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http://www.lemonde.fr/election-presidentielle-2012/article/2011/12/16/pourquoi-certains-electeurs-doutent-de-m-hollande_1619697_1471069.html#ens_id=1590109

Pourquoi certains électeurs doutent de M. Hollande

Pourquoi un électeur décide-t-il, un beau jour, de se détourner d'un candidat pourenvisager de voter pour un autre ? Pour répondre à cette question, Le Monde, le Centre de recherches politiques de Sciences Po (Cevipof), la Fondation Jean-Jaurès et la Fondation pour l'innovation politique se sont associés à Ipsos et Logica Business Consulting pour mettre en place un instrument de mesure exceptionnel.

Celui-ci consiste, d'ici à la présidentielle des 22 avril et 6 mai 2012, à suivre un groupe de plusieurs milliers d'électeurs représentatifs de la population en âge devoter, à identifier ceux qui, d'un mois sur l'autre, ont changé d'avis, puis à lesinterroger sur les raisons de ce changement.

Dans la dernière vague de notre baromètre mensuel d'intentions de vote, publiée le 7 décembre, M. Hollande apparaissait, pour le huitième mois consécutif, comme le favori de la présidentielle.

Mais, de tous les candidats, il était aussi celui dont le score, en l'espace d'un mois, avait le plus varié: – 3 points. Etant d'amplitude plus importante que la baisse enregistrée dans le même temps par Marine Le Pen (– 2 points) ou que la progression affichée par Nicolas Sarkozy, Jean-Luc Mélenchon et François Bayrou(+1,5 point chacun), ce mouvement mérite qu'on s'y attarde.

TRANSFERTS DE VOTE ET DÉMOBILISATION

Entre début novembre et début décembre, M. Hollande est donc passé, selon Ipsos, de 35 % à 32 % d'intentions de vote au premier tour. Cette baisse est liée à un double phénomène. Le premier est dû à des transferts de vote. Ainsi, des électeurs qui, début novembre, déclaraient vouloir voter pour M. Hollande, affichent désormais leur préférence pour un autre candidat. 2 % des électeurs sont dans ce cas.

Parmi eux, la moitié s'est reportée sur M. Mélenchon, l'autre moitié se répartissant, à part égale, sur MM. Bayrou et Sarkozy.

Le second phénomène est lié à une forme de démobilisation. 1 % des sondés sont dans ce cas. Il s'agit d'électeurs qui, désormais, ne sont plus certains de voter. Certes, ceux-ci n'envisagent pas, à ce jour, de voter pour un autre candidat que M. Hollande. Mais en menaçant de s'abstenir, ils font potentiellement baisser son score.

Voilà pour la répartition des flux. Reste à l'expliquer. Sans surprise, les électeurs qui se sont éloignés de M. Hollande continuent de le préférer largement à M. Sarkozy. Mais, sur certains points, la très forte avance dont bénéficiait le candidat du PS début novembre s'est nettement érodée.

Parmi ces électeurs, environ 60 % estiment que M. Hollande est dynamique, capable de mieux faire fonctionner l'Europe, et peut faire face à la crise économique et financière. Ils étaient 75 % à le penser début novembre.

Les entretiens qu'a réalisés l'institut Ipsos du 9 au 14 décembre avec une quinzaine de ces électeurs ayant changé d'avis permettent d'éclairer davantage les raisons de leur déception vis-à-vis de François Hollande. Ceux qui se sont détournés du candidat socialiste au profit de Jean-Luc Mélenchon ne sont pas des électeurs traditionnels du PS. Venus du Parti communiste ou de l'extrême gauche, ils avaient participé à la primaire organisée en octobre par les socialistes et les radicaux de gauche.

A l'époque, leur choix s'était porté sur Martine Aubry ou Arnaud Montebourg, perçus comme plus à gauche que François Hollande. Mais la victoire de ce dernier, le 16 octobre, les avait conduits à le soutenir : interrogés par Ipsos début novembre, ils déclaraient alors leur intention de voter pour le député de la Corrèze.

Aujourd'hui, que lui reprochent-ils ? Sa personnalité ("il ne sait pas dire non"), le manque de mordant de son programme ("pas de réponses assez fortes"), et enfin son management ("il a trop de monde autour de lui", "il a du mal à réunir son équipe").

