l'huile sur le feu en faisant savoir qu'il était intervenu auprès du Parti socialiste pour enlever un paragraphe consacré au Mox (combustible obtenu en recyclant du plutonium issu des déchets de combustibles usagés) et ce après la signature de l'accord par Martine Aubry (PS) et Cécile Duflot (EELV)! Le porte-drapeau de la filière nucléaire française est passé par Bernard Cazeneuve, député-maire de Cherbourg (Manche), donc élu proche de l'usine de retraitement de La Hague, afin que le Mox ne soit plus condamné à disparaître, comme il l'était dans la première version de l'accord.

Areva a fait valoir les conséquences en terme d'emplois: près de 5.000 personnes travaillent sur le site de La Hague (Manche) et quelque 1.300 dans l'usine Melox, qui produit le combustible recyclé Mox à Marcoule (Gard). Areva estime que 14.000 emplois dépendent au total de ces sites, dont 10.000 dans le Cotentin. Bernard Cazeneuve, nommé ce mercredi matin parmi les quatre porte-paroles de la campagne de François Hollande, semble donc avoir oeuvré dans le sens d'Areva.

EELV demandent des clarifications

"Des textes modifiés après accord, on a rarement vu ça !", s'est insurgé devant la presse Pascal Durand, porte-parole d'EELV. Jacques Archimbaud, l'un des négociateurs du mouvement, a précisé pour sa part que le texte validé par Mmes Aubry et Duflot avait été "lu et relu ligne par ligne" par les deux camps et que "les mots ont été pesés minutieusement". Le député EELV Noël Mamère s'est montré encore plus véhément: "Si le PS, sous la pression d'Areva et du lobby nucléaire, décide de changer d'avis, cela va changer la donne pour nous et on ne peut pas construire l'avenir et un pacte majoritaire avec des gens qui renient leur parole".

Le conseiller de Cécile Duflot, Jean-Vincent Placé, a pondéré ces critiques en expliquant que l'accord "n'est pas non plus une Bible. Nous pouvons discuter de la précision, si précision il doit y avoir. Nous le ferons dans les jours qui viennent", a-t-il poursuivi, mettant l'intervention d'Areva sur le compte du "lobbying" habituel de la filière nucléaire. L'accord doit être avalisé par le Conseil fédéral d'EELV samedi.

Le PS demande du temps

Le paragraphe incriminé "ne fait pas l'objet d'un désaccord" entre les deux partis, a assuré à l'AFP Benoît Hamon, le porte-parole du PS, mais "d'une différence d'interprétation". Il a donc été "retiré de l'examen du Bureau national", ce "le temps de clarifier l'interprétation qu'on en faisait avec nos partenaires". Les négociateurs socialistes Guillaume Bachelay et Michel Sapin vont "en reparler avec leurs partenaires d'EELV".

Delanoë et Collomb contre l'accord. Le maire de Paris Bertrand Delanoë a dénoncé des "parachutages" et des "tripatouillages" dans un accord qui réserve 60 circonscriptions aux écologistes, et qui a été validé mardi soir par 33 voix contre cinq par le bureau national du PS, dans une ambiance tendue. En cause, l'annonce de la candidature de Cécile Duflot dans la 6e circonscription, à cheval sur les XIe et XXe arrondissements, détenue depuis 2002 par la socialiste Danièle Hoffman-Rispal. Cette dernière a annoncé sur le site de L'Express qu'elle se battra pour conserver son siège contre un parachutage "inacceptable et immoral". Même réaction à Lyon où le maire PS Gérard Collomb n'entend pas céder la première et la neuvième circonscription à des candidats écologistes.

Modifié par Dom Le Trappeur
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En fait le Peuple, les gens comme vous ou moi, constate en temps réel les évènements

grâce à internet et à la diffusion de l'information...

Mais qu'en pense le peuple, comment peut-il intervenir

ça c'est une autre question

en fait peut être la nécessité d'une 6ème et nouvelle République

et une réinvention de la démocratie citoyenne.

Modifié par Dom Le Trappeur
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Confusius y perdrait son latin, heu son chinois !

Confusion...Je suis confus... ou l'inverse...

Les 24 heures qui ont plongé Verts et socialistes dans la confusion

http://www.lemonde.fr/politique/article/2011/11/16/les-24-heures-qui-ont-plonge-ecologistes-et-socialistes-dans-la-confusion_1604745_823448.html#ens_id=1504462

L'accord surprise qui devait permettre à M.Hollande de pousser son avantage et derelancer sa campagne termine donc dans la confusion la plus totale. Il n'est désormais plus certain qu'il soit validé par le conseil fédéral d'EELV dans le weekend.

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