Pour ces électeurs, qui louent la "grande gueule" de M. Mélenchon, M. Hollande pâtit aussi de l'image du PS, perçu comme une "auberge espagnole" dont les alliances avec les autres partis de gauche sont jugées peu claires.

Demeurant prêts à voter pour le candidat socialiste au second tour, ces électeurs veulent faire "pression" sur lui pour qu'il rompe avec un certain "attentisme".

UNE ATTITUDE PLUS COMBATIVE

Les électeurs qui se déclarent dorénavant pour M. Bayrou ont, eux aussi, participé à la primaire. Mais à la différence de ceux qui se reportent sur M. Mélenchon, ils avaient alors voté pour M. Hollande, perçu comme "le plus crédible", "le plus rassembleur" et "le seul qui pouvait battre Nicolas Sarkozy".

Ces électeurs estiment que, depuis son investiture, M. Hollande a été trop timide, trop effacé, trop peu offensif. "Il manque de charisme", dit l'un. "On a l'impression qu'il court après les choses ; qu'il s'engage au moins !", ajoute un autre. Se définissant comme des héritiers de la "deuxième gauche", ces électeurs – dont certains ont déjà, en 2007, voté pour M. Bayrou – sont très attentifs à la crédibilité des propositions avancées par le candidat socialiste.

Deux sont volontiers qualifiées d'"irréalistes" : la réduction de 75 % à 50 % de la part du nucléaire dans la production d'électricité et l'embauche de 60 000 enseignants.

Qu'ils envisagent de voter pour un autre candidat ou de s'abstenir, tous réclament la même chose de M. Hollande : une attitude plus combative et des idées plus précises. Sur le premier point, l'intéressé a tout à gagner : face à un Nicolas Sarkozy qui tire profit de la crise de l'euro pour recouvrer une "stature présidentielle" jusque-là très écornée, le candidat socialiste ne peut laisser à son adversaire le monopole du leadership.

Sur le second point, en revanche, sa situation est plus délicate : s'il ne sort pas du flou, M. Hollande peut continuer à perdre des électeurs. Mais s'il précise ses intentions, il court le risque de s'aliéner des électeurs qui, dès lors, le jugeront trop à gauche ou trop centriste. C'est dire l'enjeu de la séquence qui attend M. Hollande après les fêtes de fin d'année.Rapport panel électoral 2012

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Invité necroshine

http://www.lemonde.fr/actualite-medias/article/2011/12/18/audrey-pulvar-se-paie-laurent-wauquiez-chez-laurent-ruquier_1620204_3236.html#xtor=RSS-3208

Clash Pulvar-Wauquiez, typique du mélange des genres chez Ruquier ?

Video sur le lien !!!!

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Invité Gnafron 1er

Ces 2 chroniqueuses tiennent plus la route que les 2 précédents .Je les ai vu face à Poutou (NPA) et Wauquiez hier .....!

Navrant ce garçon .Ce qui est inquiétant , c'est qu'il est ministre .Sa théorie de donner un logement de préférence à ceux qui travaillent ......des fois construire des logements sociaux , non ?

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Paranoïa en Sarkozy...

reçu par e-mail...

Bordeaux

Sarko en campagne à la Caf, l’envers du décor

Nous avons appris le jeudi 10/11/2011 que Sarkozy viendrait à la Caf de Bordeaux le mardi 15/11/2011. Un préavis de grève doit être de 5 jours ouvrés. Nous n’avons donc pas pu en poser un.

Quoiqu’il en soit, sans pouvoir faire grève et manifester en grand nombre, on pouvait malgré tout prévoir un mouvement entre syndicalistes, c’est déjà pas si mal !

Le dimanche soir une journaliste de sud ouest m’appelle pour savoir ce que nous préparons, je lui réponds que nous sommes pris un peu de court et que nous ne savons pas déjà ce que nous organiserons mais nous écrivons une lettre à Sarkozy pour lui exposer notre point de vue sur la lutte contre la fraude aux prestations sociales.

Dès le lendemain matin, apparaissait un petit encart dans sud ouest précisant que la Cgt à la Caf de bordeaux préparait sa lettre à Sarkozy.

Je pense que ces deux lignes ont suffit à générer l’inquiétude et/ou la curiosité du service d’ordre de Sarkozy.

Du coup, j’ai été convoquée 5 ou 6 fois dans la journée du lundi (veille de la visite) dans le bureau du directeur de la Caf pour y rencontrer le sous préfet de région, le chef de la sécurité présidentielle, le directeur de cabinet de je-ne-sais-plus-quel ministre etc.

Incroyable, ils ont essayé à peu près toutes les approches, cordiales, autoritaires, méprisantes, puis à nouveau de bon ton en espérant que l’on puisse s’entendre et surtout en espérant qu’on leur dise ce que nous préparions.

Honnêtement, au début j’étais un peu amusée par ce spectacle et puis peu à peu, en plus d’être en colère, je me suis trouvée un peu intimidée craignant je ne sais quel excès de leur part durant notre manif du lendemain. Alors, sans rien dévoiler de ce que nous ferions, j’ai quand même calmé le jeu en rappelant que nous n’avions pas pu poser de préavis de grève, qu’il n’y avait donc pas de mot d’ordre de la Cgt vis à vis des collègues. A la Caf, nous sommes une majorité de femmes, nous sommes dans un secteur d’activité où les gens sont souvent plus calmes que des métalos ou des cheminots ! J’ai rappelé au directeur qu’à la Cgt nous sommes responsables et légalistes et que du même coup il n’y avait pas à craindre de nous quoique ce soit de dangereux ou d’irrespectueux. A partir de là, il m’était plus facile de leur rappeler que le droit syndical existe et doit être respecté. C’est notre droit d’exprimer nos contestations et de choisir nos modes d’expression pour les porter.

Au fil des entretiens, ils essayaient de trouver un compromis. Jusqu’à me dire que si je leur disais ce qui était prévu le lendemain, on pourrait s’arranger pour que ça se fasse dans les meilleures conditions. Du coup, je les ai pris au mot en leur demandant alors de nous laisser faire une manif de 150 personnes devant l’entrée de la Caf. A quoi, il m’a été répondu que ce serait impossible ! (ça je m’en doutais). Donc, j’ai laissé un peu ma colère s’exprimer pour leur rétorquer, durant le dernier entretien (lundi vers 18h), que je comprenais que ces entretiens servaient juste à intimider la Cgt pour lui interdire de s’exprimer ! Ce que je trouvais condamnable et inacceptable dans une démocratie ! Le chef de je ne sais quoi, me redis qu’il voulait juste savoir ce que nous ferons le lendemain. A quoi je lui ai répondu :


  • vous verrez demain !

Et là, une idée de génie lui vient, à la place de faire une manif, il me propose de rencontrer Sarkozy lors « d’un entretien informel », comprendre que lors de son passage dans les bureaux de la Caf, il me croiserait dans un couloir pendant 20 secondes. J’ai évidemment refusé. Et c’est reparti avec les questions et le mépris. Et pourquoi vous préférez agiter une banderole plutôt que de développer vos arguments ? C’est pourtant des propositions que d’autres acceptent (là, c’est notamment FO qui a accepté à la Caf). Pourquoi vous vous entêtez etc.

Je suis rentrée chez moi le lundi soir, j’étais crevée

Le mardi matin 7h30.

Avec les collègues de la Cfdt puisque c’est un mouvement que nous avons porté ensemble, nous nous sommes retrouvés devant l’entrée du personnel avec la lettre que nous avions rédigée et décidé de remettre à Sarkozy par l’intermédiaire du directeur de la Caf.

Nous l’avions tirée sous forme de tract et on la distribuait aux collègues au fur et à mesure de leur arrivée au bureau. (pour info l’arrivée de Sarkozy était prévue à 11h).

J’ai été à nouveau « alpaguée » par le sous préfet qui m’a retenue encore un quart d’heure pour savoir ce que nous allions faire après et pour me reproposer la rencontre informelle. Une nouvelle fois j’ai dû batailler pour qu’il me lâche et me laisse rejoindre mes collègues.

Vers 10h, on avançait (un petit groupes de 25 personnes juste des élus syndicalistes sur leurs heures syndicales) avec des drapeaux de la Cgt et de la Cfdt vers l’entrée principale de la Caf.

Evidemment, on a été stoppés bien avant l’entrée, donc bien avant d’être visible du public. En revanche, les collègues pouvaient nous voir des fenêtres des bureaux. (plusieurs ont pris des photos). Une cohorte de flics s’est avancée, on nous a demandé de nous installer plus loin sur le parking des salariés (toujours visible des fenêtres des bureaux). Puis, vers 10h45, 30 flics nous ont entourés, et demandés de les suivre. On n’avait pas d’autre choix que de les suivre !

Ils nous ont alors parqués derrière le bâtiment du self, invisibles de tous, près des poubelles des cuisines, sur un espace d’environ 15 ou 20 m² où nous avons été retenus pendant 2 heures. Nous n’avons pas eu le droit de regagner nos locaux syndicaux (qui sont à 10 m de cet endroit là) ni d’aller aux toilettes, ou chercher un verre d’eau…On nous a relâchés 10 mn après le départ de Sarkozy. Durant ces 2 h, on a vu à un moment un journaliste de France 3 s’approcher puis repartir aussitôt après avoir parlé quelques secondes avec un flic. Heureusement, c’est celui là qui est revenu vers 15 h pour faire l’interview.

Pour conclure, nous avons vécu un moment unique, qui nous a scandalisés par certains aspects mais aussi regonflés. On en sort renforcés. Depuis, nous avons fait un tract commun avec la Cfdt pour raconter cette journée et un diaporama sur l’intranet de la Caf (chaque syndicat à un portail intranet) avec nos photos. Beaucoup de collègues depuis nous ont félicité d’avoir fait ce mouvement et sont contents de nous avoir vu à la télé.

Ce que je retiens aussi, c’est les collègues qui parlent avec Sarkozy du bébé et d’allaitement pendant que nous étions « gardés à vue ». Il m’apparaît évident que l’absence de conscience politique facilite la vie des politiciens les plus « tyranniques ». ça m’aide à recentrer le débat et le combat autour des sujets essentiels, et mes collègues de la Cgt sont plein d’idées et d’énergie pour retrouver un vrai militantisme de terrain. Peut-être qu’à force de rencontres dans les instances (délégués du personnel, comité d’entreprise, conseil d’administration…) on oublie une partie du terrain, c’est bien de s’y être retrouvés.

Derniers points, la pression que j’ai subie est à la hauteur de la paranoïa de Sarkozy mais aussi à la hauteur de la force de la Cgt. Ils ont appelé le secrétaire de région et la secrétaire de l’union départementale pour leur demander de me dissuader de faire une manif ou tout autre chose.

En retour l’ud va écrire une lettre à notre directeur pour lui faire part de leur colère de voir comment on a traité la déléguée syndicale de la Caf. Et les administrateurs Cgt des conseil d’administration de la Caf, de la Cpam, de la Carsat (retraites) et de l’Urssaf, vont faire une déclaration commune pour dénoncer ces pratiques policières et liberticides.

Bon, c’est vrai qu’elle est forte la Cgt !

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Ruquier obligé d'inviter Marine La Pen

http://www.lepost.fr...n-emission.html

intéressant : ce lien s'affiche mais ne fonctionne pas en tous cas sur ma bécane, impossible de lire l'article. En y regardant de plus près, il mobilise pas moins de 100 Mo, quand le forum se contente de 23 ....

Y aurait-il de la censure du sabotage dans l'air ?

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intéressant : ce lien s'affiche mais ne fonctionne pas en tous cas sur ma bécane, impossible de lire l'article. En y regardant de plus près, il mobilise pas moins de 100 Mo, quand le forum se contente de 23 ....

Y aurait-il de la censure du sabotage dans l'air ?

Aucun problème pour moi. Je te mets le texte...

Pour moi : C'est du brassage d'air...

FRANCE TV A DIT À LAURENT RUQUIER : "SOIT TU INVITES MARINE LE PEN SOIT TU ARRETES TON ÉMISSION"

Plus les jours avancent et plus la campagne de l'élection présidentielle de 2012 se fait sentir. En effet le CSA a convoqué tous les médias pour mettre en place le programme de la répartition de parole a fin qu'il y ait une équité parfaite. Dès le 20 mars il y aura une égalité parfaite pour les candidats à l'élection présidentielle. Et à partir du 1er Janvier, la parole des soutient des candidats à la radio et à la télé sera aussi décompté. Une tache qui ne va pas être évidente à réaliser pour les directions des médias. En effet ils vont devoir jongler entre les candidats déclarés, les candidats présumés. Il va être aussi difficile d'accorder le même temps de parole aux petits candidats que le candidat du Parti Socialiste par exemple, étant donné que l'actualité de ce candidat est beaucoup plus importante qu'un petit candidat comme Hervé Morin pour ne citer que lui. Le CSA incite aux petits partis et candidats de créer l'événément avec des meetings, de nombreux déplacement pour qu'ils soient audible. Le CSA a également traiter la question concernant Nicolas Sarkozy. Etant donné que c'est un candidat présumé certaines de ses déclarations lui seront décomptées de sont temps de parole au même titre que ses adversaires. Néanmoins les rédactions devront faire attention en dissociant les prises de paroles "en tant que président" (par exemple lorsqu'il y a une conférence de presse pour parler de la crise au sommet européen) et les prises de paroles "en tant que candidat" (par exemple lorsqu'il rend visite à l'usine de fabrication des skis Rossignol).

Toute cette pression à eu pour conséquence qu'en début de semaine Laurent Ruquier a été convoqué à la rédaction de France Télévision pour lui annoncé que désormais il va devoir arrêter de boycotter Marine Le Pen. Les choses ont été dites très clairement: "S'il veut continuer à recevoir des invités politiques, il doit se conformer aux règles du pluralisme. Par conséquent, il devra recevoir Marine Le Pen". C'est un réel dilemme pour l'animateur de France 2: Soit il se plie aux nouvelle règle de Rémy Pflimlin ou alors il continue son émission en faisant comme si elle n'existait pas au risque d'avoir des sanctions.

Il faut dire que ce dernier ce n'est pas qu'il ne veut pas inviter la candidate frontiste c'est qu'il fait aussi du militantisme contre elle dans son émission. La dernière fois pour faire de "l'humour" il avait montré un arbre généalogique de la famille Le Pen en forme de croix gammée. Elle avait par la suite porté plainte contre lui.

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Invité Gnafron 1er

Aucun problème pour moi. Je te mets le texte...

Pour moi : C'est du brassage d'air...

FRANCE TV A DIT À LAURENT RUQUIER : "SOIT TU INVITES MARINE LE PEN SOIT TU ARRETES TON ÉMISSION"

Plus les jours avancent et plus la campagne de l'élection présidentielle de 2012 se fait sentir. En effet le CSA a convoqué tous les médias pour mettre en place le programme de la répartition de parole a fin qu'il y ait une équité parfaite. Dès le 20 mars il y aura une égalité parfaite pour les candidats à l'élection présidentielle. Et à partir du 1er Janvier, la parole des soutient des candidats à la radio et à la télé sera aussi décompté. Une tache qui ne va pas être évidente à réaliser pour les directions des médias. En effet ils vont devoir jongler entre les candidats déclarés, les candidats présumés. Il va être aussi difficile d'accorder le même temps de parole aux petits candidats que le candidat du Parti Socialiste par exemple, étant donné que l'actualité de ce candidat est beaucoup plus importante qu'un petit candidat comme Hervé Morin pour ne citer que lui. Le CSA incite aux petits partis et candidats de créer l'événément avec des meetings, de nombreux déplacement pour qu'ils soient audible. Le CSA a également traiter la question concernant Nicolas Sarkozy. Etant donné que c'est un candidat présumé certaines de ses déclarations lui seront décomptées de sont temps de parole au même titre que ses adversaires. Néanmoins les rédactions devront faire attention en dissociant les prises de paroles "en tant que président" (par exemple lorsqu'il y a une conférence de presse pour parler de la crise au sommet européen) et les prises de paroles "en tant que candidat" (par exemple lorsqu'il rend visite à l'usine de fabrication des skis Rossignol).

Toute cette pression à eu pour conséquence qu'en début de semaine Laurent Ruquier a été convoqué à la rédaction de France Télévision pour lui annoncé que désormais il va devoir arrêter de boycotter Marine Le Pen. Les choses ont été dites très clairement: "S'il veut continuer à recevoir des invités politiques, il doit se conformer aux règles du pluralisme. Par conséquent, il devra recevoir Marine Le Pen". C'est un réel dilemme pour l'animateur de France 2: Soit il se plie aux nouvelle règle de Rémy Pflimlin ou alors il continue son émission en faisant comme si elle n'existait pas au risque d'avoir des sanctions.

Il faut dire que ce dernier ce n'est pas qu'il ne veut pas inviter la candidate frontiste c'est qu'il fait aussi du militantisme contre elle dans son émission. La dernière fois pour faire de "l'humour" il avait montré un arbre généalogique de la famille Le Pen en forme de croix gammée. Elle avait par la suite porté plainte contre lui.

On aime ou pas Ruquier , sauf qu'il s'est tjrs clairement positionné sur le FN .....

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Invité Gnafron 1er

merci Dom pour le texte. J'espère que les autres, tous les autres, auront l'ordre de cesser de boycotter tout ce qui est à gauche de Hollande ! ça devient indécent !

D'ailleurs , Ruquier a été un des rares a inviter Poutou du NPA .Objectivement , "ils" ne l'ont pas "démonté " car le garçon était mal à l'aise .

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Liberté, Egalité, Fraternité...

Marine La Pen et les Syndicats...

http://www.legrandso...t-procure+.html

Présidentielles : l’horrible programme secret que Le Grand Soir s’est procuré.

Comment dire, sans que ça se voie trop : « Il faut en finir avec les syndicats comme la CGT, la CFDT, FO, Sud, la FSU, etc. qui sont illégitimes Leurs droits conquis dans la Résistance contre les nazis seront supprimés, le système démocratique d’élection des délégués du personnel idem, je vais créer des syndicats spécialistes de la parlotte, car le droit de grève (la France prise en otage) et les manifs, ça commence à bien faire. »

Comme ceci : « Une grande réforme des syndicats sera mise en œuvre avec comme objectif principal d’assurer une meilleure représentation des salariés. Le monopole de représentativité institué après la Libération sera supprimé, et les modalités d’élections des représentants des salariés seront revues. Des syndicats plus représentatifs travailleront mieux à la réelle défense des intérêts des salariés : ils seront en effet plus à même d’entrer dans des logiques de concertation constructives et moins tentés de recourir à un rapport de forces (grève, manifestation) pour pallier leur manque de légitimité ». (Extrait du programme de Marine Le Pen, visible sur son site).

C’est parce que ce programme n’est pas bien connu et décrypté que des salariés smicards, des jeunes sans emploi, des vieux chômeurs, bref : des obscurs, des petits, des sans-grades vont voter en 2012 pour la châtelaine de Montretout (sic).

Théophraste R. (arpenteur de pavé en groupe fraternel et solidaire).

PS. Faites passer ce billet à votre pote Bébert et à sa femme Ginette avant qu’ils ne tirent une balle dans leurs pieds et dans ceux de leurs mômes.

Modifié par Dom Le Trappeur
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« Une grande réforme des syndicats sera mise en œuvre avec comme objectif principal d’assurer une meilleure représentation des salariés. Le monopole de représentativité institué après la Libération sera supprimé, et les modalités d’élections des représentants des salariés seront revues. Des syndicats plus représentatifs travailleront mieux à la réelle défense des intérêts des salariés : ils seront en effet plus à même d’entrer dans des logiques de concertation constructives et moins tentés de recourir à un rapport de forces (grève, manifestation) pour pallier leur manque de légitimité ».

les corporations mises en place par Pétain et sa bande

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La Canaille voit Rouge

Vert comme une langue de vipère.

Vous vous souvenez certainement de l'envolée patriotique de dame Voynet à propos de détournements et gâchis des fonds sociaux du COS de Montreuil.

Ce que la dame a oublié depuis qu'elle a jeté sa dernière carte syndicale derrière les moulins de la carrière, c'est que les syndicalistes ont en sainte horreur de se faire juger à l'aune des pratiques patronales.

Le syndicat CGT des communaux de Montreuil a donc repris point par point les accusations de madame le maire pour faire la clarté.

Bizarre, radios, TV, journaux qui se bousculaient pour répercuter les propos de la dame d'un seul coup sont partis voir ailleurs.

Donc La Canaille vous donne le lien [ici riposte à radio Voynet] pour accéder à ce document d'autant que cela a du comme on dit , animer les débats autour de la machine à café.

Après avoir lu cela il serait encore étonnant que vous ayez envie d'aller prendre un vertavec elle.

Même parés d'une musique d'ambiance, les bruits de chiottes restent des bruits de chiottes.

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Invité Gnafron 1er

La Canaille voit Rouge

Vert comme une langue de vipère.

Vous vous souvenez certainement de l'envolée patriotique de dame Voynet à propos de détournements et gâchis des fonds sociaux du COS de Montreuil.

Ce que la dame a oublié depuis qu'elle a jeté sa dernière carte syndicale derrière les moulins de la carrière, c'est que les syndicalistes ont en sainte horreur de se faire juger à l'aune des pratiques patronales.

Le syndicat CGT des communaux de Montreuil a donc repris point par point les accusations de madame le maire pour faire la clarté.

Bizarre, radios, TV, journaux qui se bousculaient pour répercuter les propos de la dame d'un seul coup sont partis voir ailleurs.

Donc La Canaille vous donne le lien [ici riposte à radio Voynet] pour accéder à ce document d'autant que cela a du comme on dit , animer les débats autour de la machine à café.

Après avoir lu cela il serait encore étonnant que vous ayez envie d'aller prendre un vertavec elle.

Même parés d'une musique d'ambiance, les bruits de chiottes restent des bruits de chiottes.

:Smiley_56:

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Le Monde ...

Les profits immobiliers ont progressé de 60 % en 10 ans en France

http://www.lemonde.fr/economie/article/2011/12/21/les-profits-immobiliers-ont-progresse-de-60-en-10-ans-en-france_1621158_3234.html#ens_id=845716

Les profits immobiliers ont bondi de 60 % entre 1999 et 2009 alors que le PIB français a progressé en monnaie constante de 14 % et la masse totale des profits de 17 %, indique une étude révélée mercredi 21 décembre par le quotidienL'Humanité.

Selon cette enquête réalisée par Pierre Concialdi, économiste à l'Institut de recherche économique et social (IRES), à la demande de Droit au Logement (DAL) et de la Fondation Copernic, "64,7 milliards d'euros de profits monétaires ont été engendrés en France en 2010 par la location de logements, de locaux à usage professionnel ou par des activités d'intermédiation sur le marché immobilier".

Comparé à la moyenne des autres revenus, l'immobilier a donc réalisé "33 milliards de surprofits", qui représentent "le coût de la spéculation immobilière et de la libération des loyers supportés par les ménages", livre l'économiste. Cumulés sur les trente dernières années, ces surprofits s'élèvent à "450 milliards d'euros", ajoute M. Concialdi.

11 % DES FRANÇAIS DÉTIENNENT DE L'IMMOBILIER DE RAPPORT

D'après L'Humanité, les deux tiers de ces montants ont profité aux sociétés privées, "marchands de biens, agences immobilières ou administrateurs", même si certains particuliers ont bénéficié de la hausse des revenus locatifs. Un peu plus de la moitié (55 %) des Français possèdent un bien immobilier et 11 % d'entre eux détiennent de l'immobilier de rapport (destiné à la location), dont les deux tiers sont aux mains des 10 % les plus fortunés, indique l'étude réalisée à partir des comptes nationaux de l'Insee.

Du côté des professionnels, le plus important groupe d'administration de biens de l'Hexagone, Foncia, a triplé son chiffre d'affaires depuis l'an 2000 (575 millions d'euros en 2010). "La gestion de ses 252 000 biens en location reste l'activité la plus rentable du groupe et représente 45 % de son résultat d'exploitation. Avec des honoraires calculés en pourcentage de loyers réévalués à la hausse chaque année, le marché de la gestion locative assure des ressources certaines, estimées entre 3 % et 4 % par an, selon certains experts", indique l'étude.

L'Etat a également profité de la hausse. Ses prélèvements sur le logement, ajoutés à ceux des collectivités locales, ont été multiplié par trois en vingt ans pouratteindre 29,3 milliards d'euros en 2010. "Soit presque l'équivalent du budget du ministère du logement", souligne L'Humanité.

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Invité Gnafron 1er

Le Monde ...

Les profits immobiliers ont progressé de 60 % en 10 ans en France

http://www.lemonde.f...l#ens_id=845716

Les profits immobiliers ont bondi de 60 % entre 1999 et 2009 alors que le PIB français a progressé en monnaie constante de 14 % et la masse totale des profits de 17 %, indique une étude révélée mercredi 21 décembre par le quotidienL'Humanité.

Selon cette enquête réalisée par Pierre Concialdi, économiste à l'Institut de recherche économique et social (IRES), à la demande de Droit au Logement (DAL) et de la Fondation Copernic, "64,7 milliards d'euros de profits monétaires ont été engendrés en France en 2010 par la location de logements, de locaux à usage professionnel ou par des activités d'intermédiation sur le marché immobilier".

Comparé à la moyenne des autres revenus, l'immobilier a donc réalisé "33 milliards de surprofits", qui représentent "le coût de la spéculation immobilière et de la libération des loyers supportés par les ménages", livre l'économiste. Cumulés sur les trente dernières années, ces surprofits s'élèvent à "450 milliards d'euros", ajoute M. Concialdi.

11 % DES FRANÇAIS DÉTIENNENT DE L'IMMOBILIER DE RAPPORT

D'après L'Humanité, les deux tiers de ces montants ont profité aux sociétés privées, "marchands de biens, agences immobilières ou administrateurs", même si certains particuliers ont bénéficié de la hausse des revenus locatifs. Un peu plus de la moitié (55 %) des Français possèdent un bien immobilier et 11 % d'entre eux détiennent de l'immobilier de rapport (destiné à la location), dont les deux tiers sont aux mains des 10 % les plus fortunés, indique l'étude réalisée à partir des comptes nationaux de l'Insee.

Du côté des professionnels, le plus important groupe d'administration de biens de l'Hexagone, Foncia, a triplé son chiffre d'affaires depuis l'an 2000 (575 millions d'euros en 2010). "La gestion de ses 252 000 biens en location reste l'activité la plus rentable du groupe et représente 45 % de son résultat d'exploitation. Avec des honoraires calculés en pourcentage de loyers réévalués à la hausse chaque année, le marché de la gestion locative assure des ressources certaines, estimées entre 3 % et 4 % par an, selon certains experts", indique l'étude.

L'Etat a également profité de la hausse. Ses prélèvements sur le logement, ajoutés à ceux des collectivités locales, ont été multiplié par trois en vingt ans pouratteindre 29,3 milliards d'euros en 2010. "Soit presque l'équivalent du budget du ministère du logement", souligne L'Humanité.

D'où la nécéssité de réglementer les loyers et aussi revoir les aides qui "gonflent " artificiellement les tarifs locatifs !

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Soixante-six journalistes tués dans le monde en 2011, selon RSF

Reuters

http://fr.news.yahoo...-062148847.html

PARIS (Reuters) - Soixante-six journalistes ont été tués et un millier arrêtés dans le monde en 2011, une année marquée par le "printemps arabe" et les contestations liées à la crise, rapporte le bilan annuel de Reporters sans frontières publié jeudi.

La place Tahrir du Caire, la ville de Misrata en Libye, la place du Changement au Yémen, Abidjan en Côte d'Ivoire, Manama au Bahreïn, Mogadiscio en Somalie et l'état de Veracruz au Mexique figurent parmi les dix lieux les plus dangereux pour les journalistes recensés par l'organisation de défense de la presse.

Sur les 66 journalistes tués cette année, un chiffre en hausse de 16% par rapport à 2010, 20 l'ont été au Moyen-Orient et presqu'autant en Amérique latine.

Avec dix tués, "assassinés pour la plupart", le Pakistan a été le pays le plus meurtrier au monde pour les journalistes pour la deuxième année consécutive.

"La Chine, l'Iran et l'Érythrée restent les plus grandes prisons du monde pour la presse", ajoute RSF.

L'organisation explique l'explosion du nombre d'arrestations (1.044 en 2011 contre 535 en 2010) par la multiplication des soulèvements populaires en Afrique du Nord et la contestation dans des pays comme le Soudan, l'Azerbaïdjan, la Grèce, l'Ouganda, le Chili ou encore les Etats-Unis, avec le mouvement Occupy Wall Street.

"Le danger était bel et bien dans la rue en 2011, souvent lors de manifestations qui donné lieu à des heurts violents avec les forces de l'ordre ou dégénéré en conflits", écrit Reporters sans frontières.

Elizabeth Pineau, édité par Patrick Vignal

180.261

Modifié par Dom Le Trappeur
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